5. Étiologie des comportements sexuels agressifs Flashcards

1
Q
Les comportements sont animés par des besoins physiologiques, incluant l'intérêt sexuel et le désir et requièrent une satisfaction.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

A) Théorie physiologique

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2
Q
L'attachement social ou le détachement se développe tôt dans la relation parent-enfant. L'impact de l'attachement précoce va influencer les pensées, les émotions, les relations, l'identité personnelle et les comportements tout au long de la vie.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

B) Théorie de la relation objectale

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3
Q
Le traumatisme d'une agression sexuelle et de la victimisation physique créent de graves handicaps émotionnels, cognitifs et possiblement des changements neurologiques qui font en sorte que le trauma est réactivé par l'agression sexuelle.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

C) Théorie du trauma

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4
Q
Les individus sont en constante interaction avec un plus vaste système de personnes et de structures dont ils font partie; Ils sont influencés par les réactions, les interactions et les comportements des autres parties incluant les conditions pathologiques dans ce système.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

D) Théorie des systèmes

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5
Q
Le succès ou l'échec d'obtenir l'appui nécessaire pour accomplir les premières tâches développementales au niveau physique, cognitif et affectif va influencer le développement de l'identité personnelle et l'image de soi, les compétences, les relations et les comportements à travers toutes les étapes du développement.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

E) Théorie développementale

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6
Q
Les croyances et les attitudes antisociales supportent les comportements sexuels agressifs et la victimisation des autres.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

F) Théorie cognitive

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7
Q
Les comportements sont conditionnés par un stimulus, incluant les comportements sexuels non agressifs et la satisfaction des intérêts et des désirs sexuels.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

G) Théorie comportementale

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8
Q
Les individus découvrent les rôles à partir des modèles et des comportements observés dans leur environnement, leurs idées, leurs pensées et leurs comportements imitent ceux appris dans leur environnement.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

H) Théorie de l’apprentissage social

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9
Q
Les individus sont influencés par des demandes narcissiques incessantes pour satisfaire leurs besoins, ils ne reconnaissent pas ou ils ne se soucient pas des besoins des autres. 
Ils ont peu ou pas de remords. 
Ils ont peu de relations affectives avec autrui et ils sont guidés uniquement par des besoins personnels, qui ne sont pas en harmonie avec les besoins d'autrui ou de la société. 
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

I ) Théorie de la psychopathie

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10
Q
Les attitudes, les relations interpersonnelles, les perceptions sont façonnées par des forces inconscientes et primitives qui ont un effet puissant sur l'évolution et le fonctionnement actuel.
A) Théorie physiologique 
B) Théorie de la relation objectale 
C) Théorie du trauma
D) Théorie des systèmes 
E) Théorie développementale 
F) Théorie cognitive 
G) Théorie comportementale 
H) Théorie de l'apprentissage social
I ) Théorie de la psychopathie
K) Théorie psychodynamique
A

K) Théorie psychodynamique

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11
Q
Décrit l'objectif immédiat ou à la surface du comportement, ou de sa fonction immédiate — la chose ou les résultats qu'il vise à atteindre. 
Dans le cas de délinquance sexuelle, le but peut être de se sentir socialement compétent et capable, expérimenté dans les rapports sexuels.
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

A ) But utilitaire

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12
Q
décrit l'acte nécessaire pour répondre aux fins utilitaires et atteindre cet objectif. 
Dans la délinquance sexuelle, l'action envisagée est de se livrer à une certaine forme d'acte sexuel, avec ou sans consentement.
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

B) L’intention (d’agir) :

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13
Q
décrit ce qui se cache derrière, l'objectif à accomplir, même si cela n'est pas connu de l'acteur. Dans la délinquance sexuelle, alors que le point de départ est de vivre une expérience sexuelle, l'intention sous-jacente peut être de faire l'expérience du pouvoir sur une autre, d'éprouver un sentiment de maîtrise sociale ou autre forme de réalisation, ou encore de vivre un acte sexuel sadique (sadisme sexuel).
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

C)L’intention sous-jacente :

