00U-CPL-S3-TH20 Flashcards
Quelle définition correspond le mieux à l’acronyme “ADIZ” ?
a) Une zone où les avions sont autorisés à voler sans restriction.
b) Une zone où les contrôles de sécurité sont renforcés pour les vols commerciaux.
c) Une zone d’exclusion aérienne où aucun vol n’est autorisé.
d) Une zone d’identification de défense aérienne où les aéronefs doivent être identifiés et autorisés à entrer.
D)
L’espace aérien qui s’étend verticalement vers le haut à partir de la surface dans les régions du Canada et au large des côtes du Canada, dont les limites sont précisées dans le Manuel des espaces aériens désignés.
Qu’est-ce que le “traitement aérien” ?
a) Le processus de purification de l’air dans les avions.
b) L’application de peinture sur la carrosserie d’un avion.
c) L’ensemencement ou l’épandage de produits chimiques par pulvérisation à partir d’un aéronef.
d) La régulation du trafic aérien dans une zone spécifique.
C)
Où trouvent-on les limites de l’ADIZ ?
Dans le Manuel des espaces désignés
Qu’est-ce que l’“inspection aérienne” ?
a) Une inspection effectuée par des drones dans des zones difficiles d’accès.
b) Une vérification visuelle des bâtiments depuis un hélicoptère.
c) L’inspection par aéronef des récoltes, des forêts, du bétail ou de la faune.
d) Une procédure de contrôle qualité dans les compagnies aériennes.
C)
Quelle est la masse maximale admissible au décollage d’un gros aéronef (avion et giravion)
avion : plus de 5700 kg
giravion : plus de 2730 kg
IMPORTANT
De quels types d’espaces aériens se compose l’espace arien contrôlé ? (15 réponses)
a) la région de contrôle de l’Arctique, la région de contrôle du Nord et la région de contrôle du Sud;
b) l’espace aérien supérieur;
c) les voies aériennes de l’espace aérien supérieur;
d) l’espace aérien inférieur;
e) les voies aériennes de l’espace aérien inférieur;
f) les routes RNAV fixes;
g) les régions de contrôle terminal;
h) les régions de contrôle terminal militaire;
¡) les régions de contrôle prolongées;
j) les zones de transition;
k) les zones de contrôle;
l) l’espace aérien réglementé;
m) l’espace aérien à service consultatif;
n) les zones d’opérations militaires;
o) les zones dangereuses.
IMPORTANT
De quels types d’espaces aériens se compose l’espace arien non contrôlé ? (9 réponses)
a) l’espace aérien supérieur;
b) l’espace aérien inférieur;
c) les routes aériennes de l’espace aérien supérieur;
d) les routes aériennes de l’espace aérien inférieur;
e) les routes RNAV fixes;
f) l’espace aérien réglementé;
g) l’espace aérien à service consultatif;
h) les zones d’opérations militaires;
i) les zones dangereuses.
IMPORTANT
Quelles sont les limites horizontales et verticales et tout type d’espace aérien contrôlé et non contrôlé ? (2 réponses)
a) dans les cas d’une route aérienne de l’espace aérien supérieur, d’une route aérienne de l’espace aérien inférieur et d’une route RNAV fixe non contrôlée, celles précisées sur une carte aéronautique;
b) dans les autres cas, celles précisées dans le Manuel des espaces aériens désignés.
IMPORTANT
Dans quel manuel sont précisés la position géographique et les limites horizontales et verticales des aires, zones, régions et points suivants ?
a) l’espace aérien intérieur canadien;
b) l’espace aérien à spécifications canadiennes de performances minimales de navigation (CMNPS);
c) la zone de transition aux CMNPS;
d) l’espace aérien à minimum réduit d’espacement vertical (RVSM);
e) l’espace aérien des performances minimales de navigation requises (RNPC);
f) l’espace aérien à utilisation de transpondeur;
g) la zone d’identification de défense aérienne (ADIZ);
h) les régions d’information de vol (FIR);
i) les régions de calage altimétrique;
j) les régions d’utilisation de la pression standard;
k) les régions montagneuses;
1) toute autre aire, zone, région et tout autre point.
