Le jeux pathologique Flashcards
François a 30 ans. Il est célibataire et libre de son temps, car son emploi au garage de son père ne lui demande que sept heures par jour. François a toujours été impulsif, si bien qu’il a décidé d’abandonner l’école en cours de secondaire 5. Depuis peu, pour se désennuyer, il fréquente un bar juste à côté de chez lui et mise 20$ dans les appareils de loterie vidéo. Il lui arrive de dépasser ce montant, mais la plupart du temps il s’y tient. Quels sont les facteurs de risque pour le développement de problèmes présentés par François ?
A. Facteurs sociodémographiques (moins de 35 ans, célibataire, faible scolarité)
B. Facteur social (historique avec les jeux)
C. Facteur psychologique (personnalité impulsive)
D. Facteur social (accessibilité)
E. A, B et C
F. A, C et D
F. A, C et D
Selon la typologie de joueurs de Blaszczynski et Nower, quel type de joueur participe aux jeux de hasard et d’argent pour échapper à sa détresse et présente un historique personnel difficile ?
A. Le joueur émotionnellement vulnérable
B. Le joueur conditionné ou normal
C. Le joueur impulsif
D. Ce portrait correspond aux trois types de joueurs de Blaszczynski et Nower
E. Ce portrait ne correspond pas aux trois types de joueurs de Blaszczynski et Nower
A. Le joueur émotionnellement vulnérable
De quelle fausse croyance par rapport au jeu est-il question ici ? Noah joue aux appareils de loterie vidéo. Puisque depuis le début de sa séance de jeu, il n’a récolté aucun gain, il est convaincu que cela est bon signe et qu’un lot intéressant s’offrira à lui sous peu s’il continue à jouer encore quelques tours. Il croit que les pertes des tours précédents augmenteront ses chances de gagner dans les tours suivants.
A. Ignorance de l’espérance de gains négative
B. Ignorance de l’indépendance des tours
C. Les illusions de contrôle
D. Les superstitions
E. Les rituels
B. Ignorance de l’indépendance des tours
Vrai ou faux. La thérapie cognitive-comportementale représente la meilleure pratique dans le traitement des joueurs pathologiques.
Vrai
Vrai ou faux. Lors du traitement cognitif-comportemental des joueurs pathologiques, il est tout à fait pertinent d’encourager le joueur à accéder à un groupe d’entraide à titre de stratégie de prévention de la rechute.
Vrai
Lequel des indices suivant n’est pas l’un des symptômes précurseurs d’une rechute chez le joueur pathologique ?
A. Le joueur s’isole
B. Le joueur évite les endroits de jeu
C. Le joueur présente une trop grande confiance en son abstinence
D. Le joueur présente des conduites excessives
B. Le joueur évite les endroits de jeu
Vrai ou faux. Les épisodes d’achats compulsifs surviennent rarement à l’extérieur d’un épisode hypomanique ou maniaque du trouble bipolaire.
Faux
Le modèle cognitif et comportemental de Kellett et Bolton (2009) conceptualise le trouble d’achats compulsifs en quatre phases. Les trois premières sont : Les antécédents, les déclencheurs internes et externes et l’acte d’achat. Quelle est la quatrième phase ?
A. Les émotions positives post-achats
B. Les dettes engendrées par les achats
C. Après les achats : facteurs cognitifs, émotionnels et comportementaux
D. Les émotions négatives post-achats
E. Les cognitions associées aux conséquences des achats
C. Après les achats : facteurs cognitifs, émotionnels et comportementaux
Vrai ou faux. Selon le modèle cognitif et comportemental de Kellett et Bolton (2009), un épisode d’achats compulsifs peut être déclenché par des états internes et aussi par des indices en provenance de l’environnement (externes).
Vrai
Lequel ou lesquels des énoncés suivants représentent le mieux les objectifs des programmes de prévention des achats compulsifs ?
A. Apprendre à ne s’acheter que ce qui est essentiel à la survie
B. Apprendre à utiliser efficacement le crédit
C. Refuser de faire des achats en ligne
D. Apprendre à dépenser raisonnablement
E. A et D
F. B et C
G. B et D
G. B et D
Pour quelle(s) raison(s) peut-il être utile, dans certaines situations, de rencontrer les proches de l’acheteur compulsif ?
A. Pour élaborer des stratégies servant à établir un contrôle des achats du client
B. Pour obtenir une opinion externe des comportements d’achats du client
C. Pour combler les trous dans l’histoire du client
D. Pour aider le thérapeute à établir le diagnostic
E. A et C
F. B et C
F. B et C
Laquelle des techniques comportementales suivantes n’est pas spécifique aux achats, dans la thérapie cognitive-comportementale offerte aux acheteurs compulsifs ?
A. La règle du 24 heures
B. Se débarrasser des circulaires/coupons rabais
C. Utiliser la résolution de problèmes
D. Faire un budget qui inclut les montants alloués aux différents achats
E. S’engager dans des activités (excluant les achats) permettant de combler les besoins du client qui étaient, habituellement, répondus par les comportements d’achat
F. Toutes ces réponses sont spécifiques aux achats
C. Utiliser la résolution de problèmes