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14
Q
décrit la quantité requise de la pression interne de l’individu pour se livrer à l'acte et pour surmonter d'autres forces ou des pressions qui pourraient autrement empêcher ou d'interdire le comportement (pressions externes).
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

D) La motivation suffisante :

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15
Q
sont différentes forces internes et externes qui agissent pour prévenir ou réduire la motivation suffisante et contribuent ainsi à empêcher l'action de se produire.
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

E) Les inhibiteurs :

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16
Q
doivent exister, et les conditions environnementales doivent permettre l'accès à la conduite. 
Dans le cas de délinquance sexuelle, cela signifie un accès à la victime et la capacité d'agresser sexuellement la victime.
A) But utilitaire 
B) L'intention (d'agir)
C) L'intention sous-jacente
D) La motivation suffisante
E) Les inhibiteurs
F) Les opportunités
A

F) Les opportunités :

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17
Q

_________ a décrit 4 conditions préalables à l’agression:

  1. Le délinquant doit être motivé par l’agression (c’est ce qu’il veut)
  2. Il doit surmonter ses inhibitions internes: il utilise alors des distorsions cognitives pour y arriver.
  3. Il doit surmonter les inhibitions externes (les interdits sociaux)
  4. Il doit surmonter les résistances de la victime.
A

Finkelhor (1984)

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18
Q

Nommez les 4 motivations évidentes de l’agression sexuelle

A
  1. L’expérience de l’activité sexuelle elle-même est, dans ce contexte, l’objectif prioritaire avec l’utilisation de la force ou de la coercition comme un moyen pour y parvenir.
  2. La coercition ou la violence comme moyen en lui-même, dans lequel le comportement sexuel est secondaire à un trouble de comportement plus vaste (la route de la puissance et du contrôle);
  3. L’expérimentation et l’exploration, avec une reconnaissance naïve ou inexistante des conséquences plus grandes;
  4. Une maladie mentale ou déficience cognitive dans laquelle l’individu n’a pas les compétences pour prendre des décisions ou de porter des jugements sur les actions bonnes ou mauvaises
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19
Q
\_\_\_\_\_\_\_\_\_ se définit comme un événement, une situation, un état, un contexte ou une condition qui, de par sa présence et en juxtaposition avec d’autres facteurs, peuvent augmenter les probabilités qu’une personne agresse sexuellement une autre personne.
A) Un facteur de risque
B) Un facteur prédisposant
C) Un facteur précipitant
D) Un facteur de maintien
A

A) Un facteur de risque

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20
Q
Événements traumatisants ou marquants au cours du développement de la personne, et qui continuent d’influencer sa vie actuelle
A) Un facteur de risque
B) Un facteur prédisposant
C) Un facteur précipitant
D) Un facteur de maintien
A

B) Facteurs fragilisants ou prédisposants

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21
Q
Surviennent peu de temps avant l’agression et tendent à déterminer le type de délit qui sera perpétré
A) Un facteur de risque
B) Un facteur prédisposant
C) Un facteur précipitant
D) Un facteur de maintien
A

C) Facteurs précipitants

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22
Q
Maintiennent l’individu dans une dynamique abusive en augmentant les probabilités que le comportement déviant continuera à l’avenir.
A) Un facteur de risque
B) Un facteur prédisposant
C) Un facteur précipitant
D) Un facteur de maintien
A

D) Facteurs de maintien

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23
Q

ne sont pas liés au jeune, mais peuvent affecter et influencer ses pensées et ses comportements (ex: famille, amis).

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

A) Facteurs de risque environnementaux

24
Q

sont déjà ou en cours de devenir intégrés à la personnalité du jeune.

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

B) Facteurs de risque caractérologiques

25
Q

sont englobés dans le comportement du jeune ou aggravés par le comportement du jeune (ex : jeune déjà en trouble de comportement dans d’autres sphères de sa vie).

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

C) Facteurs de risque comportementaux

26
Q

comprenant les idées, les attitudes, les croyances et autres schèmes de pensée qui influencent et façonnent les comportements du jeune (ex. : distorsions cognitives).

