8 PERSPECTIVE SOCIALE-COGNITIVE : REPRÉSENTATIONS DE SOI, VALEURS ET ATTRIBUTIONS Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le concept de soi?

A

Regroupement des différentes perceptions de soi qu’on entretient à l’égard de nos habiletés dans divers domaines de vie.

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2
Q

Qu’est-ce que la perception d’efficacité personnelle?

A

Croyances quant à notre capacité d’atteindre certains objectifs dans des circonstances particulières.

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3
Q

Comment se développent le concept de soi et la perception d’efficacité personnelle?

A

Ils se développent surtout à partir d’expériences de réussite et d’échecs vécues par l’individu et peuvent être alimentés par les personnes de l’entourage.

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4
Q

Quel est l’apport motivationnel du concept de soi et de la perception d’efficacité personnelle?

A

Ils représentent une force mobilisatrice importante qui mène les individus à s’engager dans des activités pertinentes leur permettant de mieux atteindre leurs objectifs de vie.

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5
Q

Qui sont les auteurs du modèle multidimensionnel du concept de soi?

A

Marsh et Shavelson (1985).

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6
Q

Quelle est la différence entre le concept de soi et l’estime de soi selon Marsh et Shavelson (1985)?

A

Le concept de soi est multidimensionnel et hiérarchique, alors que l’estime de soi était auparavant confondue avec le concept de soi en tant que construit unidimensionnel.

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7
Q

Que postule le modèle de Marsh et Shavelson (1985) sur le concept de soi?

A

Il postule que le concept de soi est multidimensionnel et hiérarchique.

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8
Q

Quelles sont les deux dimensions principales du concept de soi dans le modèle de Marsh et Shavelson?

A

Les domaines scolaires et non scolaires.

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9
Q

Comment se divise le concept de soi scolaire?

A

Il se divise en perceptions de soi dans le domaine des mathématiques et dans le domaine langagier et littéraire.

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10
Q

Comment peut-on subdiviser le domaine des mathématiques?

A

En fonction des matières scolaires telles que les mathématiques, les sciences physiques, la biologie, l’économie, etc.

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11
Q

Comment peut-on subdiviser le domaine langagier?

A

Selon les matières telles que l’histoire, la langue maternelle, la langue seconde, etc.

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12
Q

Qu’est-ce que le concept de soi global selon Marsh (2005)?

A

Il regroupe les perceptions correspondant à des caractéristiques générales de l’individu et est plus ou moins équivalent à l’estime de soi.

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13
Q

Quelles sont les dimensions du concept de soi non scolaire selon le modèle de Marsh et Shavelson?

A

La dimension sociale, la dimension physique et la dimension émotionnelle.

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14
Q

Quels sont les bénéfices liés à une perception de soi positive?

A

Performance accrue, persévérance, acquisition d’habiletés personnelles et sociales, bien-être général.

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15
Q

Quels sont les mécanismes de formation du concept de soi?

A

L’individu enregistre ses expériences en mémoire, les généralise, et ces généralisations contribuent au concept de soi.

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16
Q

Qu’est-ce que la comparaison interne selon Marsh (1986)?

A

C’est lorsque les élèves évaluent leurs propres habiletés dans diverses matières scolaires pour savoir s’ils sont meilleurs dans une matière que dans d’autres.

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17
Q

Qu’est-ce que la comparaison externe selon Marsh (1986)?

A

C’est lorsque les élèves évaluent leur performance relativement à celle de leurs pairs pour former leur concept de soi scolaire.

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18
Q

Le concept de soi et la perception d’efficacité personnelle se développent surtout à partir d’expériences de ___. Options: réussite, échecs, éloges, critiques.

A

réussite et d’échecs. Explication : Ces expériences influencent notre perception de nos capacités dans divers domaines de vie.

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19
Q

Les perceptions de soi qui forment le concept de soi se développent à partir de ___. Options: l’enfance, l’adolescence, l’âge adulte, la vieillesse.

A

l’enfance. Explication : Ces perceptions se consolident progressivement à partir des expériences vécues au cours de la vie.

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20
Q

Un concept de soi scolaire positif au primaire est associé à ___. Options: une carrière réussie, une meilleure santé, un niveau d’éducation plus élevé, des relations positives.

A

un niveau d’éducation plus élevé. Explication : Un concept de soi scolaire positif est un facteur prédictif de la réussite académique future.

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21
Q

Les individus retiennent davantage les expériences liées à ___. Options: des domaines de vie qu’ils considèrent importants, des domaines de vie qu’ils détestent, des expériences traumatisantes, des expériences banales.

A

des domaines de vie qu’ils considèrent importants. Explication : L’importance accordée à certaines expériences influence la formation du concept de soi.

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22
Q

Le concept de soi est sensible au ___. Options: jugement, regard, plaisir, effort.

A

jugement. Explication : La perception de soi est influencée par le jugement et le renforcement reçus des autres.

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23
Q

Quel aspect n’est pas inclus dans la dimension physique du concept de soi? A. Apparence physique B. Capacité physique C. Habileté sociale D. Force physique

A

C. Habileté sociale Explication : L’habileté sociale fait partie de la dimension sociale du concept de soi, et non de la dimension physique.

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24
Q

Selon la théorie de Marsh (1986), la comparaison interne concerne: A. Comparaison entre soi et les autres B. Comparaison entre différentes matières scolaires C. Comparaison entre différents sports D. Comparaison entre différents niveaux de scolarité

A

B. Comparaison entre différentes matières scolaires Explication : La comparaison interne se fait entre les différentes matières scolaires pour évaluer ses propres habiletés.

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25
Q

Quelle dimension du concept de soi est principalement liée aux émotions? A. Dimension sociale B. Dimension physique C. Dimension émotionnelle D. Dimension scolaire

A

C. Dimension émotionnelle Explication : La dimension émotionnelle du concept de soi est liée à la stabilité et aux états psychologiques.

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26
Q

Un concept de soi scolaire positif au primaire est associé à: A. Une meilleure santé B. Une carrière réussie C. Un niveau d’éducation plus élevé D. Des relations positives

A

C. Un niveau d’éducation plus élevé Explication : Un concept de soi scolaire positif au primaire est un facteur prédictif de la réussite académique future.

