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processus cognitifs > THÈME 9 : langage et cognition > Flashcards

THÈME 9 : langage et cognition Flashcards

1
Q

Le langage se définie comme :

A

Un système de communication qui nous permet de coder et exprimer nos pensées, idées et expériences.

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Q

Que pense Skinner par rapport au langage ?

A

Le langage est appris à l’aide du renforcement.

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3
Q

Que pense Chomsky par rapport au langage ?

A
  1. Les enfants produisent des phrases non renforcées et jamais entendues.
  2. Malgré la variabilité à travers les cultures, les bases du langage sont les mêmes.
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4
Q

Que pense Pinker par rapport au langage ?

A
  1. Le langage a évolué de façon distinctive via la sélection naturelle.
  2. Cette capacité est à la base du développement de la cognition.
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5
Q

Existe t’il des processus cognitifs spécifiques au langage ?

A
  1. Selon Chomsky, un seul aspect du langage est attribuable à des processus spécifiques au langage : la récursivité.
  2. Selon Pinker, le langage est une habileté unique avec des fonctions spécifiques (pas seulement la récursivité).
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6
Q

Le langage se distingue comme une forme de communication unique avec des traits spécifiques :

A
  1. Apprentissage : peut apprendre une autre langue
  2. Déplacement : la possibilité de référer à des événements ou à des choses qui ne sont pas présentes “ici et maintenant”
  3. Créativité / récursivité : capacité de construire un infini de messages à partir des éléments de base de la langue.
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7
Q

Qu’est-ce qu’un phonème ?

A

Unités du langage oral. Ils correspondent aux sons du langage.

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8
Q

Qu’est-ce qu’un graphème ?

A

Unités du langage écrit. Ils correspondent aux lettres.

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9
Q

Quelles sont les deux hypothèses en ce qui concerne la compréhension du langage écrit ?

A
  1. L’hypothèse d’un accès direct propose que les graphèmes d’un mot sont directement associés à la signification du mot.
  2. L’hypothèse d’une médiation phonologique propose que les graphèmes d’un mot sont traduits en phonèmes avant d’être associés à la signification du mot.
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10
Q

L’étude de Bradshaw et Nettleton (1974) appuie quelle hypothèse ?

A

L’hypothèse d’un accès direct

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11
Q

En quoi consiste l’étude de Bradshaw et Nettleton (1974) ?

A
  1. On présente aux participants des paires de mots.
  2. Paires neutres : le mots ne sont aucunement reliés.
  3. Paires hétérophones : l’orthographe des mots est semblable, mais leur prononciation est différente.
  4. Dans la condition 1, les participants devaient lire les 2 mots à voix haute.
  5. Dans la condition 2, les participants devaient lire le premier mot silencieusement, puis le deuxième mot à voix haute.
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12
Q

Quels sont les résultats obtenus par Bradshaw et Nettleton (1974) dans leur étude ?

A
  1. Dans la condition 1, les participants commençaient à lire le deuxième mot plus tard pour les paires hétérophones que pour les paires neutres.
  2. Puisque les mots des paires hétérophones sont semblables, mais que leur prononciation est différente, la prononciation du premier mot interfèrerait avec la prononciation du deuxième mot.
  3. Ils ont observé que dans la condition 2, les participants commençaient à lire le 2 mot au même moment pour les paires neutres et pour les paires hétérophones (ceci appuie l’hypothèse d’un accès direct).
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13
Q

Quel lien peut-on établir entre l’hypothèse d’un accès direct et l’étude de Bradshaw et Nettleton ?

A
  1. Selon l’hypothèse d’un accès direct, les lettres ne sont pas traduites en sons lors de la lecture silencieuse.
  2. Dans la condition 2, il n’y aurait donc pas de prononciation, même mentale, du premier mot des paires.
  3. Ainsi, il ne devrait pas y avoir d’interférence dans les paires de mots hétérophones.
  4. On ne s’attend donc pas à voir de délai dans la lecture du deuxième mot.
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14
Q

Quel lien peut-on établir entre l’hypothèse d’une médiation phonologique et l’étude de Bradshaw et Nettleton ?

A
  1. Selon l’hypothèse d’une médiation phonologique, les lettres sont traduites en sons lors de la lecture silencieuse.
  2. Dans la condition 2, il y aurait donc une prononciation mentale du premier mot.
  3. Ainsi, on devrait observer une interférence dans les paires de mots hétérophones.
  4. On s’attend donc à voir un délai dans la lecture du deuxième mot.
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15
Q

L’étude de van Orden (1987) appuie l’hypothèse :

A

L’hypothèse d’une médiation phonologique.

