Théories psychologiques Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la violence selon une perspective psychologique ?

A

un comportement délibéré et dirigé envers une personne dans le but de lui cause un tort physique ou psychologique. Dans les théories psychologiques, le recours à la violence à une finalité. C’est un réflexe primitif, quasi inné.

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2
Q

Vrai ou faux

Selon une perspective psychologique, il est stipulé qu’il n’est pas possible qu’un individu est recours à la violence dans un contexte justifié.

A

Faux.

Il est possible d’y avoir recours dans des contextes justifiés. Par exemple, dans un cas de légitme défense. Cependant, l’individu ne déroge pas pour autant de sa nature antisociale.

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3
Q

À quel type de violence fait-on référence ?

  • lutte contre des menaces physique ou psychologique
  • menaces peuvent être de sources externes ou internes
  • la réaction violente est rapide, immédiate et vise à élimier la souce de danger.
  • l’individu n’a aucune considération pour la victime puisque sa priorité est sa préservation.

a) La violence réactive
b) La violence autopréservatrice
c) aucune de ces réponses

A

b) La violence autopréservatrice

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4
Q

Quel énnoncé est vrai ?

a) Plus de 70% des délinquants violents auraient au moins un trouble de santé mentales
b) 5% des hommes commettraient 50-70% des crimes violents
c) 12% des délinquants auraient un trouble de santé mentale grave
d) environ 69% des délinquants sous la responsabilité du Service correctionnel du Canada purgent une peine pour infraction avec violence.
e) aucune de ces réponses
f) toutes ces réponses

A

f) toutes ces réponses

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5
Q

Vrai ou faux

Nous pouvons très bien associé santé mentale et violence puisque les problèmes de santé mentale sont surreprésentés en prison et les délinquants violents sont également surreprésentés parmi les gens aux prises avec des problèmes mentaux.

A

Faux

Bien qu’effectivement les troubles de santé mentale sont surreprésentés dans les prison, les délinquants violents ne sont pas surreprésenté parmi les gens avec des troubles de santé mentale. Santé mentale n’égale donc pas recours à la violence.

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6
Q

Vrai ou faux

Les délinquants violent sont des spécialistes de la violence et lors de la commission des infractions ils ont pratiquement toujours recours à la violence.

A

Faux

les délinquants violents ne se spécialisent pas dans les crimes violents et commettent en fais 3 à 6x plus de délits non violents que de délits violent

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7
Q

Nomme 4 caractéristiques communes que l’on retrouve chez les délinquants violents selon une perspective psychologique.

A
  • L’appartition précocre des comportements violents annonce généralement l’annonce de comportements violents dans le futur
  • continuité dans le recours à la violence durant l’enfance, l’adolescence et la vie adulte
  • présence de multiples difficultés dans plusieurs sphères de vie et ce, depuis l’enfance
  • style de vie instable (éducation, travail, relations interpersonelles)
  • problèmes de colères, d’autorégulation et impulsivité
  • pensée dichotomisée
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8
Q

Vrai ou Faux

Une cause est un élément qui concourt à un résultat, qui contribue directement à l’adoption (ou non) d’un comportement.

A

Faux

la définition ci-haut fait référence à un facteur qui est associer avec les théories du comportement violent à facteur unique.

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9
Q

La colère qui contribuerait à décontectualiser un évènement problémaitque et à reconnaitre le recours à la vilence comme pouvant servir à calmer sa frustration peut se présenté de différentes façons, lesquelles?

3 réponses attendues

A
  1. De manière généralisée : envers le monde entier puisqu’il se sent comme une victime
  2. Envers les autres : relation de couple insatisfaisante/conflictuelle, frustration au travail. peut être très spécifique envers une relation.
  3. Envers soi : incapable de réaliser une tâche, de répondre aux attentes. Faible estime de soi.
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10
Q

Vrai ou faux

La colère est considéré comme précurseur de divers types de comportements crimiels parce qu’elle est nécessaire et suffisante pour entraîner des crimes avec violente.

A

Faux

La colère est considéré comme précurseur de divers types de comportements criminels déviant parce qu’elle dure dans le temps. Elle n’est ni nécessaire et ni suffisante pour entraîner des crimes avec violence.

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11
Q

Quel rôle joue la colère dans le recours à la violence?