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27
Q

Quelles sont les similitudes entre les théories de Marsh et Shavelson (1985) et de Marsh (2005) concernant le concept de soi?

A

Les deux théories postulent que le concept de soi est multidimensionnel et hiérarchique. Explication : Marsh et Shavelson (1985) ainsi que Marsh (2005) soutiennent que le concept de soi comporte plusieurs dimensions et qu’il est structuré de manière hiérarchique.

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28
Q

Quelle est la principale différence entre les théories de Marsh et Shavelson (1985) et de Marsh (1986) concernant la formation du concept de soi scolaire?

A

Marsh et Shavelson (1985) ont proposé un modèle multidimensionnel et hiérarchique, tandis que Marsh (1986) a introduit les notions de comparaison interne et externe. Explication : Marsh et Shavelson (1985) se concentrent sur la structure du concept de soi, alors que Marsh (1986) examine les mécanismes par lesquels le concept de soi scolaire se forme.

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29
Q

Selon Marsh (2005), comment le concept de soi global se compare-t-il à l’estime de soi?

A

Marsh (2005) suggère que le concept de soi global est plus ou moins équivalent à l’estime de soi. Explication : Selon Marsh (2005), les perceptions correspondant aux caractéristiques générales de l’individu regroupées sous le concept de soi global sont similaires à celles de l’estime de soi.

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30
Q

Quels aspects du concept de soi sont abordés à la fois par la théorie de Marsh et Shavelson (1985) et par la théorie de Marsh (1986)?

A

Les deux théories abordent la dimension scolaire du concept de soi. Explication : Tandis que Marsh et Shavelson (1985) se concentrent sur la structure multidimensionnelle et hiérarchique du concept de soi, Marsh (1986) examine comment cette dimension scolaire est influencée par les comparaisons internes et externes.

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31
Q

Quel est l’apport motivationnel du concept de soi et de la perception d’efficacité personnelle?

A

Ils représentent une force mobilisatrice importante qui mène les individus à s’engager dans des activités pertinentes leur permettant de mieux atteindre leurs objectifs de vie.

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32
Q

Qu’est-ce que la dimension sociale du concept de soi selon Marsh & Shavelson (1985)?

A

La perception des relations entretenues avec les pairs et les individus significatifs.

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33
Q

Quels sont les bénéfices liés à une perception de soi positive dans le domaine social?

A

Une perception de compétence plus faible dans le domaine social prédit davantage d’anxiété sociale.

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34
Q

Quels sont les mécanismes de formation du concept de soi selon Marsh (1986)?

A

Le concept de soi scolaire se forme par comparaison interne et comparaison externe.

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35
Q

Quelle est la définition du concept de soi selon vos notes?

A

Regroupement des différentes perceptions de soi qu’on entretient à l’égard de nos habiletés dans divers domaines de vie.

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36
Q

Quelles sont les trois familles de construits théoriques se rapportant à la perspective sociale cognitive de la motivation?

A

Les représentations de soi, les valeurs, les attributions.

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37
Q

Que comprennent les représentations de soi selon la perspective sociale-cognitive?

A

Les perceptions que les individus ont d’eux-mêmes, influençant leur comportement et leur engagement.

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38
Q

Quelles sont les deux catégories de façons dont les individus se perçoivent?

A

Perceptions globales et perceptions spécifiques.

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39
Q

Donnez un exemple de perception « globale » selon la perspective sociale-cognitive.

A

Exemple: “Je suis gentil.”

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40
Q

Donnez un exemple de perception « spécifique » selon la perspective sociale-cognitive.

A

Exemple: “Je suis bon en histoire” (spécifique au domaine scolaire/ académique).

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41
Q

Comment les perceptions de soi influencent-elles les individus selon la perspective sociale-cognitive?

A

Elles influencent leur comportement et la qualité de leur engagement dans des activités.

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42
Q

Pourquoi les valeurs et les attributions sont-elles importantes dans la perspective sociale-cognitive?

A

Elles offrent des perspectives complémentaires sur les processus sociaux, cognitifs et émotifs qui agissent sur le comportement des individus.

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43
Q

Quelle est la différence entre les perceptions « globales » et les perceptions « spécifiques »?

A

Les perceptions globales concernent les caractéristiques générales de la personne, tandis que les perceptions spécifiques sont des appréciations liées à un domaine particulier.

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44
Q

Qu’est-ce que la perception d’efficacité personnelle (PEP) ?

A

Les croyances que possède l’individu envers ses capacités à atteindre divers objectifs dans un domaine en particulier. Explication: La PEP est la croyance en ses propres capacités à accomplir des tâches spécifiques.

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45
Q

Quelles sont les circonstances où la PEP est variable ?

A

Elle est variable selon le domaine d’activité, le niveau d’exigence de la tâche et les circonstances. Explication: La PEP dépend du contexte et peut changer en fonction de différents facteurs.

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46
Q

Quelles sont les principales sources de la PEP selon Bandura (1997) ?

A
  1. Les expériences de succès et d’échecs 2. Les expériences vicariantes 3. La persuasion verbale 4. Les états physiologiques et émotionnels ressentis. Explication: Bandura (1997) a identifié quatre sources clés de PEP.
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47
Q

Qu’est-ce que le concept de calibration ?

A

La capacité des individus de juger leur efficacité dans un domaine particulier en considérant à la fois leurs habiletés et leurs performances. Explication: La calibration permet d’évaluer son efficacité par rapport à ses compétences réelles.

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48
Q

Quelle est la différence entre la perception de compétence et la perception d’efficacité personnelle ?

A

La perception de compétence est le sentiment d’avoir une habileté dans le présent, tandis que la perception d’efficacité personnelle est la croyance d’être capable de réussir ou non une tâche particulière ou un objectif précis et futur dans un domaine donné. Explication: La perception de compétence est axée sur le présent, tandis que la PEP est orientée vers l’avenir.

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49
Q

Quels sont les facteurs qui influencent la perception d’efficacité personnelle ?