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16
Q

En quoi consiste l’étude de van Orden (1987) ?

A
  1. Une catégorie était présentée au participant.
  2. Ensuite, un mot leur était présenté.
  3. Les participants devaient indiquer si le mot faisait bel et bien partie de la catégorie.
  4. Essais positifs = mot correspondait à la catégorie.
  5. Essais négatifs = mot ne correspondait pas à la catégorie (2 types d’essais négatifs : mot neutre ou homophone).
  6. Le nombre de fausses alarmes a été calculé pour les 2 types d’essais négatifs.
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17
Q

Quels sont les résultats obtenus par van Orden (1987) lors de son étude ?

A
  1. Il a observé que les participants commettaient plus de fausses alarmes lorsque le mot était un homophone que lorsqu’il était neutre.
  2. Ce résultat appuie l’hypothèse d’une médiation phonologique.
  3. Selon cette hypothèse, les participants devraient confondre les homophones puisque leur représentation des mots proviendrait de leur prononciation (identique) et non de leur orthographe.
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18
Q

Qui a émit l’hypothèse d’une double voie pour expliquer les processus sous-jacents à la lecture ?

A

Coltheart et ses collaborateurs

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19
Q

Quelles sont les deux voies de l’hypothèse à double voie ?

A
  1. Voie lexicale

2. Voie non lexicale

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20
Q

Qu’est-ce que le lexique orthographique (voie lexicale) ?

A

Association d’un groupe de lettres à un mot écrit.

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21
Q

Qu’est-ce qu’un système sémantique (voie lexicale) ?

A

Association du mot écrit à une signification.

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22
Q

Qu’est-ce que le lexique phonologique (voie lexicale) ?

A

Association du mot écrit et de sa signification à un mot prononcé.

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23
Q

Qu’est-ce qu’une conversion graphèmes-phonèmes (voie non lexicale) ?

A

Traduction de lettres en sons.

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24
Q

Qu’est-ce qui caractérise la voie lexicale de l’hypothèse d’une double voie ?

A
  1. Correspond à l’hypothèse d’un accès direct.
  2. Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en parallèle.
  3. Elle est utilisée lorsque le mot écrit est connu.
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25
Q

Qu’est-ce qui caractérise la voie non lexicale de l’hypothèse d’une double voie ?

A
  1. Correspond à l’hypothèse d’une médiation phonologique.
  2. Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en série.
  3. Elle est utilisée lorsque le mot écrit est inconnu.
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26
Q

À la vue du mot bateau, quelle voie sera activée ?

A

Voie lexicale (mot connu)

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27
Q

À la vue du mot “zime”, quelle voie sera activée ?

A

Voie non lexicale (mot inconnu)

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28
Q

L’hypothèse d’une double voie suggère que :

A

Les processus permettant de comprendre le langage varieraient en fonction de la situation.

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29
Q

Qu’est-ce que l’étude de Winawer et ses collaborateurs (2007) étudiait ?

A

La question du traitement des couleurs : des langues décrivent certaines couleurs à l’aide de plusieurs mots, alors que d’autres langues décrivent ces mêmes couleurs à l’aide d’un seul mot.

30
Q

Winawer et ses collaborateurs tentent de démontrer :

A

Si la différence entre les langues a une influence sur la façon dont on traite les couleurs.

31
Q

Quels sont les résultats obtenus par Winawer et ses collaborateurs par rapport aux Russes ?

A
  1. Les Russes répondent plus lentement lorsque les deux choix de couleurs sont dans la même catégorie (intra-catégorie), que lorsque les deux choix de couleurs étaient dans des catégories différentes (inter-catégorie).
  2. Il serait donc plus facile de différencier des couleurs qui portent des noms différents (inter-catégorie) que des couleurs qui portent le même nom (intra-catégorie).
32
Q

Quels sont les résultats obtenus par Winawer et ses collaborateurs par rapport aux Américains ?

A

Les Américains répondent à la même vitesse dans les deux conditions.

33
Q

Quels sont les résultats obtenus par Winawer et ses collaborateurs ?

A

Des langues qui catégorisent différemment des couleurs permettent de traiter celles-ci différemment.

34
Q

Qu’est-ce que l’étude d’Athanasopoulos et ses collaborateurs (2009) étudiait ?