A

Elle joue un rôle facilitant mais pas déclancheur. La colère va venir justifier les pensées, mais elle ne sera pas l’incitatif des actions. Il peut y avoir une présence de séquence d’événement dans laquelle elle joura un rôle important vers le recours à la violence, mais celle-ci n’est pas obligée d’être présente.

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12
Q

Vrai ou faux

On peut définir l’impulsivité comme étant un problème d’autorégulation.

A

Vrai

L’impulsivité qui est l’incapacité d’inhiber un comportement en réponse au signaux immédiat est en effet un problème d’autorégulation puisque celle-ci fait référence à être en mesure de prendre un pas de recule avant de poser une action.

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13
Q

Qu’es-ce que la tendance à répondre de façon violente à une perception de provocation sans considérer les conséquences potentielle?

A

un problème d’autrégulation typique

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14
Q

Qu’est-ce que le transfert d’excitation présenté par Zillman, dans les théories du comportements violent à facteur unique?

A

C’est lorsque tu vis une situation forte en émotion, quelle soit postivie ou négative, et que par la suite, dans un délais rapprocher, une autre situation survient et que tu transfert on excitation envers la deuxième situation de manière hostille. Dans un temps normal tu n’aurait peut-être pas réagit ainsi mais parce que tu venais de vivre une situation forte en émotion, tu as donc transposer cette émotion envers la deuxième situation.

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15
Q

Quels sont les trois conditions nécessaires qui doivent être réunis pour être en mesure de parler du transfert d’excitation ?

A
  1. Le second stimulus doit apparaître avant la disparition complète de l’excitation du premier stimulus
  2. il y a une mauvaise attribution de l’excitation qui se traduit par une interpération de celle-ci à la présence complète du second stimulus
  3. L’individu n’avait pas atteint un seuil d’excitation satisfaisant avant qu’il y est exposition au deuxième stimulus
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16
Q

Choix de réponse

Quel concept fait référence à une approche de cause à effet dans les théories du comportement violent à facteur unique ?

a) Le transfert d’excitation
b) Les structures cognitives/cérébrales
c) L’impulsivité et l’autorégulation
d) Le lien frustration-agression
e) La colère
f) a et d
g) b et a
h) a et b et c
i) Tous ces concpets sont des approches de cause à effet
j) aucune de ces réponses

A

d) Le lien frustration-agression

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17
Q

Vrai ou faux

Le lien frustration-agression est un concept fort qui peut bien expliquer l’adoption à des comportements chez un individu.

A

Faux

Les chercheurs en ont conclu que ceci est seulement une hypothèse parce que le lien causal n’est pas concluant. Cette approche néglige la considération des facteurs individues comme modulateur et influeuceur de comportement.

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18
Q

Les fonctions exécutives, les schémas cognitifs et les biais attributionnels comme aspects qui favoriseraient l’émergence de comportement violent est associé à quel concpet des théories du comportements violent à facteur unique ?

A

Au structures cognitives/cérébrales. C’est processus cognitifs seraient défaillants chez les délinquants violents et nuirait donc au traitement de l’information et c’est cela qui favoriseraient l’émergence de ces comportements.

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19
Q

Qu’est-ce qu’une fonctions exécutive. Quel-est son impact et peut-elle expliquer le recours à des comportements violents?

A

La fonction exécutive est un processus inconscient qui vient déterminer comment l’information sera perçue, encodée, enregistrée et motifier, chez un individu. Elle sert à la planification, l’organisation, l’attention sélective, l’inhibiton et la résultion de problème.
Des déficits des fonctions exécutives peuvent causer des difficulté à l’enfance (impulsivité, hyperactivité, etc.) qui rendu à l’âge adultue seraient associés aux comportements violents. Ceci n’est cependant pas suffisant pour expliquer le recours à la violence à l’âge adulte puisque ce n’est pas tout le monde qui va manifesté ces déficits de manière violente rendu à l’âge adulte.

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20
Q

Selon les théories du comprtement violent à facteurs unique, de quoi découle les schémas cognitifs et quels sont les 4 types qui sont généralement liés à la violence

A

les schémas cognitifs sont des processus enregistré dans le système nerveux centrale (mémoire à long terme) et découlent des distorsions cognitives, soit des schémas de pensées exagérés ou irrationnels.
1. Je dois me battre ou être battu.
Ex: Préoccuper par la perception qu’ont les autres de moi, si mon image est menacé, je dois me battre pour pas que les autres profite de moi.
2. Je suis la loi
Ex: Je suis l’autorité morale et la violence m’est utile pour défendre les autres
3. La violence est normale
Ex : Le recours à la violence est normal pour atteindre ses buts (la fin justifie les moyens)
4. Je ne peux pas me contrôler
Ex: Une fois que je suis en colère, je ne peux plus m’arrêter

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21
Q

Jacques est faché parce que sa blonde vient de la laisser et croit que tout le monde est contre lui. Il décide d’aller au bar pour se changer les idées. Rendu la-bas, il croise le regard d’un autre homme qui semble le dévisagé. Jacques en conclut donc que celui-ci veut se battre avec lui et qu’il lui veut du mal.

