1- Développement psychosexuel Flashcards
Croyance populaire
Croyance selon laquelle la fertilité et la sexualité vont de pair.
Raisons pour lesquelles les personnes âgées n’ont plus de relations sexuelles :
Raison principale : problèmes de santé (l’individu ou sa/son partenaire)
Ex. : maladies cardiovasculaires, diabètes, + de chirurgies, + de médicaments, etc.
Les médicaments qu’ils prennent vont avoir une influence sur leur réponse sexuelle, physiologique, etc.
Ex. : troubles de santé mentale
Personnes âgées = très vulnérables à la dépression et anxiété
Ex. : cancer (médicaments, chirurgies, radiation, etc.)
Influencent le désir, l’orgasme, l’érection, etc.
Autres raisons possibles : Baisse de libido, fatigue physique
*Nuances : Hommes VS. Femmes âgées (Variations dans les genres) :
Espérance de vie est différente
Femme mariée + Homme décédé → Difficulté à trouver un autre partenaire (car, les hommes meurent plus rapidement)
La sexualité chez les personnes âgées :
→ Expression sexuelle
La plupart des personnes âgées poursuivre une vie sexuelle avec leur partenaire (s’ils ont un partenaire)
→ Masturbation = à la hausse pour les personnes âgées qui sont seules
Sexualité = beaucoup plus dans l’érotisme, l’intimité, la profondeur (pas autant centré sur les organes génitaux)
Certains continuent d’accepter les sérotypes :
Ex. : « Je suis trop vieux », « Je ne peux plus faire ses choses là »
La fréquence des relations sexuelles diminue, mais les relations demeurent.
STATISTIQUES → Chez les personnes âgées :
1/3 connaissent une baisse
1/3 reste pareil
1/3 dans le plafond
Raisons qui rendent les relations sexuelles plus difficiles : accessibilité des partenaires dans les centres d’accueil, solitude, problèmes de mobilité, etc.
Comportements sexuels normatifs :
Spontanés, mutuels (les enfants sont tous d’accord; consentant) et relèvent de la curiosité et de l’exploration
Comportements sexuels inquiétants :
Questions de persistance, de fréquence, de contrôle, d’inégalité d’âge ou d’habiletés entre les enfants
Ex. : lorsqu’on dit à un enfant d’arrêter de faire X comportement a de nombreuses reprises
Ex. : enfant de 11 ans fait des attouchements sexuels à un enfant de 3 ans (sont à différents stades de leur développement sexuel).
Comportements sexuels non normatifs :
Interfèrent avec le développement de l’enfant : ex. : coercition, intimidation, l’usage de force; associés/liés à la détresse émotionnelle.
Pourrait indiquer qu’un enfant a connu un traumatisme ou un abus.
Coercition : « si tu ne fais pas X, je vais faire X » (ex. : tuer ton animal, dire à ta mère que c’est ta faute, etc.)
Les comportements sexuels considérés non normatifs dépendent des __________
Les comportements sexuels considérés non normatifs dépendent des facteurs culturels.
La façon dont on perçoit la situation implique des normes (des éléments) culturelles.
Le fait d’être exposé a de la violence sexuelle peut avoir un impact, mais pas nécessairement.
⇒ Important de regarder au portrait global (rendement scolaire de l’enfant, relations avec ses amis, humeur dans la vie de tous les jours, etc.)
Recherches sur la sexualité des enfants
Recherches sur la sexualité des enfants = Rare
Car, les enfants ne peuvent pas consentir + n’ont pas la capacité intellectuelle pour répondre aux questions
*Plutôt : On demande des informations des parents
Ex. : Est-ce que l’enfant s’auto stimule? Est-ce qu’il montre ses organes génitaux ? Est-ce qu’il met sa bouche sur X ?
= Le parent observe et répond aux questionnaires
Problème : Biais de désirabilité sociale (les parents veulent que leur enfant soit « normal »)
On demande aussi aux enseignant(e)s + les éducateurs et les éducatrices
Ex. : Est-ce que tel enfant a fait X comportement dans les derniers mois ?
Le comportement en garderie peut être très différent du comportement à la maison.
En tant qu’adultes, on ne remarque pas nécessairement tous les comportements.
