Tuto 2 - Fx Flashcards
classement dépend de 4 choses
position des segments d’os de part et d’autre de la fx :
- fx non-déplacée
- fx déplacée = segments pu alignés
étendue de la fx :
- fx complète
- fx incomplète = pas entièrement séparés
pénétration de la peau par l’os fracturé :
- fx ouverte = perce peau
- fx fermée
orientation de la fx p/r à l’axe longitudinal de l’os
- fx linéaire = parallère
- fx transverse = perpendiculaire
les 2 patrons de fx, leur niveau d’énergie
patron à basse énergie = ligne de fx
- fx transverse : os brisé de bord en bord à angle droit
- fx oblique : +/- 45°
- fx spirale : ligne complexe dans plusieurs plans
patron à haute énergie = nombre de fragments
- comminutive : + de 2 fragments entre 2 segments
- segmentale : os en +++ de morceaux
- fx de stress : fx incomplète des os causée par un stress répété ou inhabituel
7 types de fx
- comminutive = brisé en 3 fg ou +
- spiral = force de torsion
- enfoncement localisé = os fx est poussée vers l’intérieur
- par avulsion = os arraché par tension trop forte d’un ligament ou tenson
- par écrasement = os écrasé
- épiphysaire = épiphyse se sépare de la diaphyse le long du cartilage épiphysaire
- en bois vert = chez enfants // un seul côté de la diaphyse est cassé
6 facteurs influençant la survenue d’un fx
amplitude de la force
direction : poussé, tiré ou tourné
fréquence
âge
vitesse
solidité de l’os
l’os brise de quel côté de la force
brise du côté en tension avant celui en compression
4 types de forces pouvant fx les os + type de fx qui va avec
- force de compression = raccourcit l’os
- fx comminutive - force de tension = allonge l’os
- fx transverse - force courbe - flexion = courbature dans le centre des os longs
- fx transverse du côté de la tension qui se propage du côté de la compression - force de torsion = déforme os le long de son axe longitudinal
- fx spirale
2 facteurs qui peuvent déformer l’os
stress = force appliquée à une zone spécifique
pression = élongation ou raccourcissement de l’os p/r à sa longueur originale
types de déformations de l’os (2)
élastique = après s’être déformé par l’application d’une force, l’os tend à retourner à sa forme initiale
plastique = quand la force est suffisante pour déformer l’os de manière permanente
définir point de rendement selon les déformations de l’os
c’est le point auquel la déformation élastique devient une déformation plastique
3 grosses étapes de la guérison
réduction
immobilisation
consolidation
réduction
consiste à réaligner les parties fracturées
- réduction externe = replace les 2 extrémités de l’os dans leur position normale de façon manuelle
- réduction interne = relie les 2 extrémités fracturées au moyen de vis et plaques
immobilisation
permet le début de la consolidation
se fait dans un plâtre ou par traction
4 phases principales de la consolidation
- formation d’un hématome
- fx = VS dans l’os et périoste se rompent = crée hémorragie
- formation hématome au site de fx
- cellules osseuses + alimentés meurent
- inflammation + douleur - formation du cal fibrocartilagineux
- nouv VS se forment dans le caillot
- fibroblastes + chondroblastes commencent la reconstruction de l’os
- fibroblastes = sécrètent fibres de collagènes
- chondroblastes = sécrètent matrice cartilagineuse, qui se calcifie et forme le cal fibrocartilagineux - formation du cal osseux
- ostéoblastes commencent à produire os spongieux
- nouvelles travées osseuses dans le cal fibrocartilagineux
- tissu osseux immature remplace cal fibrocartilagineux et le transforme en cal osseux - remaniement osseux
- élimination des matériaux en excès à l’extérieur de la diaphyse et à l’intérieur de la cavité médullaire = résorption osseuse
- corps de l’os se reconstruit par un dépôt d’os compact
guérison primaire
- stabilité absolue
- pas de formation de cal
