6) Langage - Court dev, QCM (90% confirmées; 100% annotées) Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qui fait dire que le langage est une fonction sensori-motrice (2) ?

A
  1. Elle a des aspects de perception et interprétation;
  2. Elle a des aspects de programmation et de coordination motrice

« Comme beaucoup de fonctions cognitives, le langage est une fonction sensori-motrice, elle a des aspects de perception et interprétation, et en plus des aspects de programmation et de coordination motrice. » (p. 74)

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2
Q

Qu’est-ce que le langage humain utilise pour communiquer?

A

Des symboles

(p. 74)

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3
Q

On reconnaît généralement trois composantes principales au langage. Quelles sont-elles ?

A

« On reconnaît généralement trois composantes principales au langage:

1) la forme, soit les sons et la syntaxe permettant d’utiliser ces sons,

2) le contenu, soit la signification des mots et les idées véhiculées,

3) l’usage, l’ensemble des circonstances sociales et des contextes de la communication linguistique. » (p. 74)

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4
Q

Qu’est-ce qui est unique dans le système cérébral du langage?

A. Il permet la détection de différences très fines dans le signal visuel

B. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif

C. Il permet la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire

D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

« Le système cérébral du langage est unique dans le monde animal. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif, la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire, la symbolisation qui permet des communications d’une grande richesse, et un appareil cognitif pour la manipulation virtuelle des objets, des concepts et de leurs interrelations. »

(p. 74)

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5
Q

Outre le langage, qu’est-ce qui est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine?

A

« Avec la cognition spatiale, le langage est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine. De plus, une partie importante de la cognition consciente comporte l’utilisation internalisée du langage. »

(p. 74)

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6
Q

Où le cerveau humain a-t-il développé un système spécialisé pour le langage?

A

Dans les régions entourant la fissure sylvienne

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7
Q

Quelle région cérébrale est surtout impliquée dans la réception ou la compréhension du langage?

A

Les régions postérieures du système cérébral du langage

« Le cerveau humain a développé un système spécialisé pour le langage dans les régions entourant la fissure sylvienne, près du cortex auditif et du cortex moteur contrôlant le larynx et la bouche. Comme pour les autres fonctions, les régions postérieures de ce système semblent surtout impliquées dans la réception ou la compréhension tandis que les régions antérieures sont surtout impliquées dans la motricité ou production du langage. Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »

(p. 74)

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8
Q

Quelle région cérébrale est surtout impliqué dans la motricité ou production du langage?

A

Les régions antérieures du système cérébral du langage

« Le cerveau humain a développé un système spécialisé pour le langage dans les régions entourant la fissure sylvienne, près du cortex auditif et du cortex moteur contrôlant le larynx et la bouche. Comme pour les autres fonctions, les régions postérieures de ce système semblent surtout impliquées dans la réception ou la compréhension tandis que les régions antérieures sont surtout impliquées dans la motricité ou production du langage. Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »

(p. 74)

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9
Q

Qu’est-ce qui permet des communications d’une grande richesse dans le langage humain?

A

La symbolisation

« Le système cérébral du langage est unique dans le monde animal. Il permet la détection de différences très fines dans le signal auditif, la reproduction de milliards de sons par l’appareil phonatoire, la symbolisation qui permet des communications d’une grande richesse, et un appareil cognitif pour la manipulation virtuelle des objets, des concepts et de leurs interrelations. Avec la cognition spatiale, le langage est le principal responsable de la complexité cognitive et sociale de l’espèce humaine. De plus, une partie importante de la cognition consciente comporte l’utilisation internalisée du langage. »

(p. 74)

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10
Q

Qu’est-ce qui est latéralisé dans l’hémisphère gauche pour la grande majorité de la population?

A

Les fonctions langagières de base

« Les fonctions langagières de base sont, pour la grande majorité de la population, latéralisées dans l’hémisphère gauche. »

(p. 74)

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11
Q

Les productions vocales des primates non humains ont-elles la complexité du langage humain?

A

B

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12
Q

Que permet le comportement vocal des singes?

A. De nombreuses combinaisons de symboles

B. Des associations de signes à des objets, personnes ou actions

C. L’utilisation créative du langage

D. Indiquer le type de prédateur qui les menace

A

D

« Les productions vocales des primates non humains n’ont pas la complexité du langage humain. Cependant, plusieurs primates communiquent en émettant des vocalisations distinctes dans des contextes spécifiques (ex: jeu, compétition, peur, agression), comme pour indiquer le type de prédateur qui les menace et la réaction appropriée (grimper pour fuir un félin, s’abriter au sol pour fuir un oiseau de proie). Le comportement vocal de ces singes est signifiant et interpersonnel mais il n’est pas symbolique car il ne permet pas de nombreuses combinaisons de symboles. Par ailleurs, Gardner et Gardner ont appris le langage des signes à un chimpanzé mais n’ont pas observé d’utilisation créative de ce langage, uniquement des associations de signes à des objets, personnes ou actions, un peu comme les enfants de 2 ans. » (p. 75)

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13
Q

Qu’ont observé Gardner et Gardner chez un chimpanzé à qui ils ont appris le langage des signes?

A. L’utilisation créative du langage

B. Des associations de signes à des objets, personnes ou actions

C. De nombreuses combinaisons de symboles

D. Un comportement vocal signifiant et interpersonnel

A

B

« Les productions vocales des primates non humains n’ont pas la complexité du langage humain. Cependant, plusieurs primates communiquent en émettant des vocalisations distinctes dans des contextes spécifiques (ex: jeu, compétition, peur, agression), comme pour indiquer le type de prédateur qui les menace et la réaction appropriée (grimper pour fuir un félin, s’abriter au sol pour fuir un oiseau de proie). Le comportement vocal de ces singes est signifiant et interpersonnel mais il n’est pas symbolique car il ne permet pas de nombreuses combinaisons de symboles. Par ailleurs, Gardner et Gardner ont appris le langage des signes à un chimpanzé mais n’ont pas observé d’utilisation créative de ce langage, uniquement des associations de signes à des objets, personnes ou actions, un peu comme les enfants de 2 ans. » (p. 75)

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14
Q
  1. Quelle espèce a un langage plus sophistiqué qui comporte une grammaire élémentaire?
    A. Les chimpanzés
    B. Les gorilles
    C. Les singes muriquis
    D. Les bonobos
A

C

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15
Q
  1. Comment sont souvent les vocalisations des singes muriquis?
    A. Émotionnelles
    B. Prévisibles
    C. Non-émotionnelles
    D. Sensibles au contexte créé par les éléments suivants
A

C

« Certaines espèces comme les singes muriquis ont un langage plus sophistiqué qui comporte une grammaire élémentaire. Dans leurs vocalisations, des éléments vocaux se regroupent en énoncés séquentiels. Leurs vocalisations sont souvent non-émotionnelles, imprévisibles, récursives (des éléments enchassés les uns dans les autres) et sensibles au contexte créé par les éléments précédents. »

(p. 75)

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16
Q

Quand le langage humain serait-il apparu?

A

Entre 350,000 et 150,000 ans avant notre ère

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17
Q

Qu’est-ce qui a contribué à l’apparition du langage humain au cours de l’évolution des hominidés?

A. Des modifications environnementales

B. Des modifications génétiques

C. Des modifications culturelles

D. Des modifications comportementales

A

B

« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)

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18
Q
  1. Quel gène est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes?
    A. Le gène BRCA1
    B. Le gène FOXP2
    C. Le gène SRY
    D. Le gène TP53
A

B

« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)

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19
Q

Que causent les mutations du gène FOXP2?

A

Des problèmes d’apprentissage de la parole

« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)

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20
Q
  1. Sur quel chromosome se trouve le gène FOXP2?
    A. Chromosome 21
    B. Chromosome 7
    C. Chromosome X
    D. Chromosome Y
A

B

« Au cours de l’évolution des hominidés, des modifications génétiques ont contribué à l’apparition du langage humain. En outre, le gène FOXP2 sur le chromosome 7 est impliqué dans le développement des zones corticales associatives et des noyaux gris centraux impliqués dans l’apprentissage de séquences vocales complexes. Les mutations de ce gène causent des problèmes d’apprentissage de la parole. » (p. 75)

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21
Q

Combien de théories principales existent sur l’évolution du langage?

