6) Langage - Court dev, QCM (90% confirmées; 100% annotées) Flashcards
Qu’est-ce qui fait dire que le langage est une fonction sensori-motrice (2) ?
- Elle a des aspects de perception et interprétation;
- Elle a des aspects de programmation et de coordination motrice
« Comme beaucoup de fonctions cognitives, le langage est une fonction sensori-motrice, elle a des aspects de perception et interprétation, et en plus des aspects de programmation et de coordination motrice. » (p. 74)
Qu’est-ce que le langage humain utilise pour communiquer?
Des symboles
(p. 74)
On reconnaît généralement trois composantes principales au langage. Quelles sont-elles ?
« On reconnaît généralement trois composantes principales au langage:
1) la forme, soit les sons et la syntaxe permettant d’utiliser ces sons,
2) le contenu, soit la signification des mots et les idées véhiculées,
3) l’usage, l’ensemble des circonstances sociales et des contextes de la communication linguistique. » (p. 74)
Qu’est-ce qui est unique dans le système cérébral du langage?
A. Il permet la détection de différences très fines dans le signal visuel
B. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif
C. Il permet la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire
D. Toutes les réponses ci-dessus
D
« Le système cérébral du langage est unique dans le monde animal. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif, la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire, la symbolisation qui permet des communications d’une grande richesse, et un appareil cognitif pour la manipulation virtuelle des objets, des concepts et de leurs interrelations. »
(p. 74)
Outre le langage, qu’est-ce qui est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine?
« Avec la cognition spatiale, le langage est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine. De plus, une partie importante de la cognition consciente comporte l’utilisation internalisée du langage. »
(p. 74)
Où le cerveau humain a-t-il développé un système spécialisé pour le langage?
Dans les régions entourant la fissure sylvienne
Quelle région cérébrale est surtout impliquée dans la réception ou la compréhension du langage?
Les régions postérieures du système cérébral du langage
« Le cerveau humain a développé un système spécialisé pour le langage dans les régions entourant la fissure sylvienne, près du cortex auditif et du cortex moteur contrôlant le larynx et la bouche. Comme pour les autres fonctions, les régions postérieures de ce système semblent surtout impliquées dans la réception ou la compréhension tandis que les régions antérieures sont surtout impliquées dans la motricité ou production du langage. Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »
(p. 74)
Quelle région cérébrale est surtout impliqué dans la motricité ou production du langage?
Les régions antérieures du système cérébral du langage
« Le cerveau humain a développé un système spécialisé pour le langage dans les régions entourant la fissure sylvienne, près du cortex auditif et du cortex moteur contrôlant le larynx et la bouche. Comme pour les autres fonctions, les régions postérieures de ce système semblent surtout impliquées dans la réception ou la compréhension tandis que les régions antérieures sont surtout impliquées dans la motricité ou production du langage. Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »
(p. 74)
Qu’est-ce qui permet des communications d’une grande richesse dans le langage humain?
La symbolisation
« Le système cérébral du langage est unique dans le monde animal. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif, la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire, la symbolisation qui permet des communications d’une grande richesse, et un appareil cognitif pour la manipulation virtuelle des objets, des concepts et de leurs interrelations. Avec la cognition spatiale, le langage est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine. De plus, une partie importante de la cognition consciente comporte l’utilisation internalisée du langage. »
(p. 74)
Qu’est-ce qui est latéralisé dans l’hémisphère gauche pour la grande majorité de la population?
Les fonctions langagières de base
« Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »
(p. 74)
Les productions vocales des primates non humains ont-elles la complexité du langage humain?
B
Que permet le comportement vocal des singes?