Ex. : on peut manquer de vue les enfants qui se masturbent pendant l’heure de la sieste (avec leurs toutous).
Recherches sur la sexualité des adolescents
Plus de données de la part des adolescents (les adolescents peuvent donner leur consentement)
Mais ! Les adolescents ont une perspective très négative sur la sexualité (ex. : grossesse non désirée, ITSS, abus, etc.)
Recherches sur la sexualité des adultes
Données provenant des adultes :
Du point de vue déontologique, plus de liberté de poser ces questions aux adultes.
*Problème = Facteur de rappel
La petite enfance (_____ ans)
L’enfance (_____ ans)
La prépuberté (_____ ans)
La prépuberté tardive (_____2 ans)
La petite enfance (0-2 ans)
L’enfance (2-5 ans)
La prépuberté (6-11 ans)
La prépuberté tardive (11-12 ans)
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
- La théorie de l’attachement
- Les expériences sensuelles
- La manipulation génitale exploratoire
- L’interprétation du non-verbal
- Le langage
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
1. La théorie de l’attachement
La théorie de l’attachement
John Bowlby + Mary Ainsworth (singe) → L’enfant développe un style d’attachement sécure ou insécure envers son parent
Attachement à l’enfance = prédicteur de l’attachement dans les relations à l’âge adulte
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
2. Les expériences sensuelles
Les expériences sensuelles
Les enfants ont deux registres :
1- Pleurer
2- Rire (être content ; prendre des bains chauds, toutous qui sont doux, etc.)
Ils connaissent des plaisirs sensuels.
Ex. : lorsque le bébé allaite, tous les sens connaissent un plaisir :
⇒ Vision → Voit le visage de sa mère
⇒ Toucher → Ressent la chaleur corporelle
⇒ Goût → Boit le lait
⇒ Odeur → Sent l’odeur de sa mère
⇒ Ouïe → Entend la voix douce de sa mère
Résultat = Le corps ressent du plaisir → Lubrification vaginale ou érection
Un parent peut « paniquer » (« c’est mon sein qui donne le plaisir a mon enfant ; est-ce que je suis en train d’abuser mon enfant ? »)
Mais, à cet âge-là, l’enfant ne connaît pas le plaisir sexuel comme on le connaît à l’âge adulte (c’est différent ; on parle d’expériences sensuelles → réflexe neurologique à un état de plaisir)
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
3. La manipulation génitale exploratoire
La manipulation génitale exploratoire
Capacité notice de l’enfant à se toucher le corps
Lorsqu’ils touchent leur corps, on ne parle pas de masturbation.
Ex. : se mettent les doigts dans le nez, dans l’anus, dans la vulve, le nombril, etc.
Ils tente de comprendre les limites de leurs corps
= Se découvrent eux-mêmes
Ce sont les adultes, qui souvent, interviennent ou empêchent les enfants de se « toucher »
Les enfants comprennent que s’ils touchent X partie de leur corps, le parent va être en colère → punition.
Manipulation = n’est pas sexuelle, n’est pas érotique → Découverte seulement
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
4. L’interprétation du non-verbal
L’interprétation du non-verbal
Les enfants apprennent à reconnaître les expressions de leur parents
« Mon parent est-il content ? fâché ? »
1) La petite enfance (0 à 2 ans)
5. Le langage
Le langage
Vient vers 1 an - 1 an et demi
Les enfants tentent de comprendre leur corps ; intégrer cela dans leur concept de soi.
Ex. : chansons : « tête, épaule, genou, orteils », livres, poupées, etc.
Plusieurs enfants vont déshabiller leurs poupées pour voir ce qu’ils ont en dessous [vers environ 2 ans]
Défi(s) : plusieurs livres pour enfants parlent du corps, mais oublient les organes génitaux
Ex. : apprentissage de la propreté
Défi(s) : notion de propreté VS. saleté (difficile de ne pas représenter les organes génitaux comme étant sales, notion d’intimité (« privacy », privé = différent du « secret »)
Ex. : termes employés pour décrire les organes génitaux
Termes enfantins : « pepe », « zeze »
Termes ambigus (ou pas suffisamment précis) : « Le garçon a un penis et la fille a un vagin » (en réalité, on parle de « scrotum » et de « vulve »)
Important d’utiliser les « vrais » mots (mots neutres), car les enfants sont visuels (vont littéralement descendre leurs pantalons pour voir pour eux-mêmes).
