Thèmes 1 & 2 Flashcards

1
Q

Psychologie et philosophie

A

Philo: étude du raisonnement, de la manière de réfléchir
Psycho: étude du comportement
Les deux possèdent des aspects similaires et se rejoignent sur certains points (est-ce que l’humain est rationnel?)

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2
Q

Coach de vie

A

Empêche de trouver de l’aide adéquate dès la première demande
Flou psychothérapeute/psychologue
Rapport à l’argent: personnes moins riches peuvent se tourner vers des personnes moins professionnelles plus aptes à créer une dépendance plutôt qu’aider la personne.
Médiatisation des coaches de vie: pression sur les personnes en détresse (si tu n’arrives pas à t’en sortir, c’est de ta faute)
Isolement face aux croyances hors norme
Manque d’humilité: réponse à tout, vérité suprême, pas de nuances
Processus instantané, immédiat et forcément efficace

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3
Q

Psychologue

A

Être membre de l’ordre des psychologues du Québec
Protège l’acte de psychothérapie (sous peine de poursuites)
Détention d’un doctorat + formation clinique
Respect du code d’éthique (de déontologie) en psychologie clinique
Consentement éclairé primordial, explication de la procédure (thérapie et étude)
Le consentement peut être retiré à tout moment et est donné par une personne responsable si le patient est incapable de le faire soi-même.
Les renseignements obtenus pendant la thérapie restent confidentiels (sauf si danger imminent pour la personne ou pour un proche).
Jeu avec les sentiments dans une situation de vulnérabilité (naissance de relations amoureuses: possibilité de porter plainte)
Fourchettes de prix pour réguler (mais pas d’obligation)
Avoir des études supérieures en psychologie (ou une expérience comparable dans de rares cas)

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4
Q

Méthode scientifique

A

Le chercheur observe ce qui se passe autour de lui et émet des théories sur l’origine de certains comportements (revue de littérature + hypothèse)
Conception d’une étude: rendre l’hypothèse opérationnalisée, sous forme de question à laquelle il est capable de répondre de manière claire (protocole, variables, approbation comité éthique)
Recueillir et analyser les données
Répondre à la question
Interprétation et don de sens aux résultats.
Révision par les pairs: apport de commentaires par des experts
Test statistique: résultats dûs au hasard ou non?
Consensus: hypothèse explicative sera celle obtenue plusieurs fois par des études fiables

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5
Q

Méthodes d’observation

A

Étude de cas
Observation naturelle
Expérimentation en laboratoire
Enquête

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6
Q

Étude de cas

A

L’étude de cas procède par cueillette d’informations auprès des individus ou des petits groupes (l’étude de cas de type clinique est largement utilisée en psychologie: observation de symptômes chez un client)

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7
Q

Observation naturelle

A

L’observation naturelle permet d’observer le comportement sur le terrain, là où il se manifeste (dans l’environnement de tous les jours).
Évite de recréer dans un laboratoire où on contrôle plus de facteurs, mais où l’environnement n’est pas forcément vrai.
Peu d’intervention
Moins utilisé en psychologie expérimentale
Prise de notes durant l’observation dans le milieu naturel du sujet.

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8
Q

Expérimentation en laboratoire

A

L’expérimentation en laboratoire, ou méthode expérimentale, permet le contrôle de variables externes qui peuvent influencer la relation observée. Ces variables sont nommées parasitaires.
Manipulation chez un groupe expérimental

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9
Q

Enquête

A

Dans les enquêtes, on utilise des questionnaires et des entrevues ou on étudie des archives pour en apprendre davantage sur des comportements et des processus mentaux qui ne peuvent être observés ni étudiés de façon expérimentale.

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10
Q

Méthode expérimentale

A

En faisant l’étude, on présume que la ou les variables indépendantes auront une incidence sur les variables dépendantes. C’est ce que dicte l’hypothèse.
Idéalement, une expérience devrait utiliser un groupe expérimental et un groupe témoin ou contrôle.

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11
Q

Variables expérience

A

Dans une expérience, les paramètres ou les conditions qu’on manipule afin d’en observer les effets sont les variables indépendantes.
Les paramètres qu’on mesure dans une expérience sont les variables dépendantes.

