Thème #3 : structure identitaire et construction de l'identité Flashcards
Concernant la complexité identitaire :
Quels sont les 4 facteurs identitaires ainsi que chaque perception ?
Qu’est-ce que l’identité ?
Vrai ou faux, il est possible que les facteurs d’une même personne s’opposent ? Donne un exemple.
Vrai ou faux, nos facteurs d’identité sont liés les uns avec les autres ?
Corporel :
* Ce que je perçois de mon corps (ex : handicap, problèmes, etc.)
* Ce qu’autrui perçoit de mon corps
Cognitif :
* Ce que je pense de moi (ex : être patiente)
* Ce qu’autrui pense de moi
Affectif :
* Ce que je ressens à propos de moi (ex : estime de soi, sentiments)
* Ce qu’autrui ressent à propos de moi
Conatif :
* Ce qui m’anime (ex : ce qui me fait agir)
* Ce qu’autrui attend de moi
Tout ce qui me caractérise (on a plusieurs caractéristiques et c’est impossible que deux personnes aient les mêmes caractéristiques)
Vrai, vouloir devenir un athlète de haut niveau, mais pas avoir les capacités physiques
Vrai
Qu’est-ce que la saillance ?
À quel moment de la vie est-ce que notre identité commence à se développer (construction progressive). À l’idée de quel courant est-ce similaire ?
À quoi nous attendons-nous de chaque personne ?
Vrai ou faux, l’identité se modifie tout au long de l’existence. Elle résulte de divers remaniements et de tentatives d’intégration (plus ou moins réussies) ?
Quelles sont les périodes de vies qui sont plus propices à des changements ?
L’identité n’est pas juste une addition d’information, elle est _____ à d’autres
Lorsqu’on se retrouve dans un certain contexte saillant, on ressort une identité particulière saillante
À l’enfance (psychanalytique)
Que chacun manifeste une certaine cohérence dans ses attitudes et comportements (sinon on est méfiant – pathologie)
Vrai
Ex : changer d’école, adolescence, nouvel emploi, devenir parent
Liée
Concernant les structure de représentations identitaires :
Nomme chaque structure (4) avec la perception de soi, la perception de l’endogroupe, l’incohérence et le niveau de complexité cognitive.
Qu’est-ce que la différenciation et l’intégration ?
Intersection :
* Perception de soi : pense à elle en fonction de l’ensemble de ses caractéristiques (une adolescente violoniste)
* Perception de l’endogroupe : les personnes qui sont à la fois adolescent et violoniste (vision plutôt fermé)
* Incohérence : différenciation cognitive (ignorer une des deux caractéristiques – peu d’énergie cognitive (A))
* Niveau de complexité cognitive : peu complexe (1) – ignorer et séparer
Dominance :
* Perception de soi : une des deux caractéristiques prend plus de place (je suis avant tout une adolescente)
* Perception de l’endogroupe : les personnes qui ont les même caractéristiques dominante (les adolescents)
* Incohérence : renforcement (favoriser une des deux caractéristiques (A+ B-))
* Niveau de complexité cognitive : 2 – ignorer et séparer
Compartimentalisation :
* Perception de soi : dépend du contexte dans lequel la personne se trouve (ex : dans son groupe d’ami = adolescente) (il est possible que les deux soient présents en même temps)
* Perception de l’endogroupe : dépend du contexte
* Incohérence : isolement cognitif (séparer son rôle selon le contexte – au travail il est à 100% et à la maison 100% (A ou B))
* Niveau de complexité cognitive : 3 – considérer et séparer
Fusion (Rebeca Hwang) :
* Perception de soi : inclusion de toutes les caractéristiques tout le temps (IDEM intersection)
* Perception de l’endogroupe : toutes les personnes qui possèdent l’une ou l’autre des caractéristiques (les adolescents et les violonistes) (endogroupe inclusif)
* Incohérence : transcendance (rajouter une autre caractéristique qui résout l’incohérence (A, B et C))
* Niveau de complexité cognitive : complexe (4) – considérer et intégrer
Différenciation : ignorer les incohérences (peu d’effort cognitif) ou les considérer
Intégration : résoudre l’incohérence (choix entre intégrer les cognitions ou les séparer)
Concernant le Ted Talk de Rebeca Hwang :
À quelle structure correspond-elle ?
Fusion
Concernant les processus identitaires :
Il existe plusieurs processus qui contribuent à la construction de l’identité.
Lequel est le traitement des informations relatives aux groupes sociaux (dans notre groupe d’appartenance) ? Quelles sont les deux sous-catégories ?
Quel est le traitement des informations relatives aux individus ? Quelles sont les deux sous-catégories ?
Quel est le traitement de l’interaction entre l’individu et le contexte ? Quel est sa sous-catégorie ?