A

Si la perception des couleurs est influencée par le langage.

35
Q

Quels sont les résultats obtenus par Athanasopoulos et ses collaborateurs lors de leur étude ?

A

Le langage influencerait la perception, du moins celle des couleurs (effets de vMMN).

36
Q

L’hypothèse des représentations séparées stipule :

A

Qu’il existe des représentations conceptuelles distinctes, une pour chaque langue.

37
Q

L’hypothèse de la représentation commune stipule :

A

Qu’il existe une représentation conceptuelle commune à toutes les langues.

38
Q

Quels sont les résultats obtenus par Goggin et Wickens en lien avec l’hypothèse des représentations séparées ?

A

Lorsque la langue est changée (au dernier mot), la performance augmente, comme c’est le cas lorsque la catégorie est changée (ex : de fruits à professions).

39
Q

Quels sont les résultats obtenus par Caramazza et Brones en lien avec l’hypothèse de la représentation commune ?

A

Le temps de réponse n’augmente pas lorsque la langue de la catégorie et du mot est différente.

40
Q

La production du langage oral implique :

A
  1. Récupération des mots en mémoire
  2. Récupération rapide (plus de 3 mots par seconde)
  3. Production rapide de mots dans le bon ordre
  4. Combinaison avec d’autres mots pour créer une phrase grammaticalement correct
41
Q

Holmes (1988) remarque :

A

Que les locuteurs hésitent souvent et prennent même des pauses avant de commencer à dire une locution, ce qui suggère qu’ils planifient avant de parler.

42
Q

Qu’est-ce que la codabilité ?

A

Le nombre de mots possibles pour nommer une image.

43
Q

Griffin (2001) pense que :

A

La planification est limitée.

44
Q

Quels sont les résultats obtenus par Griffin lors de son étude ?

A
  1. Le temps pris avant de commencer la phrase ne varie pas selon la codabilité des images B et C.
  2. Indique que le participant commence à parler dès qu’ils ont trouvé un mot pour l’image A.
45
Q

Comment expliquer de telles variations entre les études sur la planification du langage oral ?

A

Une possibilité est que le niveau de planification soit influencé par le contexte dans lequel se trouve le locuteur.

46
Q

En quoi consiste l’étude de Ferreira et Swets (2002) ?

A

Demandent aux participants de répondre oralement à des problèmes mathématiques simples et complexes dans des situations différentes.

47
Q

Quelles sont les 2 mesures de planification langagière mesurées dans l’étude de Ferreira et Swets ?

A
  1. Le temps écoulé avant de répondre : indice de planification avant la production orale.
  2. Le temps pris pour donner la réponse : indice de planification pendant la production orale.
48
Q

Quelles sont les hypothèses de Ferreira et Swets ?

A
  1. Si la réponse est planifiée avant de commencer à parler, le temps pris avant de commencer à parler devrait être plus long pour les problèmes difficiles et le temps pris pour donner la réponse ne devrait pas varier.
  2. Si les participants commencent à parler avant de donner leur réponse, le temps pris avant de commencer à parler devrait être le même et le temps pris pour donner la réponse devrait être plus long pour les problèmes difficiles.
49
Q

Quels sont les résultats obtenus par Ferreira et Swets ?

A
  1. Dans une première expérience, la difficulté des problèmes affecte seulement le temps pris pour commencer à parler (appuie l’hypothèse d’une planification complète de la réponse).
  2. Dans une deuxième expérience, les participants sont forcés de répondre rapidement. Cette fois, les 2 mesures de planification s’allongent pour les problèmes difficiles (suggère une combinaison des deux hypothèses).
50
Q

Quelle conclusion peut-on tirer de l’étude de Ferreira et Swets ?

A

Pour une même tâche, le niveau de planification change selon le contexte dans lequel la tâche doit être effectuée.

51
Q

La production orale implique 4 niveaux de traitement :

A
  1. Sémantique : représentation abstraite d’idées
  2. Syntaxique : structure grammaticale
  3. Morphologique : sélection des morphèmes (plus petite unité porteuse de sens)
  4. Phonologique : information sur la prononciation
52
Q

Qu’est-ce qui caractérise le modèle de Bock et Levelt sur le 4 niveaux de traitement de la production orale ?

A
  1. Les niveaux se produisent de façon séquentielle (en étapes) : chaque étape doit être complétée avant d’entamer la suivante.
  2. Passe de la signification au son.
53
Q

Comment se traduit les 4 niveaux de traitement de la production orale dans le modèle de Bock et Levelt ?