A

Les expériences antérieures, la nature de l’objectif, les résultats anticipés, le contexte et la confiance en sa capacité de s’améliorer. Explication: Plusieurs facteurs influencent la PEP, y compris les expériences passées et la confiance en ses capacités.

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50
Q

La PEP agit à titre de force mobilisatrice poussant l’individu à l’______.

A

Action Explication: La PEP motive les individus à entreprendre des actions en se basant sur la croyance qu’ils possèdent les capacités nécessaires.

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51
Q

Les principales sources de la PEP, selon Bandura (1997), incluent les ______ vicariantes.

A

Expériences Explication: Les expériences vicariantes sont une source clé de PEP où les individus observent et comparent leurs performances à celles des autres.

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52
Q

La persuasion ______ peut influencer la perception d’efficacité personnelle, surtout dans des situations nécessitant de nouvelles tâches.

A

Verbale Explication: La persuasion verbale, lorsqu’une personne crédible encourage verbalement quelqu’un, peut renforcer la PEP.

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53
Q

Une PEP très supérieure à leurs habiletés réelles peut entraîner un risque de se heurter à des ______.

A

Obstacles Explication: Une surestimation de ses habiletés réelles peut entraîner des difficultés et des défis non anticipés, potentiellement décourageants.

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54
Q

La ______ peut être conçue comme une compétence qu’il est possible d’acquérir par un processus d’essais et d’erreurs.

A

Capacité Explication: En concevant la capacité comme acquise par essais et erreurs, les individus adoptent une perspective de croissance.

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55
Q

La PEP influe sur la nature des causes que les gens attribuent à leurs succès et à leurs ______.

A

Échecs Explication: La perception d’efficacité personnelle affecte comment les individus interprètent leurs réussites et leurs échecs.

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56
Q

Quel élément n’est PAS une source de la perception d’efficacité personnelle selon Bandura (1997) ? A. Expériences de succès et d’échecs B. Persuasion verbale C. Méditation quotidienne D. Expériences vicariantes

A

C. Méditation quotidienne Explication: Bandura identifie quatre sources distinctes de PEP : expériences de succès et d’échecs, expériences vicariantes, persuasion verbale, et états physiologiques et émotionnels. La méditation quotidienne n’est pas mentionnée.

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57
Q

Quel terme décrit le sentiment d’avoir une habileté dans le présent ? A. PEP B. Concept de soi C. Calibration D. Perception de compétence

A

D. Perception de compétence Explication: La perception de compétence est le sentiment d’avoir une habileté dans le présent, tandis que la PEP se réfère à la croyance d’être capable de réussir une tâche future.

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58
Q

Quelle stratégie est généralement moins influente que les expériences de succès/d’échecs pour améliorer la PEP ? A. Persuasion verbale B. Comparaison sociale C. Récompenses D. Auto-évaluation

A

A. Persuasion verbale Explication: Bien que la persuasion verbale puisse contribuer à la PEP, elle a généralement moins d’influence que les expériences directes de succès et d’échecs.

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59
Q

Quel concept clé de la théorie de l’efficacité personnelle réfère aux conséquences anticipées d’un objectif ? A. PEP B. Calibration C. Résultats anticipés D. Sentiment d’accomplissement

A

C. Résultats anticipés Explication: Le concept de résultats anticipés réfère aux conséquences, positives ou négatives, perçues de l’atteinte d’un objectif.

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60
Q

Quelle situation peut entraîner une baisse de la PEP selon Bandura ? A. Expériences de succès fréquentes B. Comparaison avec un modèle d’inspiration C. Difficulté accrue de la tâche D. Encouragement verbal

A

C. Difficulté accrue de la tâche Explication: Selon Bandura, une tâche difficile peut entraîner une diminution de la PEP si l’individu perçoit l’échec comme un reflet de son manque de compétences.

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61
Q

La capacité de juger son efficacité en tenant compte de ses habiletés et performances s’appelle : A. Concept de soi B. Calibration C. Sentiment d’accomplissement D. Perception de compétence

A

B. Calibration Explication: La calibration est la capacité de juger son efficacité dans un domaine particulier en prenant en compte ses habiletés réelles et ses performances.

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62
Q

Quelle est une conséquence d’une PEP très inférieure aux habiletés réelles d’un individu ? A. Surestimation des capacités B. Risque de ne pas s’engager dans des activités C. Augmentation de l’effort D. Amélioration de la performance

A

B. Risque de ne pas s’engager dans des activités Explication: Une PEP très inférieure aux habiletés réelles peut entraîner un manque d’engagement dans des activités et ainsi priver l’individu d’opportunités de réussir.

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63
Q

Quelles sont les similitudes entre la définition de la PEP selon Bandura (1997) et la définition générale de la PEP ?

A

Les deux définitions mettent l’accent sur les croyances de l’individu concernant ses capacités à atteindre des objectifs spécifiques dans un domaine particulier. Explication: Bandura (1997) et la définition générale de la PEP soulignent l’importance de la croyance en ses propres capacités pour réussir.

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64
Q

Quelle est la différence entre les sources de la PEP selon Bandura (1997) et l’approche générale ?

A

Bandura (1997) identifie quatre sources spécifiques de PEP : expériences de succès et d’échecs, expériences vicariantes, persuasion verbale et états physiologiques et émotionnels. L’approche générale peut inclure d’autres facteurs tels que la nature de l’objectif et les résultats anticipés. Explication: Bandura se concentre sur des sources plus spécifiques et empiriquement validées, tandis que l’approche générale peut être plus holistique.

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65
Q

Comment la PEP et la perception de compétence sont-elles similaires selon vos notes ?

A

Les deux concepts impliquent une évaluation des capacités de l’individu, mais la PEP est contextuelle et axée sur des objectifs futurs, tandis que la perception de compétence concerne les habiletés présentes. Explication: Bien que reliées, la PEP et la perception de compétence diffèrent par leur temporalité et leur spécificité.

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66
Q

Quels sont les points communs entre les expériences vicariantes et la persuasion verbale en tant que sources de PEP selon Bandura (1997) ?