En tenant compte de cette situation, à quoi fait référence la conclusion de Jacques.

A

Au Biais d’attribution Hostille.

Il déduit une conclusion à partir d’un seul élément de la situation. Il fait preuve d’un biais négatif quant à l’analyse du comportements de l’autre puisque Jacques croit que les gens qui l’entour sont antipathique et que ceux-ci sont tous des adversaire.

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22
Q

Nomme une force et une faiblesse des théories du comportement violent à facteur unique.

A

Force:
1. Pour la plupart, il y a des fondations empiriques solides
2. Elles permettent d’expliquer des comportements individuels de manière concrète. Il y a des explications qui aident à comprendre le comportement violent.

Faiblesse:
1. Créer une rupture forte entre la normalité et l’anormalité. Soit tu es impulsif-violent, soit tu ne l’es pas dutout, Soit tu es antisocial ou pro-social.
2. Absence de causalité. Il y a seulement présence de facteur, et ces facteurs sont contributifs. Il y a absence de séquence

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23
Q

Choix de réponse

Le traitement de l’information sociocognitif fait référence à quelle Théories?

a) Théories du comportement violent à facteur unique
b) Au modèle du traitement de l’information sociale
c) L’approche psychanalytique/Psychodynamique
d) Théorie du contrôle social
e) Théorie de l’apprentissage social
f) aucune de ces réponses

A

b) Au modèle du traitement de l’information sociale

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24
Q

La prémisse “ Les situation sociales commandent des conduites adaptés.” fait référence à quelle théorie? Cette théorie se retrouve dans quelle perspective?

A

Le traitement de l’information sociocognitive dans le Modèle du traitement de l’information sociale, dans une perspective psychologique.

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25
Q

Selon le traitement de l’information sociocognitive, une conduite découle d’un traitement séquentiel de l’information selon 4 étapes. lesquels ?

A
  1. l’encodage et l’interprétation des signaux sociaux dans une situation donnée (apprentissage de la situation à quelque part)
    2.** Le stockage** de l’encodage qui a été fait pour une situation futur. on ne l’applique pas à tout les situation, on garde l’info pour y avoir recours à un moment donner. On garde l’info comme possibilité.
  2. La récupération de ces élément dans un contexte futur. Il faut être capable de récupérer les informations.
    4.** La sélection de la réponse** la mieux adapté.
    *ex: Je pense que la violence serait la meilleure solution dans cette situation. *
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26
Q

Pourquoi les individus agressif ont tendance à apporter une attention sélective aux signax agressifs et à s’en rappeler?

A

Parce que ceux-ci perçoivent plus facilement une agression dans un large éventail de contexte en guise de réponses adaptées et comme moyen efficace de résolution de conflit.

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27
Q

Expliquer pourquoi Charlie, qui est une personne agressive, aurait plus souvent tendance à attribuer des intentions injustes aux autres, et ce, particulièrement dans les intéractions sociales ambigüe.

A

Parce que comme les personnes agressives ont tendance à perçevoir plus facilement les agressions dans un large éventail de contexte en guise de réponse adapté, dans le doute, elle perçoit l’autre comme lui voulant lui causer du tord. Comme elle n’a jamais été dans cette situation, elle préfère être sur ces gardes.

