1-2 INTRODUCTION Flashcards

1
Q

Définition de la sémiologie

A

Partie de la médecine qui étudie :

les symptômes et les signes cliniques

traduisant :

  • l_a lésion d’un organe_ ou le
  • trouble d’une fonction.
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2
Q

Définition de l’orthopédie

A

Branche médicale qui a pour objet de prévenir ou de corriger les déformations et les malformations (congénitales ou acquises) :

  • des os,
  • des articulations,
  • des muscles et
  • des tendons

chez les enfants, et par extension chez les adultes.

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3
Q

Définition de la rhumatologie

A

Spécialité qui traite :

  • des maladies des différentes structures anatomiques de l’appareil locomoteur et
  • des maladies à point de départ vasculaire, osseux et nerveux

dont la tonalité douloureuse les rapproche des affections rhumatismales.

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4
Q

Définition de la traumatologie

A

Partie de la médecine consacrée à l’étude et au traitement des :

  • traumatismes,
  • blessures (chirurgie d’urgence, accidents du travail, de la circulation, chirurgie de guerre).
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5
Q

Quels sont les premiers motifs de consultation auprès du Médecin Généraliste ou dans les Services d’Urgence ?

A

Les rhumatismes et les traumatismes ostéoarticulaires

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6
Q

Annuellement, en France, le coût direct et indirect de l’arthrose et de l’ostéoporose est d’environ ?

A

1 milliard d’euros chacune

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7
Q

Annuellement, en France, le coût direct et indirect des lombalgies est de :

A

Plus de 1,4 milliard

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8
Q

Définition du handicap

A

Désavantage résultant :

  • d’une incapacité ou
  • d’une déficience (empêchant l’accomplissement social normal)
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9
Q

Définition d’une incapacité

A

Réduction partielle ou totale de la possibilité d’accomplir certains gestes (imposés ou non de la vie quotidienne)

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10
Q

Définition d’une déficience

A

Perte d’une structure ou d’une fonction (anatomique, physiologique ou psychologique)

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11
Q

Définition de la qualité de vie

A

Mesure du

  • bien-être physique,
  • mental et
  • social

(perçu par l’individu dans sa vie de tous les jours)

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12
Q

Quels sont les particularités du handicap du rhumatisant ?

A
  • Douloureux
  • Evolutif
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13
Q

Ormis le fait de faire une recherche diagnostique, que doit-on faire d’autre lorsque le handicap est évolutif?

A

Il faudra aussi essayer de fixer un pronostic

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14
Q

Définition de l’anamnèse

A

Issu des mots grecs « ána » (remontée) et « mnémè » (souvenir), l’anamnèse signifie « rappel du souvenir ».

Reconstitution de l’histoire pathologique d’un malade, au moyen de ses souvenirs et/ou de ceux de son entourage,

en vue d’orienter le diagnostic

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15
Q

Citez les principaux motifs de consultation pour une affection de l’appareil locomoteur (en dehors d’un traumatisme)

A
  • La douleur
  • La raideur articulaire
  • Un épanchement articulaire (gonflement articulaire)
  • Une déformation
  • Une sensation de faiblesse musculaire
  • Une instabilité articulaire (sensation de dérobement : « le genou me lâche »)
  • Une perte de fonction
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16
Q

Les douleurs sont la cause la plus fréquente de consultation, mode d’expression ou de révélation d’un champ très vaste de maladies, nécessitant une démarche diagnostique centrée sur 2 objectifs :

A
  1. Quelle est la topographie de la lésion ?
  2. Quelle est la nature de la lésion ?
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17
Q

Quelles peuvent être les circonstances d’apparition de la douleur ?