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12
Q

Groupes expérimental et témoin/contrôle

A

Les sujets du groupe expérimental sont soumis au traitement et ceux du groupe témoin ne le sont pas.
Preuve qu’il y a véritablement une corrélation entre les variables.
Cause de problèmes et d’interrogations: est-ce que l’hypothèse est confirmée parce que l’intervention suggérée a été utile, ou simplement parce qu’il y a eu intervention (alors que le groupe témoin n’en a pas du tout subi)
Important de trouver le bon groupe contrôle (intervention ou pas)
Cause de problèmes éthiques: intervention à l’efficacité pas reconnue ou délaissement d’une personne qui souffre
Importance d’un groupe témoin à cause de l’effet placebo

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13
Q

Simple/double insu

A

Est-ce que les évaluateurs et les patients savent qui est dans chaque groupe?
Si un des deux ne le sait pas, on parle de simple insu.
Si les deux ne le savent pas, c’est une étude à double insu (les évaluateurs ne connaissent pas l’objectif de l’étude non plus).
Une étude ou tout le monde sait qui est dans quel groupe est une étude ouverte (moins de contraintes, mais peut-être moins fiable).
Ce type d’intervention est plus facile en pharmacie (prise de molécules), mais difficile en psychologie.

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14
Q

Crise de réplication

A

Ou de reproductibilité
Remise en question d’études importantes
En psychologie, très peu d’études refont ce qui a déjà été fait et trouvent des résultats semblables aux découvertes acceptées, alors que c’est la base de la science.
Anciennes découvertes sont-elles fiables?
Présence de trop peu d’information sur les détails et les procédés
Prudence et réserve recommandées face à la reproductibilité d’une étude
Négligence face à la validation d’une étude, ce qui est impossible dans l’industrie pharmaceutique par exemple.
Défi: Manque d’informations, peu d’intérêt à la reproduire (très peu valorisé)
Important également de faire réviser par les pairs

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15
Q

Bases historiques psychologie

A

Aristote (384-322 avant notre ère) avançait que la science ne pouvait traiter de façon rationnelle que les informations recueillies par les sens. Il observa que les êtres humains se distinguent des autres créatures vivantes par leur capacité de raisonnement.
Socrate (427-347 avant notre ère) suggérait l’expression « Connais-toi toi-même » fondée sur le concept de l’introspection pour arriver à la connaissance de soi.

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16
Q

Introspection

A

connection avec son vécu émotionnel, méthode permettant de faire un examen attentif de nos pensées et de nos émotions (Socrate)

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17
Q

Précurseurs psychologie

A

Wilhelm Wundt
William James
Pas assez structuré, impossible de développer de véritables théories. Ouvrage réflexif plutôt que véritables théories, mais il fait naître un intérêt chez la population

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18
Q

Wilhelm Wundt

A
Précurseur psychologie (structuralisme)
voyait l’esprit comme un phénomène naturel qu’il était possible d’étudier de façon scientifique. En se basant sur le principe de l’introspection, Wundt et ses étudiants fondèrent le structuralisme (mouvement, perception se divise en petites unités). 
Le structuralisme tente de décortiquer l’expérience consciente, de la disséquer, d’en dégager les sensations objectives, les sentiments subjectifs et les images mentales (structure de la pensée).
Fondateur de la psychologie comme domaine d’études universitaires
Précurseur plus qu’une école de pensée: initié intérêt
Aspect perceptuel (sens), s’inspire de l’essor des sciences
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19
Q

William James

A

figure importante de la psychologie aux États-Unis et le fondateur de l’école du fonctionnalisme. Il examine la façon dont l’expérience aide l’individu à s’adapter pour mieux fonctionner dans son environnement. Les fonctionnalistes ont proposé que les comportements non adaptés ont tendance à disparaître, alors que les comportements adaptés subsistent. À force de répétition, les comportements adaptés deviennent automatiques si bien que la personne peut se concentrer sur autre chose. Influence de Darwin
Automatisation de la pensée (routine du matin), libération de ressources cognitives pour analyser plus d’informations sans effort. Étudie la fonction des pensées

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20
Q

Modèle clinique

A
La psychanalyse
Sigmund Freud (1856-1939) est un jeune médecin juif autrichien qui s’intéresse justement aux comportements humains. Il commence à étudier une branche de la médecine qui est encore particulièrement peu populaire: la santé mentale.
Il observe, avec Jean-Martin Charcot, la présence de pensées automatiques auxquelles n’ont pas accès des patients atteints d’hystérie (épilepsie, conflits psychiques). Il propose la double conscience (conscience normale et conscience incontrôlable: partie inaccessible du cerveau). Utilisation de l’hypnose pour étudier leurs symptômes.
Il commence donc à échafauder une théorie expliquant comment les être humains expriment leurs souffrances psychiques. Il nommera cette théorie la psychanalyse
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21
Q