- pas d’hématome, car évacué pendant la chirurgie
- ossification intramembraneuse
- fx : fg sont alignés et compressés = aucun mvt possible
guérison secondaire
- stabilité relative
- formation d’un cal
- hématome
- ossification endochondrale et intramembraneuse
- fx : fg ne sont pas compressées = mvt possible
quels sont les facteurs impactant la guérison d’une fx
- âge
- alimentation = calcium et vitamine D
- type de fx
- tabac, alcool, caféine
- vascularisation
- présence d’infection, maladie ou corps étranger
- diabète
- anémie
- matrice osseuse déminéralisée
- ostéopénie
facteurs augmentant la guérison d’une fx
- ultrason
- champs électromagnétiques
- courant direct
quand sont utilisés les tx non-chirurgicaux pour les fx
- fx sans déplacement
- patients chez qui l’anesthésie ou la chirurgie est contre-indiquée
- fx déplacée qui est mtn stable après une réduction fermée
tx non-chirurgicales fx
attelles : plus tissu, bandage élastique, permet un certain mvt
orthèses : souvent pièce de plastique moulée, permet peu de mvt
plâtre : immobilise les fx fragmentées = donne support rigide circonférentiel
traction : utilise la gravité pour réduire la fx
avantage stabilité relative
- grand cal au site de la guérison
- évite exposition aux risques d’anesthésie, infection ou saignement
avantage/inconvénient attelle
avantage :
- facile d’enlever pour hygiène
- léger
- s’accommode à l’enflure
- peu coûteux
inconvénient :
- stabilité faible à modérée
avantage/inconvénient orthèse
avantage :
- facile enlevé pour hygiène
- léger
- s’accommode à l’enflure
- + grand contrôle et stabilité que l’attelle
inconvénient :
- pas de stabilité absolue
- $$$
- moulage personnalisé
avantage/inconvénient plâtre
avantage :
- peu coûteux
- bonne méthode pour tx initial pour fx déplacées ayant eu réduction
désavantage :
- dure d’accéder aux plaies
- + lourds que les attelles ou orthèses
- contre-indiqué si enflure ou suspicion d’enflure
avantage/inconvénient traction
avantage :
- permet traction longitudinale
- prend axe ligamentaire pour tirer sur les os
inconvénient :
- besoin d’ajustement routinier
- requiert hospitalisation
- peut entrainer plaies de lit
types de réduction pour stabilité absolue
fermé
ouverte
avantage et désavantage des tx chirurgicaux
avantages : réduction des fg et on mobilise tôt
désavantages : peut ralentir la guérison par l’atteinte du périoste
nommer les 5 types de fixation chirurgicale + type de réduction
pins percutanés ou épingles : inséré dans l’os et enlevé après
- réduction fermée
vis : incision dans la peau
- réduction ouverte
plaques et vis ou ROFI : souvent laissé là, mais peut être enlevé si besoin
- réduction ouverte
clou intra-médullaire : tige dans le canal médullaire, permanent
- réduction fermée
fixateurs externes : fixation externe qui engendre de la traction
avantage/inconvénient pins percutanés
avantage :
- pas ou peu d’incision requise
- peut être incorporé dans le plâtre
- facile à enlever
inconvénient :
- peut se briser ou se plier dans l’os
- risque d’infection
avantage/inconvénient vis
avantage :
- compression sur le site de fx
- pas apparent
inconvénient :
- pas de stabilité rotationnelle
- peut devoir être changé pour orthèse ou plaque
avantage/inconvénient plaques et vis /ROFI
avantage :
- compression à travers le site de fx amène une guérison sans cal osseux
- hématome évacué chirurgicalement
inconvénient :
- grosse incision
- exposition du périoste
- risque d’échec d’implantation
- risque d’infection
avantage/inconvénient clou intra-médullaire
- peut se barrer pour donner stabilité rotationnelle
- évite énorme incision pour les structures neurovasculaires
inconvénient :
- détruit os spongieux
- avoir instabilité, déplacement de fx ou non-union
- peut mener à arthrite post-traumatique
- risque d’embolie graisseuse