A. De nombreuses combinaisons de symboles
B. Des associations de signes à des objets, personnes ou actions
C. L’utilisation créative du langage
D. Indiquer le type de prédateur qui les menace
D
« Les productions vocales des primates non humains n’ont pas la complexité du langage humain. Cependant, plusieurs primates communiquent en émettant des vocalisations distinctes dans des contextes spécifiques (ex: jeu, compétition, peur, agression), comme pour indiquer le type de prédateur qui les menace et la réaction appropriée (grimper pour fuir un félin, s’abriter au sol pour fuir un oiseau de proie). Le comportement vocal de ces singes est signifiant et interpersonnel mais il n’est pas symbolique car il ne permet pas de nombreuses combinaisons de symboles. Par ailleurs, Gardner et Gardner ont appris le langage des signes à un chimpanzé mais n’ont pas observé d’utilisation créative de ce langage, uniquement des associations de signes à des objets, personnes ou actions, un peu comme les enfants de 2 ans. » (p. 75)
Qu’ont observé Gardner et Gardner chez un chimpanzé à qui ils ont appris le langage des signes?
A. L’utilisation créative du langage
B. Des associations de signes à des objets, personnes ou actions
C. De nombreuses combinaisons de symboles
D. Un comportement vocal signifiant et interpersonnel
B
« Les productions vocales des primates non humains n’ont pas la complexité du langage humain. Cependant, plusieurs primates communiquent en émettant des vocalisations distinctes dans des contextes spécifiques (ex: jeu, compétition, peur, agression), comme pour indiquer le type de prédateur qui les menace et la réaction appropriée (grimper pour fuir un félin, s’abriter au sol pour fuir un oiseau de proie). Le comportement vocal de ces singes est signifiant et interpersonnel mais il n’est pas symbolique car il ne permet pas de nombreuses combinaisons de symboles. Par ailleurs, Gardner et Gardner ont appris le langage des signes à un chimpanzé mais n’ont pas observé d’utilisation créative de ce langage, uniquement des associations de signes à des objets, personnes ou actions, un peu comme les enfants de 2 ans. » (p. 75)
- Quelle espèce a un langage plus sophistiqué qui comporte une grammaire élémentaire?
A. Les chimpanzés
B. Les gorilles
C. Les singes muriquis
D. Les bonobos
C
- Comment sont souvent les vocalisations des singes muriquis?
A. Émotionnelles
B. Prévisibles
C. Non-émotionnelles
D. Sensibles au contexte créé par les éléments suivants
C
« Certaines espèces comme les singes muriquis ont un langage plus sophistiqué qui comporte une grammaire élémentaire. Dans leurs vocalisations, des éléments vocaux se regroupent en énoncés séquentiels. Leurs vocalisations sont souvent non-émotionnelles, imprévisibles, récursives (des éléments enchassés les uns dans les autres) et sensibles au contexte créé par les éléments précédents. »
(p. 75)
Quand le langage humain serait-il apparu?
Entre 350,000 et 150,000 ans avant notre ère
Qu’est-ce qui a contribué à l’apparition du langage humain au cours de l’évolution des hominidés?
A. Des modifications environnementales
B. Des modifications génétiques
C. Des modifications culturelles
D. Des modifications comportementales
B
« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)
- Quel gène est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes?
A. Le gène BRCA1
B. Le gène FOXP2
C. Le gène SRY
D. Le gène TP53
B
« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)
Que causent les mutations du gène FOXP2?
Des problèmes d’apprentissage de la parole
« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)
- Sur quel chromosome se trouve le gène FOXP2?
A. Chromosome 21
B. Chromosome 7
C. Chromosome X
D. Chromosome Y
B
« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)
Combien de théories principales existent sur l’évolution du langage?
2
Selon la théorie vocale, avec quoi l’apparition du langage coïnciderait-elle?
A. Avec une modification du cerveau et du pharynx
B. Avec une modification du cerveau et du larynx
C. Avec une modification du cerveau et de la trachée
D. Avec une modification du cerveau et des cordes vocales
A.
« Il existe deux théories principales sur l’évolution du langage. Selon la théorie vocale, l’apparition du langage coïnciderait avec une modification du cerveau et du pharynx permettant un contrôle volontaire des productions vocales qui étaient jusqu’alors essentiellement émotionnelles. L’évolution des hominidés à produit une augmentation de la densité des connexions neuronales qui a entre autres induit un raffinement du contrôle volontaire des muscles de l’articulation par le cortex moteur. Cette évolution a probablement été accompagnée d’autres changements cérébraux en particulier dans les noyaux gris centraux impliqués dans la coordination entre l’audition et la vocalisation. L’usage croissant des vocalisations volontaires de même que le développement des aptitudes sociales aurait permis aux humains d’arriver à la complexité langagière que l’on connait aujourd’hui.