Dans le manuel est espaces aériens désignés
IMPORTANT
Quelles sont les classes d’espaces aériens contrôlés, tel que le précise le Manuel des espaces aériens désignés ?
- A
- B
- C
- D
- E
- F à statut spécial réglementé (contrôlé ou non contrôlé)
- F à statut spécial à service consultatif (contrôlé ou non contrôlé)
IMPORTANT
Quelles sont les classes d’espaces aériens non contrôlés, tel que le précise le Manuel des espaces aériens désignés ?
- F à statut spécial réglementé (contrôlé ou non contrôlé)
- F à statut spécial à service consultatif (contrôlé ou non contrôlé)
- G
De quelles classes d’espaces aériens l’espace aérien à utilisation de transpondeur est-il constitué, tel que précisé dans le manuel est espaces aériens désignés ?
- A
- B
- C
- D, si désigné comme espace aérien à utilisation de transpondeur
- E, si désigné comme espace aérien à utilisation de transpondeur
IMPORTANT
Où sont indiquées les procédures d’utilisation d’un aéronef dans l’espace aérien de classe F (réglementé ou consultatif) ?
Dans le Manuel des espaces aériens désignés
IMPORTANT
Il est _ d’utiliser un aéronef dans l’espace aérien de classe F à statut _, à moins d’en avoir reçu _ de la personne indiquée dans _.
interdit
spécial règlementé
l’autorisation
le Manuel est espaces aériens désignés
IMPORTANT
Dans quel cas la personne indiquée dans le Manuel des espaces aériens désignés peut-elle autoriser l’utilisation d’un aéronef dans un espace aérien de classe F à statut spécial réglementé ? (2 réponses)
a) Lorsque l’aéronef appartient à une compagnie aérienne reconnue.
b) Lorsque l’aéronef est équipé d’une technologie de pointe.
c) Lorsque les activités au sol ou dans l’espace aérien ne compromettent pas la sécurité des aéronefs utilisés dans cet espace.
d) Lorsque la personne désignée a un intérêt personnel dans l’utilisation de l’aéronef.
e) Lorsque l’accès des aéronefs à cet espace aérien ne ne compromet pas la sécurité nationale.
C) et E)
IMPORTANT
Dans quelles circonstances est-il possible d’obtenir une autorisation pour l’utilisation d’un aéronef VFR dans l’espace aérien de classes A et B ?
a) Lorsque l’aéronef appartient à une compagnie aérienne reconnue.
b) Lorsque l’aéronef est équipé d’une technologie de pointe.
c) Lorsque l’utilisation de l’aéronef est dans l’intérêt public et que la sécurité aérienne ne risque pas d’être compromise.
d) Lorsque l’accès des aéronefs à cet espace aérien ne ne compromet pas la sécurité nationale.
C)
Il est interdit d’utiliser un aéronef VFR dans l’espace aérien de classe A, à moins que l’aéronef ne soit utilisé conformément à une autorisation délivrée par _.
a) Le contrôle de la circulation aérienne.
b) Le ministre de la Défense.
c) Le ministre des Transports.
d) L’autorité de l’aviation civile.
C)
IMPORTANT
Il est interdit d’utiliser un aéronef VFR dans l’espace aérien de classe B, à moins que l’aéronef ne soit utilisé conformément à une autorisation délivrée par _ ou par _.
a) Le contrôle de la circulation aérienne.
b) Le ministre de la Défense.
c) Le ministre des Transports.
d) L’autorité de l’aviation civile.
