00U-CPL-S3-TH21 Flashcards
Quelles sont les conditions requises pour qu’une personne non titulaire d’un certificat d’exploitation aérienne puisse effectuer un travail aérien comprenant l’épandage de produits ? (4 réponses)
- elle est agriculteur
- elle est propriétaire de l’aéronef utilisé pour l’épandage
- l’épandage des produits, par pulvérisation ou poudrage, est effectué à des fins agricoles
- l’épandage a lieu dans un rayon de 25 milles du centre de la ferme de la personne
Il est interdit à l’exploitant aérien d’assigner du temps de vol à un membre d’équipage de conduite, et à un membre d’équipage de conduite d’accepter une telle assignation, s’il doit en résulter que le temps de vol total de ce membre d’équipage de conduite dans le cadre des vols qu’il a effectués dépassera:
1) _ heures en 365 jours consécutifs;
2) _ heures en 90 jours consécutifs;
3) _ heures en 30 jours consécutifs ou, dans le cas où le membre d’équipage de conduite est un membre d’équipage de conduite en disponibilité, _ heures en 30 jours consécutifs;
1) 1 000 heures en 365 jours consécutifs;
2) 300 heures en 90 jours consécutifs;
3) 120 heures en 30 jours consécutifs ou, dans le cas où le membre d’équipage de conduite est un membre d’équipage de conduite en disponibilité, 100 heures en 30 jours consécutifs;
Lorsque le vol est effectué en vertu des sous-parties 2 ou 3 de la Partie VII du Règlement de l’aviation canadien ou avec un aéronef deHavilland DHC-6 n’assurant pas un service régulier de transport de passagers ou avec un hélicoptère n’assurant pas un service régulier de transport de passagers ou s’il s’agit d’un héliportage de billots, pour 6 périodes indépendantes de 30 jours consécutifs en 365 jours consécutifs, le temps maximal de vol à bord de tout aéronef ne devra pas dépasser:
1) lorsque le membre d’équipage de conduite assure un service IFR à un seul pilote, _ heures par période de 24 heures consécutives;
2) _ heures par période de 7 jours consécutifs;
3) _ heures par période de 30 jours consécutifs;
4) _ heures par période de 42 jours consécutifs;
5) _ heures par période de 90 jours consécutifs;
6) _ heures par période de 180 jours consécutifs;
7) les temps de vol accumulés de 30 jours consécutifs, 42 jours consécutifs et de 90 jours consécutifs peuvent être ramenés à zéro si le membre d’équipage de conduite jouit d’une période de repos d’au moins _ jours consécutifs; et
8) _ heures par période de 365 jours consécutifs.
1) lorsque le membre d’équipage de conduite assure un service IFR à un seul pilote, 8 heures par période de 24 heures consécutives;
2) 60 heures par période de 7 jours consécutifs;
3) 150 heures par période de 30 jours consécutifs;
4) 210 heures par période de 42 jours consécutifs;
5) 450 heures par période de 90 jours consécutifs;
6) 900 heures par période de 180 jours consécutifs;
7) les temps de vol accumulés de 30 jours consécutifs, 42 jours consécutifs et de 90 jours consécutifs peuvent être ramenés à zéro si le membre d’équipage de conduite jouit d’une période de repos d’au moins 5 jours consécutifs; et
8) 1 000 heures par période de 365 jours consécutifs.
Il est interdit à l’exploitant aérien d’assigner du temps de service de vol à un membre d’équipage de conduite, et à un membre d’équipage de conduite d’accepter une telle assignation, s’il doit en résulter que le temps de service de vol de ce membre d’équipage de conduite dépassera _ heures consécutives en 24 heures consécutives.
Il est interdit à l’exploitant aérien d’assigner du temps de service de vol à un membre d’équipage de conduite, et à un membre d’équipage de conduite d’accepter une telle assignation, s’il doit en résulter que le temps de service de vol de ce membre d’équipage de conduite dépassera 14 heures consécutives en 24 heures consécutives.