= Permet un meilleur apprentissage sexuel (possibilité d’expliquer les étapes, le processus, etc.)
Lorsqu’on utilise des mots neutres (comme « scrotum » et « vulve »), les enfants développent un sentiment d’appartenance dans leur concept de soi
Ex. : « Ça m’appartient ; c’est MON corps. »
= Important dans la prévention de l’abus sexuel.
2) Les enfants 2 à 5 ans
- L’identification sexuelle
- Le comportement « exhibitionniste »
- L’autostimulation (et non pas masturbation)
- Les jeux sexuels avec camarades : se comparer et se rassurer.
- La socialisation
2) Les enfants 2 à 5 ans
1. L’identification sexuelle
L’identification sexuelle
Identité de genre (on s’identifiie comme garcon ou fille / homme ou femme, etc.)
Théorie cognitivo-développementale (suit un peu les principes de Piaget).
Plusieurs théories expliquent comment les enfants développent une identité de genre.
À 2 ans = début du processus de l’identification sexuelle
C’est à partir de ce moment que l’enfant acquiert un sentiment d’appartenance à un sexe (*voir la définition plus bas).
Qu’est-ce que son environnement lui dit ?
Qu’est-ce qu’il observe chez les autres ?
2) Les enfants 2 à 5 ans
2. Le comportement « exhibitionniste »
Le comportement « exhibitionniste »
*Pas comme l’exhibitionnisme adulte.
70% des enfants passent par une période exhibitionniste lors de laquelle ils veulent être nus.
⇒ Certains supposent que c’est parce qu’ils reconnaissent la spécificité de leurs organes génitaux et qu’ils veulent le montrer (mais… psychanalytique)
⇒ D’autres peuvent penser qu’ils trouvent ça simplement drôle.
2) Les enfants 2 à 5 ans
3. L’autostimulation (et non pas masturbation)
L’autostimulation (et non pas masturbation)
0 à 2 ans : chercher à comprendre son corps → pleinement une découverte de soi
2 à 5 ans : se rend compte que certains endroits du corps peuvent apporter du plaisir (« ça fait du bien », « ça chatouille ») ; la stimulation n’est PAS accompagnée de fantasmes ou de plaisirs imaginés ; peuvent le faire pour apaiser des tensions, lorsqu’il sont très relaxes ; peuvent même le faire en public.
Rôle du parent = Enseigner l’étiquette sociale.
Lorsque l’ enfant adopte des comportements d’autostimulation, le parent doit :
1) Vaider ce qu’il fait
2) Lui donner la permission de le faire, mais dans un endroit ou c’est permis.
Éviter le ton négatif (transmet un message négatif ; entraîne développement d’un sentiment de culpabilité).
= La honte + la culpabilité nous accompagnent longtemps dans notre sexualité.
La masturbation vise le relâchement sexuel par l’organisme.
2) Les enfants 2 à 5 ans
4. Les jeux sexuels avec camarades : se comparer et se rassurer.
Les jeux sexuels avec camarades : se comparer et se rassurer.
C’est le jeu qui prime, pas l’élément sexuel.
Ex. : jeux de docteurs, « Je te montre le mien si tu me montres le tien. »
Comparaison avec des enfants ou des amis du même âge (même s’ils ont vu les organes génitaux de leur mère ou des membres de leurs familles).
Les enfants sont curieux ; veulent se comparer et se rassurer (Est-ce que je suis pareil ou différent ?).
Aucune autre intention ou motivation associée (telle qu’on pourrait le croire dans le monde adulte).
Jeux spontanés (et non prémédités → préméditation = plutôt adulte).
Les enfants vont recréer, par le jeu, des histoires de ce qu’ils ont entendu (mais, ce n’est que de l’imitation).
2) Les enfants 2 à 5 ans
5. La socialisation
La socialisation
Ce qui est un garçon VS. ce qui est fille
Stéréotypes masculins VS. féminins
⇒ Filles = poupées, rose, maison, etc.
