1. Prologue Flashcards
Cette notion vise les différences physiques et cognitives, le développement émotionnel, le pouvoir, le contrôle et l’autorité.
A) Égalité
B) Consentement
C) Coercition
A) Égalité
Cela fait référence à un arrangement entre deux personnes
A) Égalité
B) Consentement
C) Coercition
B) Consentement
elle se définit comme les pressions exercées sur la victime, qui empêchent celle-ci de prendre une décision libre.
A) Égalité
B) Consentement
C) Coercition
C) Coercition
Agression sexuelle qui ne cause pas ou presque pas de blessures corporelles à la victime.
A) Agression sexuelle simple
B) Agression sexuelle armée, menaces à une tierce personne ou infliction de lésions corporelles
C) Agression sexuelle grave
A) Agression sexuelle simple (art. 271) —
Agression sexuelle à laquelle se rattache une ou des circonstances aggravantes soit :
1. Porter, utiliser ou menacer d’utiliser une arme ou une imitation d’arme;
2. Menacer d’infliger des lésions corporelles à une autre personne que
le plaignant;
3. Infliger des lésions corporelles au plaignant;
4. Participer à l’infraction avec une autre personne.
A) Agression sexuelle simple
B) Agression sexuelle armée, menaces à une tierce personne ou infliction de lésions corporelles
C) Agression sexuelle grave
B) Agression sexuelle armée, menaces à une tierce personne ou infliction de lésions corporelles (art. 272) —
Agression sexuelle qui blesse, mutile ou défigure la victime ou met sa vie en danger.
A) Agression sexuelle simple
B) Agression sexuelle armée, menaces à une tierce personne ou infliction de lésions corporelles
C) Agression sexuelle grave
C) Agression sexuelle grave (art. 273) —
De quoi s’agit-il ?
- Gêne ou peur des victimes ayant contribué à limiter la dénonciation.
- Absence de motivation de la part des adolescents agresseurs sexuels à recevoir un traitement.
- Déficit par rapport aux connaissances de base du phénomène de la délinquance sexuelle juvénile
par les professionnels.
- Souci de protéger les adolescents agresseurs de la stigmatisation.
- Professionnels ayant considéré les comportements d’exploitation sexuelle comme étant de simples expérimentations à l’adolescence.
- Perception par les policiers comme étant un événement isolé, qui ne doit pas se répéter et culminer vers le système de justice.
A) FACTEURS AYANT UN RÔLE CONTRIBUTIF QUANT À L’ÉMERGENCE DU PHÉNOMÈNE DES
AGRESSIONS SEXUELLES CHEZ LES ADOLESCENTS
B) FACTEURS AYANT RETARDÉ LE DÉVELOPPEMENT D’UNE INTERVENTION SPÉCIFIQUE À
L’ENDROIT DES ADOLESCENTS AGRESSEURS SEXUELS.
B) FACTEURS AYANT RETARDÉ LE DÉVELOPPEMENT D’UNE INTERVENTION SPÉCIFIQUE À
L’ENDROIT DES ADOLESCENTS AGRESSEURS SEXUELS.
De quoi s’agit-il ?
- Expériences d’exploration sexuelle durant l’enfance ayant été désapprouvées et punies de façon exagérée.
- Négation, minimisation et répression de la société à l’égard des besoins sexuels des adolescents.
A) FACTEURS AYANT UN RÔLE CONTRIBUTIF QUANT À L’ÉMERGENCE DU PHÉNOMÈNE DES
AGRESSIONS SEXUELLES CHEZ LES ADOLESCENTS
B) FACTEURS AYANT RETARDÉ LE DÉVELOPPEMENT D’UNE INTERVENTION SPÉCIFIQUE À
L’ENDROIT DES ADOLESCENTS AGRESSEURS SEXUELS.
A) FACTEURS AYANT UN RÔLE CONTRIBUTIF QUANT À L’ÉMERGENCE DU PHÉNOMÈNE DES
AGRESSIONS SEXUELLES CHEZ LES ADOLESCENTS
Vrai ou Faux ?
De nombreux auteurs ont établi qu’entre 50 et 60 % des agresseurs sexuels adultes avaient commencé leur carrière criminelle à l’adolescence
Vrai
Vrai ou faux ?
Nous pouvons affirmer que la sévérité des comportements d’agression peut augmenter lorsque les individus ne reçoivent pas de traitement.
Vrai. De nombreux auteurs ont noté un profil d’aggravation chez plusieurs de leurs sujets, ceux-ci passant d’infractions comme l’exhibitionnisme ou des attouchements à des offenses plus sérieuses et plus violentes. Donc, nous pouvons affirmer que la sévérité des comportements d’agression peut augmenter lorsque les individus ne reçoivent pas de traitement.
Vrai ou Faux ?
Les recherches ont démontré que les adolescents agresseurs commettent des délits sexuels moins violents que ceux perpétrés par les adultes.
Faux. Les recherches ont démontré que les adolescents agresseurs peuvent commettre des délits
sexuels plus violents que ceux perpétrés par les adultes.
Abel (1984) estimait qu’un adolescent agresseur de sexe
masculin, qui ne serait pas pris en charge, ferait en moyenne ___ victimes au cours de sa vie.