Psychanalyse

A

Psychanalyse (théorie de la parole): parler de sa souffrance permet d’aller mieux.
Selon Freud, les parties de l’esprit peuvent être comparées à un iceberg.
La pointe représente la pensée consciente facile d’accès (MOI): rôle d’aide pour l’assouvissement des pulsions qui a le dernier mot (seule partie présente chez les bébés).
En dessous se trouve le préconscient constitué des pensées ou informations dont on peut prendre conscience moyennant quelques efforts (SURMOI). Rôle de policier intérieur qui dicte la morale (altéré par des substances).
La base de l’iceberg représente l’inconscient qui échappe à l’introspection. Il est constitué des pensées, motifs, pulsions et désirs non accessibles à la conscience, mais que la psychanalyse peut aider à découvrir. (ÇA) Rôle primitif d’assouvissement des besoins primaires.

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22
Q

Ça, moi, surmoi

A

Ça: Principe de plaisir, satisfaction immédiate, aucune morale. DÉSIR (immédiat)
Moi: Principe de réalité, rationnel, conscient, essaie de faire le médiateur. Équilibre entre le ça et le surmoi, personnalité. RÉALITÉ
Surmoi: Principe de moralité, en partie conscient, intériorisation des règles. MORALITÉ

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23
Q

Stades libido

A

Oralité: bébés mettent les objets dans leur bouche.
Anal: contrôle de l’environnement par le biais de ses besoins
Phallique: Œdipe
Génital (12 ans): sexualité adulte

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24
Q

Behaviorisme

A

Conditionnement classique
Conditionnement opérant
Apprentissage social cognitif
Les behavioristes étaient contre l’étude du cerveau en tant que tel, ils se concentraient sur les comportements
En réaction à la psychanalyse, comportements peuvent être étudiés de manière concrète (+ scientifique)

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25
Q

Behaviorisme - Conditionnement classique

A

Expérience du petit Albert: création de la phobie des rats chez un enfant
Stimulus neutre + stimulus inconditionnel –> réponse inconditionnelle
Puis stimulus neutre devient conditionnel et crée une réponse conditionnelle

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26
Q

Behaviorisme -

Conditionnement opérant

A

Skinner
Pour voir un comportement moins souvent: punition négative (retirer ce qui est agréable) ou positive (ajouter quelque chose de négatif)
Pour voir un comportement plus souvent: renforcement positif (récompense) ou négatif (retirer ce qui est désagréable)
Désensibilisation systématique: contrer l’évitement et atteindre un objectif, surtout pour phobies

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27
Q

Behaviorisme -

Apprentissage social cognitif

A

Ou comportement par imitation
Bandura
Un enfant aura tendance à imiter les comportements de personnes qu’il a pour modèles.
L’environnement affecte les comportements directs des enfants
Poupée: une poupée et des objets sont mis à la disposition de l’enfant
Un modèle rentre et est violent ou délicat.
L’enfant imite généralement le comportement du modèle.
Il doit faire confiance au modèle.
Dès notre jeune âge, on fait un processus cognitif pour s’orienter vers un modèle.
Hiérarchie sentimentale.
Famille, amis (plus à l’adolescence).
Problème de la télévision et des jeux vidéos → création de comportements violents?
Regarder des gens être violents permet une sublimation de leurs pulsions violentes (psychanalyse).
Mais il faut avoir le jugement cognitif pour faire la part des choses.
Présence d’un adulte lors du visionnement de films pour débriefer: avoir le bon jugement

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28
Q

Pavlov

A

conditionnement classique chez le chien (réflexe salivaire): stimulus neutre (qui ne cause pas la réaction voulue) + stimulus inconditionnel = réponse inconditionnelle (réflexe)

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29
Q

Watson

A

transpose la théorie de Pavlov chez les humains: décrit la psychologie selon le behaviorisme (marche surtout quand on est jeune)

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30
Q

Skinner

A

Behaviorisme (conditionnement opérant)
Boîte de Skinner que B.F. Skinner a montré que lorsqu’un rat reçoit une récompense pour un comportement, il aura tendance à le répéter. Si par contre il reçoit une punition, (désagréable), il aura tendance à ne plus le répéter.

