2. Les Eaux Douces Flashcards
1
Q
Vrai ou faux
L’eau est essentielle pour les mo (source de nutriments).
A
Vrai
2
Q
Vrai ou Faux
L’eau est un environnement plus stable que le sol pour les mo.
A
Vrai (voir chapitre d’intro sur les propriétés de l’eau)
3
Q
Vrai ou Faux
Les milieux aquatiques ont des zones oxygénées et des zones non oxygénées.
A
Vrai !
Le milieu aquatique fournit de l’O2 dans certaines de ces zones (pour la respiration microbienne), mais comprends également des zones anaérobies.
4
Q
Qu’est-ce que l’eau douce ?
A
Des eaux qui contiennent moins de 1000 mg/L de solides dissous dans l’eau (1g/L). Les solides sont majoritairement des sels.
5
Q
Vrai ou Faux
La salinité des certains Lacs d’eau douce a diminué grâce à l’utilisation de sels de déglaçage.
A
Faux ! La salinité a augmenté !
6
Q
Quelles sont les trois catégories d’eaux douces ?
A
- Eaux atmosphériques
- Eaux souterraines
- Eaux de surface
7
Q
Vrai ou faux
- Les environnements atmosphériques perdent leurs mo lors des précipitations.
- La richesse en mo dans les eaux souterraines augmente avec la profondeur.
- Les eaux de surface contiennent moins de mo au total que les eaux souterraines.
A
- Vrai
- Faux (plus profond = moins riche)
- Faux (Les eaux souterraines en contiennent beaucoup moins)
8
Q
Quelles sont les deux catégories des eaux douces de surface ?
A
- Lentique
2. Lotique
9
Q
Vrai ou faux
- Les eaux atmosphériques sont un habitat pour les mo.
- Les fortes pluies nettoient l’atmosphère des polluants et des mo en suspension.
- Les microorganismes pluviaux contribuent de façon significative à augmenter la population microbienne existante.
A
- Faux (un réservoir, pas un habitat)
- Vrai
- faux ( contribuent très peu ! )
10
Q
Vrai ou Faux
- Si on pense aux eaux souterraines, ses poches d’eau isolées peuvent supporter la vie de manière autonome en utilisant l’énergie solaire.
A
- Faux ! N’utilisent pas l’É solaire. Utilisent l’hydrothermalisme (chaleur du centre de la terre) ou la radiolyse (roches riche en uranium).
11
Q
Qu’est-ce qu’un habitat lentique ? Nommez des exemples.
A
C’est les eaux douces qui n’ont pas de courant. Circulation de l’eau à base vitesse.
Ex: Étangs, Lacs, etc.
12
Q
Vrai ou faux
- Le statut trophique d’un Lac est habituellement définit par son contenu en azote et en phosphore.
- Dans les Lacs d’eau douce, le phosphore est le nutriment limitant.
A
- Faux ( Seulement phosphore ! )
2. Vrai
13
Q
Définissez les milieux oligotrophes.
A
- Faible contenu en nutriments.
- Majorité des Lacs
- Concentration en nutriments basse = facteur limitant
- Beaucoup de lumière
- Faible production primaire (biomasse)
- Peu de sédiments !
14
Q
Définissez les milieux mésotrophes.
A
- Intermédiaire entre oligotrophes et eutrophes
- Contenu moyen en nutriments
- Plus d’organismes photosynthétiques
- Production primaire notable (biomasse)
- Accumulation de sédiments acceptable
- Teneur en O2 variable dans le temps
- Sujet à l’eutrophisation accélérée
15
Q
Définissez les milieux eutrophes
A
- Grande abondance de P et N = prolifération ++ de mo
- Turbidité eau ++ ( production primaire (biomasse) importante)
- Eutrophisation naturelle très probable
- Forte concentration en nutriments
- Accumulation sédiments ++
- Appauvrissement en O2 avec le temps
16
Q
Définir l’eutrophisation
A
C’est le phénomène du Lac qui s’assèche et qui est voué à disparaître.
L’eutrophisation est le phénomène de vieillissement des lacs, qui se caractérise par une augmentation de la productivité c’est-à-dire notamment par un accroissement des plantes aquatiques et des algues
17
Q
Si on pense à la profondeur d’un Lac, il est possible d’identifier des strates définies, nommez-les en ordre.