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28
Q

Association

Associe chaque étapes du modèle du traitement de l’information sociocogitive qui explique le recours à la violence à la mise en situation suivante:

François a appris à toujours faire confiance aux autres, mais s’est souvent fait avoir par le passé. Il demande une soumission pour sa galerie, laisse l’entrepreneur tout l’espace et le temps nécessaire et ce dernier lui revient avec un prix qui lui semble exprbitant en plus de le charger plus cher que prévu pour l’évaluation. François a donc pas l’intention de se soumettre à ses demandes pusqu’il sait qu’il se fait avoir. Il se questionne à s’il va payer l’entrepreneur ou non et la colère monte en lui. Il se dit qe s’il paie, l’entrepreneur le laissera tranquille, mais encore une fois il sentirait qu’il se fait avoir. Si il ne paie pas, Il aura gagné le conflit sauf que l’entrepreneur ne sera pas content et la situation risque vite de dégénérer. François évalue ses chances de réussite avec la seconde option (je vais le forcer à quitter ma maison en haussant le ton et en le repoussant, je suis plus fort que lui). Si il considère se scénario comme réalisable, il va le mettre en pratique autrement il va réévalue la situation. Finalement, françois passe à l’action

  1. La perconne procède à l’encodage et à l’interprétation des signaux sociaux d’une situation
  2. Elle doit décider quels but convient à la situation
  3. Elle conçoit des réponses potentielles
  4. Elle évalue les conséquences possibles
  5. La capacité de la personne à mettre en oeuvre
  6. L’application du comportement
A
  1. François a appris à toujours faire confiance aux autres, mais s’est souvent fait avoir par le passé. Il demande une soumission pour sa galerie, laisse l’entrepreneur tout l’espace et le temps nécessaire et ce dernier lui revient avec un prix qui lui semble exorbitant en plus de le charger plus cher que prévu pour l’évaluation.
  2. ici il n’a pas l’intention de se soumettre à ses demandes puisqu’il sait qu’il se fait avoir
  3. Il compare les réponses potentielles : je paie, je ne paie pas. Mais entre temps, je sens la colère monter.
  4. si je paie, l’entrepreneur me laissera tranquille, mais encore une fois je me serais fait avoir. Si je ne paie pas, j’aurais gagné le conflit sauf que l’entrepreneur ne sera pas content et la situation risque vite de dégénérer
  5. j’évalue mes chances de réussite avec la seconde option (je vais le forcer à quitter ma maison en haussant le ton et en le repoussant, je suis plus fort que lui). Si je considère scénario comme réalisable, je vais le mettre en pratique autrement je réévalue la situation.
  6. François passe à l’action
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29
Q

Vrai ou faux

Les théories intégrées combine l’ensemble des facteurs connus et validés du passage à l’acte dans le but d’arriver à des plans stratégies d’interventions visant le désistement des comportements violents.

A

Vrai

Quand on est capable d’identifier une séquence temporelle/des déclencheurs, à partir de ce moment-là on est capable de déconstruire une situation, de la modifier et de la changer.

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30
Q

Choix de réponses

Quelles sont les concepts impliqués dans le Modèle général de l’agression?

a) Facteurs situationnels
b) Variables personnelles
c) États internes
d) Signaux situationnels
e) Facteurs développementaux
f) Facteurs expliquant le maintient
g) Action réfléchie et impuslive
h) Apprentissage
i) Évaluation du risque

A

b) Variables personnelles
c) États internes
d) Signaux situationnels
g) Action réfléchie et impuslive

31
Q

Quelle est la différence entre une violence instrumentale et une violence affective selon le Modèle général de l’agression présenté par Anderson et Bushman? Donner un exemple pour chacune.

A
  1. La violence instrumentale est assocé à une action rfléchie. Elle est une violence réfléchie à laquelle on a donné un sens. L’individu a pris le temps d’y penser. Elle est souvent motivié par la vengeance, le contrôle, le pouvoir et par le gains.
    *Ex : Le sadisme *
  2. La violence affective quand à elle est une violence impulsive et est donc associer à l’action impulsive. Elle est instantané et il y beaucoup plus un appel au aux émotions dans ce type de violence que dans l’action réfléchie. La violence est explosive et est utiliser pour évacuer les émotions négative chez l’individu.
32
Q

Expliquer le processus du recours à la violence dans le Modèle général de l’agression.

A

Ce modèle prend en considération les variables internes et externes chez un individus. Dans ce ses, des variables personnels tel que les traits de personnalité, les biais d’attribution hostile, les attitudes et les valeurs antisociales et les signaux situationnels tels que les perceptions de provocations (insultes, agressions, frustration) et les signaux agressifs (armes, médias) intéragissent entre eux et ensemble et créer alors des états internes chez l’individu. C’est états internes peuvent se manifestés par des scripts agressifs, des cognitions (biais d’hostilié), des émotions (hostilité) et des excitation physiologique. Donc, ces facteurs auront un impact sur l’évaluation des situation et dans la prise de décisions. L’individu prendra donc une action réfléchie (non violente ou violence instrumentale) ou une action impulsive (non violente ou violence affective).

