3. Aspects théoriques Flashcards

1
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

  • Caractéristiques personnelles
A

De façon générale, on remarque que les AAS présentent les mêmes caractéristiques personnelles que les agresseurs adultes.

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2
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

  • Le sexe
A

La grande majorité des AAS sont des garçons. On retrouve cette même suprématie du mâle chez les adultes commettant des abus sexuels.

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3
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

  • L’environnement familial
A

L’environnement familial dysfonctionnel dans lequel évoluent la plupart des AAS est comparable à l’environnement familial qu’ont connu plusieurs agresseurs adultes durant leur enfance.

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4
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

  • Les caractéristiques des victimes et la nature des abus perpétrés
A

Les caractéristiques des victimes et la nature des abus perpétrés par les AAS sont semblables à celles des agresseurs adultes.

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5
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

  • Nombre de passage à l’acte avant celui pour lequel ils sont arrêtés
A

La majorité des agresseurs sexuels, qu’ils soient juvéniles ou adultes, ont perpétré au moins un délit (passage à l’acte sexuel) avant celui pour lequel ils ont été référés aux autorités.

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6
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Registre de moyens de persuasion

A

Les AAS ont un registre de moyens de persuasion un peu plus limité que les adultes agresseurs.

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7
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Palmarès de victimes

A

Les AAS ont habituellement un palmarès plus restreint de victimes que les agresseurs adultes.

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8
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Enracinement dans la délinquance sexuelle

A

Les AAS sont évidemment moins enracinés dans leur délinquance sexuelle que les adultes agresseurs au moment de la prise en charge.

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9
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Connaissances sur la sexualité

A

De façon générale, les AAS d’aujourd’hui ont un peu plus de connaissances sur la sexualité que les agresseurs adultes d’un certain âge.

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10
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Implication de la famille dans le processus thérapeutique

A

L’implication de la famille (parents) dans le processus thérapeutique est une pratique courante dans le traitement des AAS. Pour des raisons évidentes, cette procédure n’est pas d’usage dans le traitement des agresseurs adultes, qui ne sont généralement plus sous la charge de leurs parents.

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11
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Système de justice

A

Contrairement aux adultes qui relèvent d’une seule loi, les AAS peuvent relever de deux lois différentes, soit de la Loi sur le système de justice pour adolescents (LSJPA) ou encore, de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ).
En ce qui concerne les sentences, on constate que le système de justice serait plus clément à l’égard des adolescents.

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12
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

Stigmatisation

A

Contrairement aux adultes, on remarque une certaine crainte à étiqueter les adolescents qui commettent des abus sexuels.

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13
Q

Cette caractéristique est-elle une différence ou une ressemblance entre les AAS et les agresseurs adultes ?

L’accessibilité à un traitement spécifique

A

L’accessibilité à un traitement spécifique des troubles du comportement sexuel est beaucoup plus limitée pour les AAS.

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14
Q

Vrai ou Faux ?

Les intérêts sexuels déviants s’installent dès le début ou avant l’adolescence.

A

Vrai

L’adolescence est une période critique dans l’apparition des comportements sexuels atypiques et criminels.

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15
Q

Vrai ou Faux ?

Les jeunes qui commettent leur premier abus au début de l’adolescence ont moins de chance de devenir des agresseurs chroniques.

A

Faux.

Les jeunes qui commettent leur premier abus au début de l’adolescence ont plus de chance de devenir des agresseurs chroniques.

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16
Q

Vrai ou Faux ?

Plus du quart des AAS auraient commis un ou plusieurs délits sexuels avant celui pour lequel ils ont été dénoncés.

A

Faux. Plus de la moitié des AAS auraient commis un ou plusieurs délits sexuels avant celui pour lequel ils ont été dénoncés.

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17
Q

Vrai ou Faux ?

La gravité des agressions commises par les adolescents semble connaître une progression avec l’âge et le temps.

A

Vrai

Il est donc préférable d’intervenir au début de la carrière criminelle pour la contenir et réduire du même coup le nombre de victimes.

18
Q

Vrai ou faux?
Les abus sexuels perpétrés par les adolescents représentent un début de carrière, une étape dans l’acquisition des modèles d’intérêts sexuels déviants plutôt que des comportements d’exploration sexuelle.

A

Vrai.

Il est donc préférable d’intervenir au début de la carrière criminelle pour la contenir et réduire du même coup le nombre de victimes.

19
Q

Dans le contexte d’évaluation des délinquants sexuels, trois facteurs distinguent les jeunes des adultes. Quels sont-ils ?