A
  • Spontanée (sans raison apparente),
  • Provoquée (effort, faux mouvement, traumatisme),
  • Stress de toute nature (somatique : médicaments, intervention chirurgicale, autre affection, ou psychologique)
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18
Q

Définition d’une douleur mécanique

A
  • Douleur d’effort, de mise en charge.
  • Dérouillage matinal est bref (inférieur à 15 minutes).
  • Activité : Elle se produit après un certain temps d’utilisation de l’articulation et donc se manifeste plus volontiers en fin de journée que le matin.
  • Calmée par le repos.
  • Elle peut entraîner une difficulté d’endormissement mais ne réveille pas le malade la nuit.
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19
Q

Définition de la douleur non mécanique

A

Typique par deux aspects :

  1. elle réveille le malade dans la seconde partie de la nuit et
  2. s’accompagne d’un dérouillage matinal variable (supérieur à 30 minutes) qui peut durer plusieurs heures.
  3. L’activité physique non excessive améliore donc la symptomatologie douloureuse au cours de la journée.
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20
Q

Définition d’une pathologie mécanique

A

Pathologie du système ostéo-articulaire

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21
Q

Définition d’une pathologie non mécanique

A

Pathologie poly-systémique ( dont immunitaire )

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22
Q

Citez 2 exemples de pathologies mécaniques à rythme mécanique :

A
  • Blocage articulaire
  • Arthrose ( phase d’état )
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23
Q

Citez 1 exemple de pathologies mécaniques à rythme non mécanique :

A
  • Poussée congestive arthrosique
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24
Q

Citez 2 exemples de pathologies non mécanique à rythme non mécanique

A
  • PR
  • SPA

Qui sont des pathologies inflammatoires

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25
Q

Qu’est qu’une indication à la prise en charge du patient ?

A

Le patient présente une pathologie que vous pouvez prendre en charge, votre traitement devrait améliorer les symptômes du patient

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26
Q

Qu’est ce qu’une non-indication ?

A

Prise en charge avec prudence et surveillance

Le cas du patient n’est pas contre-indiqué à votre prise en charge (selon la littérature), mais vous ne savez pas si votre traitement pourrait améliorer ou risquerait d’empirer les symptômes du patient

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27
Q

Qu’est ce qu’une contre-indication ?

A

Votre prise-en-charge risquerait d’empirer les symptômes du patient (ou de retarder la prise-en-charge par un autre thérapeute, le mettant clairement en danger)

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28
Q

Quels sont les durées des douleurs

  • Aigües
  • Subaigües
  • Chroniques
  • Réccurentes
A
  • Aigües : Moins de - 4 semaines d’évolution
  • Subaigües : Entre 4 et 12 semaines
  • Chroniques : Dure plus de + 3 mois ( variable selon auteurs )
  • Réccurentes : correspond, sur une année, à plus de 30 jours de douleurs
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29
Q

Citez les drapeaux jaunes

A
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30
Q

Comment peut-on évaluer l’intensité de la douleur ?

A
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31
Q

Quels sont les 3 grands type de douleur ?

A
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32
Q

Qu’est ce qu’une douleur nociceptive ?

A

Correspond à une activation des « nocicepteurs » par une stimulation nociceptive.

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33
Q

Qu’est ce qu’une douleur neuropathique ?

A

Correspond à une activation des voies de la douleur,

sans stimulation nociceptive.

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34
Q

Qu’est ce que l’allodynie ?

A

Réponse douloureuse à une stimulation normalement indolore :

effleurement, une source de chaleur ou même un mouvement (effleurement de la peau en cas de thrombo- phlébite)

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35
Q

Qu’est ce que l’hyperalgésie ?

A

Réponse anormalement intense à une stimulation douloureuse (sciatique hyperalgique)

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36
Q

Qu’est ce que l’hyperpathie ?

A

Douleur extrêmement intense qui se prolonge après l’arrêt du stimulus et dont l’étendue déborde largement la zone stimulée.

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37
Q

Qu’est ce qu’une douleur référée ?

A
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38
Q

Qu’est ce qu’une douleur projetée ?

A
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39
Q

Définition d’une douleur chronique

A

Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

  • liée à une lésion tissulaire existante ou potentielle,
  • ou décrite en termes évoquant une telle lésion,
  • évoluant depuis plus de 6 mois
  • et/ou susceptible d’affecter de façon péjorative le comportement ou le bien être du patient
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40
Q

Définir la rachialgie commune

A

Rachialgies d’origine mécanique ou dégénérative.

Ces rachialgies sont :

  • d’une grande fréquence,
  • répondent aux caractéristiques des douleurs mécaniques » mais
  • pas aux critères des « drapeaux rouges ».