avantage/inconvénient fixateur externe
avantage :
- facile à appliquer en cas d’urgence
- permet traction longitudinale
- évite traction dans un lit
- possibilité de débrider
inconvénient :
- risque d’infection
- encombrant
tx de réadapt principaux après fx
- pendant l’immobilisation
- éduquer le patient
- diminuer les effets inflammatoire
- diminuer les effets d’immobilisation
- si pte au lit = maintenir force et amplitude articulaire
tx de réadapt principaux après fx
- après immobilisation
- éduquer le patient
- fournir protection jusqu’à guérison complète
- initier exercices actifs
- augmenter mobilité des articulations et tissus mous
- augmenter force et endurance des muscles
- augmenter aptitudes cardiorespiratoires
types les + courants des fx chez les enfants
torus ou en motte de beurre = raccourcissement de l’os par compression
- se produit à la plaque de croissance
bois vert = plie mais ne casse pas complètement, slm du côté de la tension
déformation plastique = os plie au lieu de se briser suite à une force appliquée sur l’os
5 types selon la classification de Salter-Harris
type 1 (s= straight)
- ligne transverse en haut de la plaque de croissance
type 2 (A = above)
- implique majeure partie de la plaque de croissance
- fx sort du côté de la métaphyse ou diaphyse
type 3 (L = lower)
- majeure partie de la plaque
- fx sort du côté de l’épiphyse
- travers la plaque de croissance
type 4 (T = through)
- traverse épiphyse, plaque de croissance et métaphyse à un certain angle
type 5 (R = rammed)
- fx causé par écrasement
- destruction de la plaque de croissance
indices fx de maltraitance
- fx fémur enfant trop jeune pour marcher
- fx histoire ne justifie pas
- fx blessure non squelettique
- fx avec délai de rechercher de soins
- différentes fx à divers stades de guérison
différences entre fx chez adulte et enfant
- enfants + porter à faire fx // adulte + déchirer ligament, muscle ou tendon
- fx bois vert slm chez l’enfant
- fx à la plaque de croissance peut impacter croissance de l’os
6 complications locales des fx
- union retardée : guérison fx pas dans les délais anticipés / condition non idéale
- union lente : conditions idéales, mais fx + longue
- non-union : fg de fx ne se rejoignent pas et processus de guérison a cessé
- mal-union : fg de l’os position imparfaite
- pseudo-arthrose : condition anormale au site de la fx associé à une non-union
- ostéomyélites : fx ouverte ou fixation chirurgicale a causé dissémination par un pathogène
- nécrose avasculaire : apport en sang à un os ou bout d’os est compromis = mort osseuse
causes de l’union retardée
pathologique
- vascularisation interrompue
- infection
- immobilisation inaquéquate ou interrompue
- réduction insatisfaisante
- trauma sévère local
- perte de substance osseuse
- fg osseux éloignés
causes union lente
- âge
- site de fx
cause non-union
facteurs causant l’union retardée sont non-vérifés
causes mal-union
consolidation dans une rotation et ou superposition = entraine déformation angulaire ou rotatoire
cause pseudo-arthrose
non-union
cause ostéomyélite
dissémination par un pathogène
cause nécrose avasculaire
- manque apport en sang
- utilisation de stéroïdes ou corticostéroïdes
- maladie rhomboembolique
11 complications secondaires
- syndrome de douleur régionale complexe - sdrc : douleur chronique régionale, post-traumatique et neuropathique
- inégalité de longueur des os
- lésions des tissus mous : oedème léger à perturbation grave des tissus cartilagineux, capsulaire, ligamentaire et musculaire
- lésion artérielle
- lésion nerveuse
- syndrome des loges : fonction et circulation des tissus dans un endroit fermée est compromise due à une augmentation de pression
- hémorragie
- embolie graisseuse
- embolie pulmonaire
- gangrène gazeuse
- tétanos : surtout si fx ouverte