A
  1. Les changements majeurs relatifs à la maturité se produisent à l’adolescence. Ils commencent à intégrer davantage les normes sociales dans leur personnalité et leurs comportements.
  2. Les jeunes contrairement aux adultes ne manifestent pas de modèle évident de déviance. Donc, la présence de fantasmes non déviants chez les jeunes est plus grande que la présence de fantasmes déviants.
  3. Les facteurs familiaux jouent un rôle crucial dans le développement du jeune délinquant. Il est donc important de cibler les facteurs familiaux lors de l’évaluation.
20
Q

Un agresseur peut avoir une ou plusieurs paraphilies, de sorte qu’un même individu peut avoir plusieurs types de délits, c’est ce que l’on appelle une __________________________.

A

délinquance sexuelle polymorphe

21
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Ces adolescents présentent fréquemment un retard de développement observable à travers une série de symptômes témoignant de leurs difficultés à dépasser certaines étapes de maturation et d’autonomisation:

  • énurésie primaire jusqu’à la préadolescence,
  • retard de croissance,
  • apparition tardive des premiers signes pubertaires,
  • difficulté de repérages spatiaux temporels qui les rendent incapables, par exemple, de prendre les transports en commun sans la présence d’un adulte.

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

A) Troubles développementaux

22
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Ils présentent aussi:

-Isolement
-Des troubles du lien social
-Des difficultés relationnelles:
Timidité excessive
Conduite d’évitement phobique face aux personnes étrangères à leur environnement habituel.
Difficulté de communication émotionnelle

Sur le plan cognitif, on constate souvent une forme de pensée syncrétique (se dit de la perception, de la vision globale d’un ensemble) qui engendre des troubles de la pensée logique.

Ils ont des difficultés scolaires généralement en lien avec des troubles d’apprentissage.

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

A) Troubles développementaux

23
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Ces adolescents présentent des troubles émotionnels importants souvent marqués par l’inhibition, allant de la simple difficulté à exprimer ses affects jusqu’au syndrome alexithymique (relatif à la difficulté à exprimer ses sentiments, ses émotions).
Ils présentent des difficultés d’attachement et ont du mal à avoir des attitudes de tendresse envers autrui.
Hall et coll. (2002) ont observé que les adolescents ayant commis les agressions sexuelles les plus violentes, avec recours à la coercition, exprimaient très peu d’affects.
Ils sont plus projectifs, présentent moins d’insights et ont une vision du monde plus négative.

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

B) Troubles affectifs et sexuels

24
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Un lien entre solitude et hostilité, colère et agression sexuelle a aussi été établi empiriquement.
Les troubles dépressifs et dysthymiques sans qu’il soit toujours facile d’en comprendre l’étiologie.
Pour une partie d’entre eux, le signalement a entraîné une séparation brutale avec leur environnement familial qui peut provoquer des décompensations dépressives évidentes.
Enfin, pour d’autres, les dysrégulations émotionnelles sont anciennes et généralement associées à une histoire jalonnée d’expériences psychotraumatiques

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

B) Troubles affectifs et sexuels

25
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Ces adolescents présentent une estime de soi très basse, associée à un sentiment de moindre valeur personnelle. Leur difficulté d’affirmation entraîne une crainte anxieuse des relations à autrui.
Le développement de la vie sexuelle post pubertaire est conflictuel, le sexe étant souvent perçu comme quelque chose de menaçant, de dégradant ou de sale.
L’évitement de la vie sexuelle pour les uns contraste cependant avec la précocité des autres.
Dans certains cas, l’acte sexuel semble utilisé de façon compulsive afin de dissiper l’angoisse.
D’autres aussi peuvent avoir recours à l’acte sexuel comme moyen d’exercer un pouvoir, afin de dégrader, de blesser ou de punir autrui.

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

B) Troubles affectifs et sexuels

26
Q

À quelle catégorie des caractéristiques psychologiques des AAS correspond la description suivante :

Les résultats des études sur l’empathie sont contrastés.
Certaines recherches n’ont pu mettre en évidence de déficits empathiques parmi cette population.
D’après d’autres travaux, les adolescents auteurs d’agression sexuelle présenteraient un déficit général d’empathie qui pourrait être dû à une immaturité du jugement moral, des conceptions de soi et d’autrui.
Si ces travaux sur l’empathie étaient confirmés, les adolescents se distingueraient des adultes dont le déficit empathique semble plutôt spécifique à certaines situations ou à certaines caractéristiques des victimes.

A) Troubles développementaux
B) Troubles affectifs et sexuels
C) Manque d’empathie

A

C) Manque d’empathie

27
Q

Quelles sont les 4 utilités de classifier les AAS selon une typologie ?