L’origine commune des rachialgies ne peut être retenue qu’après avoir éliminé les rachialgies dites « symptomatiques »

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41
Q

Définir la rachialgie symptomatique :

A

Douleurs correspondant à différentes maladies caractéristiques :

  • tumorales (métastases, tumeurs primitives (neurinomes et autres tumeurs),
  • métaboliques
  • endocriniennes,
  • ( TME )
  • infectieuses (spondylodiscite),
  • inflammatoires (spondylarthropathie),
  • ostéopathie fragilisante (ostéoporose) ou
  • traumatique.
  • (IIOT)
  • On considère aussi les rachialgies symptomatiques extra-rachidiennes :
  • d’origine vasculaire ou
  • d’origine viscérale (projetées au rachis, provenant d’un organe profond).
  • (VV)

Ces rachialgies sont d’une moins grande fréquence, répondent aux caractéristiques des douleurs dites « non mécaniques » et aux critères des « drapeaux rouges ».

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42
Q

Quelles sont les causes de douleurs musculaires les plus fréquentes ?

A
  • Crampes
  • Déchirures
  • Contractures
43
Q

Qu’est ce qu’une crampe musculaire ?

A

Contractions musculaires SSD

  • spontanées,
  • soutenues,
  • douloureuses,
  • intéressant un ou plusieurs muscles,
  • survenant la plupart du temps au cours de l’effort
  • Généralement ischémique !
44
Q

Quelles sont les types ( Stades ) de déchirures musculaires ?

A
  1. La Contusion (Stade I) : est un coup reçu sur un muscle en phase
  2. L’Elongation (Stade II) : correspond à des micros déchirures au sein du faisceau musculaire.
  3. Le Claquage (Stade III) : se situe à un niveau de choc supérieur. Quelques fibres musculaires sont rompues.
  4. La Déchirure (Stade IV) : correspond à une déchirure partielle du muscle. C’est la lésion la plus intense et elle est potentiellement grave.
45
Q

Comment va se manifester une contracture musculaire ?

A

Se manifeste par :

  • une douleur du muscle, par
  • une douleur projetée (selon la Chartes de TRAVELL & SIMONS) et
  • la palpation de ce muscle met en évidence une zone indurée et douloureuse, synonyme de point gâchette ou trigger point.
46
Q

Qu’est ce qu’une douleur radiculaire ?

A

Elle correspond à la souffrance d’une racine nerveuse,

  • en regard du disque intervertébral ou
  • d’une articulaire postérieure,

le plus souvent dans le trou de conjugaison ou à l’intérieur du canal vertébral

On l’appelle radiculalgie, car lié à un phénomène irritatif de la racine (radiculite) : une compression légère de l’ordre de 10 mm Hg.

NB : Plus la racine sera comprimée, plus les signes neurologiques seront présents !

47
Q

Qu’est ce qu’une douleur tronculaire ?

A

Elle correspond à la souffrance d’un tronc nerveux (ou d’un nerf périphérique quelque soit sa taille), réunion d’au moins deux racines nerveuses,

  • en regard d’un muscle,
  • d’une articulation,
  • d’un os,
  • dans un défilé ou
  • un canal

formé par les structures anatomiques précitées.

48
Q

Définir la tronculopathie :

A

On peut parler de « tronculopathie » pour nommer la pathologie (et la douleur) engendrée par l’irritation ou la compression de ce tronc nerveux par

  • l’une des structures anatomiques mais également
  • par une fracture,
  • par une section,
  • par un envahissement par une tumeur bénigne ou maligne…

• Ex : syndrome du piriforme : forme simple (simple contracture musculaire) ou associée (contracture générant une pression sur le tronc du nerf sciatique).

49
Q

Dans quel cas peut-on parler de rachialgies non-spécifiques ?

A

Quand il est difficile de différencier une origine discale d’une origine articulaire postérieure.

( Grande majorité des cas )

50
Q

Concernant la projection de la douleur discale, si la fissure du disque est :

  • antérieure ou va se projeter la douleur ? A
  • latérale ? B
  • Paramédiane ? C
  • Médiane ? D
A
51
Q

Concernant La douleur référée articulaire postérieure cervicale

Dans quelles zones se retrouve-t-elle pour les étages cervicaux supérieurs ?