les 2 types du SDRC
type 1 : présence d’une douleur prédominante, hyperesthésie et sensibilité, SANS lésion nerveuse définir
type 2 : présence d’une douleur prédominante, hyperesthésie et sensibilité AVEC blessure majeure à un nerf périférique
3 stades de progressions de la SDRC
- 1-3 mois, constante sensation de brûlure et de douleur intense disproportionnée à la blessure initiale
- 3-6 mois, peau froide et luisante, amplitude articulaire limitée et déminéralisation diffuse de l’os qui peut être vue à la radio
- atrophie progressive de la peau et muscle, contractures articulaires et déminéralisation segmentaire
signes de lésion artérielle
- pouls faible
- pâleur
- retour capillaire lent
signes et symptômes classique des loges : 5P
pain-douleur : profonde et pauvrement localisé
pâleur : distal au compartiment
paresthésie : du nerf sensitif passant dans le compartiment
paralysie : susceptible aux dommages permanents
pouls absent
symptômes majeurs embolie graisseuse
problèmes respiratoires
confusion = atteinte SNC
pétéchies
prévention embolie pulmonaire
anticoagulants
bas de compression
élévation
ROM et mobiliser segment
conséquences de l’immobilisation après fx
- perte amplitude articulaire
- perte mvt accessoire
- perte flexibilité musculaire
- atrophie musculaire
- faiblesse musculaire
- perte d’endurance musculaire
- douleur a/n des structures ayant été immobilisées
- perte de proprioception/coordination
- perte de fonction
- réduit les glissements des tissus mous
- contracture des tissus mous
fracture de stress
fx de surutilisation les + communes : se développe quand il y a des charges excessives et répétitives sur l’os sans période adéquate de repos
- ++ activité des ostéoclastes = résorption > dépôt
- résulte en une fx de fatigue
facteur de risque fx de stress : facteurs mécaniques extrinsèques
- régimes d’entrainements : augmentation abrupte de la durée/fréquence/intensité
- chaussure pauvre en absorption
- surfaces d’entrainements dures : ciment, asphalte, pavé
- mauvais niveau d’entrainement ou de santé
facteur de risque fx de stress : facteurs mécaniques intrinsèques
- âge
- sexe : + les F que H (triade : absence menstruation + désordre alimentaire + densité osseuse diminuée)
- origine ethnique : + les blancs que les noirs
- structure du pied : pied creux = absorbe - de stress et transmet + de force au tibia et fémur // pied plat = absorbe + de stress
- nutrition : calcium et vitamine D
- physiologie individuelle : faible densité osseuse
- masse osseuse, composition corporelle, mauvais alignement biomécanique, antécédent de fx de stress
présentation clinique fx de stress
- douleur après changement d’équipement ou d’entrainement
- hausse douleur après activité
- douleur située a/n de la fx de stress
- sensibilité osseuse localisée et épaississement du périoste
- amplitude de l’articulation reste pareille
principales méthodes de dx d’une fx de stress
- examen physique : percussion permet de localiser la dlr
- rayon X : souvent pas ou peu visible
- IRM : meilleur choix
- ultrason - échographie : peu utilisé
les 2 patrons de fx de stress observable à l’IRM
- ligne de fx en bandelette : signaux bas sur toutes les images et est entouré d’oedème à l’IRM, la ligne de la fx est continue dans l’os compact et descend jusqu’à la cavité médullaire
- ligne de fx non-claire : représente un stade + précoce dans l’évolution de la fx de stress
tx pour fx de stress
varie selon localisation de fx
- période de repos et absence de stress de surutilisation
- nutrition appropriée en calcium et vitamine D
- éval biomécanique pour trouver facteurs de stress qui ont causé fx
reprise d’activité après fx de stress
basé sur les signes et symptômes physiques comme inflammation et sensibilité de la fx
temps nécessaire dépend de os affectée // durée des symptômes // gravité de la fx // santé des os // compliance au tx