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31
Q

Bandura

A

Apprentissage social cognitif

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32
Q

Extinction

A

Behaviorisme

Affaiblissement progressif de la réponse conditionnelle, voire disparition complète

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33
Q

Généralisation

A

Behaviorisme

Tendance à donner la réponse conditionnelle en présence de stimuli similaires au stimulus conditionnel initial

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34
Q

Discrimination

A

Behaviorisme
Capacité apprise de faire la différence entre le stimulus conditionnel initial et des stimuli similaire pour ne donner la réponse que pour le SCI

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35
Q

Récupération spontanée

A

Behaviorisme
retour de la réponse conditionnée malgré le fait qu’elle ait été éteinte préalablement. Habituellement sous forme amoindrie

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36
Q

Conditionnement d’ordre supérieur

A

Behaviorisme

Nouveau SN associé au SC pour provoquer la même réponse conditionnelle

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37
Q

Cognitivisme - définition

A

Étude de la pensée et des processus mentaux: processus de traitement de l’information
Souvenirs: réseaux neuronaux
Pensée influence le comportement
Méthode d’enregistrement de l’information
Développement du langage

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38
Q

Gestaltisme

A

Environnement
1 aspect central et d’autres aspects moins importants en arrière-plan traités avec moins de détail
Règles de la perception qui permettent de comprendre le traitement de l’information (raccourcis pour la traiter plus rapidement)
Illusions d’optique: focus sur une partie de l’environnement, le cerveau interprète
Perception difficilement semblable entre les individus
Stades et principes de regroupement

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39
Q

Cognitivisme - sous-catégories

A

Gestaltisme

Développement cognitif

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40
Q

Gestaltisme - principes de regroupement

A

Similitude: caractéristiques similaires = tout
Proximité: proches = tout
Continuité: formes continues = tout
Clôture: figures incomplètes = complètes

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41
Q

Stades gestaltisme

A

Sensorimoteur (0 à 2 ans): appréhension du monde par les sens et la motricité. Début d’organisation cognitive, Permanence de l’objet
Préopératoire (2 à 6): système de représentation. Utilisation croissante des symboles, langage
Opérations concrètes (6 à 12): opérations mentales pour résoudre des problèmes concrets. Compréhension croissante des relations spatiales et des liens de causalité
Opérations formelles (12+): Pensée qui peut se détacher du concret et formuler des hypothèses. Peut envisager le possible. Peut réfléchir sur des idées, des données abstraites

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42
Q

Schème

A

Schèmes: opérations mentales, processus qui permet de traiter l’opération de manière optimale, programme, qui se peaufine avec le temps, mis en place pour résoudre un problème
Schèmes mésadaptés: processus erroné, qui ne fonctionne plus
Évolution des schèmes: changement de stade dans le gestaltisme

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43
Q

Cognitivisme (développement cognitif)

A

Trouver l’endroit optimal où placer l’enfant pour résoudre des problèmes
Nourrir une motivation
Équilibre entre un lieu stimulant et pas trop démotivant non plus (échecs vs réussites)
Vygotsky

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44
Q

Vygotsky

A

Cognitivisme (développement cognitif)

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45
Q

Humanisme

A

Approche clinique et philosophique
Voir l’humain positivement (plutôt que dépendant de l’environnement et de ses pulsions)
Veut devenir le meilleur être humain possible
Libre-arbitre (humains pas passifs) et estime de soi
Besoins physiologiques comblés
Approche d’égal à égal
Prendre soin de la relation thérapeutique: lien de confiance, empathie, responsabilité entre les mains du patient
Connection avec nos valeurs, sinon souffrance

46
Q

Rogers

A

Humanisme

47
Q

Maslow

A

Pyramides: priorité des besoins (survie, sécurité, égo)

48
Q

Neuroscience

A

Observation du rôle du cerveau, approche biologique, localisation
Les cerveaux se dégradent rapidement: difficulté
Paul Broca prouve une approche localisationniste: régions cérébrales meilleures que d’autres pour faire certaines tâches
Une lésion (tumeur, blessure) à un endroit précis crée des symptômes précis et réplicables d’un patient à l’autre
Certaines aires cérébrales sont plus sollicitées pour certaines tâches.

49
Q

Psychologie est une science?