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

D) Facteurs de risque cognitifs

27
Q

contribuent et influencent la personnalité, les comportements et les réponses aux stimuli (ex : expériences traumatisantes durant l’enfance).

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

E) Facteurs de risque développementaux

28
Q

les intérêts et les expériences sexuelles qui contribuent au passage à l’acte. (ex. : usage de la pornographie, masturbation compulsive, hypersexualité)

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

F) Facteurs de risque sexuels

29
Q

peuvent entraver la capacité du jeune à participer ou à bénéficier d’un traitement spécifique en lien avec sa problématique sexuelle. (ex. : psychose)

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques (comorbidité)
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

G) Facteurs de risque psychiatriques (comorbidité)

30
Q

réfèrent à des déficits cognitifs ou des capacités qui peuvent contribuer à expliquer les comportements du jeune ou entraver le traitement. (ex. : déficience intellectuelle)

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

H) Facteurs de risque intellectuels

31
Q

les conditions à l’intérieur de la structure familiale qui ont permis de définir et de façonner le comportement du jeune et qui continuent de servir les facteurs de risque. (ex. : milieu familial dysfonctionnel à plusieurs niveaux)

A) Facteurs de risque environnementaux
B) Facteurs de risque caractérologiques
C) Facteurs de risque comportementaux
D) Facteurs de risque cognitifs
E) Facteurs de risque développementaux
F) Facteurs de risque sexuels
G) Facteurs de risque psychiatriques
H) Facteurs de risque intellectuels
I) Facteurs de risque familiaux
A

I) Facteurs de risque familiaux

32
Q

Vrai ou Faux ?
Entre 40 et 60%, des AAS ont une histoire de délinquance non sexuelle antérieure au délit sexuel pour lequel ils ont été référés;

A

Vrai

33
Q

Vrai ou faux?

Les AAS commettent plus de délits que les délinquants non sexuels.

A

Faux. Les AAS commettent moins de délits que les délinquants non sexuels.

34
Q

Vrai ou Faux ?
Les AAS ayant commis des délits sexuels violents représentent le groupe de délinquants sexuels ayant le plus haut taux de délits non sexuels et sont impliqués dans une variété de comportements antisociaux violents depuis leur enfance.

A

Vrai

35
Q
De quoi s'agit t'il ?
Fréquentes chez les AAS, variant dans des proportions de 10% à 50%;
A) Délinquance non sexuelle
B) Difficultés d'apprentissage
C) Problèmes de consommation
D) Victimisation sexuelle
A

B) Difficultés d’apprentissage

36
Q

Vrai ou Faux?
La fréquence d’un quotient intellectuel bas (inférieur à 80) est moindre chez les AAS qui agressent des pairs ou des adultes que chez l’ensemble des AAS;

A

Faux. La fréquence d’un quotient intellectuel bas (inférieur à 80) est plus grande chez les AAS qui agressent des pairs ou des adultes que chez l’ensemble des AAS;

37
Q
De quoi s'agit-il ? 
D’après les études, les taux varient de 8% à 34% chez les AAS;
A) Délinquance non sexuelle
B) Difficultés d'apprentissage
C) Problèmes de consommation
D) Victimisation sexuelle
A

C) Problèmes de consommation

38
Q

L’utilisation d’une substance peut être considérée comme un _________________ à cause de l’effet désinhibiteur qui augmente l’impulsivité.
A) Facteur de risque
B) Facteur précipitant
C) Facteur contributif à l’agression

A

C) Facteur contributif à l’agression

39
Q
De quoi s'agit-il ?
Les AAS ont des déficits importants sur ce plan (plus de 80%);
A) L'empathie
B) Les habiletés sociales
C) La sexualité
A

B) les habiletés sociales

40
Q

Vrai ou faux ?
Les AAS qui ont commis des délits sur des enfants se montrent plus craintifs lors des situations sociales, plus particulièrement lors de situations d’intimité (demander à une fille de sortir, lui demander d’avoir une relation sexuelle, etc.)