33
Q

Vrai ou faux

Le modèle intégré de Serin est un modèle multifactoriel qui vient expliquer comment une personne acquiert à des comportements violent, les maintient ou y renonce.

A

Vrai

Il aborde les facteurs développementaux, les apprentissage, les facteurs situationnel et les facteur expliquant la récidive.

34
Q

Quels sont les quatres phases du modèle intégté de Serin ?

A
  1. Les amorces
  2. Le contexte
  3. L’expression
  4. La répétition
35
Q

Vrai ou faux

Les facteurs distaux sont les facteurs expressifs qui détermine une réponses violente.
Identifie à quel phase du modèle de Serin ces facteurs sont associés.

A
  • Faux
  • Ils sont associés aux amorces

Les facteurs distaux font référence aux antécédents d’un individu et ils sont associés aux comportement agressif chez les jeunes enfants, comme l’hyperactivité, l’impulsivite, le manque de maitrise de soi et les trouble de l’attention.

36
Q

Quels sont les amorces qui permettent à un individu de développer des comportements violent selon le modèle intégré de Serin?

A
  1. Les facteurs distaux (antécédent de comportement violent à l’enfance)
  2. doivent être combiner à des problèmes environnementaux (pratiques parentales inadéquates ou pairs antisociaux)
  3. Présence de facteurs de prédisposition (psychopatie, troubles de la personnalité, impulsivité, problème d’autorégulation émotionnelle)
  4. Il y a des intentions liés au comportement relié à des éléments cognitif qui contribue à la violence (distorsions cognitive et schémas qui soutiennent la violence)
37
Q

Vrai ou faux

Des pressions financières, la précense d’une victime ou d’une arme, le besoin de rembourser une dette, la perte de contrôle et la provocation sont des exemples d’amorce du modèle intégré de serin.

A

Faux

Ces exemples font référence au contexte puisqu’ils sont des circonstances ou des situations particulières qui précèdent et peut favoriser les comportements violents.

38
Q

Assocation

Identifie si ces facteurs expressifs sont des facteurs désinhibiteurs ou inhibiteur au recours à la violence comme réponse à une situation.

  1. La pression des pairs
  2. La peur des conséquences
  3. Le sentiment de culpabilité
  4. La colère, l’excitation et la jalousie
  5. L’adhésion aux normes prosociales
  6. La faible intelligence
  7. La perception de menace
  8. Le sentiment de culpabilité et de honte
  9. Lattachement significatif à une autre persone
  10. Le rejet
  11. la consommation
A

**Facteurs désinhibiteurs **: la pression des paires, la colère, l’excitation et la jalousie, le rejet, la perception de menace, faible intelligence et la consommation
Facteur inhibiteurs: La peur des conséquences, l’adhésion aux normes prosociales, l’attachement significatif à une autre personne, le sentiment de culpabilité et de honte

39
Q

Quels sont les apects qui peuvent être lié au désistement du crime d’un individu

A
  1. des événements de vie (vieillir, se marier)
  2. une redéfinition de soi en tant que personne délinquante. L’individu a un désintérêt au comportement violent et veut changer.
  3. l’acquisition de nouvelles habiletés psychosociales. Peut comprendre à travers la socialisation que nos biais ont rarement raison
40
Q

Qu’est-ce que la comorbidité? Donnez 3 exemples.

A

La comorbidité désigne pa présence d’un ou de plusieurs troubles associés qui peuvent contribuées au recours de comportements violents.
* Problèmes de santé mentale (troubles cognitifs, trouble de l’humeur, troubles anxieu, etc.)
* Troubles de la personnalité
* Traits psychopathiques
* Déficits dans le traitement des cognitions
* Impulsivité, hostilité et biais attributionnels
* Déficits dans le traitement des émotions
* Consommation abusives ou dépendances

41
Q

Vrai ou faux

Le psychanalytique est une approche qui ce définit comme incluant autant l’intrapersonnel que relationnel. C’est-à-dire nos expériences interpersonnelles et intersubjectives (inter : entre deux ou plusieurs entités)

A

Faux

La définition ci-haut est associé à une approche psychodynamique

42
Q

Quel est la définition d’une approche psychanalytique ?

A

Une approche axé sur l’intrapersonnel (intra : à l’intéreur de) ou notre expérience interne subjective. Par exemple, l’introspection, soit notre capacité à examier, observer ou réfléchir sur nos pensées, croyances et émotions.