A
- Interface air/eau
- Zone littorale
- Zone pélagique (ou zone limnétique)
- Zone profonde
- Zone benthique
18
Q
Définissez l’interface air/eau (comme étant une strates visible d’un Lac/étang)
A
- Tension de surface élevée = flottaison mo
- Riche en gaz dissous ( CO2/O2)
- Mo aérobies et photosynthétiques utilisent les gaz dissous
19
Q
Donnez la définition de :
- Neuston
- Plancton
A
- Neuston : Les mo qui vivent à l’interface air/eau
2. Plancton : Mo vivant dans l’eau
20
Q
Définissez la zone littorale(comme étant une strates visible d’un Lac/étang)
A
- Sur le bord de la grève
- Peu profonde
- Rayons UV traversent l’entièreté de la zone littorale
- Abrite : plantes aquatique et pop. de mo photosynthétiques
- Sensible au refroidissement ++ (chmt de T°)
21
Q
Définissez la zone pélagique/limnétique (comme étant une strates visible d’un Lac/étang).
A
- Continuité de la zone littorale (vers les eaux plus profondes)
- Riche en O2 (environnement aérobie)
- Moins de chmt de T°
- Riche en organismes et mo photosynthétiques (consommateur qui génèrent de l’O2)
- Production primaire ++
- Mo consommateurs se nourrissent de la matière en suspension/ou de d’autres mo
22
Q
Définissez la zone profonde (comme étant une strates visible d’un Lac/étang).
A
- Après la zone pélagique , jusqu’au fond du Lac
- Limite de la zone = la lumière ne pénètre pas dans la zone profonde
- Pas de mo photosynthétiques , donc peu d’O2 (provient de la zone pélagique par diffusion )
- Microbiologiquement active : matière organique et mo des zones sup. sédimentent au fond : consommés par les mo hétérotrophes
23
Q
Définissez la zone benthique (comme étant une strates visible d’un Lac/étang)
A
- Sédiments ++
- Peu être dans tout de sorte de conditions ex:
- Sédiments zones littorale : T° chaude , lumière ++, O2
- Sédiments zone protonde : T° froide, pas de lumière, zone anaérobie
- Mo anaérobies présents : très importants car les mo anaérobies assurent la productivité biologique de l’environnement (production nutriments).
24
Q
Les habitats lentiques peuvent être caractérisés par plusieurs paramètres, lesquels (4)?
A
- Nutriments
- Profondeur
- Lumière
- La température
25
Vrai ou faux sur la lumière dans les habitats lentiques.
1. La zone photique est la zone qui va de l’interface eau/air jusqu’à la fin de la zone pélagique.
2. La zone photique est traversée par la lumière, donc les mo photosynthétiques s’y trouvent et augmentent la [ ] en O2 dans le jour.
3. Dans les zones photiques, les mo qui respirent font diminuer la concentration en O2 la nuit.
4. La zone aphotique (seul une partie des rayons passent) englobe les zones profondes et benthiques.
1. Vrai
2. Vrai
3. Vrai
4. Faux , pas de rayons lumineux qui passent
26
Associer le nom avec la bonne définition.
Épilimnion, Thermocline , Hypolimnion
1. Zone de transition rapide, les variations brusques de T° arrivent pour atteindre 4°. Marque la différence de densité entre l’eau chaude de surface et l’eau plus lourde.
2. Couche supérieure dans laquelle les T° sont plus chaudes. Eau mélangée par le vent, production primaire ++.
3. Couche inférieure qui se rend jusqu’au sédiments, basse température. Zone anoxique et anaérobie, mais riche en nutriments sédimentant de l’épilimnion.
1. Thermocline
2. Épilimnion
3. Hypolimnion
27
Bien comprendre le schéma dans les notes sur le concept des saisons et les trois zones d’une colonne d’eau.
P.5 des notes sur les eaux douces.
Avec printemps/ été / automne / hivers
28
Qui est M. Sergei N. Winogradsky ?
C’est le premier à définir le principe de mo chimiolithotrophes et également le premier à définir les interactions entre les mo dans le sol.
29
Qu’est-ce qu’une colonne de Winogradsky ?
C’est une colonne qui imite à la perfection ce qui se passe dans la nature (représentation de la stratification des couches). Cette colonne illustre l’impact des facteurs biotiques et abiotiques sur la répartition des mo dans la colonne d’eau d’un milieu lentique et dans des sédiments.
30
Ingrédients essentiels à une colonne de Winogradsky ?
1. Sédiments lenthiques
2. Source de soufre
3. Source de carbone inorganique
4. Papier : source de matière organique (cellulose)
5. Eau du même milieu
6. Lumière
31
Définissez légèrement la stratification visible de la colonne de Winogradsky.