Selon la théorie gestuelle de l’évolution du langage, l’ancêtre de l’homme moderne aurait d’abord utilisé un langage gestuel. L’apparition de la position debout 2 libéré les membres antérieurs et aurait permis l’utilisation des gestes dans un but de communication. Le langage vocal serait apparu plus tard pour libérer les membres supérieurs pour d’autres tâches. Plusieurs données sont compatibles avec cette théorie dont la grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux de singes comme les chimpanzés ou les bonobos. » (p. 75)
- Qu’est-ce qui aurait permis aux humains d’arriver à la complexité langagière que l’on connaît aujourd’hui?
A. L’usage croissant des vocalisations volontaires
B. Le développement des aptitudes sociales
C. L’évolution des hominidés
D. Toutes les réponses ci-dessus
D
- Selon la théorie gestuelle de l’évolution du langage, qu’aurait d’abord utilisé l’ancêtre de l’homme moderne?
A. Un langage vocal
B. Un langage gestuel
C. Un langage écrit
D. Un langage symbolique
B
- Qu’est-ce qui serait apparu plus tard pour libérer les membres supérieurs pour d’autres tâches selon la théorie gestuelle?
A. Le langage écrit
B. Le langage gestuel
C. Le langage vocal
D. Le langage symbolique
C
- Quelle est une des données compatibles avec la théorie gestuelle de l’évolution du langage?
A. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux de singes comme les chimpanzés ou les bonobos
B. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des gorilles
C. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des orangs-outans
D. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des gibbons
A
- Nos capacités à comprendre et reproduire les vocalisations sont-elles innées?
A. Cela dépend de l’individu
B. Oui
C. Non
D. Cela dépend de la langue parlée
C
- L’acquisition du langage se fait-elle selon une succession d’étapes fixes pour toute l’espèce humaine?
A. Non, cela varie d’une culture à l’autre
B. Oui
C. Non, cela varie d’un individu à l’autre
D. Cela dépend de la langue parlée
B
- Qu’est-ce qui devient plus complexe vers 5 mois chez les bébés?
A. Leur compréhension des mots
B. Leur production de mots
C. Leur babillage
D. Leur capacité à distinguer de nombreux sons du langage
D
- Qu’est-ce qui apparaît entre 1 et 2 ans chez les enfants?
A. La compréhension de certains mots
B. La production de mots
C. La capacité à traiter des mots de deux syllabes
D. La capacité à comprendre une trentaine de mots
B
- Qu’est-ce qui est presque complète à partir de deux ans chez les enfants?
A. La production du langage oral
B. La compréhension du langage écrit
C. La compréhension du langage oral
D. La production du langage écrit
C
- Qu’est-ce qui se met en place à partir de deux ans chez les enfants?
A. Le système de phonation
B. Le système de syntaxe
C. Le système de production de sons du langage
D. Le système de compréhension du langage oral
B
- Qu’est-ce qui diminue après la puberté?
A. L’aptitude du cerveau à produire des sons du langage
B. L’aptitude du cerveau à comprendre une nouvelle langue
C. L’aptitude du cerveau à apprendre une nouvelle langue
D. L’aptitude du cerveau à comprendre le langage oral
C
- Qui est-ce qui peut montrer des dysfluences verbales à partir de deux ans?
A. Tous les enfants
B. Les enfants atteints d’autisme
C. Les enfants montrant des tics chroniques
D. Les enfants qui apprennent plusieurs langues en même temps
D
- Qu’est-ce qui a permis le chant et la parole en plus des actions souvent instinctives comme grogner, crier, rire et pleurer?
A. L’évolution du contrôle involontaire de la voix
B. L’évolution du contrôle volontaire de la voix
C. L’évolution du contrôle automatique de la voix
D. L’évolution du contrôle réflexe de la voix
B
- Qu’est-ce qui est obtenu par la vibration de deux replis dans le larynx produite par l’expiration d’air quand ils sont tendus?