A

2

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22
Q

Selon la théorie vocale, avec quoi l’apparition du langage coïnciderait-elle?

A. Avec une modification du cerveau et du pharynx

B. Avec une modification du cerveau et du larynx

C. Avec une modification du cerveau et de la trachée

D. Avec une modification du cerveau et des cordes vocales

A

A.

« Il existe deux théories principales sur l’évolution du langage. Selon la théorie vocale, l’apparition du langage coïnciderait avec une modification du cerveau et du pharynx permettant un contrôle volontaire des productions vocales qui étaient jusqu’alors essentiellement émotionnelles. L’évolution des hominidés à produit une augmentation de la densité des connexions neuronales qui a entre autres induit un raffinement du contrôle volontaire des muscles de l’articulation par le cortex moteur. Cette évolution a probablement été accompagnée d’autres changements cérébraux en particulier dans les noyaux gris centraux impliqués dans la coordination entre l’audition et la vocalisation. L’usage croissant des vocalisations volontaires de même que le développement des aptitudes sociales aurait permis aux humains d’arriver à la complexité langagière que l’on connait aujourd’hui.

Selon la théorie gestuelle de l’évolution du langage, l’ancêtre de l’homme moderne aurait d’abord utilisé un langage gestuel. L’apparition de la position debout 2 libéré les membres antérieurs et aurait permis l’utilisation des gestes dans un but de communication. Le langage vocal serait apparu plus tard pour libérer les membres supérieurs pour d’autres tâches. Plusieurs données sont compatibles avec cette théorie dont la grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux de singes comme les chimpanzés ou les bonobos. » (p. 75)

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23
Q
  1. Qu’est-ce qui aurait permis aux humains d’arriver à la complexité langagière que l’on connaît aujourd’hui?
    A. L’usage croissant des vocalisations volontaires
    B. Le développement des aptitudes sociales
    C. L’évolution des hominidés
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

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24
Q
  1. Selon la théorie gestuelle de l’évolution du langage, qu’aurait d’abord utilisé l’ancêtre de l’homme moderne?
    A. Un langage vocal
    B. Un langage gestuel
    C. Un langage écrit
    D. Un langage symbolique
A

B

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25
Q
  1. Qu’est-ce qui serait apparu plus tard pour libérer les membres supérieurs pour d’autres tâches selon la théorie gestuelle?
    A. Le langage écrit
    B. Le langage gestuel
    C. Le langage vocal
    D. Le langage symbolique
A

C

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26
Q
  1. Quelle est une des données compatibles avec la théorie gestuelle de l’évolution du langage?
    A. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux de singes comme les chimpanzés ou les bonobos
    B. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des gorilles
    C. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des orangs-outans
    D. La grande similarité entre les gestes de communication des bébés humains et ceux des gibbons
A

A

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27
Q
  1. Nos capacités à comprendre et reproduire les vocalisations sont-elles innées?
    A. Cela dépend de l’individu
    B. Oui
    C. Non
    D. Cela dépend de la langue parlée
A

C

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28
Q
  1. L’acquisition du langage se fait-elle selon une succession d’étapes fixes pour toute l’espèce humaine?
    A. Non, cela varie d’une culture à l’autre
    B. Oui
    C. Non, cela varie d’un individu à l’autre
    D. Cela dépend de la langue parlée
A

B

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29
Q
  1. Qu’est-ce qui devient plus complexe vers 5 mois chez les bébés?
    A. Leur compréhension des mots
    B. Leur production de mots
    C. Leur babillage
    D. Leur capacité à distinguer de nombreux sons du langage
A

D

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30
Q
  1. Qu’est-ce qui apparaît entre 1 et 2 ans chez les enfants?
    A. La compréhension de certains mots
    B. La production de mots
    C. La capacité à traiter des mots de deux syllabes
    D. La capacité à comprendre une trentaine de mots
A

B

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31
Q
  1. Qu’est-ce qui est presque complète à partir de deux ans chez les enfants?
    A. La production du langage oral
    B. La compréhension du langage écrit
    C. La compréhension du langage oral
    D. La production du langage écrit
A

C

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32
Q
  1. Qu’est-ce qui se met en place à partir de deux ans chez les enfants?
    A. Le système de phonation
    B. Le système de syntaxe
    C. Le système de production de sons du langage
    D. Le système de compréhension du langage oral
A

B

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33
Q
  1. Qu’est-ce qui diminue après la puberté?
    A. L’aptitude du cerveau à produire des sons du langage
    B. L’aptitude du cerveau à comprendre une nouvelle langue
    C. L’aptitude du cerveau à apprendre une nouvelle langue
    D. L’aptitude du cerveau à comprendre le langage oral
A

C

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34
Q
  1. Qui est-ce qui peut montrer des dysfluences verbales à partir de deux ans?
    A. Tous les enfants
    B. Les enfants atteints d’autisme
    C. Les enfants montrant des tics chroniques
    D. Les enfants qui apprennent plusieurs langues en même temps
A

D

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35
Q
  1. Qu’est-ce qui a permis le chant et la parole en plus des actions souvent instinctives comme grogner, crier, rire et pleurer?
    A. L’évolution du contrôle involontaire de la voix
    B. L’évolution du contrôle volontaire de la voix
    C. L’évolution du contrôle automatique de la voix
    D. L’évolution du contrôle réflexe de la voix
A

B

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36
Q
  1. Qu’est-ce qui est obtenu par la vibration de deux replis dans le larynx produite par l’expiration d’air quand ils sont tendus?
    A. L’articulation
    B. L’intonation
    C. La phonation
    D. Le timbre
A

C

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37
Q
  1. Qu’est-ce qui est lié à la tension dans les cordes vocales?
    A. L’intensité de la voix
    B. La hauteur de la voix
    C. Le timbre de la voix
    D. L’intonation de la voix
A

B

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38
Q
  1. Qu’est-ce qui est une variation de la hauteur de la voix utilisée pour indiquer une emphase ou une émotion?
    A. L’intensité
    B. Le timbre
    C. L’articulation
    D. L’intonation
A

D

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39
Q

Comment est obtenue l’articulation?

A. Par la modulation des cavités de résonance de la voix

B. Par la tension dans les cordes vocales

C. Par la vibration de deux replis dans le larynx

D. Par le contrôle volontaire de l’appareil phonatoire

A

A

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40
Q

Qu’est-ce qui nous permet d’identifier une personne familière?

A. La hauteur de la voix

B. L’intensité de la voix

C. Le timbre de la voix

D. L’intonation de la voix

A

C

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41
Q
  1. Qu’est-ce qui est typiquement 85-180 Hz pour un homme et 165-255 Hz pour une femme?
    A. L’intensité de la voix
    B. La hauteur de la voix
    C. Le timbre de la voix
    D. La fréquence fondamentale de la voix
A

D

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42
Q
  1. Qu’est-ce qui est issu du profil de résonances (harmoniques) produit par les cavités de l’appareil phonatoire?
    A. L’intensité de la voix
    B. La hauteur de la voix
    C. Le timbre de la voix
    D. L’intonation de la voix
A

C

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43
Q

Qu’est-ce qui est constitué du diaphragme, des poumons, du larynx, des cordes vocales, du pharynx, de la bouche, de la cavité nasale, de la langue et des lèvres?

A

L’appareil phonatoire

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44
Q

Qu’est-ce que la dyspraxie de la parole?

