UE 3.1 Flashcards
- les principes de l'anesthésie - matériel nécessaire pour la ventilation au masque
Définition de l’anesthésie :
L’anesthésie est l’insensibilité d’un organisme ou une paralysie des sens.
C’est l’abolitionde toutes les sensibilités périphériques (thermiques, tactiles, douloureuses ou kinesthésiques)
Définition de l’analgésie :
L’analgésie est la réalisation d’absence de douleur sans altérer la sensibilité.
Définition de la sédation :
La sédation est la baisse du niveau d’éveil associant un allongement du délais de réponse, une baisse de l’activitée motrice et une difficultée à prononcer un discours distinct.
Définition de l’AG :
L’AG comprend l’anesthésie de tout le corps et s’accompagned’une abolition de la conscience par altérations des fonctions.
Que doit procurer une AG :
Une AG doit procurer :
- une perte de conscience
- une analgésie
- une amnesie
- une immobilité (voire un relachement musculaire)
- une baisse de la réactivité neurovégétative (les stimulations chirurgicales stimulent les systèmes sympathique et/ou parasympathique)
Quels sont les voies d’administration pour une AG ?
- voie pulmonaire (anesthésie inhalatoire)
- voie intraveineuse (anesthésie intraveineuse)
Quels sont les classes pharmacologiques utilisée pour l’AG ?
- les hypnotiques (pertes de conscience, amnésie, immobilité et une certaine relaxation musculaire)
- les morphiniques (analgésie et diminuent la réponse adrénergique)
- les curares (relachement musculaire total en bloquant la JNM)
Quel est le score utilisé pour mesuré la profondeur de l’anesthésie?
Combien de stade comporte t’il ?
Le score utilisé est le Stade de GUEDEL
Il comporte 4 stades.
Décrire le stade 1 du score de GUEDEL :
1et stade : “analgésie” :
- respiration +/- régulière, lente, petit volume
- reflexe palpébral présent, yeux ouverts
- réaction aux ordres simples
- amnésie
- sédation
- analgésie
- réflexes contrôlés, nausées rares
Décrire le stade 2 du score de GUEDEL :
2ème stade : “agitation” :
- éxcitation
- inconscience (état de rêve)
- activité motrice non contrôlée (perte du tonus musculaire volontaire)
- ventilation irrégulière
- mydriase
- REACTIVITE REFLEXE +++ (vomissements, TDR, toux, broncho-laryngospasme)
Décrire le stade 3 du score de GUEDEL :
3ème stade : anesthésie chirurgicale :
1er plan :
- relâchement musculaire
- ventilation régulière périodique
- mouvements oculaires +
2ème plan :
- quelques pauses réspiratoire
- inspiration courte
- globes occulaires immobiles se centre
- disparition des réflexes
3ème plan :
- musculature abdominale relâchée
- respiration diaphragmatique
- réflexe palpébral disparaît
- myosis
4ème plan :
- apnées
- mydriase
- chute de langue
Décrire le stade 4 du score de GUEDEL :
4ème stade : parlysie respiratoire :
- ventilation abolie
- mydriase aréactive
- tonus musculaire aboli
- inhibition du tronc cérébral (vasoplégie centrale)
- certains réflexes persistent longtemps (traction sur viscères / sphincter anal, col utérin)
Quelles sont les principales conséquences de l’anesthésie générale?
Neurologique:
- inconscience
- pertes des fonction de défense et de protection
Respiratoire:
- dépression respiratoire par action sur les centres régulateurs centraux (hypnotiques ou morphiniques) ou les muscles (curares)
- inibition des réflexes de l’arbre bronchique (inhalation entrainant la destruction de la membrane alvéolo-capillaire)
- hypoxie extrème
Cardiovasculaire:
- effet inotrope négatif (baisse de la contractilité cardiaque)
- vasoplégie (dilatation des vaisseaux)
- limitation des mécanisme de régulation de la TA
Autres:
- hypothermie (baisse capacité de thermogénèse + augmentation de thermolyse)
- abolition de la sécrétion de larmes
- abolition du réflexe de fermeture de la paupière
- rares réaction allergique
Définition de l’ALR :
L’ALR est une anesthésie limitée à certaines parties du corps.
Elle consiste à déposés un anesthésique local au contact d’un nerf (axone), qui va bloquer de manière réversible la transmission de l’influx nerveux.
Quel sont les 2 types d’ALR ?