A

À partir des étages cervicaux supérieurs, la douleur irradie vers la région occipitale et pariétale.

52
Q

Concernant La douleur référée articulaire postérieure cervicale

Dans quelles zones se retrouve-t-elle pour les étages cervicaux moyens ?

A

La douleur déclenchée par une stimulation des articulaires postérieures du rachis cervical moyen irradie à la

  • face postéro-latérale du cou et
  • vers la région de l’angulaire et
  • du trapèze, jusqu’à l’épaule.
53
Q

Concernant La douleur référée articulaire postérieure cervicale

Dans quelles zones se retrouve-t-elle pour les étages cervicaux inférieurs ?

A

Les étages cervicaux inférieurs sont à l’origine de projections douloureuses entre

  • les omoplates (projection médiane)
  • ou vers l’omoplate
  • ou l’épaule (projection latérale).
54
Q

Quels sont les 3 sites de douleurs référées thoraco-lombaires ?

A
55
Q

Faire une comparaison entre la douleur nociceptive VS douleur neuropathique à propos de leurs :

  • Origine
  • Début d’apparition
  • Caractéristique
A
56
Q

Faire une comparaison entre la douleur nociceptive VS douleur neuropathique à propos de leurs :

  • Signes associés
  • Topographie
  • Rythmicité
A

Colonne 1 Nociceptive

Colonne 2 Neuropathique

57
Q

Faire une comparaison entre la douleur nociceptive VS douleur neuropathique à propos de leurs :

  • Examens neurologiques
  • Evolution
A

Colonne 1 nociceptive

Colonne 2 neuropathique

58
Q

Citez les différents questionnaires de la douleur :

A

MÉMO : D-SA-BLOR

  1. Le Questionnaire DN4
  2. Le Questionnaire sur la Douleur de Saint-Antoine (Q.D.S.A.)
  3. Le Questionnaire de Bournemouth
  4. L’indice Algo-Fonctionnel de LEQUESNE
  5. OSWESTRY Pain/Disability Index (Questionnaire modifié d’OSWESTRY)
  6. ROLAND-MORRIS Low Back Pain and Disability Questionnaire (échelle (questionnaire) de ROLAND-MORRIS sur l’incapacité)
59
Q

Qu’est ce que le FPS-R ?

A

Face pain scale - Revised

C’est l’echelle visuel analogique chez les enfants

60
Q

Par quel test met-on en évidence une raideur articulaire ?

A

L’indice de SCHÖBERT-McRAE

61
Q

A propos de l’indice de Shöbert-MacRae, à partir de combien peut-on parler de restriction de mobilité ( ou hypomobilité ) chez le sujet pathologique et le sujet âgé ?

A

Si l’indice est < 5

62
Q

Qu’est ce que l’impotence fonctionnelle ?

A

L’impotence fonctionnelle est la résultante de :

  • la douleur (signe fonctionnel que l’interrogatoire explore) et
  • de la raideur articulaire (signe d’examen)
63
Q

Citez les 3 cercles de la douleur :

A
64
Q

Citez les drapeaux rouges : particularités communes à l’ensemble du rachis :

A

MÉMO : ADH ARAT

65
Q

Citez les drapeaux rouges particuliers au rachis lombaire :

A
66
Q

Citez les drapreaux rouges relatifs au rachis dorsal :

A
67
Q

Citez les drapeaux rouges relatifs au rachis cervical :

A

• Insuffisance vertébro-basilaire :

  • Apparition soudaine d’une douleur intense de la partie latérale du cou ou de la tête, décrite comme étant différente des douleurs passées, associée à des signes d’insuffisance vertébro-basilaire (5Ds & 3Ns = Déséquilibres, Drop attack, Diplopie, Dysarthrie, Dysphagie, Ataxie, Nausée, Nystagmus, Numbness (engourdissements)
  • Antécédents de cervicalgies ou céphalalgies aiguës (avec vertiges, nausées) post-manipulations…

• Traumatismes :

  • Traumatisme violent, (d’autant plus importante s’il y a eu perte de connaissance) ;
  • Traumatisme mineur, en particulier chez les sujets âgés (associé avec une rigidité nucale, une incontinence) ; possible atteinte C1/C2 avec fracture odontoïdienne et risque de déplacement secondaire