A

Les deux sources impliquent des influences externes sur la PEP, soit par l’observation des autres (expériences vicariantes) ou par le renforcement verbal (persuasion verbale). Explication: Ces sources montrent comment l’environnement social et les interactions peuvent moduler la PEP.

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67
Q

Quelle est la différence entre les résultats anticipés et les sources de la PEP selon Bandura (1997) ?

A

Les résultats anticipés se réfèrent aux conséquences perçues d’un objectif atteint, tandis que les sources de la PEP, selon Bandura, sont des éléments qui renforcent ou diminuent la PEP. Explication: Les résultats anticipés influencent la motivation à agir, alors que les sources de PEP de Bandura déterminent le niveau de PEP.

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68
Q

Comment la théorie de l’efficacité personnelle de Bandura et la conception générale de la capacité diffèrent-elles dans vos notes ?

A

Bandura se concentre sur la PEP comme une croyance modulée par des expériences spécifiques et des contextes variés, alors que la conception générale de la capacité peut inclure la notion de compétence acquise par essais et erreurs. Explication: Bandura propose un cadre plus strict pour la PEP, tandis que la conception générale de la capacité est plus flexible et inclut l’apprentissage progressif.

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69
Q

Quelles sont les différences entre le concept de soi et la PEP dans vos notes ?

A

Le concept de soi regroupe les différentes perceptions de soi dans divers domaines, tandis que la PEP se concentre sur la croyance en la capacité d’atteindre des objectifs spécifiques. Explication: Le concept de soi est plus large et englobant, alors que la PEP est plus spécifique et orientée vers des objectifs.

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70
Q

La PEP est une perception stable qui ne varie pas selon les circonstances.

A

Faux Explication: La PEP est contextuelle et peut varier selon le domaine d’activité, le niveau d’exigence de la tâche et les circonstances.

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71
Q

La perception d’efficacité personnelle et la perception de compétence sont identiques.

A

Faux Explication: La perception de compétence concerne le sentiment d’avoir une habileté dans le présent, tandis que la perception d’efficacité personnelle est une croyance contextuelle concernant la capacité à atteindre des objectifs futurs.

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72
Q

Les résultats anticipés n’ont aucune influence sur la PEP.

A

Faux Explication: Les résultats anticipés, qui sont les conséquences perçues de l’atteinte d’un objectif, influencent la motivation et le comportement, tout comme la PEP.

73
Q

Les expériences vicariantes sont une source de la PEP selon Bandura (1997).

A

Vrai Explication: Selon Bandura (1997), les expériences vicariantes, où les individus comparent leurs performances à celles des autres ou choisissent des modèles d’inspiration, sont une source de la PEP.

74
Q

La persuasion verbale a une influence plus grande que les expériences de succès/d’échecs sur la PEP.

A

Faux Explication: Bien que la persuasion verbale puisse renforcer la PEP, elle a généralement moins d’influence que les expériences directes de succès et d’échecs.

75
Q

Les états physiologiques et émotionnels peuvent affecter la PEP.

A

Vrai Explication: Les états physiologiques et émotionnels ressentis, tels que la transpiration, la nausée, les pensées négatives et le stress, peuvent influencer la PEP.

76
Q

Une PEP très supérieure aux habiletés réelles entraîne toujours des résultats positifs.

A

Faux Explication: Une PEP très supérieure aux habiletés réelles peut entraîner des obstacles et des découragements en raison de la difficulté à atteindre les objectifs fixés.

77
Q

Les processus cognitifs influencés par la PEP incluent la construction de scénarios mentaux de succès ou d’échecs.

A

Vrai Explication: La PEP influe sur les processus cognitifs, tels que la construction mentale de scénarios de succès ou d’échecs, ce qui affecte l’engagement et la performance.

78
Q

Les émotions désagréables comme le stress et l’anxiété n’ont aucune relation avec la PEP.

A

Faux Explication: La PEP détermine en partie dans quelle mesure les émotions désagréables, comme le stress et l’anxiété, sont ressenties lors de la réalisation d’activités.

79
Q

Le concept de calibration implique la capacité de juger l’efficacité en fonction des habiletés et des performances.

A

Vrai Explication: La calibration est la capacité des individus à juger leur efficacité dans un domaine particulier en prenant en compte leurs habiletés réelles et leurs performances.

80
Q

Quel modèle est particulièrement important dans le domaine de la motivation à l’accomplissement ?

A

Le modèle attente-valeur d’Eccles et ses collègues (1984; 1993).

81
Q

Pourquoi le modèle attente-valeur a-t-il été initialement développé ?

A

Pour mieux comprendre les différences entre garçons et filles sur le plan de leurs attitudes envers les mathématiques et de leurs choix de cours liés aux mathématiques.

82
Q

Quelles sont les deux composantes principales du modèle attente-valeur ?

A

Les attentes de succès et les valeurs.

83
Q

Comment les attentes et les valeurs influencent-elles l’individu ?

A

Elles influent directement sur la performance, la persévérance et les choix de l’individu.

84
Q

Quelles croyances influencent les attentes et les valeurs ?

A

Les croyances à l’égard de la tâche à accomplir (task-specific beliefs).

85
Q

Quels facteurs influent sur la perception de compétence de l’individu et sur l’interprétation de ses accomplissements ?

A

Les agents sociaux (parents, enseignants, …), les expériences liées à l’accomplissement, les aptitudes différentielles des individus, et le milieu culturel.

86
Q

Quelle est la définition des attentes de succès ?

A

Les attentes de succès sont les croyances qu’entretiennent les gens envers leurs capacités à réaliser certaines tâches ou activités. Elles répondent à la question « suis-je capable de réaliser cette tâche ? ».

87
Q

Quelle est la relation entre les perceptions de compétence et les valeurs ?

A

Il a été démontré que les perceptions de compétence et les attentes de succès sont fortement liées. Une étude longitudinale indique une relation positive entre les perceptions de compétence et les valeurs dans tous les domaines d’étude au primaire.

88
Q

Quels sont les types de valeurs subjectives selon le modèle attente-valeur ?

A

La valeur de réussite (ou d’importance), la valeur intrinsèque, la valeur d’utilité et les coûts.