- anesthésie médullaire (AL au contact ou à proximité de la moelle épinière : péridurale, rachianesthésie)
- anesthésie périphérique ( AL au contact d’un blocs plexiques ou tronculaires)
Quel sont les effets secondaires de l’ALR ?
- par le bloc sympathique pour rachianesthésie et péridurale (vasoplégie+bradycardie = hypoTA sévère)
- par la toxicité des AL (passage immédiat ou retardé de l’AL dans le sang = toxicité neuro [convulsions] ou toxicité cardio [troubles du rythme / ACR])
Qu’est ce qu’un liquide hyperbare?
Un liquide hyperbare est un liquide qui descend avec la gravité.
Décrire la rachi-anesthésie :
- Injection (2/3 ml) d’AL hyperbare dans le LCR (franchissement de la dure mère avec aiguille mousse pour être encontact direct avec les racine nerveuses)
- Injection au niveau de L3-4 (position assise, épaule pendante)
- bloc moteur quasi systématique (ne peut plus bouger ses jambes)
- possible d’injecter morphine (100 à 200 mcg) pour analgésie de longue durée (12 à 24h)
Quels sont les précautions à prendre avec la rachi-anésthésie?
Pendant :
- ne jamais mettre en déclive (liquide hyperbare, peut étendre la vasoplégie, surtout en C4 : innervation du diaphragme)
- surveillance hémodynamique (bloc sympathique qui peut être brutale: vasoplégie et bradycardie)
- si morphine: surveiller l’apparition d’une détresse respiratoire (peu survenir jusqu’à 24h après pour les dose >300 mcg)
Après:
- surveiller l’apparition de céphalées en post-opératoire qui peut traduire une fuite de LCR (ttt : blood patch + décubitus dorsal strict)
Décrire l’anesthésie péridurale :
- injection d’AL (avec aiguille de tuohi) dans l’espace péridurale (ne franchit pas la dure mère)
- quantité (l’étendue du blocage nerveux) et concentration (intensité du blocage nerveux) d’AL sont adaptées
- les fibres neurovégétatives et de la douleurs sont bloquées ce qui permet la conservation des stimulus (permet de dissocier anesthésie et analgésie)
- Elle peut être à dose anésthésique (installation progressive: 10 à 20 min, et bloc moteur fréquent : paralysie) ou à dose analgésique (permet d’éviter le bloc moteur: absence de douleur et conservation d’une certaine percéption)
- peut être utilisé en post opératoire ou en obstétrique (pour la femme accouchante)
Pourquoi injecte t’on plus d’AL pour une anesthésie péridurale que pour une rachi-anesthésie?
Il y a besoin de moins de volume d’AL pour la rachi-anesthésie, car l’AL est en contact direct avec l’axone, alors que pour la péridural, il faudra une concentration et un volume plus grand pour franchir la dure mère et être en contact avec l’axone.
Comment peut on tester l’efficacité et l’étendue de l’ALR avant un geste chirurgical ?
Pour tester l’efficacité et l’étendue de l’ALR on peut appliquer du froid ( presque les même récepteur que la douleur)
Quels sont les signes d’intoxication aux AL?
Les signes de toxicité des AL sont :
- parésthésie buccale
- gout métalique dans la bouche
- bourdonnement d’oreille
- logorrhée
- dysarthrie
- angoisse ou euphorie
- convulsion
- TDR
Qu’est ce qu’un bloc périphérique?
Les blocs périphériques concernent le blocage de tronc nerveux ou de plexus nerveux.
Décrire un bloc périphérique :
- repérage des nerfs par échographie
- injection d’AL parfois importante (20 à 40 ml)
- possibilité de bloc périnerveux: cathéter à proximité immédiate du nerf (analgésie post-op)
Quel est l’objectifs de la consultation d’anesthésie?
la consultation d’anesthésie à pour objectif de diminuer les risques anesthésiques par le choix d’une stratégie anesthésique et par une préparation optimale du patient.
Que permet la consultation d’anesthésie?