A

Une réponse nuancée est de mise.
–La psychologie n’est certainement pas une science exacte.
–Elle permet de mieux comprendre une part des comportements humains mais certainement pas l’ensemble de ces derniers.
–Elle permet d’aider des gens à traverser des périodes difficiles dans leur vie (psychanalyse: pas forcément scientifique, mais aide des gens).
–Les connaissances s’accumulent surtout lorsque la méthode scientifique est appliquée (crise de réplicabilité, processus imparfait).
–La plupart des études ont des faiblesses et des limites qu’il est important de mentionner lorsqu’on parle de leurs résultats.
–Il faut donc essayer de faire la part des choses lorsqu’on nous rapporte une découverte importante. La reproductibilité des résultats d’une étude, aussi « groundbreaking » soit-elle, est cruciale pour établir la fiabilité d’un nouveau savoir.
Place à amélioration

50
Q

Systèmes nerveux

A

Système nerveux périphérique

Système nerveux central

51
Q

SN central

A

Perception, carte mère
Moelle épinière: fil qui fait la connexion avec le s.n. périphérique, protégée par la colonne vertébrale
Encéphale: tout le cerveau (+ cervelet), protégé par la boîte crânienne

52
Q

SN périphérique

A

Sensation
SN somatique ou squelettique
SN autonome

53
Q

SN somatique

A

contrôle de la musculation, information ascendante (captée par les récepteurs) et descendante (mouvements):
Température, douleur, toucher
Pression, force
Motricité volontaire

54
Q

SN autonome

A

Autonome ou végétatif: pas besoin de le commander, automatismes, (mais un certain niveau de contrôle: tronc cérébral), fonctions de base (respiration, système cardiaque, digestion), systèmes antagonistes (si l’un prend le dessus, l’autre est inactif): sympathique et parasympathique
Contrôlé par le tronc cérébral
Besoin d’un équilibre entre les deux systèmes, collaboration naturelle

55
Q

SN sympathique

A

actif, anxiété
Personnes anxieuses: sympathique sur stimulé, la médication fait taire ce système et assomme le cerveau, qui le déclenche (problèmes de digestion, respiratoires, pupilles dilatées)

56
Q

SN parasympathique

A

mode économie d’énergie, généralement après un repas, état d’accalmie

57
Q

Moelle épinière

A

amas de neurones dans la colonne vertébrale (envoi de commandes et transport de l’information)
Matière grise et substance blanche
Lésion de la moelle épinière: impossible à reconnecter (tétraplégie, quadriplégie), parésies

58
Q

Matière grise

A

corps cellulaire (fonctionnement des organites), généralement aux extrémités de la moelle

59
Q

Substance blanche

A
ou axone: facilement identifiable (gaine de myéline), permet d’accélérer le transport d’information 
Maladie auto-immune (sclérose en plaque): cellules attaquent la gaine de myéline
Voies ascendantes (perception: périphérie vers central), voies descendantes (contrôle moteur, envoi de signaux moteurs)
60
Q

Corps calleux

A

matière blanche: jonction hémisphérique, sert à transférer l’information (potentiel d’actions) d’un hémisphère à l’autre

61
Q

Plasticité

A

le cerveau s’organise pour fonctionner même en présence de déficit (marche mieux quand la personne est jeune)

62
Q

Colonne vertébrale

A

Somatotopie: récepteurs (sensibilité élevée = + de récepteurs et + de neurones), peu présents dans le dos, très présents dans les mains, les pieds et le visage.
Glioblastome: tumeur au cerveau
Gli: tient le cerveau ensemble

63
Q

Méninges

A

Couche de protection très importante
Rempart contre la douleur, couche protectrice du cortex cérébral
Le cerveau est indolore
Permet de faire circuler le liquide céphalo-rachidien: protection ultime, empêche le cerveau de se cogner
Neurones inutilisés se mettent à s’occuper d’un autre endroit: modification du cortex cérébral

64
Q

Méninges - couches

A

extérieur à intérieur:
Dure-mère: ressemble à une charlotte de bain
Espace arachnoïdien et membrane arachnoïdienne: ressemblent à une toile d’araignée, légère couche qui permet au liquide de passer
Vaisseau sanguin apporte aux neurones ce dont elles ont besoin
Pie-mère: couche mince qui sert à tout tenir ensemble
Vasoconstricteur: café, fait passer les maux de tête
Maux de tête: signal capté par les méninges

65
Q

Méningite

A

Inflammation des méninges due à une bactérie (plus grave) ou à un virus. Se transmet par un étroit contact avec quelqu’un infecté ou par un contact avec la bactérie (listéria, pneumocoque,etc…). Maux de tête violents, douleurs à la nuque, fièvre, Complication: épilepsie, problèmes moteurs, décès. Doit être traité rapidement

66
Q

Système ventriculaire

A

Ventricules (dont latéral, juste en dessous du corps calleux): création du liquide céphalo-rachidien, système d’aqueducs (entoure aussi la moelle épinière)
Atrophie
Hydrocéphalie

67
Q

Atrophie

A

les ventricules s’élargissent et prennent la place des neurones morts

68
Q

Hydrocéphalie

A

blocage important du système ventriculaire qui provoque l’élargissement des ventricules et provoque une pression intracrânienne importante. Il faut rapidement corriger le blocage sinon la mort du patient surviendra.