A

Un trouble moteur qui affecte l’articulation de la parole

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45
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être affecté par les erreurs d’articulation dans la dyspraxie de la parole?
    A. Le ton de la voix
    B. Le volume de la voix
    C. Les voyelles, les consonnes, les transitions entre les syllabes ou le rythme de la parole
    D. La capacité à comprendre le langage parlé
A

C

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46
Q
  1. Chez qui la dyspraxie de la parole peut-elle être observée?
    A. Chez l’adulte en lien avec un trouble psychologique
    B. Chez l’enfant en bas âge ou elle peut être acquise chez l’adulte en lien avec un trouble neurologique
    C. Chez l’adolescent en lien avec un trouble de l’apprentissage
    D. Chez toute personne sans lien avec un trouble particulier
A

B

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47
Q
  1. Qu’est-ce que le syndrome de l’accent étranger?
    A. Une modification de l’articulation de la parole qui donne l’impression d’un accent acquis soudainement et involontairement
    B. Une incapacité à comprendre les accents étrangers
    C. Une tendance à imiter les accents étrangers
    D. Une difficulté à parler sans accent
A

A

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48
Q
  1. Chez qui cette modification de la voix (syndrome de l’accent étranger) est-elle souvent observée?
    A. Chez les personnes atteintes de dyslexie
    B. Chez les personnes atteintes de troubles de l’attention
    C. Dans l’autisme, mais on peut aussi l’observer chez l’adulte suite à un trouble neurologique
    D. Chez les personnes atteintes de troubles de l’apprentissage
A

C

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49
Q
  1. Qui a apporté les premières preuves de la localisation du système cérébral du langage?
    A. Carl Wernicke
    B. Paul Broca
    C. Sigmund Freud
    D. Ivan Pavlov
A

B

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50
Q
  1. Qu’est-ce que l’aphasie motrice?
    A. Une difficulté de compréhension
    B. Un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
    C. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
    D. Une incapacité à prononcer plus d’une syllabe
A

C

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51
Q
  1. Qu’est-ce que l’aphasie sensorielle (réceptive ou de Wernicke)?
    A. Une difficulté de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
    B. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
    C. Un langage abondant, mais clair et toujours compréhensible
    D. Une incapacité à prononcer plus d’une syllabe
A

A

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52
Q
  1. Qu’est-ce que l’aphasie de conduction?
    A. Une difficulté de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible
    B. Une incapacité à prononcer qu’une seule syllabe
    C. Un langage abondant, mais clair et toujours compréhensible
    D. Une aphasie qui survient suite à des lésions affectant les connexions reliant les deux centres du langage
A

D

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53
Q
  1. Quelles régions cérébrales font partie des zones cérébrales du langage?
    A. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, deux régions du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
    B. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, deux régions du cortex associatif pariétal, la zone supérieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
    C. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, une région du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
    D. L’aire de Broca, l’aire de Wernicke, trois régions du cortex associatif pariétal, la zone inférieure du cortex sensorimoteur, le faisceau arqué
A

A

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54
Q
  1. Où se trouve l’aire de Broca?
    A. Dans la partie supérieure et antérieure du cortex frontal
    B. Dans la partie inférieure et postérieure du cortex frontal
    C. Dans la partie postérieure du cortex temporal supérieur
    D. Dans la partie antérieure du cortex temporal inférieur
A

B

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55
Q
  1. Où se trouve l’aire de Wernicke?
    A. Dans la partie supérieure et antérieure du cortex frontal
    B. Dans la partie inférieure et postérieure du cortex frontal
    C. Dans la partie postérieure du cortex temporal supérieur
    D. Dans la partie antérieure du cortex temporal inférieur
A

C

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56
Q
  1. Qu’est-ce que le faisceau arqué?
    A. Des fibres associatives reliant l’aire de Broca et les zones antérieures temporales et pariétales
    B. Des fibres associatives reliant l’aire de Broca et les zones postérieures temporales et pariétales
    C. Des fibres associatives reliant l’aire de Wernicke et les zones antérieures temporales et pariétales
    D. Des fibres associatives reliant l’aire de Wernicke et les zones postérieures temporales et pariétales
A

B

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57
Q
  1. En somatopie, qu’est-ce que représente la zone inférieure du cortex sensorimoteur?
    A. La représentation de la main et du bras
    B. La représentation de la bouche et du larynx
    C. La représentation du nez et des yeux
    D. La représentation de l’oreille et du nez
A

B

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58
Q
  1. Qu’est-ce que les aphasies?
    A. Des pertes de l’usage de la parole suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
    B. Des pertes de l’usage du langage suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
    C. Des pertes de l’usage de la lecture suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
    D. Des pertes de l’usage de l’écriture suite à une lésion ou un dysfonctionnement cérébral
A

B

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59
Q
  1. Quel est le symptôme le plus fréquent des aphasies?
    A. L’agrammatisme
    B. Les troubles d’articulation
    C. L’anomie ou manque du mot
    D. La réduction de la fluence de la parole
A

C

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60
Q
  1. Qu’est-ce qui produit souvent une aphasie motrice ou aphasie de Broca?
    A. Une lésion dans le lobe frontal droit
    B. Une lésion dans le lobe frontal gauche
    C. Une lésion dans le lobe occipital gauche
    D. Une lésion dans le lobe occipital droit
A

B

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61
Q
  1. Qu’est-ce qui peut s’accentuer jusqu’au point où la personne produit uniquement des stéréotypies dans l’aphasie de Broca?
    A. L’agrammatisme
    B. Les troubles d’articulation
    C. Le trouble de fluence
    D. Les difficultés dans la répétition de phrases
A

C

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62
Q
  1. Qu’est-ce qui est à peu près normal dans l’aphasie de Broca?
    A. La production de la parole
    B. La répétition de phrases
    C. La compréhension
    D. L’articulation
A

C

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63
Q
  1. Qu’est-ce qui est une omission des mots grammaticaux comme les fins de verbes, les pronoms ou les prépositions dans l’aphasie de Broca?
    A. L’agrammatisme
    B. Les troubles d’articulation
    C. Le trouble de fluence
    D. Les difficultés dans la répétition de phrases
A

A

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64
Q
  1. Qu’est-ce qui produit souvent une aphasie sensorielle ou aphasie de Wernicke?
    A. Une lésion dans la région antérieure du cortex temporal supérieur gauche
    B. Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur gauche
    C. Une lésion dans la région antérieure du cortex temporal supérieur droit
    D. Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur droit
A

B

«Peu après, Carl Wernicke (1874) a décrit l’aphasie sensorielle, caractérisée par des difficultés de compréhension ainsi qu’un langage abondant, mais confus et souvent incompréhensible. Cette aphasie sensorielle survient suite à des lésions touchant la partie postérieure du lobe temporal gauche. »

(p. 78)

«L’aphasie de Wernicke

Une lésion dans la région postérieure du cortex temporal supérieur gauche produit souvent une aphasie sensorielle ou aphasie de Wemicke »

(p. 79)

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65
Q
  1. Qu’est-ce que l’anomie dans le contexte des aphasies?
    A. Une difficulté à comprendre le sens des mots
    B. Une difficulté à répéter les mots
    C. Une difficulté à trouver les noms des objets
    D. Une difficulté à articuler les mots
A

C

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66
Q

Qu’est-ce que la jargonaphasie dans l’aphasie de Wernicke?

A

Des déformations de mots ou des néologismes qui rendent difficile la compréhension du discours

« L’aphasie de Wernicke

3) Une jargonaphasie, des déformations de mots ou des néologismes (mots inventés)
qui rendent difficile la compréhension du discours
. Le patient ne se rend généralement pas compte que ses néologismes n’ont pas de sens »

(p. 79)

67
Q
  1. Qu’est-ce qui est préservé dans l’aphasie de conduction?
    A. La répétition des phrases
    B. La compréhension
    C. Le débit de la parole
    D. La dénomination
A

B

68
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent associé à l’aphasie de conduction?
    A. Des lésions des connexions entre l’aire de Wernicke et l’aire de Broca
    B. Des lésions dans le lobe frontal
    C. Des lésions dans le lobe occipital
    D. Des lésions dans le lobe temporal
A

A

69
Q
  1. Qu’est-ce qui est normal dans l’aphasie de Wernicke?
    A. La répétition des phrases
    B. La compréhension
    C. L’articulation
    D. Le débit de la parole
A

C

70
Q
  1. Qu’est-ce qui est touché dans l’aphasie de conduction?
    A. La mémoire à court terme auditive pour le contenu verbal
    B. L’encodage phonologique
    C. La lecture à haute voix
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

71
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent observé chez les patients atteints d’aphasie de conduction?
    A. Des conduites d’approches
    B. Des tentatives répétées de produire une approximation du mot recherché
    C. Des difficultés de dénomination
    D. Toutes les réponses ci-dessus
A

D

72
Q
  1. Où sont situées les aires de Broca et de Wernicke?
    A. Près de la fissure sylvienne
    B. Dans le lobe frontal
    C. Dans le lobe occipital
    D. Dans le lobe pariétal
A

A

73
Q
  1. Qu’est-ce qui peut affecter le langage en produisant des aphasies transcorticales?
    A. Les lésions à l’intérieur des régions périsylviennes
    B. Les lésions à l’extérieur des régions périsylviennes
    C. Les lésions dans le lobe frontal
    D. Les lésions dans le lobe occipital
A

B

74
Q
  1. Qu’est-ce qui est réduit dans l’aphasie transcorticale motrice?
    A. La compréhension
    B. L’articulation
    C. Le langage spontané
    D. La répétition
A

C

75
Q

( et la compréhension?)