89
Q

Les croyances à propos de soi-même, telles que l’identité et les perceptions de compétences, sont appelées \\\.

A

Schémas personnels. Ces croyances se rapportent à l’identité, la personnalité et les perceptions de compétences.

90
Q

Les \\\ influencent les attentes de succès et les valeurs par l’interprétation des accomplissements antérieurs et les mémoires affectives.

A

Croyances à l’égard de la tâche à accomplir. Ces croyances influencent comment on interprète les accomplissements et mémoires des autres.

91
Q

La \\\ est le type de valeur subjective qui correspond à l’importance d’exceller dans une tâche.

A

Valeur de réussite. Une tâche qui permet de confirmer des aspects fondamentaux de son schéma personnel.

92
Q

\\\ représente l’intérêt et le plaisir que l’individu éprouve lors de la réalisation d’une activité.

A

Valeur intrinsèque. Concept similaire à la motivation intrinsèque (TAD).

93
Q

Les coûts sont associés à ce qu’un individu doit \\\ pour réaliser une tâche et les efforts anticipés.

A

Abandonner. Réaliser une tâche exige souvent de renoncer à d’autres options et requiert des efforts.

94
Q

Les attentes de succès répondent à la question « \\\ ».

A

Suis-je capable de réaliser cette tâche? Les attentes de succès concernent les croyances en sa capacité à accomplir des tâches.

95
Q

Un individu ne réalise pas une tâche par intérêt, mais plutôt parce qu’elle permet d’atteindre un but précis considéré comme important, c’est la \\\.

A

Valeur d’utilité. Associée à la motivation extrinsèque identifiée (TAD).

96
Q

Quel type de valeur représente l’intérêt et le plaisir que l’individu éprouve lors de la réalisation d’une activité ? A. Valeur de réussite B. Valeur d’utilité C. Valeur intrinsèque D. Coûts

A

Réponse : C. Valeur intrinsèque. Explication : La valeur intrinsèque représente l’intérêt et le plaisir que l’individu éprouve lors de la réalisation d’une activité.

97
Q

Qu’est-ce qui influence directement la performance, la persévérance et les choix de l’individu selon le modèle attente-valeur ? A. Les attentes de succès et les valeurs B. Les agents sociaux C. Les perceptions de compétence D. Les coûts

A

Réponse : A. Les attentes de succès et les valeurs. Explication : Les attentes de succès et les valeurs influencent directement la performance, la persévérance et les choix de l’individu selon le modèle attente-valeur.

98
Q

Quelle composante du modèle attente-valeur répond à la question « suis-je capable de réaliser cette tâche ? » ? A. Valeur intrinsèque B. Attentes de succès C. Coûts D. Valeur d’utilité

A

Réponse : B. Attentes de succès. Explication : Les attentes de succès sont les croyances qu’entretiennent les gens envers leurs capacités à réaliser certaines tâches ou activités. Elles répondent à la question « suis-je capable de réaliser cette tâche ? ».

99
Q

Quel facteur culturel et social n’influence pas la perception de compétence de l’individu ? A. Agents sociaux B. Expériences liées à l’accomplissement C. Aptitudes différentielles des individus D. Perceptions de soi

A

Réponse : D. Perceptions de soi. Explication : Les perceptions de soi ne sont pas citées comme un facteur culturel et social influençant la perception de compétence de l’individu selon vos notes.

100
Q

Quelle composante du modèle attente-valeur est définie comme la qualité que l’individu confère à la tâche et son impact sur le désir de la réaliser ? A. Valeurs subjectives B. Attentes de succès C. Perceptions de compétence D. Croyances à l’égard de la tâche à accomplir

A

Réponse : A. Valeurs subjectives. Explication : Les valeurs subjectives tiennent compte de la qualité que l’individu confère à la tâche et de la façon dont cette qualité influe sur son désir de la réaliser.

101
Q

Les croyances à l’égard de la tâche à accomplir influencent directement les attentes et les valeurs. Vrai ou Faux?

A

Vrai. Explication : Les croyances à l’égard de la tâche à accomplir influencent les attentes et les valeurs par l’interprétation des accomplissements antérieurs et les mémoires affectives.

102
Q

Les perceptions de compétence ne sont pas influencées par les expériences liées à l’accomplissement. Vrai ou Faux?

A

Faux. Explication : Les perceptions de compétence sont influencées par les expériences liées à l’accomplissement, les agents sociaux, les aptitudes différentielles des individus et le milieu culturel.

103
Q

Les valeurs subjectives sont les croyances qu’entretiennent les gens envers leurs capacités à réaliser certaines tâches ou activités. Vrai ou Faux?

A

Faux. Explication : Les valeurs subjectives tiennent compte de la qualité que l’individu confère à la tâche et de la façon dont cette qualité influe sur son désir de la réaliser.

104
Q

Les attentes de succès répondent à la question « suis-je capable de réaliser cette tâche ? ». Vrai ou Faux?

A

Vrai. Explication : Les attentes de succès sont les croyances qu’entretiennent les gens envers leurs capacités à réaliser certaines tâches ou activités. Elles répondent à la question « suis-je capable de réaliser cette tâche ? ».

105
Q

La valeur d’utilité est liée à la motivation intrinsèque selon le modèle attente-valeur. Vrai ou Faux?

A

Faux. Explication : La valeur d’utilité est un type de valeur subjective qui s’inscrit dans les plans futurs d’un individu, et est plus proche de la motivation extrinsèque identifiée.

106
Q

Quelle est la similitude principale entre le modèle d’Eccles et le concept de schémas personnels ?

A

Les deux abordent les croyances et perceptions que les individus ont d’eux-mêmes, notamment en termes d’identité, de personnalité et de compétences. Explication : Le modèle d’Eccles inclut les schémas personnels en tant que croyances à propos de soi-même, qui influencent les attentes et les valeurs des individus.

107
Q

Quelle est une différence clé entre le modèle d’attente-valeur d’Eccles et les théories de la motivation vues précédemment ?