A

De façon plus spécifique, le fait de pouvoir regrouper, de façon homogène, les divers types d’agresseurs sexuels permet:

  1. De mieux comprendre l’étiologie
  2. D’identifier les facteurs de risque
  3. De formuler des stratégies de prévention
  4. De comparer l’efficacité de différentes approches thérapeutiques
28
Q

Quelle est la typologie suivante ?

Cette typologie permet à l’évaluateur de faire des distinctions entre les types de délits sexuels.

Elle propose un modèle hiérarchique pour permettre à l’intervenant d’identifier chez les AAS:
Le niveau de contrôle des pulsions
Le niveau de développement moral et d’empathie envers la victime

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

A) Breer

29
Q

Quelle est la typologie suivante ?

Typologie établie à partir de caractéristiques de la personnalité. Présente 7 types d’AAS :
L’expérimentateur naif, L’abuseur d’enfant sous-socialisé, L’abuseur d’enfant pseudo socialisé, Le sexuel agressif, L’adolescent compulsif sexuel, L’adolescent impulsif et perturbé, Type7: L’adolescent ayant subi les pressions d’un groupe de pairs

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

B) O’Brien et Bera

30
Q

Quelle est la typologie suivante ?

Délit sans contact direct, Délit avec contacts directs et Pédophilie.

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

C) Becker

31
Q

Quelle est la typologie suivante ?

4 profils : Les antisociaux-impulsifs, Les abuseurs isolés, Overcontrolled/Reserved, Agressifs-sécures

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

D) Worling

32
Q

Quelle est la typologie suivante ?

Typologie de 5 profils basée sur la personnalité L’adolescent abuseur dit normal, L’antisocial, l’abuseur soumis, L’abuseur dysthymique-inhibé et le dysthymique-négativiste.

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate

33
Q

Quelle est la typologie suivante ?

Typologie basée sur le risque. Trois groupes: à faible risque, à moyen risque, à haut risque

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

F) Smith, Wampler, Jones et Reifman

34
Q

Quelle est la typologie suivante ?

La typologie est établie à partir de variables criminologiques. Décrit 6 sous-types.

Les adolescents agresseurs d’enfants
Les violeurs
Les adolescents sexuellement réactifs
Les «attoucheurs»
Les agresseurs paraphiliques
Les inclassables
A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

G) Prentky et Coll.

35
Q

Vrai ou Faux ?
Le peu de présence chez les jeunes délinquants, d’agressions sexuelles graves, de fantaisies
déviantes et de compulsivité comparativement aux adultes donne à penser que de nombreux jeunes présentent des problèmes de comportement sexuel qui peuvent être plus modifiables à l’intervention

A

Vrai

36
Q

Le terme de ___________ peut être employé d’une manière descriptive pour désigner les individus qui ont commis une infraction sexuelle au
sens de la Loi et qui, habituellement, ont vu des accusations judiciaires portées contre eux.

A

délinquance sexuelle

37
Q
De quelle typologie s'agit-il ?
Une typologie clinique basée sur des facteurs tels que la
personnalité, l’âge de la victime, le fonctionnement familial, la délinquance générale et l’histoire sexuelle. Chaque type se distingue selon la motivation derrière l'agression.
A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

B) O’Brien et Bera

38
Q
Les travaux de \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ visaient à connaître les profils de personnalité au California Psychological Inventory (CPI) (Gough, 1987) de 112 adolescents abuseurs
sexuels participant à un traitement pour individus accusés ou reconnaissant avoir commis des délits sexuels
A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

D) Worling

39
Q

Après avoir étudié l’utilité de l’âge et du lien abuseur victime pour comprendre les adolescents abuseurs sexuels, ________________ ont opté pour une analyse taxinomique selon la personnalité.

A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate

40
Q

Des données issues des dossiers judiciaires et de questionnaires auto révélés ont permis de
mener des analyses. À partir de six variables (historique de délinquance à haut risque, antécédents de délits sexuels, abus de substance, abus sexuel, problèmes de
comportement et instabilité familiale), trois groupes ont été formés.
A) Breer
B) O’Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.

A

F) Smith, Wampler, Jones et Reifman

41
Q
La typologie de \_\_\_\_\_\_\_ est établie à partir de variables criminologiques. 
A) Breer
B) O'Brien et Bera
C) Becker
D) Worling
E) Richardson, Kelly, Graham et Bhate
F) Smith, Wampler, Jones et Reifman
G) Prentky et Coll.
A

G) Prentky et Coll.