A) 260
B) 280
C) 380
C) 380
Dans les années \_\_\_\_, les premières études portait sur le débat entre la banalisation de ces comportements à l’adolescence et la pertinence d’effectuer une intervention spécifique auprès de ces jeunes dès le début de leur carrière criminelle afin de la contenir et d’en diminuer les conséquences. A) 1930 B) 1940 C) 1950 D) 1960 E) 1970
B) 1940
Dans les années ____, des études offrent la première description de ces jeunes. Ils sont alors dépeints comme des individus solitaires ayant très peu de relations avec les jeunes de leur âge. Ils recherchent et préfèrent la présence d’enfants plus jeunes, ce qui traduit une
immaturité sociale et sexuelle. Cette méfiance à l’égard de leurs pairs, combinée à une idéalisation du monde des enfants est aujourd’hui considérée comme une caractéristique fondamentale des pédophiles adultes.
A) 1930
B) 1940
C) 1950
D) 1960
E) 1970
D) 1960
À la fin des années ___, le phénomène des agressions sexuelles commises par des adolescents a acquis
une forte visibilité. Aux États-Unis, les programmes de traitement spécialisés ont été multipliés afin d’accueillir cette clientèle dont on a longtemps méconnu les
comportements. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette émergence des publications scientifiques :
- Poussée du mouvement féministe qui a proposé une intervention plus radicale à l’égard des
adolescents agresseurs sexuels.
- Les études rétrospectives menées auprès d’agresseurs
sexuels adultes ont permis de démontrer qu’une proportion importante d’entre eux commencent leur carrière criminelle à l’adolescence.
A) 1930
B) 1940
C) 1950
D) 1960
E) 1970
E) 1970
Les études épidémiologiques ont notamment mis en évidence l’ampleur du phénomène puisqu’on
estime que _____ des violences sexuelles seraient commises par des adolescents
A) le quart
B) le tiers
C) la moitié
B) Le tiers
des études prospectives estiment entre ____ le pourcentage d’adolescents poursuivant ce comportement à l’âge adulte
A) 5 à 10%
B) 10 à 15%
C) 15 à 25%
B) 10 à 15%
Conduite dont l’auteur est un mineur au sens de la loi A) Conduite juvénile B) Conduite dérogatoire C) Conduite incriminable D) Conduite sélectionnée
A) Conduite juvénile
Conduite qui va à l’encontre des prescriptions normatives écrites (manquement au Code criminel) A) Conduite juvénile B) Conduite dérogatoire C) Conduite incriminable D) Conduite sélectionnée
B) conduite dérogatoire
____________ dont le caractère illégal a été, ou
pourrait être validé par une arrestation ou une comparution devant un tribunal et qui est
passible d’une décision à caractère judiciaire
A) Conduite juvénile
B) Conduite dérogatoire
C) Conduite incriminable
D) Conduite sélectionnée
C) conduite incriminable
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ puisqu’elle n’englobe qu’un nombre limité d’actes A) Conduite juvénile B) Conduite dérogatoire C) Conduite incriminable D) Conduite sélectionnée
D) conduite sélectionnée
C’est un jeune de moins de 18 ans qui commet un crime sexuel avec une personne de tout âge, contre la volonté de la victime et sans son consentement ou accompagné de chantage et de menaces
Délinquant sexuel juvénile
D’après Ryan (1991), lorsque nous évaluons s’il y a présence ou non d’exploitation, il y a
trois facteurs primordiaux dont nous devons tenir compte. Quels sont-ils ?
Égalité, consentement, coercition
Les études rétrospectives menées auprès des agresseurs sexuels adultes ont permis d’établir qu’une forte proportion d’entre eux ont commis leur premier délit sexuel à l’adolescence. De nombreux auteurs ont établi qu’entre ______ des agresseurs sexuels adultes avaient commencé leur carrière criminelle à l’adolescence.
A) 30 à 40%
B) 40 à 50%
C) 50 à 60%
C) 50 et 60 %
Vrai ou Faux ?
Plusieurs chercheurs sont parvenus à démontrer que les interventions qui sont effectuées durant
l’adolescence ont plus de chances de réussir, car les intérêts sexuel déviants sont moins enracinés
que chez les adultes agresseurs sexuels.
Vrai
Historiquement, la prise de conscience de la nécessité d’intervenir précocement auprès des auteurs d’agression sexuelle afin de lutter contre la récidive a été liée à la découverte que près de ___ des agresseurs adultes ont commis leur première agression au cours de l’adolescence
50%
Vrai ou Faux
Ces jeunes ne souffrent pas forcément de désordres émotionnels et de problèmes d’adaptation.Ces jeunes souffrent plutôt de maladies psychiatriques classiques (ex. : psychose).
Faux
Ces jeunes ne souffrent pas forcément de maladies psychiatriques classiques (ex.: psychose). Ces jeunes souffrent plutôt de désordres émotionnels et de problèmes d’adaptation.
On estime à __%, la part des viols et à __% la part des agressions commises sur des enfants par les adolescents.
On estime à 20%, la part des viols et à 50% la part des agressions commises sur des enfants par les adolescents.
Plus de __% des garçons et __% à __% des filles victimes d’agression sexuelle l’ont été par un adolescent plus âgé.
Plus de 50% des garçons et 20% à 30% des filles victimes d’agression sexuelle l’ont été par un adolescent plus âgé.
Vrai ou Faux ?
La plupart des adolescents récidivent après le signalement.
Faux. On sait aussi que la plupart des adolescents récidivent peu après le signalement, à l’exception d’une minorité de sujets présentant des troubles psychiatriques.