69
Q

Cerveau divisé

A

Absence de corps calleux (ou corps calleux sectionné): les deux hémisphères apprennent à fonctionner de manière séparée
Information corticale ne circule pas par le corps calleux: trouve un autre chemin
Potentiel d’action: chocs électriques qui stimulent des neurones, les personnes épileptiques en reçoivent jusqu’au cortex moteur (crise tonique, clonie ou absence). Sectionner le corps calleux empêche les potentiels d’actions de se déplacer d’un hémisphère à l’autre dans les cas les plus graves.

70
Q

Latéralisation des habiletés

A

Le cerveau gauche contrôle le langage et la pensée rationnelle
Le cerveau droit est le cerveau créatif
Mouvements antagonistes: mouvements contradictoires, souvent post-opération

71
Q

Techniques d’imagerie

A

IRMf
IRM
Pet Scan
Électroencéphalogramme

72
Q

IRMf

A

Structure + activité
recherche, activités, tâches spécifiques et régions activées, implique radioactivité (champ magnétique puissant), plus utilisée

73
Q

IRM

A

seulement prise d’images du cerveau, le plus utilisé, coûte cher et prend du temps, complexe, peu invasif

74
Q

EEG

A

Électroencéphalogramme: sommeil et épilepsie, enregistre l’information électrique juste en-dessous de la boîte crânienne (puis amplifiée: création patron d’onde), première technique (1920), peu précis, électrodes sur le cuir chevelu (peu invasif) (utilisé parfois de manière fonctionnelle (tâches d’attention), peu coûteux

75
Q

Pet scan

A

Activité
injection d’une substance radioactive, de molécules qui se lient à d’autres (radioligand). Neurone sollicité consomme de l’oxygène et du glucose (apport sanguin important): détecté par le TEP (régions cérébrales plus profondes), pas utilisé de manière fonctionnelle (pour observer ce qu’il se passe pendant une tâche), mais pour cartographier les récepteurs, les tumeurs, les démences. Invasif et très précis.

76
Q

Lobe frontal

A
Aire de Broca
Cortex moteur
Lobe préfrontal
Primaire: stimuli simple
Secondaire et tertiaire: traitement plus complexe et avancé, tâches plus précises
77
Q

Phineas Gage

A

travail chantier barre traverse lobe frontal gauche (plus de communication avec reste du cerveau), cortex détruit, première pierre dans la compréhension du cortex: mémoire intacte, mais pas de morale, impulsif

78
Q

Aire de Broca

A

Lobe frontal
aire liée au langage, secondaire, proche du primaire
Aphasie non-fluide (Broca): incapacité à dire des mots et à les identifier, perturbation du système moteur, frustration
Agrammatique: fluidité du langage et compréhension affectée

79
Q

Stimulation magnétique transcrânienne

A

bobine magnétique au-dessus de la tête pour stimuler des régions spécifiques, perturbe le lobe frontal.
Mouvements non volontaires

80
Q

Anosognosie

A

incapacité de se rendre compte de son état

81
Q

Fonctions exécutives

A
Lobe frontal
Syndrôme dysexécutif 
Jugement et prise de décisions
Planification
Contrôle émotionnel
Mémoire de travail (court terme)
Attention
Désinhibition (moi)
Permettent à l’humain de se démarquer des autres espèces
Rationalité
82
Q

Voies lobe frontal

A

À l’avant sur le haut: dorso-latéral: connaissances avancées, résolution de problèmes
À l’avant vers le centre: ventro-médian: rationalisation des émotions, troubles de l’humeur
À l’avant sur le bas: orbito-frontal: impulsivité, agressivité.

