Les troubles liés à une substance et troubles addictifs. Flashcards
Vrai ou faux.
La consommation d’alcool fait partie de la vie normale.
Vrai.
Une consommation pathologique dépend de la fréquence, de la quantité et du contexte sociale.
Quelle est la consommation d’alcool approprié pour une femme?
2 consommations par jour, maximum 10 par semaine. À l’occasion, maximum 3 consommation dans la même journée. Avoir 1 ou 2 journées par semaine sans alcool.
Quelle est la consommation d’alcool approprié pour un homme?
3 consommations par jour, maximum 15 par semaine. À l’occasion, 4 consommation dans la même journée est toléré. Avoir 1 ou 2 journées par semaine sans alcool.
Pourquoi avoir des différences de consommations d’alcool pour les hommes et pour les femmes?
À cause des différences biologiques. La femme s’intoxique généralement plus facilement que l’homme, en raison d’un poids inférieur, d’une moins grande quantité d’eau dans le corps de la femme et d’une moins grande quantité d’enzymes qui métabolisent le corps.
Quelle quantité de consommation d’alcool correspond à un comportement de « Binge drinking ».
4 consommations chez la femme, versus 5 chez l’homme.
En consommation modéré, qu’est-ce qui risque de faire le plus de dommage entre l’alcool et le cannabis?
Le cannabis.
Dans le cannabis, quelle cannabinoïde produit des effets psychoactifs?
Le THC.
Dans le cannabis, quelle cannabinoïde réduit les effets du THC.
Avec ses effets relaxants, le CBD réduit les effets psychoactifs du THC.
Vrai ou faux.
Il est plus recommandé de fumer un joint que d’ingérer le cannabis.
Faux.
On doit prioriser les vaporisateurs et l’ingestion d’aliment, car fumer c’est plus nocifs en raison d’un accès direct aux poumons.
Vrai ou faux.
Le cannabis à lui seul peut provoquer la psychose chez quelqu’un qui n’a pas de prodrome (facteurs de risques).
Faux.
Le cannabis ne peut pas, à lui seul, provoquer la psychose chez quelqu’un qui n’a pas de prodrome.
Vrai ou faux.
On ne peut pas avoir un trouble de l’usage de la caféine.
Vrai.
Nommez les 5 critères du troubles de l’usage d’une substance.
- Usage problématique de la substance qui conduit à une altération du fonctionnement ou une souffrance cliniquement significative, caractérisé par la présence d’au moins 2 manifestations (voir diapo 18) pendant 12 mois.
- Consommation répétée de la substance dans des situations où ça peut être physiquement dangereux.
- Usage de la substance poursuivi, même si la personne sait qu’elle a un problème psychologique ou physique récurrent, probablement causé par la substance.
- Tolérance, définie par un des 2 symptômes, soit : a) Besoin d’une plus grande quantité de la substance pour atteindre l’effet désiré. b) Effet désiré diminué (moins fort)
- Sevrage caractérisé par l’une des 2 manifestations suivantes : a) syndrome de sevrage caractéristique de la substance. b) substance prise pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
Durée de la rémission précoce du trouble de l’usage d’une substance.
3 mois et plus, mais moins de 12 mois.
Durée de la rémission prolongée du trouble de l’usage d’une substance.
12 mois et plus.
Combien de symptômes doit-on avoir pour être atteint du trouble de l’usage d’une substance léger, moyen ou grave?
Léger : 2-3 symptômes
Moyen : 4-5 symptômes
Grave : 6 symptômes ou plus.
Nommez les 4 critères de l’intoxication par une substance.
A. Développement d’un syndrome réversible dû à la prise récente de cette substance.
B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs. Ils se développent pendant ou peu après la consommation de la substance.
C. caractéristique spécifiques à chaque substance.
D. Symptômes pas dus à une autre affection médicale et pas mieux expliqués par un autre trouble mental.