Qu’est-ce qui est préservé dans l’aphasie transcorticale motrice?
A. La compréhension
B. L’articulation
C. Le langage spontané
D. La répétition

A

D

76
Q
  1. Qu’est-ce qui est un trouble très important dans l’aphasie transcorticale sensorielle?

A. La répétition

B. L’articulation

C. La compréhension orale et écrite

D. Le langage spontané

A

C

77
Q
  1. Qu’est-ce qui est préservé dans l’aphasie transcorticale sensorielle?
    A. La compréhension
    B. L’articulation
    C. Le langage spontané
    D. La répétition
A

D

78
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent observé chez les personnes atteintes d’aphasie transcorticale sensorielle?
    A. L’écholalie
    B. L’agrammatisme
    C. Les paraphasies
    D. Le mutisme
A

A

79
Q
  1. Qu’est-ce qui est fréquent dans l’aphasie de Wernicke et l’aphasie transcorticale sensorielle?
    A. L’inconscience des difficultés (anosognosie)
    B. L’agrammatisme
    C. Les paraphasies
    D. Le mutisme
A

A

80
Q

(vérifier)

Quelles lésions peuvent entraîner des troubles aphasiques?
A. Lésions au cervelet
B. Lésions sous-corticales touchant les noyaux gris centraux
C. Lésions au cortex frontal

A

C

81
Q

(vérifier)

Quels sont les symptômes principaux des lésions sous-corticales?
A. Mutisme et dyspraxie de l’écriture
B. Difficultés d’articulation, baisse de fluence, diminution du volume de la parole, paraphasies
C. Troubles du contrôle cognitif et affectif

A

B

82
Q

(vérifier)

Quels sont les symptômes généralement préservés en cas de lésions sous-corticales?
A. Articulation et fluence
B. Répétition et compréhension
C. Volume de la parole et contrôle cognitif

A

C

83
Q

(vérifier)

Quels dommages peuvent causer une incapacité à parler?
A. Dommages aux noyaux gris centraux
B. Dommages au cervelet
C. Dommages au cortex frontal

A

B

84
Q

Quels symptômes peuvent accompagner les difficultés grammaticales et de fluence verbale?
A. Paraphasies et baisse de fluence
B. Troubles du contrôle cognitif et affectif
C. Réduction de la production et hypophonie

A

C

85
Q

À quoi est lié le syndrome cérébelleux?
A. Connexions entre le cervelet et le cortex frontal
B. Connexions entre le cervelet et les noyaux gris centraux
C. Connexions entre le cervelet et le thalamus

A

A

86
Q

(vérifier)

Quels troubles peuvent entraîner des lésions au thalamus?
A. Troubles du contrôle cognitif et affectif
B. Difficultés d’articulation et baisse de fluence
C. Troubles aphasiques

A

C

87
Q

(vérifier)
Quelles fonctions sont nécessaires pour la lecture?
A. Discrimination fine des formes visuelles, association morphème-phonème, reconnaissance du sens des mots
B. Activation des circuits de production vocale, mise en relation des mots avec leur contexte en mémoire à court terme
C. Reconnaissance globale des mots, décodage des sons associés aux parties des mots
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

88
Q

Quels types d’erreurs peuvent faire les personnes ayant des troubles de la lecture après une lésion cérébrale?

A. Erreurs visuelles, erreurs sémantiques

B. Erreurs morphémiques, erreurs de régularisation des mots irréguliers

C. Erreurs phonologiques, erreurs lexicales

D. Toutes les réponses ci-dessus

A

A

B

« Les personnes qui montrent des troubles de la lecture après une lésion cérébrale peuvent faire différents types d’erreurs, dont des erreurs visuelles (jolie — ‘joie’, monstre — ‘montre’, soupière — ‘sorcière’), des erreurs sémantiques (branche — arbre’), des erreurs morphémique (coureur — ‘courir’, fléchette — ‘flèche’), ou des erreurs de régularisation des mots irréguliers (fusil - ‘fusile”, chorale — ‘chaud rale’). »

(p. 82)

89
Q

Quelles sont les deux voies principales de traitement cognitif du texte écrit?

A

La voie phonologique et la voie lexicale

« On distingue souvent deux voies principales de traitement cognitif du texte écrit soit: 1) le décodage des sons associés aux parties des mots (la voie phonologique), et la reconnaissance globale des mots et de leur sens (la voie lexicale). » (p. 82)

90
Q

Vrai ou faux

Les personnes ayant une dyslexie phonologique font principalement des erreurs d’agencements de lettres prononçables qui n’existent pas dans le lexique

A

Vrai

« Les personnes ayant une dyslexie phonologique (dyslexie profonde ou dyslexie d’assemblage) font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots, des agencements de lettres prononçables qui n’existent pas dans le lexique (ex: fructal, batieu), car elles ne peuvent traduire des graphèmes en phonèmes et utilisent donc la reconnaissance globale des mots pour lire. » (p. 82)

91
Q

Vrai ou faux

Les personnes ayant une dyslexie profonde font typiquement des erreurs dans les mots non familiers et irrégulier

A

Faux, ils font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots

« Les personnes ayant une dyslexie phonologique (dyslexie profonde ou dyslexie d’assemblage) font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots, des agencements de lettres prononçables qui n’existent pas dans le lexique (ex: fructal, batieu), car elles ne peuvent traduire des graphèmes en phonèmes et utilisent donc la reconnaissance globale des mots pour lire. » (p. 82)

92
Q

Vrai ou faux

Les personnes ayant une dyslexie d’adressage font typiquement des erreurs dans les mots irréguliers

A

Vrai

« Les personnes ayant une dyslexie lexicale (dyslexie de surface, dyslexie d’adressage) font des erreurs de régularisation des mots irréguliers, car ils ne reconnaissent pas la forme globale des mots et utilisent la voie phonologique comme un lecteur débutant, ils lisent au son (ex: lire ‘mon sieur’ au lieu de ‘mesieu”). Chez certaines personnes, la dyslexie peut aussi combiner des erreurs phonologiques et lexicales. On parlera alors de dyslexie mixte puisque les deux voies sont atteintes.. » (p. 82)

93
Q

Vrai ou faux

Les personnes ayant une dyslexie de surface font typiquement des erreurs dans les mots irréguliers

A

Vrai

« Les personnes ayant une dyslexie lexicale (dyslexie de surface, dyslexie d’adressage) font des erreurs de régularisation des mots irréguliers, car ils ne reconnaissent pas la forme globale des mots et utilisent la voie phonologique comme un lecteur débutant, ils lisent au son (ex: lire ‘mon sieur’ au lieu de ‘mesieu”). Chez certaines personnes, la dyslexie peut aussi combiner des erreurs phonologiques et lexicales. On parlera alors de dyslexie mixte puisque les deux voies sont atteintes.. » (p. 82)

94
Q

Vrai ou faux

Les personnes ayant une dyslexie d’assemblage font typiquement des erreurs dans les mots non familiers et irrégulier

A

Faux, ils font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots

« Les personnes ayant une dyslexie phonologique (dyslexie profonde ou dyslexie d’assemblage) font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots, des agencements de lettres prononçables qui n’existent pas dans le lexique (ex: fructal, batieu), car elles ne peuvent traduire des graphèmes en phonèmes et utilisent donc la reconnaissance globale des mots pour lire. » (p. 82)

95
Q

Quels types d’erreurs font les personnes ayant une dyslexie phonologique?