43
Q

Vrai ou faux

Selon l’approche psychanalytique, une personne est violente parce qu’elle a un conflit interne et cla a un impact sur ses relations interpersonnels.

A

Vrai

On a tous un psyché, mais la raison pour laquelle qu’on est unique c’est parce que l’on fait face à des conflits qui sont consicents ou inconsicents. Le bagage de conflit qu’une personne peut avoir aura alors un impact sur sa prise de décision

44
Q

Nommer et définisser les deux types de conflit selon l’approche psychanalytique.

A
  1. Conflit manifeste : se rattache à un conflit clair et présent, comme l’impuslivité.
  2. Conflit latent : se rattache à un conflit pour lequel il faut d’avantage creuser. Le comportement n’est donc pas toujours justifier. Par exmple, un individu qui a un problème d’attachement en raison de l’éducation eu à l’enfance, et donc il y a un comportement problématique est plus difficile de cibler le conflit.
45
Q

Vrai ou faux

“Le consicent, le préconscient et l’inconscient : différents lieux ou systèmes de l’appareil psychique” se rattache à la seconde topique de l’apparoche psychanalyitique.

A

Faux

Cette définition se rattache à la première topique de l’approche. Les problèmes viennent soit du consicent, du préconscient ou de l’inconscient.

46
Q

Choix de réponse

Le monde extérieur, ce que je vois, ma perception du monde et certaines information reçu de la psyché font référence à quel systèmme ?

a) Le Moi
b) Le Surmoi
c) L’inconsicent
d) La consicience
e) Le Ça
d) L’inconscient

A

d) La consicience

47
Q

Vrai ou faux

L’inconsicent fait référence à la mémoire.

A

Faux

la mémoire fait référence au préconscient

L’inconsicent fait référence à l’ensemble des éléments dont la personne n’a pas consicence, les éléments refoulé, mais qui influencent continuellement sa conduit, son plaisir et sa libido. Peut aussi avoir référence au trait de caractère que nous avons, mais que nous sommes pas capable d’aller chercher les explications de ce comportement.

48
Q

À quoi fait référence la seconde topique de l’approche psychanaytique?

A

Le Ça, le Moi et le Surmoi, comme des instances ou structures de l’appareil psychique.

49
Q

Vrai ou faux

Le Surmoi est le siège de la personnalité et des pensées et perceptions jugées acceptables pour notre psyché.

A

Faux

Ceci est la définition du Moi

Le Surmoi est plutôt la censure inconsciente des pulsion non acceptables.

50
Q

Quel est la fonction du Ça, dans l’approche psychanalytique et qu’arrive-t-il s’il est démesuré?

A

Le Ça est le siège de nos désis et pulsion refoulés qui existe hors de la réalité externe et qui est totalement inconscient. C’est comme notre démon. Alors, si le Ça se présente comme étant démesuré chez un individu, il y aura un débalancement dans l’autorégulation et celui-ci aura donc toujours recours à ses pulsions.

51
Q

Selon les définitons de chacun des systèmes de la deuxième topique, quel serait le processus d’autorégulation chez les individus.

Approche psychanalytique

A

Le Ça va générer des désirs, pulsions et pensées immoraux et jugés non acceptables. Ces désirs vont être filtrés par le Surmoi, ce qui fait que le Moi recevra que des désirs et pensées moralement acceptable. Le moi est donc la balance entre les deux autres.

52
Q

Vrai ou faux

Le déterministes psychique est la notion selon laquelle nos pensées et nos actions sont déterminés par des forces conscientes.

A

Faux

Les pensées et les actions sont déterminés par des forces inconsicentes. Soit des forces dynamiques inconsciente qui excerce un pouvoir sur nos comportements.

53
Q

Quel moyen est utilisé afin de protéger le Moi des angoisses et des menaces.

A

Les mécanismes de défense. Ils sont des mécanismes psychologiques inconscient et donc automatique, qui réduisent l’anxiété résultant de circonstances, de situations ou de stimuli jugés innaceptables, aversif ou potentiellement nocifs.

54
Q

À quel mécanisme de défense primitif est associé la dénition suivante:

Une incapacité de percevoir simultanément les caractéristiques postives et négatives d’une personne, d’un événement ou d’une chose, incluant la perception de soi-même. Ce mécanisme de défense est le résultat d’une pensée dichotomique.