A) et C)
IMPORTANT
Que doit faire le commandant de bord d’un aéronef VFR utilisé dans l’espace aérien de classe B lorsqu’il devient évident que l’aéronef ne pourra être utilisé en VMC à l’altitude ou sur le trajet précisé dans l’autorisation du contrôle de la circulation aérienne ? (2 réponses)
a) Demander l’autorisation d’utiliser l’aéronef en vol VFR spécial dans une zone de contrôle.
b) Dans tout autre cas, demander une modification de l’autorisation du contrôle de la circulation aérienne pour voler en VMC jusqu’à la destination prévue ou à un aérodrome de dégagement, ou demander une autorisation pour voler en IFR.
IMPORTANT
Il est interdit à quiconque utilise un aéronef VFR d’entrer dans l’espace aérien de classe C, à moins d’en avoir reçu l’autorisation de_.
a) L’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente.
b) Du ministre de la Défense.
c) Du ministre des Transports.
d) L’autorité de l’aviation civile.
A)
IMPORTANT
Dans quelles circonstances le commandant de bord d’un aéronef VFR non équipé de radiocommunications bilatérales peut-il entrer dans l’espace aérien de classes C et D ?
a) Seulement s’il vole de jour en VMC et s’il a reçu l’autorisation préalable de l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente.
b) S’il est équipé d’un système GPS de pointe.
c) S’il vole de nuit avec des conditions météorologiques parfaites.
d) En cas d’urgence uniquement.
A)
IMPORTANT
L’espace aérien de classe C devient l’espace aérien de classe _ lorsque l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente n’est pas en service.
a) A
b) B
c) D
d) E
e) F
f) G
D)
IMPORTANT
Que doit faire toute personne utilisant un aéronef VFR avant d’entrer dans l’espace aérien de classe D ?
a) Obtenir une autorisation préalable écrite du contrôle de la circulation aérienne.
b) Établir une communication bidirectionnelle avec l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente.
c) S’assurer d’avoir une formation en vol aux instruments.
d) Communiquer avec d’autres pilotes en vol dans la même zone.
e) Obtenir une autorisation de l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente.
B)
IMPORTANT
L’espace aérien de classe D devient l’espace aérien de classe _ lorsque l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente n’est pas en service.
a) A
b) B
c) D
d) E
e) F
f) G
D)
À quelle altitude et distance est-il interdit d’utiliser un aéronef à proximité d’une zone sinistrée ? (sauf pour les personnes qui utilisent un aéronef à la demande du responsable de la lutte contre l’incendie compétent, et les membres du personnel du ministère des transports qui utilisent un aéronef dans l’exercice de leurs fonctions de surveillance et d’application de la législation aérienne.)
À une altitude intérieure à 3000’ AGL dans un rayon de moins de 5 NM.
Le ministre peut délivrer un _ qui vise des _ relatives à l’utilisation est aéronefs lors des feux de forêt et qui indique _ et _ d’une région sinistrée et l’espace aérien où des opérations de lutte contre l’incendie sont en cours.
NOTAM
restrictions
l’endroit et l’étendue
Que doit faire une personne avant de projeter une source lumineuse dirigée de forte intensité dans l’espace aérien navigable ?
a) Obtenir une autorisation écrite du contrôle de la circulation aérienne.
b) Aviser par écrit le ministre avant la projection.
c) Installer des dispositifs de balisage lumineux pour avertir les aéronefs.
d) S’assurer que la projection lumineuse est effectuée uniquement de jour.
e) Obtenir une autorisation écrite du contrôle de la circulation aérienne et aviser par écrit le ministre avant la projection.
B)
*Sur réception de l’avis, le ministre peut délivrer une autorisation si la proiection de la source lumineuse dirigée de forte intensité ne risque pas de constituer un danger pour la sécurité aérienne.
Si un individu est reconnu coupable d’avoir pointé un laser vers la cabine d’un aéronef, il est passible, en vertu de la loi sur l’aéronautique, d’une amende maximale de _$, d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à _ ans, ou des deux.