A

Des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots

« Les personnes ayant une dyslexie phonologique (dyslexie profonde ou dyslexie d’assemblage) font des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots, des agencements de lettres prononçables qui n’existent pas dans le lexique (ex: fructal, batieu), car elles ne peuvent traduire des graphèmes en phonèmes et utilisent donc la reconnaissance globale des mots pour lire. » (p. 82)

96
Q

Pourquoi les personnes ayant une dyslexie phonologique font-elles des erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots?
A. Elles ne peuvent pas traduire des graphèmes en phonèmes
B. Elles ne reconnaissent pas la forme globale des mots
C. Elles ne peuvent pas associer des formes à des sons
D. Elles ne peuvent pas reconnaître le sens des mots

A

B

97
Q

(confirmer)

Quels types d’erreurs font les personnes ayant une dyslexie lexicale?
A. Erreurs de régularisation des mots irréguliers
B. Erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots
C. Erreurs visuelles et erreurs sémantiques
D. Erreurs morphémiques et erreurs de régularisation des mots irréguliers

A

C

98
Q

(vérifier)

Pourquoi les personnes ayant une dyslexie lexicale font-elles des erreurs de régularisation des mots irréguliers?
A. Elles ne reconnaissent pas la forme globale des mots
B. Elles ne peuvent pas traduire des graphèmes en phonèmes
C. Elles ne peuvent pas associer des formes à des sons
D. Elles ne peuvent pas reconnaître le sens des mots

A

D

99
Q

Qu’est-ce que la dyslexie mixte?
A. Une combinaison d’erreurs phonologiques et lexicales
B. Une combinaison d’erreurs visuelles et sémantiques
C. Une combinaison d’erreurs morphémiques et de régularisation des mots irréguliers
D. Une combinaison d’erreurs dans les mots non familiers et dans les pseudomots

A

A

À vérifier

100
Q

(euh non ?)

Qu’est-ce qui est atteint dans la dyslexie mixte?
A. Les deux voies de traitement cognitif du texte écrit
B. Les aires visuelles et les circuits de production vocale
C. La mémoire à court terme et la reconnaissance du sens des mots
D. L’association morphème-phonème et la discrimination fine des formes visuelles

A

C

101
Q

(de la mardeeeee)

Qu’est-ce qui cause la dyslexie?
A. Une lésion cérébrale
B. Un manque de pratique de la lecture
C. Un trouble de l’attention
D. Un trouble de la vision

A

D

102
Q

Vérifier

Qu’est-ce que la dyslexie développementale?
A. Un trouble d’acquisition de la lecture en l’absence d’une atteinte générale des capacités intellectuelles et en l’absence de troubles sensoriels
B. Un trouble d’apprentissage affectant moins de 10% de la population
C. Un trouble caractérisé par une difficulté à associer rapidement les symboles du langage écrit et les sons ou les mots qu’ils représentent
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

C

103
Q

Quel pourcentage de la population est affecté par la dyslexie développementale?
A. Moins de 10%
B. Plus de 10%
C. Environ 50%
D. Plus de 90%

A

B

« La dyslexie développementale est un trouble d’apprentissage fréquent, affectant plus de 10% de la population. » (p. 82)

104
Q

Quelle est une des erreurs de lecture commises par les personnes atteintes de dyslexie?
A. Confondre des lettres visuellement similaires
B. Confondre des lettres phonologiquement similaires
C. Inverser ou substituer des lettres dans des mots
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

105
Q

Qu’arrive-t-il aux consonnes sonores dans les erreurs phonologiques?
A. Elles deviennent des consonnes sourdes
B. Elles deviennent des consonnes occlusives
C. Elles sont inversées ou substituées
D. Elles sont assimilées à des syllabes consécutives

A

A

« Les erreurs de lecture peuvent prendre de nombreuses formes :

1) Confondre des lettres visuellement similaires (‘b? devient ‘d, ‘p’ devient ‘q”)

2) Confondre des lettres phonologiquement similaires

a. Consonnes sonores (b, d, g, v,j) deviennent des consonnes sourdes (p, t, k, f, ch), (‘ville’ devient ‘fille’, ‘doucement’ devient ‘toussement’, ‘bidon’ devient ‘piton’) » (p. 82)

106
Q

Qu’arrive-t-il aux consonnes constrictives dans les erreurs phonologiques?
A. Elles deviennent des consonnes sourdes
B. Elles deviennent des consonnes occlusives
C. Elles sont inversées ou substituées
D. Elles sont assimilées à des syllabes consécutives

A

B

« Les erreurs de lecture peuvent prendre de nombreuses formes :

[…]

2) Confondre des lettres phonologiquement similaires

a. Consonnes sonores (b, d, g, v,j) deviennent des consonnes sourdes (p, t, k, f, ch), (‘ville’ devient ‘fille’, ‘doucement’ devient ‘toussement’, ‘bidon’ devient ‘piton’)

b. Consonnes constrictives (ch, s, j, z, f, v) deviennent des consonnes occlusives (p, t, k. b, d, g) (‘toujours’ devient ‘tougour’) » (p. 82)

107
Q

Quelle erreur de lecture est commise lors de l’assimilation de syllabes consécutives?
A. ‘soudain’ devient ‘souzain’
B. ‘escapade’ devient ‘cascapade’
C. ‘hippopotame’ devient ‘hippopapame’
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

« Les erreurs de lecture peuvent prendre de nombreuses formes :

[…]

4) Assimiler des syllabes consécutives (‘soudain devient ‘souzain’, ‘escapade’ devient ‘cascapade”, ‘hippopotame’ devient ‘hippopapame”) » (p. 82)

108
Q

Quelle erreur de lecture est commise lors de la simplification des phonèmes à plusieurs lettres?
A. ‘main’ devient ‘mai’
B. ‘milieu’ devient ‘mille’
C. ‘dent’ devient ‘de’
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D
« Les erreurs de lecture peuvent prendre de nombreuses formes :

[…]

5) Simplifier les phonèmes à plusieurs lettres (‘main’ devient ‘mai’, ‘milieu’ devient ‘milie”, ‘dent’ devient ‘de’, ‘aile’ devient ‘a-ile’, paysage devient ‘paillesage”, ‘l’air’ devient ‘la’, ‘d’ailleurs’ devient ‘da-ille’,). » (p. 82)

109
Q

Qu’est-ce qui peut rendre la lecture des jeunes dyslexiques plus hésitante et moins fluide?
A. Les erreurs de lecture
B. La superposition ou le mouvement des lettres sur la page
C. Le trouble des mouvements oculaires ou de l’attention spatiale
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

110
Q

Quelle tendance peuvent avoir les dyslexiques lors de la lecture?

A

Ils peuvent avoir tendance à deviner les mots qu’ils lisent

« Les erreurs de lecture sont variables d’un moment à l’autre. Parfois, les lettres peuvent se superposer ou même bouger sur la page. On suspecte alors un trouble des mouvements oculaires ou de l’attention spatiale. Toutes ces confusions rendent la lecture des jeunes dyslexiques plus hésitante, moins fluide et moins compréhensible que la moyenne des lecteurs de leur âge. Les dyslexiques peuvent aussi avoir tendance à deviner les mots qu’ils lisent, ce qui peut affecter la compréhension. ». (p. 83)

111
Q

Quels sont les troubles qui peuvent accompagner la dyslexie?
A. Troubles du langage oral (dysphasie)
B. Troubles d’attention
C. Troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxie)
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

« Souvent la dyslexie est accompagnée de troubles du langage oral (dysphasie) qui s’observent avant les troubles de lecture. Par exemple, on peut observer des erreurs phonologiques (ex: confusions des sons ‘f et ‘v’ ou ‘c’ et ‘g”), des difficultés à discriminer certains phonèmes, à faire des jugements de rimes ou à répéter des séries de chiffres. L’écriture est souvent affectée dans la dyslexie développementale. Cependant, la compréhension peut être très bonne. La dyslexie peut aussi être accompagnée de troubles d’attention et de troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxie). Les troubles de attention sont parfois difficiles à distinguer de la dyslexie, car ils peuvent être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture (ex: omettre des mots ou des fins de mots, oublier les accords, les majuscules, les points.). La dyslexie développementale est souvent due à des anomalies anatomiques ou fonctionnelles dans les cortex associatifs postérieurs associés à la vision et au langage. » (p. 83)

112
Q

Quels types d’erreurs peuvent faire les enfants non-dyslexiques ayant peu d’expérience en lecture?
A. Les mêmes erreurs que les dyslexiques
B. Des erreurs de lecture différentes de celles des dyslexiques
C. Des erreurs de lecture plus fréquentes que celles des dyslexiques
D. Des erreurs de lecture qui disparaissent moins rapidement avec la pratique

A

A

113
Q

(Et A?)