⇒ Garçons = camions, dinosaures, etc.
Tranquillement, commence à changer (mais, l’environnement demeure genré).
Le processus de l’acquisition d’un sentiment d’appartenance à un sexe (l’identité sexuelle/l’identité du genre) comprend une _________________________ par l’individu des ressemblances et des différences sexuelles en fonction d’indices observés sur lui-même et son entourage.
Le processus de l’acquisition d’un sentiment d’appartenance à un sexe (l’identité sexuelle/l’identité du genre) comprend une prise de conscience graduelle par l’individu des ressemblances et des différences sexuelles en fonction d’indices observés sur lui-même et son entourage.
L’identification sexuelle selon l’approche cognitivo-développementale - 3 étapes
- La conscience du genre (2-3 ans)
L’enfant se rend compte qu’il existe deux genres ou deux sexes
Ex. : couleurs, poupées, nounours de gars et de filles, etc.
Comprennent les différences :
… par les vêtements
… par les couleurs
… par l’apparence physique
etc.
= Très visuel (utilisent les indices visuels pour déterminer s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille)
Comprend la différences physique entre les deux genres
Remarque que son corps ressemble plus à un genre qu’à l’autre.
N’est pas encore pleinement conscient du rôle des organes génitaux du sexe.
= Plutôt les traits physiques. - La stabilisation du genre (4 ans)
Comprend que le genre est un fait permanent pour la vie.
Ex. : il est né garçon et cela restera pareil jusqu’ à ce qu’il soit adulte.
*Idée quon peut changer de sexe ou de genre vient avant la stabilisation (ex., l’enfant qui dit : « Je suis un garcon » lorsque ses cheveux collent à sa tête dans le bain).
Identité des genres peut porter à confusion : L’enfant reconnait qu’il y a une permanence, mais parce qu’il est encore visuel, il va trouver difficile de déterminer si une personne est homme ou femme celle-ci démontre des caractéristiques qui dépassent les stéréotypes.
Ex. : biker avec des cheveux longs + bijoux, mais aussi une barbe, des bottes, etc. - La constance du genre (5-7 ans)
Comprend que les individus peuvent avoir différentes apparences qui vont au-delà des stéréotypes et que le genre reste stable.
Une même personne peut avoir plusieurs caractéristiques différentes.
3) Les enfants 6-11 ans
- La période pudique
- La masturbation (plus vers 10-11 ans)
- Les idoles et les scénarios de séduction
- L’homosociabilité
- Les jeux et contacts sexuels
3) Les enfants 6-11 ans
1. La période pudique
La période pudique
Les enfants montrent moins de comportements sexuels, car ils ont appris l’étiquette sociale.
Ex. : enfant de 2 ans avec sa main dans ces pantalons VS. enfant de 11 ans
Beaucoup de comportements sexuels se font en privé, car ils ont appris.
Ils commencent à défendre leur sens d’intimité (leur « privacy »)
Ex. : Ils ne veulent plus prendre leur bain avec leur frères ou soeurs, parents, etc.
Ex. : Ils veulent se changer seuls dans les magasins.
3) Les enfants 6-11 ans
2. La masturbation (plus vers 10-11 ans)
La masturbation (plus vers 10-11 ans)
Certains jeunes vont connaître l’orgasme, bien qu’il n’y ait pas d’éjaculation.
La masturbation :
… devient de plus en plus consciente et volontaire
… pratiquée de façon sporadique ou occasionnelle
… loin d’être aussi fréquente que la masturbation chez les adolescents
Différences selon le genre :
Les garçons se masturbent plus que les filles (peut-être lié à la physiologie (penis = visible, clitoris = caché)
Les garçons vont montrer entre eux les découvertes (soit en parlant avec leurs amis, ou avec des garçons plus vieux ou en pratiquant la masturbation ensemble ; « circle jerks »).
Chez les garçons, tout est une compétition (qui peut éjaculer le plus et le plus loin).
Les filles le découvrent par accident (seules) (personne ne leur en parle ; « Qu’est-ce que j’ai fait ? » → pas toute suite codé comme un plaisir organismique)
Les filles ne parlent pas de masturbation entre elles ; elles parlent plus de relations.