A

Le clivage

Le résultat d’une façon de pensée qui est polarisée (tout est bon ou tout est mauvais)

55
Q

Quels sont les 4 processus cognitifs médiateurs selon la Théorie de l’apprentissage social de Bendura?

A
  1. L’attention : on doit d’abord porter attention au comportement
  2. La rétention : on doit s’en rappeler
  3. La reproduction: on doit avoir la capacité de le reproduire
  4. La motivation : la motivation de mettre en action le comportement appris.
56
Q

Qu’est-ce que le conditionnement d’évasion?

A

C’est un mécanisme impliquer dans les intéractions familiales dysfonctionnelles. C’est lorsque l’agressivité de l’un va inciter l’autre à céder pour éviter et réduire l’agressivité du premier.
Plus on est agressif, plus on est capable d’utiliser la violence et on en conclut que c’est un bon comportement à utiliser

57
Q

Vrai ou faux

Le principe de base de la Théorie de Bendura stipule que l’influence des interactions familiales joue un rôle dans le développement des comportements agressifs dans la petite enfance. Donc, le renforcement familial d’un comportement agressif en enfance mène à l’incorporation de stratégies agressives de résolution de conflits

A

Faux

C’est la Paterson qui soulève cette théorie de l’apprentissage.
Quand on est dans un contexte familiale on lui apporte une importance plus significative. on développe ces comportement parce qu’on lui a été exposé, on la appris par des personne significative. Donc, plus on reste dans un modèle qui normalise le recours à ce type de comportement, plus la violence devient chronique et on a recours à ce type de comportement.

58
Q

Quels sont les problématiques possible reliés à un environnement familiale dysfonctionnel?

A
  • **le piège du renforcement bidirectionnel (cercle vicieux) **: Escalade, capitulation et désescalade. La réciprocité parent-enfant impliquée dans l’apprentissage, le renforcement et donc le maintien du fonctionnement social mésadapté.
  • Hostilité et agression comme stratégie de résolution de conflit: Du milieu familial vers d’autres contextes et auprès d’autres acteurs sociaux.
59
Q

Association

Associe chacune des idéologie de la Théories réactives de l’agression: L’agressivité comme une réaction aux traumatismes environnementaux et aux privations avec le bon auteur.

a) L’agressivité en réaction à la privation et aux traumatismes précoces.
b) L’agressivité comme une réponse aux menaces internes et externes.
c) L’agression résulterait de la frustration et de la perte

  1. Freud
  2. Winnicott
  3. Fairbarn
A
  1. Freud : b) L’agressivité comme une réponse aux menaces internes et externes
  2. Winnicott : a) L’agressivité en réaction à la privation et aux traumatismes précoces.
  3. Fairbain : c) L’agression résulterait de la frustration et de la perte
60
Q

Vrai ou faux

La pensée dichotomique est lorsqu’une personne est réfléchit et fait acte de nuance.

A

Faux

La pensée dichotomique est une façon de penser qui est polarisée. Tout est bon ou tout est mauvais, c’est tout ou rien.

61
Q

Qu’est-ce que la projection?

A

Une opération par laquelle le sujet expulse de soi et localise dans l’autre (une personne ou une chose), des qualités, des sentiments et des désirs qu’il refuse de reconnaître en lui.

62
Q

Vrai ou faux

Un attachement anxieux-ambivalent est insécure et se développe lorsqu’il y a une cassure au niveau de l’attachement, la relation avec le parent était absent.

A

Faux

Cette définition est relié davantage a un attachement évitant-insécure. L’individu est froid et distant, il ne cherche pas à créer des relation interpersonnels

63
Q

Quel est le type d’attachement qui se développe chez un enfant qui cherche une sorte d’attention, de reconnaissance, mais la réceptivité n’est pas toujours idéal.
L’enfant est dans une ambiguïté quant aux réactions qu’il va avoir et met en doute les réponses des autres.
Quels impacts cela aura sur l’individu une fois adulte.

A

Ceci est relié à l’attachement insécure anxieux-ambivalent qu’un enfant va développer. Cela créer des individus qui ont une crainte envers les autres, de la difficulté de faire confiance, ils se remettent en question. Cela peut également avoir un impact sur l’estime de soi

64
Q

À quel concept est associé la définition suivante et à quel modèle fait-elle référence ?