Quels sont les symptômes résiduels les plus importants de la dyslexie à l’adolescence?
A. La vitesse de lecture, la recherche d’informations écrites et l’orthographe
B. Les erreurs de lecture, l’omission de mots ou de fins de mots, l’oubli des accords
C. Les troubles du langage oral, les troubles d’attention, les troubles d’acquisition de la coordination motrice
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

B

114
Q

Et la lecture ?

Qu’est-ce qui peut être affecté dans la dyslexie développementale?
A. L’écriture
B. La lecture
C. La compréhension
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

C

115
Q

Qu’est-ce qui peut être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture et être difficile à distinguer de la dyslexie?
A. Les troubles d’acquisition de la coordination motrice
B. Les troubles du langage oral
C. Les troubles de l’attention
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

C

« La dyslexie peut aussi être accompagnée de troubles d’attention et de troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxie). Les troubles de l’attention sont parfois difficiles à distinguer de la dyslexie, car ils peuvent être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture ( ex: omettre des mots ou des fins de mots, oublier les accords, les majuscules, les points … ) » (p. 83)

116
Q

À quelles anomalies anatomiques ou fonctionnelles est souvent due la dyslexie développementale?

A

« La dyslexie développementale est souvent due à des anomalies anatomiques ou fonctionnelles dans les cortex associatifs postérieurs associés à la vision et au langage. »

« Les causes exactes de la dyslexie développementale sont encore inconnues. Une hypothèse suggère qu’un traumatisme prénatal (anoxie, hémorragie, infection, intoxication), produit des anomalies dans l’organisation des connexions dans le cortex cérébral qui provoquent une réorganisation des fonctions langagières. Une autre hypothèse suggère une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique. La dyslexie touche plus souvent les garçons et les gauchers et 70% des dyslexiques ont un membre de la famille atteint de dyslexie. Norman Geschwind a suggéré que la testostérone présente pendant le développement fœtal chez le garçon peut favoriser l’apparition d’anomalies du développement cérébral quand d’autres facteurs de risque sont présents (susceptibilité génétique, souffrance fœtale, exposition à des neurotoxines) »

(p. 83)

117
Q

Quelles sont les causes possibles de la dyslexie développementale?

A. Un traumatisme prénatal

B. Une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique

C. La présence de testostérone pendant le développement fœtal

D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

« Les causes exactes de la dyslexie développementale sont encore inconnues. Une hypothèse suggère qu’un traumatisme prénatal (anoxie, hémorragie, infection, intoxication), produit des anomalies dans l’organisation des connexions dans le cortex cérébral qui provoquent une réorganisation des fonctions langagières. Une autre hypothèse suggère une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique. La dyslexie touche plus souvent les garçons et les gauchers et 70% des dyslexiques ont un membre de la famille atteint de dyslexie. Norman Geschwind a suggéré que la testostérone présente pendant le développement fœtal chez le garçon peut favoriser l’apparition d’anomalies du développement cérébral quand d’autres facteurs de risque sont présents (susceptibilité génétique, souffrance fœtale, exposition à des neurotoxines). »

(p. 83)

118
Q

Qui est plus susceptible d’être dyslexique?
A. Les filles et les droitiers
B. Les garçons et les gauchers
C. Les filles et les gauchers
D. Les garçons et les droitiers

A

B

119
Q

Quels types de problèmes d’écriture peuvent survenir suite à une lésion cérébrale?
A. Agraphie sans alexie
B. Agraphie avec alexie
C. Agraphie lexicale
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

120
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie avec alexie?

A. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographique et de régularisation des mots irréguliers

B. Des erreurs visuelles, sémantiques, orthographiques, ou morphémiques

C. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiques

D. Les mêmes erreurs que celles possibles pour la dysphasie

A

C. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiques

« L’agraphie sans alexie s’observe souvent dans le syndrome de Gerstmann lié à des lésions pariétales gauches. L’agraphie avec alexie est caractérisée par différents types d’erreurs en dictée dont des erreurs sémantiques (branche — arbre), morphémiques (coureur — courir, fléchette — flèche), orthographiques (tigre — taire), ou phonologiquement plausible (pharmacie — farmassi). L’écriture copiée est souvent normale et la disposition des mots sur la page est aussi normale. Les lésions sont généralement dans le lobe pariétal. » (p. 83)

121
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie lexicale?
A. L’écriture de mots réguliers, mais des erreurs de régularisation dans les mots irréguliers
B. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiquement plausibles en dictée
C. Des difficultés à épeler les pseudo-mots
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

A

122
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie phonologique?
A. Des difficultés à épeler les pseudo-mots
B. L’écriture de mots réguliers, mais des erreurs de régularisation dans les mots irréguliers
C. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiquement plausibles en dictée
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

A

123
Q

Qu’est-ce que la dysorthographie développementale?
A. Un trouble persistant de l’acquisition de l’orthographe
B. Un trouble d’acquisition de la lecture
C. Un trouble d’acquisition du langage oral
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

A

124
Q

Quels types d’erreurs font les personnes atteintes de dysorthographie développementale?
A. Ils écrivent souvent des mots phonétiquement
B. Ils font des erreurs morphosyntaxiques qui affectent les accords
C. Ils font des erreurs sémantiques
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

125
Q

Qu’est-ce qui peut accompagner la dyslexie développementale?
A. Des troubles du langage oral (dysphasie)
B. Des troubles d’attention
C. Des troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxie)
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

D

126
Q

Qu’est-ce qui peut être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture?
A. Les troubles de l’attention
B. Les troubles du langage oral
C. Les troubles d’acquisition de la coordination motrice
D. Toutes les réponses ci-dessus

A

A

127
Q

Qu’est-ce que la dysgraphie?
A. Un trouble d’acquisition de la lecture
B. Un trouble d’acquisition du langage oral
C. Des difficultés liées à une écriture ou calligraphie illisible, lente ou désordonnée
D. Aucune de ces réponses

A

C

128
Q

Quelles sont les origines possibles des difficultés de dysgraphie?
A. Un traumatisme prénatal
B. Une maladresse motrice ou dyspraxie, des troubles visuo-spatiaux ou une impulsivité
C. Une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique
D. Aucune de ces réponses

A

B

129
Q

Quel pourcentage de gauchers et ambidextres deviennent aphasiques à la suite de lésions gauches?
A. Environ 40%
B. Environ 80%
C. Environ 60%
D. Aucune de ces réponses

A

C

130
Q

Qu’est-ce qui peut être interprété comme le reflet d’un partage plus équitable des fonctions linguistiques dans les deux hémisphères?
A. Les aphasiques droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage
B. Les aphasiques non droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage
C. Les aphasiques bilingues semblent avoir une meilleure récupération du langage
D. Aucune de ces réponses

A

B

131
Q

Qu’est-ce qui serait associé à une organisation cérébrale différente?
A. Les langues à tons qui assignent une signification spécialisée à l’aspect mélodique des syllabes (ex: le chinois mandarin)
B. Les langues qui utilisent des idéogrammes
C. Les langues qui utilisent des alphabets
D. Aucune de ces réponses

A

D

132
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie avec alexie?
A. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiquement plausibles en dictée
B. L’écriture de mots réguliers, mais des erreurs de régularisation dans les mots irréguliers
C. Des difficultés à épeler les pseudo-mots
D. Aucune de ces réponses

A

D

133
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie lexicale?
A. L’écriture de mots réguliers, mais des erreurs de régularisation dans les mots irréguliers
B. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiquement plausibles en dictée
C. Des difficultés à épeler les pseudo-mots
D. Aucune de ces réponses

A

D

134
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’agraphie phonologique?
A. Des difficultés à épeler les pseudo-mots
B. L’écriture de mots réguliers, mais des erreurs de régularisation dans les mots irréguliers
C. Des erreurs sémantiques, morphémiques, orthographiques, ou phonologiquement plausibles en dictée
D. Aucune de ces réponses

A

D

135
Q

Quels sont les symptômes possibles de la dysgraphie?
A. Une écriture ou calligraphie illisible
B. Une écriture lente
C. Une écriture désordonnée
D. Toutes ces réponses

A

D

136
Q

Quels facteurs peuvent contribuer à la dyslexie développementale?
A. Un traumatisme prénatal
B. Une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique
C. La présence de testostérone pendant le développement fœtal
D. Toutes ces réponses

A

D

137
Q

Quels types d’erreurs peuvent faire les personnes atteintes de dysorthographie développementale?