83
Q

Lobe préfrontal

A

Psychiatrie: mauvais fonctionnement de cette partie du cerveau
Comportements impulsifs
Les capacités d’inhibition sont secondaires au lobe (capacité de distinguer le bien du mal)
Les décisions sont prises par rapport au moment présent
Une lésion affecte ces comportements
Siège de la personnalité
Fonctions exécutives

84
Q

Cortex moteur

A

commande des mouvements volontaires

Lésion: parésie ou hémiplégie (incapacité due bouger une partie de son corps)

85
Q

Lobe temporal

A
Stockage des souvenirs
Associer le symbole au mot à dire
Identifier les choses que l’on observe et savoir ce qu’elles sont
Prosopagnosie
Cortex auditif primaire
Aire de Wernicke
86
Q

Prosopagnosie

A

incapacité de reconnaître les visages (même soi-même), mais capacité de les décrire (lésions à droite: tout mettre ensemble, gauche: analyser). Gyrus temporal inférieur (fusiforme). Acquises ou innées. Reconnaissances holistiques.

87
Q

Aire de Wernicke

A

fluidité, mais confabulation (remplissage des trous, mots qui ne veulent rien dire) sens et choix des mots affecté (néologisme, création de nouveaux mots), pensent que c’est compréhensible, détachement
Aphasie fluide

88
Q

Cortex auditif primaire

A

permet d’entendre des sons, traitement peu évolué
Primaire: information qui arrive des récepteurs, passe par le thalamus, traitée en priorité (lésion touche le sens de manière plus générale) (surdité corticale)
Secondaire et tertiaire: traitement plus fin, en périphérie de l’aire primaire (amusie: absence de développement de capacités musicales, rythme, mélodie, gyrus temporal) (hallucinations auditives, aussi dans le gyrus temporal)

89
Q

Lobe occipital

A

Orientation
Vision
Neurones très spécialisés: sollicités lorsqu’une stimulation précise se présente dans leur environnement
L’agencement de ces neurones dans le cortex occipital permet de voir.
Synesthésie (sens mélangés ensemble) et hallucinations visuelles, autisme
Primaire, secondaire et tertiaire: complexification quand vers le lobe temporal (couleur, mouvement, etc.)
Lésion:
Bilatérale, des deux côtés: cécité corticale (incapacité de voir en raison d’une lésion)
Latérale: hémianopsie, à droite affecte champ visuel gauche

90
Q

Voies lobe occipital

A

Voie ventrale: vers le cortex temporal, identifier le symbole et s’en souvenir (what)
Agnosie: difficulté à se souvenir d’un objet précis, mais possibilité de le voir
Voie dorsale: identifier le lieu dans l’environnement, localisation (where)
Patiente qui voit de manière saccadée, ne voit pas les mouvements, lésion entre pariétal et occipital (traitement tertiaire)

91
Q

Lobe pariétal

A

Information: traitement de la sensation (douleur, température)
Vision 3D
Information ascendante
Lésion: difficultés sensorielles
Sixième sens: proprioception: capacité à visualiser son corps dans l’espace (proche du temporal), information tactile et visuelle
Aires associatives
Aire somesthésique primaire

92
Q

Aires associatives

A

mise en commun des informations de plusieurs sens, troubles précis d’une fonction très ciblée

93
Q

Aire somesthésique primaire

A

traitement de l’information de la sensibilité (douleur, température)
Héminégligence
Membre fantôme
Parésie générale

94
Q

Hémingligence

A

lésion à droite, néglige la moitié d’un corps, peut être transitoire
Patient de humber stack: essaie de se débarrasser de la partie de son corps qui ne lui appartenait pas

95
Q

Membre fantôme

A

neurones plus reliés à rien, stimulations anarchiques (ressentent de la douleur ou des démangeaisons dans des membres amputés), utilisation de miroirs pour permettre au cerveau de se réorganiser.

96
Q

Parésie générale

A

syphilis non traitée qui monte jusqu’au cerveau, atrophie corticale (frontale et temporale): démence, difficultés mémoire court terme/long terme, problèmes comportementaux, ressemble à la schizophrénie, virus qui affecte le cerveau, hallucinations.

97
Q

Système limbique

A
Ordre: tronc cérébral (cerveau reptilien) système limbique, néocortex (traitement plus évolué)
Tempéré par le cortex frontal
Cortex limbique
Hippocampe
Amygdale
Thalamus
Hypothalamus
98
Q

Cortex limbique

A

Première couche de cortex sur le thalamus et le tronc cérébral (en-dessous du néocortex)
Connexion avec les autres parties du système
Traitement de base des émotions en collaboration avec l’aire ventro-médian (cortex primaire des émotions avant le préfrontal)
Personne qui pensait reconnaître des gens
Mauvais fonctionnement des connections: autisme, bipolarité, TOC, PTSD, schizophrénie