3) Les enfants 6-11 ans
3. Les idoles et les scénarios de séduction
Les idoles et les scénarios de séduction
Les idéaux sexuels se transmettent par les idoles et les scénarios de séduction.
Ex. : jeux : spin the bottle, truth or dare, etc.
Les règles de ces jeux impliquent de faire quelque chose avec quelqu’un.
Comme si c’est une pratique d’une capacité ou d’une habileté physique sous la forme d’un jeu.
Fascinations pour les idoles :
Ex. : Justin Bieber, Shawn Mendes (posters, oreillers, couvertures, etc.)
*Curiosité, mais « dégout » envers la sexualité.
MAIS : présence de slogans et de chansons (ex. : ADIDAS, Wendy’s bun).
Les enfants ne comprennent pas tout à fait ; ils savent que 1) c’est sexuel 2) ça fait rire les gens.
3) Les enfants 6-11 ans
4. L’homosociabilité
L’homosociabilité
Division entre les garçons et les filles dans les groupes d’amis.
Ex. : les gars jouent au soccer ensemble et les filles apprennent ensemble.
Les enfants choisissent délibérément des personnes du même genre dans leur gang d’amis.
Plusieurs initiatives supportent l’homosociabilité :
Ex. : équipes sportives de garçons et de filles, camp d’été pour les filles, boys scouts, girl guides, etc.
Leur entourage = tous du même genre, donc assez commun qu’il y ait des attouchements avec des personnes du même sexe.
Ex. : les filles qui s’embrassent pendant leur sleepovers ; les garçons qui jouent des jeux de lutte (les garçons ont moins tendance à avoir des contacts sexuels).
Les garçons pratiquent rarement le baiser comme les filles ; les jeux permettent généralement de se familiariser avec la sexualité dans un climat de confiance.
Les personnes qui ont eu des contacts sexuels avec des amis du même sexe ne vont pas nécessairement développer ue orientation gai, lesbienne (homosexuelle).
= Ces expériences ne déterminent PAS l’orientation sexuelle (elles ne sont PAS déterminantes).
Seront éventuellement remplacées par des comportements hétérosexuels au cours de l’adolescence.
3) Les enfants 6-11 ans
5. Les jeux et contacts sexuels
Les jeux et contacts sexuels
Répondent aux besoins de curiosité et d’exploration, de se rassurer sur sa propre identité sexuelle, son image corporelle et son orientation sexuelle.
Beaucoup plus sophistiqué que les 2 à 5 ans
2-5 ans = comparer et rassurer
6-11 ans = se rassurer par rapport à son identité sexuelle, son image corporelle et son orientation sexuelle.
Ex. : deux garcons regardent les seins d’une femme nue sur une photo → c’est rassurant de savoir que cette image excite aussi leur amis (« Je suis un garcon, tu es un garcon, nous aimons tous la photo ; la photo nous excite ») .
4) Les enfants 11-12 ans (pré-puberté tardive)
- Les jeux et activités sexuelles signalent un intérêt positif pour l’autre et ils sont de nature expérimentale, initiatives et exploratoires.
- L’importance primordiale des amis.
4) Les enfants 11-12 ans (pré-puberté tardive) (homo VS. hétérosexualité)
Entre 11-12 ans, les enfants gais, lesbiennes, (etc.), savent qu’ ils sont différents des autres, mais ne vont pas en parler (pas tant connus / saisis par l’individu (on ne comprend pas exactement ce qui n’est pas bien)).
Vont en parler peut-être plus vieux. Ce n’est pas toutes les écoles qui reconnaissent la diversité sexuelle.
Les jeunes gays, lesbiennes et bisexuels vont avoir des expériences/expérimenter avec l’hétérosexualité
1) … peut être pour se rassurer eux-mêmes
2) … pour conformer aux attentes de la société et de leurs amis
À 11-12 ans, les enfants vont avoir des relations, mais à court terme ; vont exprimer leur sexualité en se tenant la main, vont manger ensemble au dîner, vont se texter, vont peut-être même s’embarrasser, vont peut être faire des stimulations manuelles, attouchements, etc.