- instaurer le dialogue entre le MAR et le future anesthésié
- effectuer un examen pré-anesthésique (examen clinique, intérogatoire à la recherche d’antécedent médicaux, anesthésiques et chirurgicaux)
- recherche des critères prédictifs d’intubation ou de ventilation difficile
- connaitre les ttt en cours et tout autre problème médical susceptible d’interférer avec l’anesthésie
- d’évaluer les risques en fonction de l’état du patient (score de l’ASA), et du type de chirurgie (selon ses répercutions sur une fonction vitale en per ou post op)
- de décider:
- d’une préparation éventuelle (respiratoire, équilibrage HTA, arret ttt, prémédication)
- d’examen complémentaire
- de la technique anesthésique
- d’informer le patient
- La consultation d’anesthésie est toujours suivie d’une visite pré-anesthésique
Qui réalise la consultation d’anesthésie?
seul le MAR peut effectuer la consultation d’anesthésie.
Que comprend le dossier d’anesthésie?
- les éléments de la consultation pré-anesthésique avec la feuille d’anesthésie (demandes d’examens complémentaires, protocoles d’anesthésie proposé, prémédication)
- les résultats des examens pré-opératoire
- la réalisation de la commande éventuelle de PSL
- les éléments de la surveillance et des thérapeutiques (per et post interventionnels) + le protocole d’analgésie post-opératoire (PCA, KT périnerveux)
- les conclusions de la visite pré-opératoire
- un compte rendu précisant les éventuels incidents, difficultés ou complication per-op
Quel est le rôle de l’infirmier dans le dossier d’anesthésie?
l’infirmier s’assurera :
- d’un dossier anesthésique complet
- avertira l’équipe anesthésique et/ou chirurgicale des éléments nouveaux
- de la réalisation de la prémédication (après la douche)
- absence de rouge à lèvres et vernis à ongle
- de la réalité du jeune opératoire (absence de cigarette fumée)
Décrire la réalisation et le déroulement de l’AG :
- préparation physique du patient à l’intervention (dans le service : douche, toilette, prémédication)
- préparation du site d’anesthésie (vérification et ouverture de salle)
- accueil du patient (identification, renseigné les check-list, monitorage de base et prise de constante, VVP)
- induction anesthésique (préoxygénation, médicaments d’induction, ventilation manuelle, curare, IOT et VC)
- instalation du patient dans la position chirurgicale (instalation du patient sur la table d’opération)
- entretien de l’anesthésie (adapter la profondeur d’anesthésie en fonction des phases d’intensités douloureuses per op, évaluation de la profondeur d’anesthésie en fonction des réactions du patient)
- réanimation peropératoire (recherche orientée pour dépistage et ttt des complications, compensation des pertes hydroélectrolytiques et sanguine, anticipation analgésie postop.)
- reveil (estimation de la fin de l’intervention et de la cinétique des agents anesthésiques, extubation sur table parfois réalisée)
- transfert en SSPI (lorsque les fonctions vitales sont stables, transmission)
Caractéristiques du reveil anesthésique :
La période de reveil se caractérise par un retour progressif à l’autonomie des fonctions vitales.
Durant cette période le patient reste exposé aux effets résiduels des agents anesthésiques alors qu’apparaisent les conséquences de l’acte chirurgical ou diagnostique.
Quel sont les complications du reveil anesthésique?
- complications respiratoires
- complications cardiovasculaire
- complications néphro-urologiques
- complications neurologiques
- frissons et hypothermie
- nausées et vomissements
- douleur
Quels sont les causes des complications respiratoires lors du reveil anesthésique?
- hypoventilation alvéolaire (dépression des centres respiratoires centraux induite par les hypnotiques et morphiniques, effet résiduel des curares, majorée par une patho pulmonaire, l’obésité, la chirurgie abdominale)
- obstruction des voies aériennes (par chute en arrière de la langue, effet résiduel des curares, par laryngo-bronchospasme, oedème de glotte du à une intubation difficile ou une sonde de trop gros diamètre)
- hypoxémie de diffusion (par oedème ou embolie pulmonaire, par inhalation, par insuffisance d’apport d’02, par consommation élevée d’O2 : frissons)
Quels sont les causes des complications cardiovasculaures lors du reveil anesthésique?
- ischémie myocardique (principale cause d’hospitalisation post-op non programmé chez des patients ASA III/IV)
- hypoTA (hypovolémie vraie : hémorragie, retard de compensation ; hypovolémie relative : vasoplégie, réchauffement)
- hyperTA (douleur, arrêt du ttt hypertenseur, hypercapnie)
- TDR (hypoxie, hypercapnie, douleur, troubles ioniques : hypo-hyperK ; le plus souvent tacchy-bradycardie sinusale)
Quels sont les causes des complications néphro-urologiques lors du reveil anesthésique?