A

Le modèle d’Eccles met un accent particulier sur l’influence des facteurs sociaux et culturels, tandis que les autres théories de la motivation peuvent se concentrer davantage sur des facteurs individuels. Explication : Le modèle d’attente-valeur d’Eccles prend en compte l’impact des agents sociaux, des expériences d’accomplissement et du milieu culturel, ce qui n’est pas toujours le cas dans d’autres théories de la motivation.

108
Q

Comment les attentes de succès dans le modèle d’Eccles se comparent-elles avec le concept d’efficacité personnelle ?

A

Les deux concepts se réfèrent aux croyances des individus concernant leur capacité à accomplir des tâches, mais les attentes de succès sont spécifiquement intégrées au modèle attente-valeur d’Eccles pour expliquer la motivation à l’accomplissement. Explication : L’efficacité personnelle

109
Q

Quelle est la définition de l’attribution selon Vallerand (2006) ?

A

C’est une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique.

110
Q

Les attributions peuvent se rapporter à quelles expériences et comportements ?

A

Elles peuvent se rapporter aux propres expériences et comportements d’un individu, ainsi qu’à ceux d’autrui.

111
Q

Quelles sont les trois dimensions causales des attributions selon Weiner ?

A

Le lieu/locus de causalité, la stabilité, et le contrôle.

112
Q

Qu’est-ce que le lieu/locus de causalité ?

A

C’est l’origine de la cause ; est-elle perçue comme interne ou externe à l’individu ?

113
Q

Que signifie la stabilité dans les dimensions causales des attributions ?

A

La cause peut varier ou non à travers le temps.

114
Q

Qu’est-ce que le contrôle dans les dimensions causales des attributions ?

A

À quel degré la cause peut être affectée par la volonté de l’individu.

115
Q

Quelles sont les propriétés centrales des attributions selon Weiner ?

A

Locus de causalité, stabilité et contrôle.

116
Q

Comment les théories des attributions sont-elles considérées ?

A

Elles sont considérées comme des théories de motivation cognitive.

117
Q

Selon la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner (1992), quelle est la métaphore utilisée pour décrire les gens ?

A

Les gens sont des « scientifiques naïfs » qui cherchent à comprendre et à maîtriser leur environnement.

118
Q

Quels sont les cinq étapes de la séquence motivationnelle dans la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner (2005) ?

A
  1. Un résultat (réussite, échec, …) 2. Première réaction affective (émotion primaire) 3. Attribution causale 4. Dimensions causales et conséquences psychologiques 5. Conséquences comportementales
119
Q

Quelle est la fonction principale des émotions primaires dans la séquence motivationnelle de Weiner ?

A

Informer l’individu de la pertinence d’entreprendre un travail cognitif plus poussé.

120
Q

Quelle est la métaphore utilisée dans la théorie interpersonnelle de la motivation de Weiner (2005) pour décrire les gens ?

A

Les gens sont considérés comme des juges qui évaluent ce qui arrive aux autres.

121
Q

Les attributions émises par un individu peuvent se rapporter à ses propres \\\ et comportements, de même qu’à ceux d’autrui.

A

Expériences. Explication : Les attributions peuvent se rapporter aux propres expériences d’un individu, ainsi qu’à celles d’autrui.

122
Q

Les trois dimensions causales des attributions selon Weiner sont le lieu/locus de causalité, la stabilité, et le \\\.

A

Contrôle. Explication : Le contrôle est une des dimensions causales selon Weiner, à quel degré la cause peut être affectée par la volonté de l’individu.

123
Q

Le \\\ de causalité réfère à l’origine de la cause ; est-elle perçue comme interne ou externe à l’individu ?

A

Locus. Explication : Le locus de causalité est l’origine de la cause, perçue comme interne ou externe.

124
Q

Attribuer ses gains au casino au \\\ est un exemple de dimension incontrôlable.

A

Hasard. Explication : Attribuer ses gains au casino au hasard est un exemple de dimension incontrôlable.

125
Q

Quel concept est décrit comme une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique ? A. Attribution B. Motivation C. Contrôle D. Locus

A

Réponse : A. Attribution. Explication : L’attribution est une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique.

126
Q

Selon Weiner, quelle dimension causale se réfère à la variation de la cause à travers le temps ? A. Contrôle B. Locus de causalité C. Stabilité D. Attribution

A

Réponse : C. Stabilité. Explication : La stabilité se réfère à la variation ou non de la cause à travers le temps.

127
Q

Quelle théorie postule que les individus sont des décideurs conscients et rationnels ? A. Théorie de l’apprentissage B. Théorie des attributions C. Théorie de la personnalité D. Théorie comportementale

A

Réponse : B. Théorie des attributions. Explication : Les théories des attributions sont considérées comme des théories de motivation cognitive, postulent que les individus sont des décideurs conscients et rationnels.

128
Q

Dans la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner, quelle est la métaphore utilisée pour décrire les gens ? A. Scientifiques naïfs B. Juges C. Explorateurs D. Observateurs

A

Réponse : A. Scientifiques naïfs. Explication : Les gens sont des « scientifiques naïfs » qui cherchent à comprendre et à maîtriser leur environnement.

129
Q

Quelle est la définition de l’attribution selon Vallerand (2006) ?

A

C’est une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique.

130
Q

Les attributions peuvent se rapporter à quelles expériences et comportements ?

A

Elles peuvent se rapporter aux propres expériences et comportements d’un individu, de même qu’à ceux d’autrui.

131
Q

Quelles sont les trois dimensions causales des attributions selon Weiner ?

A

Le lieu/locus de causalité, la stabilité, et le contrôle.

132
Q

Qu’est-ce que le lieu/locus de causalité ?

A

C’est l’origine de la cause ; est-elle perçue comme interne ou externe à l’individu ?

133
Q

Que signifie la stabilité dans les dimensions causales des attributions ?

A

La cause peut varier ou non à travers le temps.

134
Q

Qu’est-ce que le contrôle dans les dimensions causales des attributions ?

A

À quel degré la cause peut être affectée par la volonté de l’individu.

135
Q

Quelles sont les propriétés centrales des attributions selon Weiner ?

A

Locus de causalité, stabilité et contrôle.

136
Q

Comment les théories des attributions sont-elles considérées ?

A

Elles sont considérées comme des théories de motivation cognitive.

