Thompson Flashcards
Détection des CSV (4 éléments)
Analyse de la longueur des jambes
Radiographie
Palpation
Instrumentation
Instrumentation pour la détection des CSV
Neurocalomètre avant
Thermographie/EMG de surface aujourd’hui
Indices de fonction autonome et de dysfonction neurophysiologique
La radiographie est le point central de l’analyse Thompson Vrai ou faux
Faux, Thompson croit plus en une colonne équilibrée que parfaite = leg check plus important
Rôles des radiographies dans la détection des CSV
Éliminer pathologie sous-jacente
Aide à déterminer le type de subluxation
Aide à interpréter le leg check
Palpation dans la détection des CSV
Très importante tout comme les signes et symptômes du patient
Principe derrière le leg check
Dysfonctions neurophysiologiques = contractions musculaires
Zone primaire, secondaire et tertiaire de correction des CSV
Primaire = cervical/occiput et pelvien
Secondaire = cervicothoracique et lombaire
Tertiaire = autres thoraciques
Est-ce que toutes les zones du rachis doivent être ajustées avant d’arrêter le traitement?
Non, on arrête dès que la longueur des jambes est corrigée (donc possible d’arrêter après seulement la zone primaire de correction)
Vrai ou faux: on doit lâcher le contact lors du drop
Non, on doit tenir l’ajustement pour que le segment visé continue de bouger selon la loi de Newton
Populations pouvant être traitées par la technique Thompson
Tous les âges : enfant, adulte, personnes âgées (seulement besoin d’ajuster la tension du drop)
Contre-indications absolues à la technique Thompson
Anévrisme de l’aorte abdominale
Pathologie sous-jacente
Conditions qui demandent des précautions dans l’utilisation de la technique Thompson
Blessure discale aigue
Spondylolisthésis de grade 3 et plus
Ostéoporose
Athérosclérose aortique sévère
Causes de la jambe courte accompagnée de CSV (2)
Réponse neurologique des fuseaux neuromusculaires
Changements proprioceptifs des articulations facettaires, des disques intervertébraux et des organes tendineux de Golgi
Effets des CSV sur les muscles
Fibres extrafusales étirées
Changement perçu par les fibres intrafusales
Effets des CSV sur les articulations facettaires
Inflammation locale dans la capsule
Douleur à la palpation en raison des médiateurs chimiques
Oedème augmente l’étirement de la capsule = modifie la proprioception
Effets des CSV sur les organes tendineux de Golgi
Détectent la tension que le muscle exerce sur le tendon (ce qui augmente la tension sur l’organe tendineux de Golgi)
Effets des CSV sur les disques intervertébraux
Signaux proprioceptifs modifiés
Chemin du message nerveux du CSV vers le cortex
Afférences vers le cervelet par les faisceaux spino-cérébelleux ventral et dorsal
Cervelet transmet l’info au cortex moteur et sensitif par le thalamus
Réponse du cortex à une perception normale au niveau du rachis
Pas de réponse
Réponse du cortex à un dérangement articulaire au niveau du rachis
Jambe courte
Implication de 4 tractus descendants
Tractus descendants du cortex qui induisent la jambe courte (4)
Tecto-spinal
Rubro-spinal
Réticulo-spinal
Vestibulo-spinal
Rôle du tractus tecto-spinal
Coordination des mouvements de la tête et des yeux
Rôle du tractus rubro-spinal
Coordination motrice
Rôle du tractus réticulo-spinal
Réflexes intraspinaux
Rôle du tractus vestibulo-spinal
Excitateur/facilitateur pour les muscles posturaux (surtout bassin et membre inférieur)
Entraine la contraction des muscles posturaux = jambe courte
Évidences du leg check selon la littérature
Modéré/bon pour voir une différence ou non (jambes tendues, mais pas avec les genoux fléchis)
Aucune évidence pour le leg check avec rotation de la tête
Conditions qui biaisent le leg check
Scoliose lombaire
Spondylolisthésis
Asymétrie anatomique des jambes
Positionnement du patient pour leg check
Drops inactivés
Patient vide ses poches avant et arrière
Patient se couche sur le ventre à partir du bout de la table sans rotation