- insuffisance rénale aigue (hypoTA, hypovolémie prolongée, transfusion massive, clampage per-op de l’artère rénale)
- globe vésicale (le plus souvent après une rachianésthésie ou une péridurale)
Quels sont les causes des complications neurologiques lors du reveil anesthésique?
- retard de reveil (surdosage, retard d’élimination des drogues: insuffisance rénale ou hépatique, personne agée ; hypothermie: retard de métabolisation ou redistribution secondaire des agents anesthésiques cumulés dans des territoires initialement vosoconstrictés)
- confusion et agitation (dysfonctionnement cérébral transitoire, cause organique : globe vésical, douleurs, troubles ioniques, hypoxie, hypercapnie ; AVC et EP per-opératoire ; lésions neurologiques périphériques : étirement ou compression per-opératoire)
Quels sont les causes des complications de l’hypothermie et des frissons lors du reveil anesthésique?
- ouverture du noyau central (abdomen et thorax)
- exposition prolongée à la ventilation froide d’une salle d’opération (Xie orthopédique)
Décrire la prise en charge d’un patient en SSPI :
- Ouverture de salle (verifier de la fonctionnalité des appareils d’oxygénothérapie, de ventilation, d’aspiration, de monitorage et de réchauffement)
- accueil du patient (**oxygénation constante, évaluation de la fonction respiratoire, mise en place de monitorage, observation clinique, verification vvp, des pansements et des drains de Redon)
- transmissions (verification de l’identité du patient, information antécédents, sur l’intervention)
- soins et surveillance (respiratoire, neurologique, hémodynamique, curarisation, thermique, chirurgical : saignements, pansements, drains)
- extubation (relais par oxygénation à la sonde nasal ou aux lunettes)
- soins relationnels et de confort
- prise en charge de la douleur (EVA et EVS, ttt antalgique)
- critères de sortie (conscience présente, absence d’agitation, SpO2 >95% AA, FR >12, TA et pouls +/- 20% per op, temp >36°, absence de frissons, EVA <3, absence de : nausées, vomissements, globe vésical, saignement, marbrures; motricité normale)
- transmission IDE (anesthésie, chirurgie, prescription ou problèmes, anxiété, famille)
Quel est le matériel nécessaire pour la ventilation au masque?
- masques faciaux (masques : anatomique, d’Ambu transparent, de Laerdal, de Rendel, d’endoscopie)
- prothèses (canule de Guedel)
- valves unidirectionnelles (valve de Ruben, valve de Digby-Leigh, valve de Laerdal, valve d’Ambu)
- filtre échangeur d’humidité et antibactérien
- connecteur de monitorage de CO2
- ballon auto remplisseur et sa réserve
- tuyau permettant de se connecter à une source d’O2
Pourquoi les masques faciaux sont-ils transparent?
Le corps du masque est transparent, car il permet d’observer et de dépister des :
- signes d’hypoxie (cyanose des lèvres)
- sécrétions
- vomissements
- écoulements sanguins
Quels sont les complications de la ventilation au masque?
- inhalation bronchique
- complication oculaire (oedèmes des paupières et des conjonctives, compression du nerf sus-orbitaire, abrasion cornéenne)
- complication cutanées (allergie, dermites)
- complications nerveuses (atteinte des branche du nerf trijumeau ou facial)
- majoration des lésions (provoqué par la subluxation : pré-hosp)
Quel est le seuil de l’hypothermie
température centrale inf ou = 35°C
FFavorisant de l’hypothermie
age extreme de la vie, obésité
le milieu
pertes de mécanismes de thermorégulation
Quels sont les pertes caloriques au BO pour l’hypothermie
diminution de la thermogénese = baisse VO2 (hypnotique, morphinique, neurolept, pertes des frissons due au curare)
augmentation de la thermolyse (cutanée, exposition champ op, respiratoire avec gaz froids et sec, transfusion, perfusion ou lavage avec liquide froids)
role de la t° ambiante et de la durée de l’intervent°
Quel sont les phase de l’hypothermie ?