100 000$
5 ans
IMPORTANT
Dans quelles circonstances est-il interdit à l’utilisateur d’un aéronef d’enjoindre à une personne d’agir en qualité de membre d’équipage de conduite ?
a) Lorsque la personne a un comportement agressif.
b) Lorsque la personne est fatiguée ou sera probablement fatiguée, ou est autrement inapte à exercer correctement ses fonctions.
c) Lorsque la personne est novice dans l’aviation.
d) Lorsque la personne n’a pas suivi de formation de secourisme.
B)
Il est interdit à toute personne d’agir en qualité de membre d’équipage d’un aéronef dans ces circonstances. (3 réponses)
- dans les 12 heures qui suivent l’ingestion d’une boisson alcoolisée;
- lorsqu’elle est sous l’effet de l’alcool;
- lorsqu’elle fait usage d’une drogue qui affaiblit ses facultés au point où la sécurité de l’aéronef ou celle des personnes à bord de l’aéronef est compromise de quelque façon.
“Boissons enivrantes” s’entend boissons ayant une teneur en alcool de plus de _%.
2,5%
Il est interdit à toute personne qui utilise un aéronef de permettre l’avitaillement en carburant de l’aéronef pendant qu’un moteur propulseur de celui-ci est en marche et lorsque des passagers sont à bord, montent à bord ou descendent de l’aéronef, à moins que ce avitaillement ne soit effectué conformément aux procédures qui sont conformes aux _ et qui sont précisées dans le _.
Normes de service aérien commercial
le manuel d’exploitation de la compagnie
Quelles sont les conditions pour faire démarrer tout moteur d’un aéronef ? (3 réponses)
- un siège pilote est occupé par une personne en mesure de maîtriser l’aéronef;
- des mesures ont été prises pour empêcher l’aéronef de se déplacer;
- dans le cas d’un hydravion, l’aéronef ne se trouve à un endroit où tout mouvement de laéronef ne puisse mettre en danger les personnes ou les biens.
Si un siège pilote n’est pas occupé par une personne en mesure de maîtriser l’aéronef, quelles sont les conditions pour pouvoir laisser en marche tout moteur d’un aéronef ? (2 réponses)
- des mesures ont été prises pour empêcher l’aéronef de se déplacer
- l’aéronef n’est pas laissé sans surveillance.
IMPORTANT
Quelle est la règle concernant le décollage d’un aéronef lorsqu’il y a du givre adhérant à l’intrados des ailes en raison de carburant imprégné de froid ?
a) Le décollage est autorisé, mais uniquement si l’aéronef est équipé de systèmes de dégivrage des ailes.
b) Le décollage est interdit dans de telles circonstances.
c) Le décollage est permis, à condition qu’il soit effectué conformément aux instructions du constructeur pour le décollage dans de telles circonstances.
d) Le décollage est autorisé, mais uniquement s’il est approuvé par le contrôle de la circulation aérienne.
C)
IMPORTANT
Quelles conditions doivent être respectées pour effectuer le décollage d’un aéronef lorsque les conditions météorologiques sont telles qu’il est raisonnable de prévoir que du givre, de la glace ou de la neige pourraient adhérer à l’aéronef ?
a) L’aéronef doit être équipé de systèmes de dégivrage.
b) Une autorisation spéciale doit être obtenue du contrôle de la circulation aérienne.
c) L’aéronef doit être inspecté immédiatement avant le décollage pour détecter la présence de givre, de glace ou de neige sur toutes les surfaces critiques, ou l’utilisateur doit avoir établi un programme d’inspection conforme aux normes relatives aux règles d’utilisation et de vol des aéronefs.
d) Le décollage doit être reporté jusqu’à ce que les conditions météorologiques s’améliorent
C)
IMPORTANT
Qui est autorisé à effectuer l’inspection pour détecter la présence de givre, de glace ou de neige sur toutes les surfaces critiques d’un aéronef ? (3 réponses)
a) Le commandant de bord uniquement.
b) Un membre d’équipage de conduite de l’aéronef désigné par le commandant de bord.
c) Une personne désignée par l’utilisateur de l’aéronef, à condition qu’elle ait terminé avec succès la formation relative à la contamination des surfaces des aéronefs en application de la sous-partie 4 ou de la partie VII.
d) Toute personne ayant une expérience de vol significative.
