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Psycopathologie > Troubles addictifs - Troubles non liés à des substances. > Flashcards

Troubles addictifs - Troubles non liés à des substances. Flashcards

1
Q

Vrai ou faux.

On peu s’améliorer dans les jeux de hasard et d’argent.

A

Vrai.

Mais dans tous les cas, le hasard demeure tout de même plus important.

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Q

Vrai ou Faux.
Il vaut mieux utiliser une machine que quelqu’un vient de laisser après plusieurs heures sans gains significatifs, que d’en prendre une qui n’a pas été joué de la soirée.

A

Faux.

Ça n’a aucun lien.

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3
Q

Un jeu de hasard et d’argent implique 3 choses, soit que :

A
  • L’individu doit miser de l’argent ou un objet de valeur.
  • Cette mise est irréversible
  • L’issue du jeu repose principalement ou totalement sur le hasard.
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4
Q

Nommez les deux critères du Jeu d’argent pathologique.

A

A. Pratique inadaptée, persistante et répétée, souffrance et altération du fonctionnement, possède au moins 4 critères pendant 12 mois.
- Besoin de jouer pour avoir un état d’excitation (tolérance)
- Agitation ou irritabilité lors de tentatives d’arrêt du jeu. (sevrage)
- Efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu. (contrôle comportementale)
- Après avoir perdu de l’argent au jeu, retourne souvent jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes
(pour « se refaire »). (cognition erronées)
- etc.
B. La pratique du jeu n’est pas mieux expliquée par un épisode manique.

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5
Q

Qu’est-ce que le Jeu d’argent pathologique occasionnel?

A

Présence de périodes sans symptômes.

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6
Q

Qu’est-ce que le jeu d’argent pathologique continue?

A

Les symptômes sont toujours présents depuis plusieurs années.

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7
Q

Nommez le nombre de critères nécessaires pour spécifier la sévérité du Jeu d’argent pathologique.

A

Léger : 4-5 critères
Moyen : 6-7 critères
Grave : 8-9 critères

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8
Q

Vrai ou faux.

Le jeu d’argent pathologique touche plus les femmes que les hommes.

A

Faux.

Il touche plus les hommes.

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9
Q

Vrai ou faux.
Il y a beaucoup de violence économique, physique, psychologique ou sexuelle dans les couples où le conjoint(e) est un joueur pathologique.

A

Vrai.

Le jugement prend un coup et le joueur pathologique peut voler de l’argent, devenir violent, etc.

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10
Q

Quelles sont les 7 conséquences du Jeu d’argent pathologique?

A
  • Impact sur les proches
  • Impact sur le fonctionnement professionnel
  • Développement d’un autre trouble de la santé mentale
  • Risque de comportements délinquants
  • Risque de développement d’une dépendance.
  • Difficultés financières
  • Risque accrue de suicide
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11
Q

Le jeu d’argent pathologique est comorbide avec quelle autre trouble?

A
  • Trouble psychiatrique
  • Trouble anxieux
  • Trouble de l’humeur et des idées suicidaires
  • Trouble d’abus ou de dépendance à l’alcool
  • Trouble d’abus ou de dépendance à la drogue
  • Trouble de la personnalité
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12
Q

Quelles sont les formes de traitements offertes aux individu atteints du Jeu d’argent pathologique?

A
  • Groupes de soutien (AA/NA/GA)
  • Entretiens motivationnels
  • Thérapie cognitive comportementale (restructuration cognitive, exposition, etc.)
  • Psychothérapie psychodynamique
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13
Q

Vrai ou faux.

Le visionnement de vidéo porno est une pratique très normative, mais qui peut devenir pathologique.

A

Vrai.

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14
Q

Qu’est-ce qui facilite le développement d’une consommation compulsive de porno?

A

Triple-A Engine : Accessible, Anonyme, Abordable

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15
Q

Vrai ou Faux.

Les revenus de Microsoft + Google + Amazon sont plus élevé que les revenus de l’industrie pornographique.

A

Faux.

Les revenus de l’industrie pornographique sont plus élevés que les revenus de Microsoft + Google + Amazon.

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16
Q

Vrai ou Faux.

Le trouble hypersexuel et le trouble du comportement sexuel compulsive ne sont pas retenue pour le DSM-5.

A

Vrai.

17
Q

Nommez les 3 critères du trouble hypersexuel.

A

A. Pendant une période d’au moins 6 mois, présence d’excitation sexuelle intense et récurrente, de désir sexuel ou de comportements sexuels tel que manifesté par 3 ou plus des critères suivants:

  • Temps investi dans les désirs intenses et fantaisies et comportements qui interfèrent avec des buts, activités, obligations.
  • s’engage de manières répétitves à des comportements sexuels en réponses à des humeurs dysphoriques (anxiété, ennuie, dépression, etc.)
  • S’engage de manière repetitive dans des comportements sexuels ou fantaisies et réponse à des événements de vie stressants.
  • Efforts infructueux pour diminuer ou contrôler les comportements sexuels.
  • S’engage de manière répétitive dans des comportements sexuels malgré les risques physiques pour soi ou les autres.

B. Détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement

C. Pas du aux effets physiologiques d’une substance ou une affection physiologique.

18
Q

Nommez les 3 critères du trouble du comportement sexuel compulsif.