Phase initiale : dite de redistribution : baisse rapide de 2°C (1ere h)
Phase lente: baisse lente de la t° jusqu’a 34,5°C (en 1h30)
Phase 3: réapparition de la vasoconstriction
Qu’entraine l’ALR dans le cadre de l’hypothermie ?
blocage du systeme sympatique (vasodilatation en aval du bloc)
blocage des information sensitive (modification des information sensitive)
pas de vasoconstriction au niveau des MI (pas de plateau, pertes)
Quels sont les causes des pertes de chaleurs dans l’hypothermie
cutanée (par convection et radiation)
évaporation pulmonaire (gaz froids et secs)
perfusions , transfusion
évaporation (sudation plaie opératoire
Quels sont les conséquence per op de l’hypothermie
protection contre ischémie, hypoxie
modification pharmacocinétique (augm puissance halogéné, augmentation durée action curare)
augmentation du saignement chirurgical (augmentation du TS, baisse fonction plaquettaire)
Quel sont les conséquence de l’hypothermie en post opératoire immédiat
Pas d’utilité
inconfort (mauvais souvenir, dlr augmenté par les frissons)
vasoconstriction (réponse thermorégulatrice, protege le noyau centrale, altération du signal d’O2 avec cyanose)
réponse adrénergique due au reveil syst sympatique (augm FC et TA)
Quel sont les conséquence du frissons dans le cadre le l’hypothermie en post op immédiat
augmentation V O2
augmentation du travail respi et cardiaque
augmentation extraction O2 en périphérie
risque de décompensation (Ins Cardio, respi coronaire)
Quel sont les conséquence de l’hypothermie à long termes
septique (abces de parois due a l’hypoperfusion)
morbidité cardio-vasculR (tb du rythme, ischémie cardiaque)
augmentation de la durée de l’hospitalisation
Quel sont les moyens de prévention de l’hypothermie
monitorage : maintenir une température au dessus de 36°C
respiratoire: filtre humidificateur (garde l’eau et la chaleur du coté du patient), le circuit filtre (libération de la chaleur par la chaux sodée lors de l’épuration de l’air),
transfusion et perfusion: réchauffeur de solutée ou de sang
cutanées : isolation du patient, couverture chauffante, convection forcée d’air chaud (bair hugger)
Quel est la chronologie pour la prévention de l’hypothermie
commencer avant l’installation du patient (branchement du matériel, préréchauffement)
continue des son installation ( isolation cutanée, couverture chauffante)
monittorage ++
se poursuit jusqu’en transfert en SSPI
Quel sont les mesur de température disponnible
nasopharyngé
oesophagien
rectale
artere pulmonaire
vésicale
Quel sont 3 secteurs ou retrouve du CO2
PaCO2 (artere)
PACO2 (alvéole)
PeTCO2 (fin expi)
Définition capnometrie
mesure du CO2 dans le mélange fazeux inspi et expi
def PETCO2
pression partielle de fin d’expiration de CO2
Quel sont les 3 mécanismes dond depent le CO2
Métabolisme (produit par les tissus)
circulation (tspt aux poumon par voies sanguine)
ventilation (éliminé par les poumons après avoir passé la membrane alvéolo capillaires)
Gradient PaCO2 et PETCO2
sujet sain : 1 a 2 mmhg
anesthésié : jusque 5 mmHg
pathologique : 15 a 20
Quels sont les 4 déterinant PeTCO2
circuit metabolisme circulation ventilation
Qu’est ce qui fait baisser la PeTCO2
meta:
anesthésie
hypothermie
curarisation
circu:
baisse DC
arret circu
EP
ventil:
hyperventilation
circuit:
débranchement, extubation, apnée
intubation oesophagienne
obstruction
Qu’est ce qui fait augmenter la PeTCO2
méta:
douleur anxiété frisson
hyperthermie (HTM)
levée de garrot, déclampage
apports externe
circu:
rétablissement du débit
ventil:
hypoventilation
circuit:
reinhalation (chaux sodée, espace mort)
Quel est l’interet du capnographe
analyse du capnogramme (un chiffre PetCO2, une courbe, une tendance)
normocapnie valeur
35 à 43 mmHg
valeur hypocapnie
< 34 mmHg
valeur hypercapnie
> 43 mmHg
Quels sont les phases de la capnie
Phase 0 (inspiration): inspiration de gaz frais (ou insufflation) : chute rapide du tx de CO2
Phase 1 (expiration): début de l’expiration et passage des gaz de l’espace mortne participant pas aux echanges (absence de CO2)
Phase 2 (expiration): CO2 éliminé augmente rapidement correspondant à la vidange des alvéoles les mieux ventilés et au mélange avec les gaz de l’espace mort
Phase 3 (expiration) : plateau alvéolaire, le CO2 aumente plus lentement correspondant à la vidange des alvéoles les mloins vezntiléespour atteindre un max (ETCO2)