A), B) et C)
IMPORTANT
Que doit faire un membre d’équipage d’un aéronef qui détecte du givre, de la glace ou de la neige adhérant aux ailes avant de commencer le décollage ?
a) Nettoyer les surfaces critiques immédiatement.
b) Reporter le décollage jusqu’à ce que les conditions météorologiques s’améliorent.
c) En informer immédiatement le commandant de bord et celui-ci ou un autre membre d’équipage de conduite désigné doit inspecter les ailes de l’aéronef avant le décollage.
d) Demander une autorisation spéciale au contrôle de la circulation aérienne.
C)
Quelle responsabilité incombe au commandant de bord avant que le dégivrage ou l’antigivrage de l’aéronef ne soit effectué ?
a) S’assurer que tous les passagers prennent connaissance du manuel de sécurité de l’aéronef.
b) Informer les membres d’équipage et les passagers de toute décision prise à cet effet.
c) Vérifier la météo pour déterminer si le dégivrage est nécessaire.
d) Demander l’avis des passagers sur la nécessité du dégivrage.
B)
Un aéronef est réputé être utilisé au-dessus d’une zone bâtie ou au-dessus d’un rassemblement de personnes en plein air si la zone bâtie ou le rassemblement de personnes en plein air est à une distance, mesurée horizontalement
a) de _ pieds ou moins d’un hélicoptère ou d’un ballon;
b) de _ pieds ou moins d’un aéronef autre qu’un hélicoptère ou qu’un ballon.
a) 500
b) 2000
Dans quelles conditions est-il autorisé d’effectuer le décollage, l’approche ou l’atterrissage d’un aéronef au-dessus d’une zone bâtie ou d’un rassemblement de personnes en plein air, sauf à un aéroport, à un héliport ou à un aérodrome ?
a) Seulement avec une autorisation spéciale du contrôle de la circulation aérienne.
b) Uniquement lorsque l’aéronef est équipé de parachutes de secours.
c) À une altitude qui permettrait un atterrissage d’urgence sans constituer un danger pour les personnes ou les biens en cas de panne moteur ou d’urgence.
d) Uniquement pendant la journée et par beau temps.
ET, dans tous les cas, à une altitude d’au moins
(i) dans le cas d’un avion, _ pieds au-dessus de l’obstacle le plus élevé situé à une distance de _ pieds ou moins de l’avion, mesurée horizontalement
(ii) dans le cas d’un ballon, _ pieds au-dessus de l’obstacle le plus élevé situé à une distance de _ pieds ou moins du ballon, mesurée horizontalement
(iii) dans le cas d’un aéronef autre qu’un avion ou un ballon, _ pieds au-dessus de l’obstacle le plus élevé situé à une distance de _ pieds ou moins de l’aéronef, mesurée horizontalement;
(iiii) dans les autres cas, à une distance inférieure à _ pieds de toute personne, tout navire, tout véhicule ou toute structure.
C)
i) 1000’, 2000’
ii) 500’, 500’
iii) 1000’, 500’
(iiii) 500’
Sous quelles conditions réunies (3) est-il permis d’effectuer un décollage ou un atterrissage à l’intérieur d’une zone bâtie d’une ville ou d’un village à un endroit qui n’est pas situé à un aéroport, à un héliport ou à un aérodrome militaire ?
a) Si l’endroit n’est pas réservé pour l’utilisation d’aéronefs.
b) Si le vol est effectué avec une vitesse inférieure à 100 km/h.
c) Si l’aéronef est utilisé pour une opération policière effectuée pour les besoins d’un corps policier ou pour le sauvetage de vies humaines.
d) Si le vol est effectué de jour.
e) Si le vol est effectué sans constituer un danger pour les personnes ou les biens à la surface.