Haut colonne
1. Eau oxygéné, algues uni-c et cyano-b (photosynthèse ++)
2. Premier organisme consommateur chimiohétérotrophe(profitent de l’O2 et de la sédimentation des nutriments fournis par les cyano-b plus haut)
3. Mo chimiolithotrophes oxydent le H2S en SO4 2- = production É pour transformer le CO2 en matière organique
4. [H2S] diminuent graduellement. B photohétérotrophes pourpres non sulfureuses = croissance et production biomasse. Utilisent peu le H2S= toxique si en trop grande [ ] .
5. [H2S] la plus élevée. B photolithotrophes anaérobies (vertes sulfureuses et pourpres sulfureuses) utilisent le H2S pour réduire le CO2 en matière organique. Elles font de la photosynthèse anoxygénique. B verte sulfureuse sont pus tolérantes (que pourpres)au H2S = formation d’une strate inférieure dans la colonne.
6. B anaérobies qui dégradent la cellulose du papier en glucose. Glucose va être utilisé par les b réductrice de soufre pour la production de H2S. H2S gazeux = diffuse vers le haut.
Bas colonne
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Qu’est-ce qu’un habitat lotique ?
- Eaux courantes en mvmt
| - Ruisseaux, rivière, certains fleuves prenant source dans des lacs d’eau douce
33
Vrai ou faux sur les habitats lotiques:
1. Production primaire limitée
2. Le carbone provient de la production primaire, donc carbone limité
3. Peu de mo dans la colonne d’eau
4. Mo lotiques accrochés sur des surfaces via biofilm ou organes spécialisés.
5. Sédiment pauvres en mo dans ces habitats.
1. Vrai
2. Faux, provient d’avantage des sources exogènes
3. Vrai ( mvmt++, donc pas habitat favorable ou colonisable à long terme )
4. Vrai (surface de plantes, rocher).
5. Faux, riches en mo en comparaison avec la colonne d’eau
34
Comment appelle-t-on le point de départ et la fin d’un habitat lotique ?
Départ : La source
| Fin : L’embouchure
35
Quelles sont les trois zones horizontales des milieux lotiques ?
1. Le cours supérieur
2. Le cours moyen
3. Le cours inférieur
36
Associez la définition avec le la bonne zone horizontale d’un milieu lotique.
1. Fort courant, beaucoup d’O2, T° fraîche, nutriment ++ , mo peu abondant car ils peinent à trouver une niche stable.
2. Courant ralenti , eau oxygéné , T° augmente , photosynthèse possible, eau riche en nutriments (berges et matière organique entraînée par le cours supérieur). Mo producteurs sont présents et actifs, ainsi que les consommateurs.
3. Courant ralenti davantage, T° intéressante, nutriment ++ car les sédiments organiques et minéraux se déposent dans le lit du cours d’eau .
1. Cours supérieur
2. Cours moyen
3. Cours inférieur
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Le séquençage génétique de masse a permit entre autres d’arriver à certaines conclusion, lesquelles (3)?
1. Beaucoup de groupes phylogénique ont pu être détectés
2. Il existe un groupe distinctif de bactéries d’eau douce
3. L’étude des facteurs influançant la répartition microbienne (pH, T°, prédation, nutriments, lumière, grandeur habitat)
38
Vrai ou faux
1. On retrouve plus de mycètes dans l’eau que dans le sol
2. Les mycètes aquatique sont davantage des Phytomycetes
3. Impossible de retrouver des Ascomycètes et des Basidiomycètes dans l’eau
4. Les zoospores des Phytomycetes sont motiles = avantage pour dissémination
5. Les Phytomycetes sont parasites obligatoires.
6. Les Phytomycetes sont presque tous attachés dans leur habitat
1. Faux , sol ++
2. Vrai
3. Faux, c’est possible
4. Vrai
5. Faux, parasites ou saprophytes (nourrit de matière organique en décomposition)
6. Vrai,demande une fixation car sous forme de long filaments (grand ratio surface/volume)
39
Vrai ou faux :
1. Les virus sont retrouvés en grand nombre dans les milieux aquatiques.
2. Principalement des bactériophages
3. les virus sont peu important dans les cours d’eau
1. Vrai
2. Vrai, proie = bactérie :))
3. faux, important dans le contrôle des populations microbienne
40
Quels sont les trois principaux indésirables des eaux douces:
1. Les entérobactéries
2. Les bactéries réductrices de Fer/Soufre
3. Les bactéries oxydations de soufre
Voir page 10, note de cours eaux douces.
41
Quels sont les 2 principaux rx des eaux usées ?
1. Nitrification et dénitrification
| 2. Retrait du phosphore