TRAVAIL AÉRIEN - Il est interdit d’utiliser un aéronef la nuit à moins que celui-ci ne soit muni, à la fois (2 réponses)
a) d’au moins un phare d’atterrissage;
b) s’il est utilisé dans des conditions de givrage, d’un dispositif permettant de détecter la formation de glace par éclairage ou d’autres moyens de détection.
TRAVAIL AÉRIEN - Quelles sont les exigences pour qu’un exploitant aérien puisse utiliser un aéronef transportant une charge externe ?
a) Le dispositif retenant la charge doit être approuvé par la Federal Aviation Administration (FAA).
b) Le dispositif retenant la charge doit être vérifié par un ingénieur en aéronautique.
c) Le dispositif retenant la charge doit être autorisé par un certificat de type supplémentaire ou une approbation de navigabilité relative à la configuration opérationnelle de l’aéronef.
d) Le dispositif retenant la charge doit être conforme aux normes de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).
C)
TRAVAIL AÉRIEN - Il est interdit à l’exploitant aérien de permettre à une personne d’agir en qualité de membre d’équipage de conduite et à toute personne d’agir en cette qualité, à bord d’un aéronef, à moins qu’elle ne satisfasse aux exigences suivantes: (3 réponses)
a) être titulaire de la licence et des qualifications exigées par la partie IV ou, lorsque l’exploitant aérien est titulaire d’un certificat d’exploitation aérienne délivré conformément à l’Accord de libre-échange nord-américain, de la licence et des qualifications étrangères équivalentes;
c) si la personne n’est pas le pilote en chef, avoir subi avec succès, conformément aux Normes de service aérien commercial, un contrôle de la compétence du pilote ou une vérification de compétence pour ce type d’aéronef, dont la période de validité n’est pas expirée;
d) satisfaire aux exigences du programme de formation au sol et en vol de l’exploitant aérien.
TAXI AÉRIEN - Quelles sont les conditions pour qu’un exploitant aérien puisse utiliser un aéronef monomoteur en vol IFR ou en vol VFR de nuit avec des passagers à bord ? (2 réponses)
a) Il y est autorisé aux termes de son certificat d’exploitation aérienne;
b) Il obtient une autorisation spéciale des autorités compétentes;
c) Il satisfait aux Normes de service aérien commercial;
d) Tous les pilotes à bord ont une qualification spécifique pour le vol de nuit sur cet aéronef.
a et c
TAXI AÉRIEN - Quelles exigences doivent être satisfaites pour qu’une personne puisse agir en qualité de membre d’équipage de conduite à bord d’un aéronef ? (4 réponses)
- la personne doit être titulaire de la licence et des qualifications exigées
- dans les 90 jours précédents, avoir effectué au moins 3 décollages et 3 atterrissages
- avoir suivi avec succès un contrôle de la compétence du pilote (check)
satisfaire aux exigences du programme de formation au sol et en vol de l’exploitant aérien
TAXI AÉRIEN - Quelle est la condition requise pour agir en qualité de commandant de bord d’un aéronef en vol VFR de nuit avec des passagers autres que les membres d’équipage de conduite à bord ?
a) Être titulaire de la qualification de vol aux instruments pour la classe d’aéronef utilisé;
b) Avoir effectué un vol de nuit de familiarisation sur l’aéronef spécifique dans les 30 jours précédents;
c) Obtenir une autorisation spéciale de l’autorité de l’aviation civile;
d) Détenir une certification médicale en cours de validité.
a
Qu’est-ce qu’un fait aéronautique ?
tout accident ou incident lié à l’utilisation d’un aéronef
Qu’est-ce qu’un accident aéronautique à signaler ?
Accident résultant directement de l’utilisation d’un aéronef pendant lequel, selon le cas :
a) une personne subit une blessure grave ou un décès
b) l’aéronef subit des dommages ou une rupture qui altèrent sa résistance, ses performances ou ses caractéristiques de vol et qui nécessitent des réparations importantes ou le remplacement des éléments touchés
c)l’aéronef est porté disparu ou est inaccessible
Quelle est la masse maximale homologuée au décollage d’un avion pour qu’un incident aéronautique puisse être signalé ?