A. L’articulation
B. L’intonation
C. La phonation
D. Le timbre
C
- Qu’est-ce qui est lié à la tension dans les cordes vocales?
A. L’intensité de la voix
B. La hauteur de la voix
C. Le timbre de la voix
D. L’intonation de la voix
B
- Qu’est-ce qui est une variation de la hauteur de la voix utilisée pour indiquer une emphase ou une émotion?
A. L’intensité
B. Le timbre
C. L’articulation
D. L’intonation
D
Comment est obtenue l’articulation?
A. Par la modulation des cavités de résonance de la voix
B. Par la tension dans les cordes vocales
C. Par la vibration de deux replis dans le larynx
D. Par le contrôle volontaire de l’appareil phonatoire
A
Qu’est-ce qui nous permet d’identifier une personne familière?
A. La hauteur de la voix
B. L’intensité de la voix
C. Le timbre de la voix
D. L’intonation de la voix
C
- Qu’est-ce qui est typiquement 85-180 Hz pour un homme et 165-255 Hz pour une femme?
A. L’intensité de la voix
B. La hauteur de la voix
C. Le timbre de la voix
D. La fréquence fondamentale de la voix
D
- Qu’est-ce qui est issu du profil de résonances (harmoniques) produit par les cavités de l’appareil phonatoire?
A. L’intensité de la voix
B. La hauteur de la voix
C. Le timbre de la voix
D. L’intonation de la voix
C
Qu’est-ce qui est constitué du diaphragme, des poumons, du larynx, des cordes vocales, du pharynx, de la bouche, de la cavité nasale, de la langue et des lèvres?
L’appareil phonatoire
Qu’est-ce que la dyspraxie de la parole?
Un trouble moteur qui affecte l’articulation de la parole
- Qu’est-ce qui peut être affecté par les erreurs d’articulation dans la dyspraxie de la parole?
A. Le ton de la voix
B. Le volume de la voix
C. Les voyelles, les consonnes, les transitions entre les syllabes ou le rythme de la parole
D. La capacité à comprendre le langage parlé
C
- Chez qui la dyspraxie de la parole peut-elle être observée?
A. Chez l’adulte en lien avec un trouble psychologique
B. Chez l’enfant en bas âge ou elle peut être acquise chez l’adulte en lien avec un trouble neurologique
C. Chez l’adolescent en lien avec un trouble de l’apprentissage
D. Chez toute personne sans lien avec un trouble particulier
B
- Qu’est-ce que le syndrome de l’accent étranger?
A. Une modification de l’articulation de la parole qui donne l’impression d’un accent acquis soudainement et involontairement
B. Une incapacité à comprendre les accents étrangers
C. Une tendance à imiter les accents étrangers
D. Une difficulté à parler sans accent
A
- Chez qui cette modification de la voix (syndrome de l’accent étranger) est-elle souvent observée?
A. Chez les personnes atteintes de dyslexie
B. Chez les personnes atteintes de troubles de l’attention
C. Dans l’autisme, mais on peut aussi l’observer chez l’adulte suite à un trouble neurologique
D. Chez les personnes atteintes de troubles de l’apprentissage
C
- Qui a apporté les premières preuves de la localisation du système cérébral du langage?
A. Carl Wernicke
B. Paul Broca
C. Sigmund Freud
D. Ivan Pavlov
B
- Qu’est-ce que l’aphasie motrice?
A. Une difficulté de compréhension
B. Un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
C. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
D. Une incapacité à prononcer plus d’une syllabe
C
- Qu’est-ce que l’aphasie sensorielle (réceptive ou de Wernicke)?
A. Une difficulté de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
B. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
C. Un langage abondant, mais clair et toujours compréhensible
D. Une incapacité à prononcer plus d’une syllabe
A
- Qu’est-ce que l’aphasie de conduction?