Processus sociocentrés
-catégorisation sociale
-auto-catégorisation
Processus égocentrés
-comparaison sociale
-attribution
Processus relationnels et dynamique
-diverses théories
Concernant la catégorisation sociale :
Quelles sont les deux étapes du processus des catégories ?
Quelles sont les trois types de catégorisations dans l’élaboration des catégories ?
Quels sont les deux types d’utilisation des catégories ?
- élaboration des catégories
- utilisation des catégories
a. Catégorisation basée sur le sujet (détermination d’un critère précis (ex : la taille)
b. Catégorisation basée sur l’objet (inchangeable, ex : religion, profession)
c. Catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet (le critère doit être toujours évalué)
a. Induction : ça me permet de catégoriser la personne (gauche)
b. Déduction : ça me permet de décrire la personne (droite)
Quelle est la différence entre un stéréotype, un prototype et un exemple ?
Vrai ou faux, les stéréotypes diffèrent d’individus en individus et peuvent être exacts ou erronés ?
Stéréotype : structure mentale qui inclut l’ensemble des informations communes à tous les membres d’une catégorie sociale
* Ex : les poupées Barbie : femme, jeune, grande, rose, à la mode, jolie, etc.
Prototype : représentation mentale générale et abstraite d’une catégorie
Exemple : représentation mentale précise d’un membre faisant partie de la catégorie
* Barbie femme d’affaire
Vrai
Lors de la catégorisation sociale, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes d’assimilation et de différenciation.
Qu’est-ce que c’est ?
Que donne la combinaison des deux ?
Assimilation : accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe
Différenciation : accentuation des différences entre les individus appartenant au même groupe
Amène les gens à percevoir à tort que les membres de l’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe. (Oublient de voir les similitudes entre les groupes ce qui mène à préjugés et discrimination)
Concernant l’auto-catégorisation :
Quels sont les trois niveaux d’auto-catégorisation ?
À quel niveau fait partie la dépersonnalisation et qu’est-ce que c’est ? Quel est le positif et le négatif ?
À quel niveau fait partie l’unicité et qu’est-ce que c’est ? Quel est le positif et négatif ?
Qu’est-ce que la catégorisation croisée ?
Qu’est-ce que la catégorisation multiple (fusion) ?
-Niveau supra ordonné : l’individu se catégorise comme être humain; il réalise des comparaisons entre l’espèce humaine et d’autres espèces
-Niveau intermédiaire : l’individu se catégorise comme membre d’un groupe; il réalise des comparaisons intergroupes
-Niveau subordonné : l’individu se catégorise comme une personne singulière; il réalise des comparaisons interpersonnelles et des comparaisons intragroupes
Dépersonnalisation (niveau intermédiaire) : perception de l’individu comme étant un exemplaire d’une catégorie sociale ; qui possède les traits stéréotypiques qui définissent son endogroupe.
* Positif : puisque je suis comme tout le monde, je ne suis pas désavantagé
* Négatif : avoir plus d’habiletés dans son travail
Unicité (niveau subordonné) : perception de l’individu comme étant un être unique; qui possède un ensemble de caractéristiques qui lui est propre et qui n’est partagé par personne d’autre
* Positif et négatif (voici ce que j’ai de différent des autres)
Catégorisation croisée : processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales
Catégorisation multiple (fusion) : processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories sociales
Concernant la comparaison sociale :
Qu’est-ce que c’est ?
Quel type de point de comparaison utilisons-nous ?
Quels sont les deux types de comparaison ?
Comparaison sociale : en l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évaluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres
On utilise un point de comparaison pertinent (gens du même niveau que nous)
Ascendante et descendante
Théorie #1
Concernant l’accent mis sur la similitude dans la théorie des processus de comparaison sociale :
Vrai ou faux, selon cette théorie, qui se ressemble s’assemble ?
Vrai ou faux, il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses opinions et aptitudes personnelles
Quelles sont les deux façons d’évaluer nos opinions et aptitudes ?
Vrai ou faux, à l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence comme terme de comparaison ceux dont l’opinion ou l’aptitude est plus différente de notre opinion ou aptitude ?
Quelles sont les trois façons de rendre les gens de notre endogroupe plus semblable à nous ?
Pourquoi les aptitudes sont différentes des opinions quand au repos social ?
De quoi dépend la pression à l’uniformité dans un groupe ?