A

A. Échec à contrôler les impulsions sexuelles intenses et répétitives, ce qui résulte en un comportement sexuel répété sur une période d’au mois 6 mois, et qui cause une détresse significative ou un altération du fonctionnement.

B. Comprend au moins 1 caractéristique :

  • S’engager dans les activités sexuelles répétitives est le centre d’intérêt principal de la personne qui peut en négliger des sphères importantes de sa vie personnelle.
  • La personne a fait de nombreux efforts infructueux afin de contrôler ou réduire le comportement sexuel répétitif.
  • La personne continue de s’engager dans de tels comportements malgré des conséquences importantes.
  • La personne continue de s’engager dans de tels comportements, malgré qu’elle n’en retire que peu ou pas de satisfaction.

C. Les comportements ne sont pas mieux expliqués par une autre condition mentale.

19
Q

Vrai ou faux.

La sexualité compulsive est toujours agréable.

A

Faux.
La sexualité compulsive n’est pas toujours agréable. Elle n’occasionne pas toujours des orgasmes et les individus atteints ont des comportements qu’ils regrettent.

20
Q

Qu’est-ce qui pourrait augmenter les chances de développement d’une addiction/compulsion/impulsion sexuelle?

A

Une faible estime de soi, un malaise intérieur, la présence d’un trouble paraphilique et un abus sexuel à l’enfance.

21
Q

Comment pourrait-on traiter les addiction/compulsion/impulsion sexuelle?

A
  • En ciblant différentes sphères associés aux comportements sexuels compulsifs (Ex : Gestion des émotions et impulsivité, intimité, identité, concept de soi sexuel, concept de soi rationnel).
  • En faisant des interventions visant la mentalisation.
22
Q

Vrai ou faux.
Selon la proposition de L’APA sur la dépendance aux jeux vidéo en ligne, la proposition se limite aux jeux vidéos et n’inclue pas l’utilisation d’internet, le jeu d’hasard et d’argent et l’utilisation des réseaux sociaux.

A

Vrai.

23
Q

Vrai ou faux.
Selon la proposition de L’APA sur la dépendance aux jeux vidéo en ligne, les jeux vidéo peuvent occasionner une détresse cliniquement significative et des altérations du fonctionnement.

A

Vrai.

24
Q

Vrai ou faux.
Selon l’APA, nous avons toutes les évidences pour déterminer que le condition de dépendance aux jeu vidéo en ligne est un trouble mental unique.

A

Faux.
Selon l’APA, il manque d’évidence pour déterminer si la condition est un trouble mental unique ou s’il s’agit de la meilleure des façons pour la classifier.

25
Q

Combien de symptômes doit posséder un individu pour qu’il ait une dépendance aux jeux vidéo en ligne?

A

Au moins 5 symptômes.
*les symptômes s’apparentent à ceux d’un trouble d’usage d’une substance (Symptômes de manque, besoin d’avantage de jouer pour se satisfaire, jouer malgré les problèmes, mentir à ses proches sur le temps de jeu, préoccupation par les jeux, jouer pour soulager des émotions négatives, etc.).

26
Q

vrai ou faux.

Certains gamers peuvent jouer 8 heures par jour, mais aucun joue plus de 12 heures par jour.

A

Faux.

Certains gamers jouent 13 heures par jour.

27
Q

Pourquoi les gens se tournent vers les jeux vidéo?

A

Pour obtenir un sentiment de réussite, pour socialiser et pour s’immerser dans un monde virtuel.

28
Q

Nommez quelques conséquences d’une dépendance aux jeu vidéo en ligne.

A
  • Tensions musculaires
  • Problèmes de posture
  • Manque de sommeil
  • Problèmes dans les relations interpersonnelles.
  • Malnutrition
  • Estime de soi dépend du jeu
  • Solitude
  • Agressivité et hostilité
  • Diminue la performance académique au travail
  • Problèmes au niveau de la mémoire verbale
29
Q

Vrai ou faux.

L’addiction aux réseau-sociaux est non classifié comme un trouble mental à ce jour.

A

Vrai.

30
Q

Quelle est le pourcentage de canadiens qui utilisent les réseaux sociaux.

a) 70%
b) 97%
c) 85%

A

c) 85%

31
Q

L’utilisateur moyen utilise les réseaux sociaux :

a) 360 minutes par jour
b) 150 minutes par jour
c) 260 minutes par jour

A

b) 150 minutes par jour

32
Q

Dans quels contextes utilise-t-on les réseaux sociaux?

A

Pour le divertissement, le travail, le réseautage, l’achat de biens matériels et pour le études.

33
Q

Quelles sont les conséquences sur la santé mentale de l’utilisation des réseaux sociaux?

A

l’utilisation des réseaux sociaux est associé à des conséquence au niveau de l’estime de soi, de l’humeur, de l’anxiété, des préoccupations alimentaires, etc.

34
Q

Qu’est-ce qui agissent comme « renforcements intermittent » dans l’addiction aux réseaux sociaux?

A

Les likes, les partages et les retweets

35
Q

Vrai ou faux.

l’utilisation des réseaux sociaux à un effet similaire à la consommation de cocaïne.

A

Vrai.
En analogie, les interactions sur les réseaux sociaux agissent comme une injection de dopamine directement dans le système.

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