fx de stress VS fx par insuffisance osseuse
fx de stress :
- composition osseuse normale
- fx après surutilisation et compression répétitive avec le temps = stress répété
fx insuffissance osseuse :
- composition anormale
- fx après application d’un stress normal
radiographie
technique d”imagerie qui sert à visualiser un organe ou partie du corps sur une pellicule photosensible
besoin de :
- source de faisceaux rayons X
- patient
- film de rayons X
rayons X
forme de rayonnement électromagnétique à haute fréquence
besoin de :
- source d’électrons
- force pour le faire bouger rapidement
- quelque chose pour les arrêter
3 types de rayons X
rayons X faible : utilisés pour les tx de tumeurs malignes superficielles
- cancer peau ou yeux
- longueur d’onde les + longues
rayons X forts : contexte de radio diagnostique générale
rayons X extra forts : tx des tumeurs profondes
- longueurs d’onde les + courtes
radiation
énergie qui est transmise à travers l’espace ou la matière
- différentes formes : mécanique, électrique, thermique, nucléaire, électromagnétique
radiodensité
combinaison de qualités physiques d’un objet qui détermine combien de radiations ont été absorbées
- combinaison de qualité regroupe : composition et épaisseur de la structure
radio-opacité VS radio-transparence
opacité = niveau élevé de radio densité
- objet atténue presque tous les rayons X qui seront projetées vers lui
- os = blanc, car calcium absorbent + les rayons
- blanc = aucun rayon atteint le récepteur
transparence = faible radio densité
- +++ de rayons passent
- air = noir
- tissus mous = gris
projection
trajet du faisceau de rayons X qui part du tube de rayons X, traverse le patient et atteint le récepteur = permet de comprendre les images d’une radio
- position ou angle de projection influence la densité radiographique
3 types de projection
- antéro-postérieure
- latérale
- oblique
ABCS image radiographique
A = alignement
évalue :
- architecture générale du squelette
- contour général du squelette
- alignement des os aux os adjacents
B = densité osseuse
évalue :
- densité osseuse générale
- anormalités texturales
- changements a/n de la densité osseuse locale
C = espaces cartilagineux
évalue :
- largeur de l’interligne articulaire
- os sous-chondral
- plaques épiphysaires
S = tissus mous
évalue :
- muscles
- coussinets adipeux et lignes de gras
- capsules articulaires
- périoste
- autres résultats des tissus mous
fx souvent non détectées au 1er examen
pas vu dû à l’inflammation
- colonne vertébrale :
- jonctions C1-C2 et C6-C7
- sacrum
- anneau pelvien - MS :
- fx scaphoïde
- fx 1/3 distal radius
- fx tête radiale et blessure a/n du carpe
- fx triquetrum - MI :
- fx col du fémur
- acétabulum
- fx plateau tibial
- fx subtile patella
- fx fibula proximale
- fx calcanéus
- fx talus
ostéodensitométrie
examen médical qui permet de mesurer la densité de l’os en densité minérale osseuse surfacique et non volumétrique
- détection précoce d’ostéoporose
- + os est dense, + il est opaque
scintigraphie osseuse
examen d’imagerie en médecine nucléaire qui emploie des substances ou des traceurs radioactifs qui se fixent sur les os
permet de voir les anomalies des os
comment fonctionne la scintigraphie osseuse
injecte produit radiopharmaceutique dans une veine de la main ou bras = circule dans le sang et s’accumule dans les os
anormale = + grande assimilation des produits et une image avec des aires noires sur le scan
normale = os transparents et gris, sauf plaque de croissance et articulation sacro-iliaque
pk utiliser scintigraphie osseuse
révèle lésions dans un os 6-12 mois avant qu’elle soit vu à la Rx
- fx subtile
- tumeur
- arthrite
- infection
- nécrose avasculaire
- maladie métabolique des os
- dlr osseuse non expliquée