• Charnière crânio-rachidienne et anomalies morphologiques :

  • Syndrome de DOWN (ou Trisomie 21 avec agénésie ou hyperlaxité du ligament transverse de l’atlas),
  • Syndrome de KLIPPEL-FEIL (asymétrie crânio-faciale, hauteur courte du cou et implantation basse des cheveux),
  • Syndrome de MARFAN (hyper mobilité) ;
  • Antécédents de rhumatismes inflammatoires (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante),

Maux de tête non primitifs :

  • Âge supérieur à 55 ans,
  • Notion de traumatisme,
  • Vomissements (en jet),
  • Présence de troubles neurologiques,
  • Présence de signes cognitifs (confusion, changement de la personnalité),
  • d’une incontinence,
  • d’une rigidité nucale,
  • d’une hypertension artérielle,
  • d’une accentuation à la toux/l’éternuement/se pencher en avant,
  • céphalées persistantes et sévères,
  • troubles visuels (diminution de l’acuité)…
68
Q

Citez la cotation des pouls :

A
69
Q

Donnez la température de référence pour :

  • Naissance
  • Petite enfance
  • Enfance
  • Adulte
A

Dans l’ordre

70
Q

Donnez la pulsation cardiaque BPM de référence pour :

  • Naissance
  • Petite enfance
  • Enfance
  • Adulte
A
71
Q

Donnez le nombre de respiration par minute de référence pour :

  • Naissance
  • Petite enfance
  • Enfance
  • Adulte
A
72
Q

Donnez la tension artérielle en systole et en diastole de référence pour :

  • Naissance
  • Petite enfance
  • Enfance
  • Adulte
A
73
Q

A partir de combien de degré C, parle t-on d’hyperthermie ?

A

Supérieure à 41°C

74
Q

A partir de combien de degré C, parle t-on d’hypothermie ?

A

Inférieure à 35,5 °C

75
Q

Citez les étapes de la procédure clinique pour l’examen du patient :

A
76
Q

Quelle échelle utilise t-on pour les reflexes, et donnez les cotations

A
77
Q

Quelle échelle utilise ton pour évaluer la force musculaire et décrire chaque cotation :

A
78
Q

Qu’est ce que la sensibilité d’un test ?

A

La sensibilité d’un test ou d’une manœuvre de diagnostic montre la possibilité de ce test ou cette manœuvre à détecter les patients porteurs d’une pathologie, révélés par la référence standard.

79
Q

Qu’est ce que la spécificité d’un test ?

A

La spécificité d’un test ou d’une manœuvre de diagnostic indique simplement la possibilité pour le test ou la manœuvre de détecter les patients qui, en fait, n’ont pas la pathologie, indiquée par la référence standard.

80
Q

Donnez les valeurs T-score de l’ostéodensitométrie pour :

  • une femme ostéoporotique
  • ostéopénie
A
  • On considère qu’une femme est ostéoporotique lorsque son T-score est inférieur à -2,5.

En l’occurrence, lorsqu’il existe des antécédents de fracture vertébrale, on peut être amené à porter le diagnostic d’ostéoporose compliquée ou établie.

  • Lorsque l’abaissement est plus modeste (T-score < -1), on parle d’ostéopénie
81
Q

Qu’est ce qu’un EMG ?

A

Examen qui permet enregistrer l‘activité électrique spontanée d’un muscle ou d’un nerf.

Le tracé obtenu s’appelle électromyogramme.

82
Q

Quels sont les deux types d’examens à distinguer pour l’EMG ?

A
  1. L’examen de détection de l’activité musculaire
  2. L’examen de stimulation de l’activité musculaire
83
Q

Quels sont les principales indications pour faire une EMG ?

A

Cet examen est particulièrement utile dans certaines pathologies comme :

  • les myalgies (douleurs musculaires),
  • la myasthénie (fatigabilité musculaire extrême), ou
  • certaines paralysies.
  • Les qualités de rythme, l’amplitude et la richesse de l’activité qui est enregistrée sont modifiées quand il existe une pathologie musculaire.
84
Q

L’EMG permet de différencier deux sortes d’atteintes, lesquelles ?