A) C) et E)
Quel est l’ordre de priorité de passage des aéronefs suivants :
- aéronef entraîné par moteur
- dirigeable
- planeurs
- aéronef en situation d’urgence
- aéronef qui transporte une charge à l’élingue ou qui remorque d’autres objets
- ballons
- aéronef en situation d’urgence
- ballon
- planeur
- dirigeable
- aéronef qui transporte une charge à l’élingue ou qui remorque d’autres objets
- aéronef entraîné par moteur
Quelles sont les règles de priorité de passage entre deux aéronefs en vol ?
a) Le commandant de bord de l’aéronef qui dépasse a toujours la priorité.
b) Le commandant de bord de l’aéronef qui est dépassé a la priorité de passage.
c) Le commandant de bord de l’aéronef en montée a la priorité de passage.
d) Le commandant de bord de l’aéronef en descente a la priorité de passage.
B)
Quelle est la règle concernant le passage entre un aéronef en vol ou en manoeuvre à la surface et un aéronef qui atterrit ou est sur le point d’atterrir ?
a) Le commandant de bord de l’aéronef en vol a toujours la priorité.
b) Le commandant de bord de l’aéronef qui atterrit ou est sur le point d’atterrir doit céder le passage à l’aéronef en vol ou en manoeuvre à la surface.
c) L’aéronef en vol ou en manoeuvre à la surface doit céder le passage à l’aéronef qui atterrit ou est sur le point d’atterrir.
d) Il n’y a pas de règle spécifique concernant le passage entre ces deux types d’aéronefs.
C)
Quelles sont les conditions pour utiliser un avion pour le remorquage d’un objet ?
a) L’avion doit être équipé d’un système de propulsion puissant.
b) L’avion doit être équipé d’un crochet de remorquage, mais un mécanisme de libération de remorquage n’est pas nécessaire.
c) L’avion doit être muni d’un crochet de remorquage doté d’un mécanisme de libération de remorquage.
d) Il est interdit d’utiliser un avion pour le remorquage d’un objet.
C)
Quelles sont les conditions pour utiliser un aéronef en vol en formation ?
a) Il n’y a pas de conditions spécifiques requises.
b) Seulement une entente préalable doit être intervenue entre les commandants de bord des aéronefs en cause.
c) Une autorisation écrite du ministère de l’Aviation est nécessaire.
d) Une entente préalable doit être intervenue entre les commandants de bord des aéronefs en cause et l’unité de contrôle de la circulation aérienne compétente, dans le cas de vol effectué à l’intérieur d’une zone de contrôle.
D)
Dans quelles circonstances est-il interdit au commandant de bord de permettre à une personne d’effectuer un saut en parachute d’un aéronef ?
a) Uniquement dans l’espace aérien contrôlé ou sur une route aérienne.
b) Uniquement au-dessus ou à l’intérieur d’une zone bâtie ou au-dessus d’un rassemblement de personnes en plein air.
c) Dans toutes les situations, sauf si une autorisation contraire est prévue à l’article 603.37.
d) Il n’y a pas de restrictions spécifiques concernant les sauts en parachute.
C)
Quels sont les minimums d’altitude et de visibilité pour effectuer une acrobatie aérienne ? (sauf si l’aéronef est utilisé aux termes d’un certificat d’opérations aériennes spécialisées)
Visibilité : _ SM
Altitude : _’ AGL
3 SM de visibilité
2000’ AGL d’altitude
II est interdit d’utiliser un aéronef avec un passager à bord pour effectuer une acrobatie aérienne, à moins que le commandant de bord de l’aéronef n’ait respecté les conditions suivantes
a) il a reçu au moins _ heure(s) d’instruction en acrobaties aériennes en double commande ou effectué au moins _ heure(s) d’acrobaties aériennes;
b) il a effectué au moins _ heure(s) d’acrobaties aériennes au cours des six mois précédents.
a) 10, 20
b) 1