137
Q

Selon la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner (1992), quelle est la métaphore utilisée pour décrire les gens ?

A

Les gens sont des « scientifiques naïfs » qui cherchent à comprendre et à maîtriser leur environnement.

138
Q

Quels sont les cinq étapes de la séquence motivationnelle dans la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner (2005) ?

A
  1. Un résultat (réussite, échec, …) 2. Première réaction affective (émotion primaire) 3. Attribution causale 4. Dimensions causales et conséquences psychologiques 5. Conséquences comportementales
139
Q

Quelle est la fonction principale des émotions primaires dans la séquence motivationnelle de Weiner ?

A

Informer l’individu de la pertinence d’entreprendre un travail cognitif plus poussé.

140
Q

Quelle est la métaphore utilisée dans la théorie interpersonnelle de la motivation de Weiner (2005) pour décrire les gens ?

A

Les gens sont considérés comme des juges qui évaluent ce qui arrive aux autres.

141
Q

Les attributions émises par un individu peuvent se rapporter à ses propres \\\ et comportements, de même qu’à ceux d’autrui.

A

Expériences. Explication : Les attributions peuvent se rapporter aux propres expériences d’un individu, ainsi qu’à celles d’autrui.

142
Q

Les trois dimensions causales des attributions selon Weiner sont le lieu/locus de causalité, la stabilité, et le \\\.

A

Contrôle. Explication : Le contrôle est une des dimensions causales selon Weiner, à quel degré la cause peut être affectée par la volonté de l’individu.

143
Q

Le \\\ de causalité réfère à l’origine de la cause ; est-elle perçue comme interne ou externe à l’individu ?

A

Locus. Explication : Le locus de causalité est l’origine de la cause, perçue comme interne ou externe.

144
Q

Attribuer ses gains au casino au \\\ est un exemple de dimension incontrôlable.

A

Hasard. Explication : Attribuer ses gains au casino au hasard est un exemple de dimension incontrôlable.

145
Q

Quel concept est décrit comme une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique ? A. Attribution B. Motivation C. Contrôle D. Locus

A

Réponse : A. Attribution. Explication : L’attribution est une inférence servant à expliquer un évènement ou un état psychologique.

146
Q

Selon Weiner, quelle dimension causale se réfère à la variation de la cause à travers le temps ? A. Contrôle B. Locus de causalité C. Stabilité D. Attribution

A

Réponse : C. Stabilité. Explication : La stabilité se réfère à la variation ou non de la cause à travers le temps.

147
Q

Quelle théorie postule que les individus sont des décideurs conscients et rationnels ? A. Théorie de l’apprentissage B. Théorie des attributions C. Théorie de la personnalité D. Théorie comportementale

A

Réponse : B. Théorie des attributions. Explication : Les théories des attributions sont considérées comme des théories de motivation cognitive, postulent que les individus sont des décideurs conscients et rationnels.

148
Q

Dans la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner, quelle est la métaphore utilisée pour décrire les gens ? A. Scientifiques naïfs B. Juges C. Explorateurs D. Observateurs

A

Réponse : A. Scientifiques naïfs. Explication : Les gens sont des « scientifiques naïfs » qui cherchent à comprendre et à maîtriser leur environnement.

149
Q

Les attributions émises par un individu peuvent se rapporter uniquement à ses propres expériences. Vrai ou Faux?

A

Faux. Explication : Les attributions peuvent se rapporter aux propres expériences d’un individu, ainsi qu’à celles d’autrui.

150
Q

Les trois dimensions causales des attributions selon Weiner sont le locus de causalité, la stabilité et le contrôle. Vrai ou Faux?

A

Vrai. Explication : Le locus de causalité, la stabilité et le contrôle sont les trois dimensions causales des attributions selon Weiner.

151
Q

Les théories des attributions sont considérées comme des théories de motivation cognitive. Vrai ou Faux?

A

Vrai. Explication : Les théories des attributions sont des théories de motivation cognitive, postulant que les individus sont des décideurs conscients et rationnels.

152
Q

Selon la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner, les gens sont décrits comme des juges. Vrai ou Faux?

A

Faux. Explication : Dans la théorie intrapersonnelle de la motivation, les gens sont décrits comme des « scientifiques naïfs ».

153
Q

Quelle est une similitude entre les théories intrapersonnelle et interpersonnelle de la motivation de Weiner ?

A

Les deux théories utilisent des métaphores pour décrire les individus : les scientifiques naïfs pour l’intrapersonnelle et les juges pour l’interpersonnelle. Explication : Les deux théories de Weiner utilisent des métaphores pour représenter comment les gens interprètent et évaluent les évènements.

154
Q

Comment les théories intrapersonnelle et interpersonnelle de la motivation de Weiner diffèrent-elles ?

A

La théorie intrapersonnelle se concentre sur l’individu cherchant à comprendre son environnement, tandis que la théorie interpersonnelle se concentre sur les observateurs jugeant les évènements vécus par les autres. Explication : La théorie intrapersonnelle de Weiner décrit les gens comme des scientifiques naïfs, cherchant à comprendre leur environnement, alors que la théorie interpersonnelle les décrit comme des juges évaluant ce qui arrive aux autres.

155
Q

Qu’est-ce qui permet de faire des inférences causales ?

A

Le principe de covariation.

156
Q

Comment appelle-t-on les causes possibles associées à un effet dans le modèle de Weiner ?

A

Les attributions.

157
Q

Quelles sont les deux sources d’information utilisées pour émettre des attributions ?

A

Les indices environnementaux et les facteurs personnels.

158
Q

Définition des informations spécifiques

A

Informations à la portée de l’individu lorsqu’il émet des attributions.

159
Q

Exemple d’informations spécifiques

A

Un étudiant ayant échoué un examen, bien qu’il ait beaucoup étudié et été attentif.

160
Q

Qu’est-ce que les rétroactions ?

A

Indices/informations fournis par les gens qui entourent l’individu.

161
Q

Exemple de rétroactions

A

Un professeur déçu par un étudiant ayant échoué un examen.

162
Q

Quelles sont les trois dimensions causales des attributions selon Weiner (1985) ?