A

Vrai

41
Q

Les fréquences de ___________ chez les AAS varient grandement d’une étude à l’autre (de 30% à 70%), mais demeurent plus élevées que celles qui sont observées dans la population en général;
A) Lacunes au niveau des habiletés sociales
B) Délinquance non sexuelle
C) Difficultés d’apprentissage
D) Victimisation sexuelle durant l’enfance

A

D) Victimisation sexuelle durant l’enfance

42
Q

Les AAS qui ___________ semblent avoir un profil différent de ceux ne l’ayant pas été, en terme de caractéristiques liées aux agressions. En effet, les premiers agresseraient à un plus jeune âge, feraient plus de victimes, seraient moins portés à n’avoir que des victimes féminines.

A

ont été agressés sexuellement

43
Q
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ peut être une caractéristique partagée par les AAS (42%). 
A) Le manque d'empathie
B) La victimisation sexuelle
C) Le trouble de l'apprentissage
D) L'état dépressif
A

D) L’état dépressif

44
Q

De façon générale, les mères des adolescents ayant commis des abus _________ étaient significativement plus enclines à rapporter une histoire personnelle de victimisation antérieure que ne l’étaient les mères des adolescents ayant perpétré des agressions ________
A) intra familiaux et extra familiales
B) extra familiaux et intra familiales

A

A) intra familiaux et extra familiales

45
Q

Le diagnostic de santé mentale le plus souvent rapporté chez les parents d’AAS est : __________
A) Anxiété
B) Dépendance à l’alcool ou aux drogues
C) Dépression

A

C) Dépression

46
Q

___ des AAS proviennent de familles monoparentales;
___ des AAS ont été séparés d’un des parents pendant une période prolongée.
A) 79% et 45%
B) 45% et 79%
C) 47% et 51%

A

B) 45% et 79%

47
Q

De quel type de famille s’agit t’il ?

 Au sein de cette famille, il n’y a pas d’amour inconditionnel.
 Les parents considèrent que les enfants sont leur propriété et c’est ainsi qu’ils les utilisent
pour répondre à leurs propres besoins.
 D’autre part, ils peuvent avoir des attentes très irréalistes par rapport à ceux-ci.
 Ces attentes peuvent être négatives (dans le cas où l’on s’attend à ce que l’enfant vive des échecs) ou encore, trop élevées.
 Les enfants évoluant au sein de ce type de famille ont souvent l’impression que l’on s’intéresse à eux seulement lorsqu’ils sont en mesure de répondre aux besoins de leurs parents.
 C’est donc dire que le renforcement est externe et que dans ces conditions, ces enfants ont de la difficulté à développer un sentiment de valorisation personnelle.
 Malheureusement, ce type de relation amène le jeune à développer uniquement des rapports utilitaires où les besoins ne sont pas comblés à travers la communication, mais plutôt à partir de la manipulation des autres.

A) La famille exploitante
B) La famille rigide
C) La famille chaotique et désengagée
D) La famille pseudo-parfaite
E) La famille qui fût déjà adéquate
A

A) La famille exploitante

48
Q

De quel type de famille s’agit t’il ?

 Cette famille est souvent la plus secrète et la plus isolée socialement dans la mesure où ils entretiennent très peu de contacts avec le monde extérieur.
 Les membres de la famille se convainquent mutuellement qu’ils n’ont pas besoin d’entretenir des contacts extrafamilials puisque la famille est autosuffisante.
 On remarque également que la famille rigide a souvent plusieurs secrets et tabous qui servent à protéger le système familial.
 La relation parent/enfant peut être symbiotique. C’est ainsi que les enfants ont de la difficulté à se séparer des parents et à s’individualiser.
 Le fil conducteur d’une telle cohésion entre les membres de la famille semble être une insécurité extrême. Chacun a peur de l’abandon et croit que les changements pouvant survenir à l’intérieur du système de même que les divulgations possibles peuvent être catastrophiques pour la famille.

A) La famille exploitante
B) La famille rigide
C) La famille chaotique et désengagée
D) La famille pseudo-parfaite
E) La famille qui fût déjà adéquate
A

B) La famille rigide

49
Q

De quel type de famille s’agit t’il ?