99
Q

Thalamus

A

Grosse structure, plancher du ventricule (juste après le corps calleux)
Relais de l’information sensorielle (développé chez les reptiles)
À cause de l’importance du cortex, devenu un filtre qui fait passer l’information
Transmet l’information pendant le sommeil avant d’arriver au cortex primaire
Conscience et niveau d’alerte
Boucles qui gèrent les réglages (TDAH, TOC et Parkinson)

100
Q

Hippocampe

A

Tempère l’amygdale
Connecté à l’amygdale pour créer des souvenirs (surtout explicites, sémantiques, épisodiques), permet leur enregistrement
Capacité de neurogénèse (création de nouveaux neurones pour pouvoir fonctionner à plein régime), rapetisse chez les anxieux et les dépressifs, ne tempère plus
Amygdale le prévient de l’importance des informations à apprendre
Réaction émotionnelle importante facilite l’enregistrement
Logé dans le lobe temporal
Mémoire émotionnelle

101
Q

Amygdale

A

Chef du système limbique, centre de contrôle (rôle crucial pour se connecter au système nerveux autonome et le déclencher)
Déclenche des signaux (émotions, positives et négatives)
Accorde une importance émotionnelle à une émotion, identifie les menaces et enregistre l’efficacité de la réponse, hiérarchise les événements et les émotions
Mémoire émotionnelle et réponses aux stimulations après analyse des informations extérieures (stress, peur)
Important circuit qui permet de déclencher une réponse de peur
Urbach-Wiethe
Klüver-Bucy

102
Q

Hypothalamus

A

Fait le lien entre le système limbique et les hormones (avec le sang plutôt que les neurones), projections hormonales qui partent de l’hypothalamus (après avoir reçu un signal de l’amygdale): très rapide
Grosse glande qui fait le lien avec les structures plus éloignées du cerveau
Fonctions de base du corps:
Faim, soif, température, niveau d’éveil, pression artérielle, sudation, rythme cardiaque, sommeil
Connections envoyées par l’amygdale et transformées par l’hypothalamus en projections hormonales

103
Q

Démence

A

atteinte au niveau limbique et temporal en premier lieu (surtout hippocampe)

104
Q

Syndrome Klüver-Bucy

A
importante du cortex limbique frontal et de l’amygdale
Docilité
État de soumission
Perte de la peur
Libido excessive
Modification des habitudes alimentaires
Hyperréactivité aux stimuli visuels
Tendance à porter les objets à la bouche
Cécité (ignore les stimuli)
En fait, liaisons amygdale: aspect émotionnel, alors que lésions autour: cause des autres symptômes
105
Q

Urbach-Wiethe

A

Déficit des amygdales (génétique): calcification des amygdales: incapacité à identifier la peur, patiente SM (affable et sociale, aucune notion d’espace personnel, aucune surprise/peur suite à un événement traumatisant)

106
Q

Tronc cérébral

A

Cerveau très primitif, très dense
Connexion moelle épinière
Lésion aux conséquences très importantes
Bulbe rachidien, pons, formation réticulée, cervelet

107
Q

Bulbe rachidien

A

Dernière section
Lésion: état végétatif
Fonctions vitales
Pas de traitement avancé de l’information

108
Q

Formation réticulée

A

Gère veille/éveil (noyaux): problèmes d’alternance si dégénérescence
Filtre qui permet la déconnexion entre le cerveau et la motricité pendant les rêves pour empêcher de causer des mouvements (atonie musculaire)
Sommeil paradoxal: signe précurseur de Parkinson

109
Q

Pons

A

Connexion avec le cervelet
Plein de noyaux, relais avec le cervelet
Information motrice descend après correction par le cervelet
Tubercules quadri-jumeaux: relais de l’information visuelle avant le thalamus et le cortex
Transition entre la veille et l’éveil: activation de base, permet à l’information (ascendante et descendante) de passer.
Attention de base, équilibre, sommeil paradoxal
Peu de lésions, car très primitif, lieu de passage (informations sensorielle)
Syndrome pseudobulbaire: déconnexion entre le comportement et les émotions (rire)

110
Q

Cervelet

A

Ataxie
Réglage fin des mouvements
Connexion avec le cerveau via le tronc cérébral
Rétroaction visuelle

111
Q

Ataxie

A

blessure du cervelet (lésions post-trauma ou maladie)
Problèmes moteurs, ressemble à la paralysie cérébrale
Mouvement inefficace vers la fin (capacité à déclencher, mais reste peu efficace)
Débit ete motricité affectés
Démarche ébrieuse, tremblements, mouvements peu fluides