A. Une difficulté de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
B. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
C. Un langage abondant, mais clair et toujours compréhensible
D. Une aphasie qui survient suite à des lésions affectant les connexions reliant les deux centres du langage
D
- Quelles régions cérébrales font partie des zones cérébrales du langage?
A. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, deux régions du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
B. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, deux régions du cortex associatif pariétal, la zone supérieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
C. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, une région du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
D. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, trois régions du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
A
- Où se trouve l’aire de Broca?
A. Dans la partie supérieure et antérieure du cortex frontal
B. Dans la partie inférieure et postérieure du cortex frontal
C. Dans la partie postérieure du cortex temporal supérieur
D. Dans la partie antérieure du cortex temporal inférieur
B
- Où se trouve l’aire de Wernicke?
A. Dans la partie supérieure et antérieure du cortex frontal
B. Dans la partie inférieure et postérieure du cortex frontal
C. Dans la partie postérieure du cortex temporal supérieur
D. Dans la partie antérieure du cortex temporal inférieur
C
- Qu’est-ce que le faisceau arqué?
A. Des fibres associatives reliant l’aire de Broca et les zones antérieures temporales et pariétales
B. Des fibres associatives reliant l’aire de Broca et les zones postérieures temporales et pariétales
C. Des fibres associatives reliant l’aire de Wernicke et les zones antérieures temporales et pariétales
D. Des fibres associatives reliant l’aire de Wernicke et les zones postérieures temporales et pariétales
B
- En somatopie, qu’est-ce que représente la zone inférieure du cortex sensorimoteur?
A. La représentation de la main et du bras
B. La représentation de la bouche et du larynx
C. La représentation du nez et des yeux
D. La représentation de l’oreille et du nez
B
- Qu’est-ce que les aphasies?
A. Des pertes de l’usage de la parole suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
B. Des pertes de l’usage du langage suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
C. Des pertes de l’usage de la lecture suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
D. Des pertes de l’usage de l’écriture suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
B
- Quel est le symptôme le plus fréquent des aphasies?
A. L’agrammatisme
B. Les troubles d’articulation
C. L’anomie ou manque du mot
D. La réduction de la fluence de la parole
C
- Qu’est-ce qui produit souvent une aphasie motrice ou aphasie de Broca?
A. Une lésion dans le lobe frontal droit
B. Une lésion dans le lobe frontal gauche
C. Une lésion dans le lobe occipital gauche
D. Une lésion dans le lobe occipital droit
B
- Qu’est-ce qui peut s’accentuer jusqu’au point où la personne produit uniquement des stéréotypies dans l’aphasie de Broca?
A. L’agrammatisme
B. Les troubles d’articulation
C. Le trouble de fluence
D. Les difficultés dans la répétition de phrases
C
- Qu’est-ce qui est à peu près normal dans l’aphasie de Broca?
A. La production de la parole
B. La répétition de phrases
C. La compréhension
D. L’articulation
C
- Qu’est-ce qui est une omission des mots grammaticaux comme les fins de verbes, les pronoms ou les prépositions dans l’aphasie de Broca?
A. L’agrammatisme
B. Les troubles d’articulation
C. Le trouble de fluence
D. Les difficultés dans la répétition de phrases
A
- Qu’est-ce qui produit souvent une aphasie sensorielle ou aphasie de Wernicke?
A. Une lésion dans la région antérieure du cortex temporal supérieur gauche
B. Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur gauche
C. Une lésion dans la région antérieure du cortex temporal supérieur droit
D. Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur droit
B
«Peu après, Carl Wernicke (1874) a décrit l’aphasie sensorielle, caractérisée par des difficultés de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible. Cette aphasie sensorielle survient suite à des lésions touchant la partie postérieure du lobe temporal gauche. »
(p. 78)
«L’aphasie de Wernicke
Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur gauche produit souvent une aphasie sensorielle ou aphasie de Wemicke »
(p. 79)
- Qu’est-ce que l’anomie dans le contexte des aphasies?
A. Une difficulté à comprendre le sens des mots
B. Une difficulté à répéter les mots
C. Une difficulté à trouver les noms des objets
D. Une difficulté à articuler les mots
C