A

Locus de causalité, stabilité, contrôle.

163
Q

Quels sont les types de biais attributionnels ?

A

L’erreur attributionnelle fondamentale, l’effet acteur-observateur, le biais hédonique, le biais égocentrique, l’effet du faux consensus, attributions de responsabilité injustifiées.

164
Q

Qu’est-ce que l’erreur attributionnelle fondamentale ?

A

Attribuer le comportement d’autrui à ses caractéristiques personnelles plutôt qu’aux facteurs situationnels.

165
Q

Le modèle de Weiner associe l’effet à l’une des ___ possibles avec laquelle il covarie. (Options : causes, réponses, inférences)

A

causes. Le modèle de Weiner associe l’effet à l’une des causes possibles avec laquelle il covarie.

166
Q

Les ___ permettent à l’acteur ou à l’observateur d’attribuer un résultat à la personne ou à l’environnement. (Options : rétroactions, normes sociales, indices environnementaux)

A

normes sociales. Les normes sociales permettent à l’acteur ou à l’observateur d’attribuer un résultat à la personne ou à l’environnement.

167
Q

Les ___ sont les informations qui sont à la portée de l’individu lorsqu’il émet des attributions. (Options : rétroactions, informations spécifiques, normes sociales)

A

informations spécifiques. Les informations spécifiques sont à la portée de l’individu lorsqu’il émet des attributions.

168
Q

Le biais ___ consiste à attribuer le comportement d’autrui à ses caractéristiques personnelles plutôt qu’aux facteurs situationnels. (Options : hédonique, attributionnel fondamental, égocentrique)

A

attributionnel fondamental. L’erreur attributionnelle fondamentale consiste à attribuer le comportement d’autrui à ses caractéristiques personnelles plutôt qu’aux facteurs situationnels.

169
Q

Les attentes de succès sont surtout associées à la dimension de ___ selon Weiner (1985). (Options : stabilité, locus de causalité, contrôle)

A

stabilité. Les attentes de succès sont surtout associées à la dimension de stabilité selon Weiner (1985).

170
Q

Quelle source d’information est à la portée de l’individu lorsqu’il émet des attributions ? A. Les informations spécifiques B. Les rétroactions C. Les normes sociales D. Les expériences antérieures

A

A. Les informations spécifiques. Explication : Les informations spécifiques sont les informations qui sont à la portée de l’individu lorsqu’il émet des attributions.

171
Q

Quel biais attributionnel consiste à s’attribuer plus de responsabilité pour ses succès que pour ses échecs ? A. L’erreur attributionnelle fondamentale B. Le biais hédonique C. Le biais égocentrique D. L’effet du faux consensus

A

B. Le biais hédonique. Explication : Le biais hédonique consiste à s’attribuer davantage de responsabilité pour ses succès que pour ses échecs, afin de protéger son estime de soi.

172
Q

Quelle dimension causale est associée aux attentes de succès selon Weiner (1985) ? A. Le locus de causalité B. Le contrôle C. La stabilité D. Les émotions

A

C. La stabilité. Explication : Les attentes de succès sont surtout associées à la dimension de stabilité selon Weiner (1985).

173
Q

Quelle dimension causale est la plus associée aux émotions, surtout celles liées à l’estime de soi ? A. Le locus de causalité B. La stabilité C. Le contrôle D. Les informations spécifiques

A

A. Le locus de causalité. Explication : La dimension de locus de causalité est la plus associée aux émotions, surtout à celles qui sont liées à l’estime de soi.

174
Q

Quelle stratégie peut être utilisée pour remplacer des attributions inadaptées par des attributions plus fonctionnelles ? A. Le biais hédonique B. L’effet du faux consensus C. L’erreur attributionnelle fondamentale D. La réattribution

A

D. La réattribution. Explication : La réattribution est une intervention visant à remplacer les attributions inadaptées par des attributions plus fonctionnelles afin d’améliorer l’ajustement et la performance.

175
Q

Qu’est-ce que l’effet acteur-observateur ?

A

L’effet acteur-observateur est la tendance de l’individu à émettre des attributions différentes en fonction de la position dans laquelle il se trouve (acteur ou observateur). Explication : Lorsqu’il est observateur, il tend à attribuer les comportements d’autrui à des dispositions personnelles stables (erreur attributionnelle fondamentale). Lorsqu’il est acteur de ces mêmes comportements, il aurait plutôt tendance à les justifier par des facteurs contextuels.

176
Q

Qu’est-ce que l’attribution de responsabilité injustifiée ?

A

L’attribution de responsabilité injustifiée se produit lorsque l’on cherche à responsabiliser ou à blâmer quelqu’un pour une action donnée sans justification contextuelle. Explication : L’action a une source identifiable et est perçue comme évitable. L’observateur croit que l’acteur aurait pu prévenir l’évènement et qu’il a agi en libre arbitre.

177
Q

Quel est l’impact des attentes de succès sur la motivation selon la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner ?

A

Les attentes de succès influencent directement la motivation. Explication : Selon la théorie intrapersonnelle de la motivation de Weiner, les attentes de succès futures sont affectées par les expériences antérieures et les attributions causales émises en réaction aux réussites ou échecs antérieurs. Des attentes de succès élevées augmentent la motivation à répéter des comportements positifs.

178
Q

Comment la dimension de contrôle des attributions affecte-t-elle les émotions ?

A

La dimension de contrôle est associée aux sentiments de honte et de culpabilité. Explication : Attribuer des évènements négatifs à des causes contrôlables (ex : effort insuffisant) mène à un sentiment de culpabilité, alors que les causes incontrôlables (ex : manque d’habiletés) engendrent plutôt un sentiment de honte.

179
Q

Qu’est-ce que la réattribution ?

A

La réattribution est une intervention visant à restructurer les inférences causales qu’un individu effectue à la suite d’un évènement ou de résultats négatifs. Explication : Le principal objectif est de remplacer les attributions inadaptées par des attributions plus fonctionnelles pour améliorer l’ajustement et la performance. Cela inclut encourager les participants à émettre des attributions contrôlables et instables à la suite d’évènements négatifs.