Troubles liés aux substances Flashcards
Vrai ou faux. Un diagnostic de trouble lié à l’utilisation des substances chez un individu peut sous-entendre que ce dernier présente des symptômes de sevrage ou de tolérance.
Vrai
Vrai ou faux. Le DSM-5 propose 10 classes de substances psychoactives pouvant induire des problèmes de consommation. Cependant, la caféine et le tabac n’en font pas partie.
Faux
Vrai ou faux. Selon le modèle de la rechute de Marlatt, peu importe ses ressources personnelles et stratégies d’adaptation, placé devant une situation à haut risque de consommation, l’individu n’a d’autre choix que la rechute.
Faux
Vrai ou faux. Selon le modèle de la rechute de Marlatt, une première rechute ne signifie pas nécessairement l’arrêt de l’abstinence. Cela dépendra de la réponse émotionnelle de l’individu et des causes qu’il conférera à cette première rechute.
Vrai
Margaret a toujours été témoin de la consommation excessive d’alcool de ses parents la fin de semaine. Pour elle, les plaisirs de la fin de semaine sont maintenant devenus directement liés à la consommation d’alcool. De quel type de facteur de risque est-il question ici ? (Choisir la meilleure réponse)
- Individuel: Liés aux événements de vie
- Environnemental: Influence des pairs
- Lié au produit
- Individuel: Le tempérament
- Environnemental: Facteurs familiaux
Environnemental: Facteurs familiaux
La tolérance à une substance se caractérise par ?
A. Le besoin de la personne de consommer des quantités plus importantes de la substance pour obtenir l’intoxication désirée
B. L’utilisation de la substance dans des situations où cela peut être physiquement dangereux
C. Lors de l’utilisation continue de la substance, les effets ressentis par le consommateur sont diminués, alors qu’il utilise une même quantité de la substance qu’auparavant
D. A et B
E. A et C
E. A et C
En quoi consiste l’échantillon de sobriété demandé au client dans l’approche du renforcement par la communauté ?
A. Il est demandé au client de fournir, à chaque jour, un échantillon d’urine permettant de détecter la présence de substances psychoactives
B. Il est demandé au client de rester sobre (ou abstinent) durant une période circonscrite, plutôt que pour toujours
C. Il est demandé au client de fournir la preuve, au moyen, par exemple, du témoignage d’un proche, qu’il est bel et bien demeuré sobre (ou abstinent) durant une période prédéterminée
D. L’échantillon de sobriété est un terme qui sert à nommer la période de temps pendant laquelle le client suit un traitement psychologique offert dans un milieu d’hébergement (à l’interne)
B. Il est demandé au client de rester sobre (ou abstinent) durant une période circonscrite, plutôt que pour toujours
Vrai ou faux. L’indice de gravité d’une toxicomanie (IGT) représente un instrument d’évaluation des troubles liés aux substances qui peut être utilisé tant en contexte clinique, lors de l’entrée du client en centre de réadaptation, ou en contexte de recherche.
Vrai
Lors de sa thérapie, Elsa discute avec sa thérapeute de la possibilité qu’elle réintègre des cours de danse à son horaire, à raison de deux fois par semaine. Cela lui permettra de combler le vide laissé par l’abstinence à la cocaïne. De quelle technique cognitive ou comportementale est-il question dans cet exemple ?
A. Restructuration cognitive
B. Échantillon de sobriété
C. Augmentation des activités de remplacement à la consommation
D. Préparation du kit de survie
E. Affirmation de soi
C. Augmentation des activités de remplacement à la consommation
Vrai ou faux. La plupart des programmes de prévention concernant les troubles liés aux substances ciblent les personnes âgées, car ce sont les personnes les plus susceptibles de vivre des conséquences physiques sévères liées à leur consommation.
Faux
Laquelle des stratégies suivantes ne fait pas partie des techniques thérapeutiques utilisées dans la thérapie cognitive-comportementale auprès d’individus aux prises avec un trouble lié aux substances ?
A. Entraînement aux habiletés de refus de la consommation
B. Augmentation des activités de remplacement à la consommation
C. Identification des processus cognitifs en action lors de l’envie de consommer
D. Acceptation de l’impuissance à boire ou à consommer de façon contrôlée
E. Identification des conséquences associées à la consommation
D. Acceptation de l’impuissance à boire ou à consommer de façon contrôlée