A. Écrire souvent des mots phonétiquement

B. Faire des erreurs morphosyntaxiques qui affectent les accords

C. Faire des erreurs sémantiques

D. Toutes ces réponses

A

D

138
Q

Qu’est-ce que la dysgraphie?

A

Des difficultés liées à une écriture ou calligraphie illisible, lente ou désordonnée

139
Q

Quelles sont les origines possibles des difficultés de dysgraphie?
A. Un traumatisme prénatal
B. Une susceptibilité génétique à un développement cérébral atypique
C. Une maladresse motrice ou dyspraxie, des troubles visuo-spatiaux ou une impulsivité
D. Aucune de ces réponses

A

C

140
Q

Quel pourcentage de gauchers et ambidextres deviennent aphasiques à la suite de lésions gauches?

A

Environ 60%

« Environ 60% des gauchers et ambidextres deviennent aphasiques à la suite de lésions gauches et ont donc le langage latéralisé à gauche comme la majorité. Cependant, les aphasiques non droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage, ce qui peut être interprété comme le reflet d’un partage plus équitable des fonctions linguistiques dans les deux hémisphères. »

(p. 84)

141
Q

Qu’est-ce qui peut être interprété comme le reflet d’un partage plus équitable des fonctions linguistiques dans les deux hémisphères?

A. Les aphasiques droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage

B. Les aphasiques non droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage

C. Les aphasiques bilingues semblent avoir une meilleure récupération du langage

D. Aucune de ces réponses

A

B

« Environ 60% des gauchers et ambidextres deviennent aphasiques à la suite de lésions gauches et ont donc le langage latéralisé à gauche comme la majorité. Cependant, les aphasiques non droitiers semblent avoir une meilleure récupération du langage, ce qui peut être interprété comme le reflet d’un partage plus équitable des fonctions linguistiques dans les deux hémisphères. »

(p. 84)

142
Q

Langage: Qu’est-ce qui serait associé à une organisation cérébrale différente?

A. Les langues à tons qui assignent une signification spécialisée à l’aspect mélodique des syllabes (ex: le chinois mandarin)

B. Les langues qui utilisent des idéogrammes

C. Les langues qui utilisent des alphabets

D. Aucune de ces réponses

A

« Chez les personnes maitrisant plusieurs langues, les langues peuvent être perdues indépendamment l’une de l’autre. Les langues à tons qui assignent une signification spécialisée à l’aspect mélodique des syllabes (ex: le chinois mandarin) seraient associées à une organisation cérébrale différente. Ainsi, l’aphasie croisée (à la suite de lésions droites chez le droitier) serait beaucoup moins rare chez les peuples qui utilisent des langues à tons que chez les occidentaux.

Certains travaux ont suggéré que l’hémisphère droit a une certaine compréhension orale et écrite pour les noms. Le traitement de l’information écrite semble y être différent que dans l’hémisphère dominant; le mot est lu de façon globale pour en extraire un sens approximatif. Les écritures qui utilisent des idéogrammes (patrons représentant un sens global) seraient traitées par des réseaux neuronaux différents de ceux impliqués dans l’écriture syllabique et qui seraient situés à l’extérieur de la zone du langage [pas dit explicitement qu’est associées à une organisation cérébrale différente]. »

(p. 84)

143
Q

Hormis l’hémisphère droit, qu’est-ce qui est aussi impliqué dans la pragmatique du langage?

A

Les régions du système limbique qui traitent les signaux affectifs

L’hémisphère droit semble impliqué dans les aspects pragmatiques du langage, Par exemple, les lésions de l’hémisphère droit peuvent affecter la détection des incohérences, l’interprétation d’un raisonnement ou la capacité à reconnaitre une métaphore ou un sous- entendu. Les régions du système limbique qui traitent les signaux affectifs sont aussi impliquées dans la pragmatique du langage. » (p. 85)

144
Q

Qu’est-ce qui peut affecter la détection des incohérences, l’interprétation d’un raisonnement ou la capacité à reconnaitre une métaphore ou un sous-entendu?

A. Les lésions de l’hémisphère droit

B. Les lésions de l’hémisphère gauche

C. Les lésions du système limbique

D. Toutes ces réponses

A

A

C

« L’hémisphère droit semble impliqué dans les aspects pragmatiques du langage, Par exemple, les lésions de l’hémisphère droit peuvent affecter la détection des incohérences, l’interprétation d’un raisonnement ou la capacité à reconnaitre une métaphore ou un sous- entendu. Les régions du système limbique qui traitent les signaux affectifs sont aussi impliquées dans la pragmatique du langage. »

(p. 85)

145
Q

Hormis l’hémisphère droit, qu’est-ce qui est aussi impliqué dans la pragmatique du langage?

A. Les régions du système limbique qui traitent les signaux affectifs

B. Les régions du système limbique qui traitent les signaux visuels

C. Les régions du système limbique qui traitent les signaux auditifs

D. Aucune de ces réponses

A

A

146
Q

Quels sont les aspects pragmatiques du langage?

A. Pourquoi et comment le contenu a été exprimé

B. Dans quel contexte le contenu a été exprimé

C. Le sens figuré, les sous-entendus, les métaphores, l’ironie, l’humour ou les insultes

D. Toutes ces réponses

A

D

147
Q

Qu’est-ce que la prosodie?

A. Des variations de hauteur, d’intensité ou de rythmes de la voix

B. L’emphase sur certaines portions de phrases et la distinction de certains types de phrases

C. L’expression d’un état émotionnel par l’intonation ou l’accentuation

D. Toutes ces réponses

A

D

« La prosodie

La prosodie correspond à des variations de hauteur, d’intensité ou de rythmes de la voix. Elle sert à mettre l’emphase sur certaines portions de phrases et à distinguer certains types de phrases (ex: interrogations, demande). Elle sert aussi à exprimer un état émotionnel (ex : intérêt, joie, indignation, plainte, frustration) par l’intonation ou l’accentuation. »

(p. 85)

148
Q

Qu’est-ce qui semble impliqué dans la prosodie émotionnelle?
A. L’hémisphère gauche
B. L’hémisphère droit
C. Les lésions antérieures de l’hémisphère droit
D. Aucune de ces réponses

A

B

« L’hémisphère droit semble impliqué dans la prosodie émotionnelle. Les lésions antérieures de l’hémisphère droit semblent produire des problèmes à exprimer la prosodie, les lésions postérieures des problèmes à comprendre la prosodie. » (p. 85)

149
Q

Quels problèmes peuvent produire les lésions antérieures de l’hémisphère droit?

A. Des problèmes à comprendre la prosodie

B. Des problèmes à exprimer la prosodie

C. Des difficultés de détection de la prosodie

D. Aucune de ces réponses

A

B

« L’hémisphère droit semble impliqué dans la prosodie émotionnelle. Les lésions antérieures de l’hémisphère droit semblent produire des problèmes à exprimer la prosodie, les lésions postérieures des problèmes à comprendre la prosodie. » (p. 85)

150
Q

Compléter:

« L’hémisphère ——- semble impliqué dans la prosodie émotionnelle. Les lésions ———- de l’hémisphère ——— semblent produire des problèmes à exprimer la prosodie, les lésions ————- des problèmes à comprendre la prosodie. » (p. 85)

A

« L’hémisphère droit semble impliqué dans la prosodie émotionnelle. Les lésions antérieures de l’hémisphère droit semblent produire des problèmes à exprimer la prosodie, les lésions postérieures des problèmes à comprendre la prosodie. » (p. 85)

151
Q

Quelles difficultés peuvent avoir certaines personnes atteintes d’autisme?