5700 kg
Donne des exemples d’incidents aéronautiques à signaler
- un moteur tombe en panne ou est coupé par mesure de précaution
- défaillance dans une boite de transmission
- fumée ou incendie
- dépressurisation nécessitant une descente d’urgence
- aéronef ravitaillé en carburant inadéquat ou contaminé
- une charge transportée à l’élingue est larguée de façon imprévue ou par mesure de précaution ou d’urgence
-…
De combien de temps disposent le commandant de bord, l’exploitant, le propriétaire et tout membre d’équipage pour signaler un accident/incident aéronautique au bureau de la sécurité des transports du Canada ?
a) 3 jours
b) 5 jours
c) 7 jours
d) dès que possible par le moyen le plus rapide
d)
Dans quel cas un contrôleur de la circulation aérienne peut-il signaler un incident aéronautique ?
Lorsque l’incident comporte une perte d’espacement ou un risque de collision, et celui-ci le constate personnellement
Que doit-on conserver et protéger à la suite d’un accident aéronautique à signaler ?
- l’aéronef ou un de ses éléments ou son contenu et le lieu du fait aéronautique
- les enregistreurs et données de vol et de la parole
- tous les autres registres, documents et éléments de preuve
Que doit-on conserver et protéger à la suite d’un incident aéronautique à signaler ?
- les enregistreurs et les enregistrements de données de vol
- tous les autres registres, documents et éléments de preuve
Le programme _ offre aux personnes le moyen de signaler des incidents, actes et conditions qui menacent la sécurité du réseau canadien de transport
a) ESCAT
b) CATSA
c) SECURITAS
d) ASRS
c)
Le programme SECURITAS concerne principalement les _ et les _ pouvant se produire dans le secteur des transports commerciaux et publics.
actes
conditions dangereuses
Dans le système de trafic observé au radar (système de localisation horaire), à quoi correspond l’heure ?
à la trajectoire, et non à l’orientation de l’aéronef. Ainsi, par vents forts de travers, la position d’un aéronef signalée par le contrôleur et celle observée par le pilote peuvent être différentes.
Chaque fois qu’un pilote accepte une _ de l’ATC, il doit s’y conformer. S’il ne peut l’accepter, il doit en informer l’ATC immédiatement, car un simple accusé de réception sera interprété par le contrôleur comme une acceptation.
a) autorisation
b) instruction
c) restriction
a)
Le pilote dois se conformer à toute _ de l’ATC qui lui est transmise et qu’il reçoit, pourvu que la sécurité de l’aéronef ne soit pas compromise. Il doit en accuser la réception
a) autorisation
b) instruction
c) restriction
b)
turbulence de sillage
- très gros porteur derrière très gros porteur :
- gros porteur derrière très gros porteur :
- gros porteur derrière gros porteur :
- moyen porteur derrière très gros porteur :
- moyen porteur derrière gros porteur :
- petit porteur derrière très gros porteur :
- petit porteur derrière gros porteur :
- petit porteur derrière moyen porteur :
- très gros porteur derrière très gros porteur : 4NM
- gros porteur derrière très gros porteur : 6NM
- gros porteur derrière gros porteur : 4NM
- moyen porteur derrière très gros porteur : 7NM
- moyen porteur derrière gros porteur : 5NM
- petit porteur derrière très gros porteur : 8NM
- petit porteur derrière gros porteur : 6NM
- petit porteur derrière moyen porteur : 4NM
Les contrôleurs appliqueront un intervalle d’espacement de deux minutes dans le cas de tout aéronef décollant dans le sillage d’un aéronef lourd connu, dans les deux cas suivants :
- l’aéronef en cause commence son décollage à partir du seuil de la même piste
- tout aéronef suivant décolle à partir d’une piste parallèle à une distance de moins de 2500’ de la piste utilisée par l’aéronef précédent
Dans quelle situation L’ATC n’applique pas l’intervalle de deux minutes concernant la turbulence de sillage, mais émet plutôt un avertissement de turbulence de sillage ?
Lorsqu’un aéronef léger décolle dans le sillage d’un aéronef moyen