A

Cet examen va servir à différencier

  • un trouble d’origine psychologique
  • d’une atteinte du système nerveux central (cerveau et moelle épinière).
85
Q

Quel examen fait on pour savoir si un épanchement est inflammatoire ou non ?

A

La ponction et l’analyse du liquide synovial

86
Q

Décrire la synovite mécanique :

A
  • le liquide synovial est clair,
  • de coloration légèrement jaune,
  • avec une quantité de leucocytes (globules blancs) inférieure à 3.000 par ml
87
Q

Décrire le liquide synovial dans le cas d’un traumatisme ou d’une arthrose :

A

La viscosité du liquide synovial est déterminée en le faisant couler de la seringue goutte à goutte.

  • il apparaît un aspect filant avec un long filament à chaque goutte
88
Q

Décrire un liquide synovial qualifié d’inflammatoire :

A
  • le liquide est trouble et jaune,
  • avec une augmentation des globules blancs allant de 3.000 à 50.000 cellules par ml,
  • avec parmi ces globules blancs une prédominance de polynucléaires
89
Q

Décrire un liquide synovial d’origine infectieuse :

A
  • il est troublé, opaque,
  • avec une quantité de leucocytes nettement supérieure à 50 000 cellules par micro litre,
  • et une prédominance de polynucléaires (variété de globules blancs)
90
Q

Qu’est ce que la claudication ?

A

La claudication encore appelée « boiterie » sous-entend

  • la survenue d’une symptomatologie (douleur, faiblesse…) à la marche,
  • cédant à l’arrêt de celle-ci et
  • réapparaissant à la reprise de la marche.
91
Q

Que retrouve t-on à l’anamnèse d’un patient ayant une claudication vasculaire ?

A
  • Localisation de la douleur surtout dans le mollet ;
  • Douleur très vive et qui cède très vite au repos (périmètre de marche) ;
  • Douleur à type de crampes, sensation de striction ;
  • Facteurs de risque à rechercher (Hypertension artérielle, tabac, dyslipidémies, sédentarité, etc.)
  • Etiologies endocriniennes à rechercher (notamment diabète, etc.) et congénitales (malformations vasculaires) possibles.
92
Q

Que retrouve t-on à l’inspection statique d’un patient ayant une claudication vasculaire ?

A
93
Q

Que retrouve t-on à l’inspection dynamique d’un patient ayant une claudication vasculaire ?

A
94
Q

Que retrouve t-on à l’examen neurologique et vasculaire d’un patient ayant une claudication vasculaire ?

A
95
Q

Que retrouve t-on à lors des tests orthopédiques d’un patient ayant une claudication vasculaire ?

A

Aucune manœuvre orthopédique spécifique.

96
Q

Que retrouve t-on à l’anamnèse d’un patient ayant une claudication neurogénique ?

A
97
Q

Que retrouve t-on à l’inspection statique et dynamique d’un patient ayant une claudication neurogénique ?

A
98
Q

Que retrouve t-on à l’examen neuro et vasculaire d’un patient ayant une claudication neurogénique ?

A
99
Q

Que retrouve t-on au niveau des tests ortho d’un patient ayant une claudication neurogénique ?

A

Tout test produisant une extension lombaire (sténose lombaire, pathologie discale) recréera les symptômes.

100
Q

Quels sont les différents stades de gravité de la claudication intermittente artérielle ?

A
101
Q

Donnez les caractéristiques de la claudications artérielle pour sa :

  • distance d’apparition
  • douleur / gêne
  • récupération
  • contexte
  • signes associés
A
102
Q

Donnez les caractéristiques de la claudications articulaire pour sa :

  • distance d’apparition
  • douleur / gêne
  • récupération
  • contexte
  • signes associés
A
103
Q

Donnez les caractéristiques de la claudication neurologique pour sa :

  • distance d’apparition
  • douleur / gêne
  • récupération
  • contexte
  • signes associés
A
104
Q

Donnez les caractéristiques de la claudication veineuse pour sa :

  • distance d’apparition
  • douleur / gêne
  • récupération
  • contexte
  • signes associés
A