A. Des difficultés de détection de la prosodie

B. Montrer une voix monocorde avec peu de modulation de l’intonation

C. Des problèmes à exprimer la prosodie

D. Toutes ces réponses

A

D

« La prosodie

La prosodie correspond à des variations de hauteur, d’intensité ou de rythmes de la voix. Elle sert à mettre l’emphase sur certaines portions de phrases et à distinguer certains types de phrases (ex: interrogations, demande). Elle sert aussi à exprimer un état émotionnel (ex : intérêt, joie, indignation, plainte, frustration) par l’intonation ou l’accentuation. L’hémisphère droit semble impliqué dans la prosodie émotionnelle. Les lésions antérieures de l’hémisphère droit semblent produire des problèmes à exprimer la prosodie, les lésions postérieures des problèmes à comprendre la prosodie. Certaines personnes atteintes d’autisme peuvent aussi avoir des difficultés de détection de la prosodie ou montrer une voix monocorde avec peu de modulation de l’intonation. »

(p. 85)

152
Q

Qu’ont tenté de déterminer Wilder Penfield et ses collaborateurs?

A. L’étendue de la zone cérébrale du langage

B. L’effet des stimulations électriques sur le cortex cérébral

C. Les effets de l’épilepsie sur le langage

D. Aucune de ces réponses

A

A

« Études expérimentales

Wilder Penfield et ses collaborateurs ont tenté de déterminer l’étendue de la zone cérébrale du langage en effectuant des stimulations électriques dans le cortex cérébral chez des patients qui devaient subir des chirurgies pour l’épilepsie. Ils ont observé que la stimulation à faible voltage de régions corticales autour de la fissure latérale interférait avec la production de la parole. »

(p. 85)

153
Q

En études expérimentales, quels effets peut avoir la stimulation à faible voltage de régions corticales autour de la fissure latérale?
A. La production de vocalisations
B. Des problèmes de production
C. L’arrêt de la parole, hésitations, distorsions et répétitions de mots, manque du mot, paraphasies, ou persévérations
D. Toutes ces réponses

A

D

« Wilder Penfield et ses collaborateurs ont tenté de déterminer l’étendue de la zone cérébrale du langage en effectuant des stimulations électriques dans le cortex cérébral chez des patients qui devaient subir des chirurgies pour l’épilepsie. Ils ont observé que la stimulation à faible voltage de régions corticales autour de la fissure latérale interférait avec la production de la parole. La stimulation pouvait avoir deux effets, la production de vocalisations (voyelles soutenues ou exclamations), ou des problèmes de production (arrêt de la parole, hésitations, distorsions et répétitions de mots, manque du mot, paraphasies, ou persévérations). D’autres travaux ont noté une grande variabilité individuelle dans l’étendue de la zone du langage déterminée par la stimulation. » (p. 85-86)

154
Q

En études expérimentales, quelle stimulation neuronale peut provoquer des problèmes de discrimination de phonèmes en plus des troubles de la parole?

A. La stimulation du thalamus

B. La stimulation de l’aire de Broca

C. La stimulation de l’aire motrice supplémentaire (AMS)

D. Aucune de ces réponses

A

B

155
Q

En études expérimentales, quelle stimulation neuronale peut produire des interruptions de la parole et des erreurs de dénomination d’objets?
A. La stimulation de l’aire de Broca
B. La stimulation du thalamus
C. La stimulation de l’aire motrice supplémentaire (AMS)
D. Aucune de ces réponses

A

B

« La stimulation de l’aire de Broca peut provoquer des problèmes de discrimination de phonèmes en plus des troubles de la parole. La stimulation du thalamus peut produire des interruptions de la parole et des erreurs de dénomination d’objets. La stimulation de l’aire motrice supplémentaire (AMS) dans la portion médiane du lobe frontal produit un arrêt de la parole. »

(p. 86)

156
Q

En études expérimentales, quelle stimulation neuronale produit un arrêt de la parole?
A. La stimulation de l’aire de Broca
B. La stimulation du thalamus
C. La stimulation de l’aire motrice supplémentaire (AMS)
D. Aucune de ces réponses

A

C

« La stimulation de l’aire de Broca peut provoquer des problèmes de discrimination de phonèmes en plus des troubles de la parole. La stimulation du thalamus peut produire des interruptions de la parole et des erreurs de dénomination d’objets. La stimulation de l’aire motrice supplémentaire (AMS) dans la portion médiane du lobe frontal produit un arrêt de la parole. »

(p. 86)

157
Q

Qu’est-ce qui a permis de confirmer l’emplacement des aires du langage autour du sillon latéral (fissure de Sylvius) dans l’hémisphère gauche?
A. Les enregistrements de l’activité cérébrale pendant des tâches de langage par la neuroimagerie fonctionnelle
B. La stimulation à faible voltage de régions corticales autour de la fissure latérale
C. Les travaux de Wilder Penfield et ses collaborateurs
D. Aucune de ces réponses

A

A

« Les enregistrements de l’activité cérébrale pendant des tâches de langage par la neuroimagerie fonctionnelle ont permis de confirmer l’emplacement des aires du langage autour du sillon latéral (fissure de Sylvius) dans l’hémisphère gauche. L’écoute passive de mots produit une activation dans l’aire de Wernicke tandis que l’écoute de voyelles ou de sons simples ne produit pas cette activation. La prononciation de mots active une région à la base de la fissure de Rolando près de Paire de Broca (aire motrice du visage). La génération de verbes active une région frontale inférieure et temporale inférieure.

(p. 86)

158
Q

Qu’est-ce qui produit une activation dans l’aire de Wernicke?

A. L’écoute passive de mots

B. L’écoute de voyelles ou de sons simples

C. La prononciation de mots

D. Aucune de ces réponses

A

A

« Les enregistrements de l’activité cérébrale pendant des tâches de langage par la neuroimagerie fonctionnelle ont permis de confirmer l’emplacement des aires du langage autour du sillon latéral (fissure de Sylvius) dans l’hémisphère gauche. L’écoute passive de mots produit une activation dans l’aire de Wernicke tandis que l’écoute de voyelles ou de sons simples ne produit pas cette activation. La prononciation de mots active une région à la base de la fissure de Rolando près de Paire de Broca (aire motrice du visage). La génération de verbes active une région frontale inférieure et temporale inférieure.»

(p. 86)

159
Q

Qu’est-ce qui active une région à la base de la fissure de Rolando près de l’aire de Broca (aire motrice du visage)?

A. L’écoute passive de mots

B. L’écoute de voyelles ou de sons simples

C. La prononciation de mots

D. Aucune de ces réponses

A

C

« La prononciation de mots active une région à la base de la fissure de Rolando près de Paire de Broca (aire motrice du visage). La génération de verbes active une région frontale inférieure et temporale inférieure. »

(p. 86)

160
Q

Qu’est-ce qui active une région frontale inférieure et temporale inférieure?

A. L’écoute passive de mots

B. L’écoute de voyelles ou de sons simples

C. La génération de verbes

D. Aucune de ces réponses

A

C

« La prononciation de mots active une région à la base de la fissure de Rolando près de Paire de Broca (aire motrice du visage). La génération de verbes active une région frontale inférieure et temporale inférieure. »

(p. 86)

161
Q

Quelle est la différence entre l’héminégligence et l’asomatognosie ? Car dans les deux cas, le patient ignore une partie de son corps.

A

L’héminégligence se caractérise par une déficience de l’attention portée à un côté du corps ou à un côté de l’espace environnant alors que l’asomatognosie est caractérisée par une atteinte de la perception du corps et de ses parties. Dans le cas de l’asomatognosie, les patients ne vont pas reconnaitre certaines parties de leur propre corps comme étant les leurs, ou ont des difficultés à localiser ces parties.

En gros, l’héminégligence peut être juste visuelle et quand elle est aussi corporelle ça ressemble à de l’asomatognosie d’un côté du corps.

162
Q

Outre les symboles, des associations arbitraires entre des signes (sons, gestes, écriture), qu’utilise le langage humain pour communiquer ?

A

Des significations

« Le langage humain utilise des symboles, des associations arbitraires entre des signes (sons, gestes, écriture) et des significations, pour communiquer. »(p. 74)

163
Q

Vrai ou faux.

La dyslexion peut être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture, comme omettre des mots ou des fins de mots, oublier les accords, les majuscules, les points.

A

Faux, c’est plutôt l’effet des troubles de l’attention

« La dyslexie peut aussi être accompagnée de troubles d’attention et de troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxie). Les troubles de attention sont parfois difficiles à distinguer de la dyslexie, car ils peuvent être à l’origine de nombreuses erreurs de lecture et d’écriture (ex: omettre des mots ou des fins de mots, oublier les accords, les majuscules, les points.). » (p. 83)