 Il s’agit d’une famille à problèmes multiples, qui présente des dysfonctions à plusieurs
niveaux et qui est en crises perpétuelles.
 Ce qui caractérise cette famille c’est une extrême immaturité et de pauvres habiletés dans toutes les sphères de vie.
 Les relations affectives tendent à être superficielles et sans discernement.
 La supervision des enfants est souvent pauvre dans ce type de famille et c’est ainsi que
les intervenants doivent avoir peu d’attentes au niveau du contrôle externe.
 Il est à noter, la majorité des adolescents agresseurs sexuels évoluent au sein de ce type de famille.

A) La famille exploitante
B) La famille rigide
C) La famille chaotique et désengagée
D) La famille pseudo-parfaite
E) La famille qui fût déjà adéquate
A

C) La famille chaotique et désengagée

50
Q

De quel type de famille s’agit t’il ?

 La famille semble à première vue très fonctionnelle et appropriée.
 Les agressions sexuelles commises par le jeune sont perçues par les parents comme une aberration au sein d’une famille idéale. Le père a souvent une carrière bien en vue et la mère est une femme qui s’occupe de ses enfants et qui s’implique dans la communauté.
 L’adolescent agresseur démontre habituellement du succès à l’école même si, à l’occasion, des problèmes d’apprentissage peuvent être identifiés.
 Les parents semblent très concernés par les problèmes de leur enfant et donnent l’impression d’être coopératifs et d’être en mesure d’avoir du contrôle sur ce dernier. Toutefois, au moment de l’évaluation, on s’aperçoit que la qualité de la relation entre les parents et l’enfant est faible et sans profondeur.
 Les membres de la famille s’investissent plutôt dans la préservation de l’image de la famille « parfaite ».
 L’expression des sentiments est supprimée et les problèmes sont résolus de façon superficielle, par exemple, en s’attardant seulement au comportement problématique de leur enfant.
 Il importe de spécifier que sous cette apparence de coopération et de conformité, les thérapeutes se heurtent à plusieurs résistances au cours du traitement.

A) La famille exploitante
B) La famille rigide
C) La famille chaotique et désengagée
D) La famille pseudo-parfaite
E) La famille qui fût déjà adéquate
A

D) La famille pseudo-parfaite

51
Q

De quel type de famille s’agit t’il ?

 Ce type de famille est devenue dysfonctionnelle à la suite d’une nouvelle dynamique qui s’est installée (ex. : adoption, famille recomposée avec des enfants dans les deux familles).
 C’est ainsi que l’aîné des enfants peut avoir le sentiment d’avoir perdu son statut et c’est la jalousie ou encore la colère qui peut amener le passage à l’acte sur des enfants plus jeunes.
 Enfin, il importe de préciser que ces familles sont parfois les plus difficiles à impliquer dans le processus thérapeutique puisque, souvent, elles refusent de voir leur rôle contributif et l’impact que peut avoir la problématique du jeune sur les autres membres de la famille.

A) La famille exploitante
B) La famille rigide
C) La famille chaotique et désengagée
D) La famille pseudo-parfaite
E) La famille qui fût déjà adéquate
A

E) La famille qui fût déjà adéquate

52
Q

Dans les échantillons de jeunes auteurs d’abus sexuels, les situations dˈinceste dans la fratrie comptent pour environ __ du total des passages à l’acte
A) 25%
B) 50%
C) 75%

A

A) 25%

53
Q

Dans plus de __ des familles d’AAS, l’un des parents a un problème de consommation régulière d’alcool ou drogues au moment de l’entretien avec l’équipe de recherche.
A) 25%
B) 50%
C) 75%

A

B) 50%

54
Q

Environ _____ des adolescents auteurs d’abus, prétendent avoir été exposés à la violence physique dans leur milieu familial.
A) Le quart
B) Le tiers
C) La moitié

A

A) Le quart

55
Q

De quoi s’agit-il ?

peuvent contrebalancer l’impact des facteurs de risque en diminuant la probabilité que ces derniers évoluent vers l’aboutissement d’une mésadaptation ou d’une psychopathologie en raison d’un développement concomitant de compétences

A

FACTEURS DE PROTECTION :