A
  1. Sémantique : élaboration du contenu du message
  2. Syntaxique : sélection du vocabulaire et du rôle grammaticale de chaque mot
  3. Morphologique : mise en ordre des morphèmes et des mots pour former une phrase
  4. Phonologique : sélection des sons constituant les mots
54
Q

Qu’est-ce qui caractérise le modèle de Dell sur le 4 niveaux de traitement de la production orale ?

A
  1. Le traitement à chacun des niveaux et pour l’ensemble des niveaux se fait en parallèle : interviennent simultanément et s’influencent mutuellement.
  2. Les représentations construites à chaque niveau de traitement sont disponibles à tout moment dans le système.
  3. Lorsqu’un unité (ex : mot, concept) est activé à un niveau, elle envoie l’activation aux unités reliées à tous les niveaux (mécanisme d’action diffusante).
55
Q

À quoi correspond le mécanisme d’action diffusante ?

A

Lorsqu’un unité (ex : mot, concept) est activé à un niveau, elle envoie l’activation aux unités reliées à tous les niveaux.

56
Q

En quoi consistait l’étude de Peterson et Savoy ?

A
  1. Ils présentent une image sur laquelle apparait un mot écrit et demandent aux participants de nommer ce mot le plus rapidement possible.
  2. Ils manipulent la similitude phonologique entre le mot écrit et les mots dominant et non dominant décrivant l’image.
57
Q

Quels sont les résultats obtenus par Peterson et Savoy lors de leur étude ?

A
  1. Observent que si le mot sonne comme le mot dominant, il est nommé plus rapidement que s’il sonne différemment : suggère que le mot dominant est activé au niveau phonologique, tel que prédit par les 2 modèles.
  2. Par contre, lorsque le mot écrit sonne comme le mot non dominant, il est aussi nommé plus rapidement : suggère que le mot dominant est également activé au niveau phonologique, ce qui appuie le modèle de traitement en parallèle.
58
Q

Qu’est-ce qu’un lapsus ?

A

Une non-correspondance entre ce qui est pensé et ce qui est erroné.

59
Q

Quels sont les principaux types de lapsus ?

A
  1. Anticipation
  2. Persévération
  3. Omission
  4. Substitution
  5. Inversion
60
Q

Qu’est-ce qu’une anticipation ?

A

Utilisation d’un élément avant son emploi approprié dans la phrase parce qu’il correspond à un élément à venir.

61
Q

Qu’est-ce qu’une persévération ?

A

Utilisation d’un élément qui convenait plus tôt dans la phrase, mais qui ne convient plus par la suite.

62
Q

Qu’est-ce qu’un omission ?

A

Oubli d’un élément dans une phrase.

63
Q

Qu’est-ce qu’une substitution ?

A

Remplacement d’un élément par un autre.

64
Q

Qu’est-ce qu’une inversion ?

A

Transposition de deux éléments de la phrase.

65
Q

Quel modèle permet l’interprétation des lapsus ?

A

Le modèle parallèle de Dell

66
Q

Quel est le lien entre le modèle parallèle de Dell et l’interprétation des lapsus ?

A
  1. Grâce au mécanisme d’activation diffusante, plusieurs unités reliées sont activées simultanément à tous les niveaux de traitement.
  2. Une erreur se produit quand l’unité ayant la plus grande activation n’est pas appropriée.
67
Q

Selon le modèle parallèle, les erreurs d’anticipation et d’inversion sont possible car :

A

Plusieurs sons et mots sont activés simultanément lors de la planification.

68
Q

Vrai ou faux ? La production du langage oral et la mémoire à court terme (MCT) semblent être intimement reliées.

A

Vrai

69
Q

En quoi consiste l’étude de Adams et Gathercole ?

A
  1. Montrent que les enfants qui réussissent mieux à des tests de MCT verbale possèdent de meilleures habiletés de production orale.
  2. Ils suggèrent que la MCT joue un rôle important dans l’acquisition du langage.
70
Q

La capacité de la MCT est diminuée lorsque les stimuli sont :

A

Similaires phonologiquement

71
Q

Certaines études ont démontré que les erreurs produites lors d’une tâche de MCT verbale sont similaires à celles produites dans le discours oral, cela suggère que :

A

Les mécanismes impliqués dans la production du langage soient également exploités lors de la rétention à court terme.

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