C’est la capacité de réfléchir sur ses états mentaux, y compris ses pensées, ses croyances, ses désirs et ses affects; c’est aussi la capacité de distinguer nos propres états mentaux de ceux des autres, et d’interpréter les actions de soi et des autres comme significatives et basées sur des états mentaux intentionnels.

A
  • Le concept de la mentalisation qui est associé au modèle théorie de l’attachement

Le développement normal de la mentalisation dépend de l’attachement sécurisé

65
Q

Selon le modèle de l’attachement, quel lien peut-on faire entre la mentalisation et la violence à l’enfance?

A

L’interruption du processus d’attachement affecte le développement de la capacité de mentalisation (ex : les expériences d’abus, de négligence et de séparation ou de perte). L’agressivité est donc utilisée comme une défense du moi psychologique de l’enfant contre l’hostilité perçue de l’autre (le parent)

66
Q

Quel lien peut-on faire entre la mentalisation et la violence à l’âge adulte?

A

la violence à l’âge adulte peut être due à une capacité de mentalisation inhibée ou déficitaire. L’exposition de sentiments de vulnérabilité et de honte insupportables, à la suite d’une atteinte à l’estime de soi, provoquerait donc une tentative d’expulser ces sentiments au moyen de la violence

Faible mentalisation = peu d’empathie et biais attributionnels = recourt à des comportement violent.

67
Q

Vrai ou faux

Des études ont montré que les délinquants violents sont plus susceptibles que les individus non violents d’avoir des antécédents de négligence et de maltraitance, d’attachement insécurisé, d’usage de mécanismes de défense primitifs et des capacités de mentalisation déficitaires, ce qui génère alors des difficultés dans le traitement et la tolérance des états affectifs négatifs

A

Vrai

Les carrences que l’on développe en bas âge auront un impact sur nos relations interpersonnels, notre capacité de gestion de soit, notre prise de décision et notre analyse que l’on fait des autres.
Historique de victimisation, problème au niveau interpersonnel, etc

68
Q

Vrai ou faux

Une faiblesse de l’approche psychanalytique-psychodinamique est sont manque de polyvalance. En effet, elle n’est pas en mesure d’expliquer un ensemble de comportements antisociaux/violents. Elle est trop centré sur l’individu, ce qui fait en sorte qu’lle ne tient pas compte de sa compréhension du monde qui l’entoure.

A

Faux

La force de cette approche est justement sa polyvalance. Elle est capable d’expliquer un ensemble de comportements antisociaux/violents puisqu’elle centré sur l’individu, ses conflits, sa compréhension consciente ou non du monde qui l’entoure

69
Q

Nomme 3 faiblesses de l’approche psychanalytique-psychodinamique.

A
  • Sa validité empirique: comment mesurer adéquatement la présence de conflit psychique chez un individu.
  • Sa capacité de prédiction
  • Les traits de la personnalité ne sont pas des éléments statiques, ils sont dynamiques (on est capable de changer des «patterns» comportementaux
70
Q

Quels sont les principes fondamentaux de la théorie de l’apprentissage

A

Le produit d’apprentissages dans le contexte d’interaction sociale et d’une exposition à des modèles symboliques.

L’humain est une éponge, si on agit d’une manière c’est parce qu’on l’a appris et les comportements que l’on adopte on les a appris et on les transpose dans notre contexte. Le tout ce fait par des modèles symboliques: par une personne significatif et qui a de la valeur à nos yeux.

71
Q

Identifie le type d’apprentissage aux définitions et donne un exemple.
a) Reproduire un comportement afin d’obtenir les mêmes résultats
b) Un apprentissage qui vient solidier et valider ce que je pensais
c) Transposer un comportement dans des situation similaire

A

a) Imitation : mon père à recourt à la violence et cela a permis de mettre fin au conflit, je vais imiter son comportement
b) Renforcement : je pensais qu’en la frappant elle allait se taire et c’est bien ce qui est arrivé, mon idée c’est renforcée
c) Associatif: si je me bat avec mon frère et que ca marche avec lui alors je vais le faire à l’école aussi

72
Q

Vrai ou faux

La régulation des affects, selon Sears, dans la théorie de l’apprentissage, est la propension d’un individu à moduler son état affectif afin de répondre de manière adaptative aux exigences de son environnement.

A

Vrai

73
Q

Vrai ou faux

La Théorie de l’apprentissage social de Bendura est une théorie qui se rapproche grandement des principes psychodynamiques.

A

Faux

Au contraire, c’est une théorie de l’agressivité qui s’éloigne des principes psychodynamiques.