Vrai, si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit s’accentuer
Vrai
(1) par des moyens objectifs non sociaux
(2) en les comparant avec les opinions et aptitudes des autres
Faux, semblable
-Convaincre les autres
-Se faire convaincre
-Trouver les points communs)
Pour les aptitudes (différent opinions), il n’y a jamais de repos social, car c’est un mouvement unidirectionnel vers le haut (on veut toujours s’améliorer)
-L’importance du groupe pour l’individu
-La pertinence de l’opinion ou de l’aptitude pour le groupe
Théorie #2 :
Concernant l’accent mis sur la différence dans la théorie des processus de comparaison sociale :
Quelle est l’idée principale de cette théorie ?
Explique le processus de différentiation.
Lors d’une menace à l’identité, la personne cherche à se différencier et pour résoudre le problème, la personne met l’accent sur cette différence
- L’individu se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité) (ex : l’individu est mis de côté)
- Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de sentir, d’agir (ex : l’individu se dit oui, mais la science devrait aussi être importante)
- Il y a tentative de faire reconnaitre et de faire accepter ces nouveaux critères (prosélytisme : fait de recruter avec beaucoup de zèle) (ex : recruter d’autres scientifique dans l’école)
- Il y a tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable, tentative de substituer à « l’ordre ancien » un « ordre nouveau »
Théorie #3
Concernant l’articulation entre similitude et différence dans la théorie des processus de comparaison sociale :
Quelle est l’idée principale de cette théorie ?
Explique le processus de la conformité supérieur de soi.
Vrai ou faux, cela peut mener à de la radicalisation ?
Tendance d’une personne dans un groupe à affirmer qu’elle est plus conforme aux normes que les autres
- L’individu tend à se valoriser face aux autres
- Il y a un conflit entre :
a. Le désir de plaire
b. La volonté de préserver son identité personnelle - Il n’y a qu’une seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres aux normes sociales (respecter les normes sociales plus que les autres ) (ex : individu qui aime la course à pied dans un endogroupe de coureurs, mais qui est aussi bénévole dans des courses et qui fait des tournois dans d’autres pays)
Vrai
Concernant l’attribution :
Qu’est-ce que c’est ?
Sur quelles deux choses une attribution peut-elle être ?
Explique la différence de processus lorsque nous faisons des attributions sur soi au autrui (possède même informations et informations différentes).
Jugement (inférence) porté sur un évènement; interprétation personnelle de la réalité.
-Pour soi-même (auto-attribution ou attribution de l’acteur)
-Pour autrui (hétéro-attribution ou attribution de l’observateur)
- Si l’acteur et l’observateur disposent des mêmes informations, l’auto-attribution et l’hétéro-attribution sont relativement semblables
- Nous n’avons pas toujours accès aux mêmes informations…
o Acteur : tendance à se juger à partir de ce qu’il voit (contexte en premier, lui-même en second)
o Observateur : tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voit (l’acteur en premier, le contexte en second)
Concernant l’attribution :
Quels sont les trois dimensions causales que Weiner a examiné ?
lire davantage
Dans les attribution il y a beaucoup de biais, voici les définitions, nomme le biais.
Tendance à porter le blâme à la victime (ex : lors d’un viol, c’est qqn d’autre qui cause du tort) (biais d’observateur)
La personne émet sincèrement ou non, des jugements défavorables à son propre égard (contraire au biais de complaisance) (ex : c’est de ma faute) (peut être sincère ou non)
Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qu’il lui arrive (oublie de tenir compte du contexte) (biais d’observateur) (la personne elle-même est responsable d’être victime, comme mettre sa tête dans la bouche d’un crocodile)
Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous-estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui (on ne tient pas compte du contexte)
Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes
Réponse apprise résultant de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, à fuir ou à éviter
Fin des définitions
Dans la résignation acquise, vrai ou faux la situation est perçue comme incontrôlable, mène à des états émotionnes, cognitifs motivationnels déficitaires et cause des symptômes comme l’inhibition, l’apathie, la dépression ?
Lieu de causalité (locus) : origine de la cause
* Interne - externe
Contrôle : degré avec lequel la cause peut être affectée par la volonté
* Contrôlable – incontrôlable
Stabilité : possibilité pour la cause de varier dans le temps
* Stable - instable
Biais de responsabilité injustifiée
Autodépréciation
Croyance en un monde juste
Erreur d’attribution fondamentale
Biais de complaisance
Résignation acquise
Vrai
Concernant l’attribution sociale :
La personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquelles elle porte un jugement (endogroupe ou exogroupe)
Quels sont les deux types et quel est un biais ?
Quels sont les deux façons de voter notre groupe comme étant le meilleur dans le favoritisme endogroupe ?
Favoritisme endogroupe : évaluation plus positive de l’endogroupe que de l’exogroupe
Favoritisme exogroupe : évaluation plus positive de l’exogroupe que de l’endogroupe (contraire pour exogroupe)
Erreur d’attribution ultime : un comportement désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est le cas contraire. (ex : après un match de soccer)
Notre propre groupe est meilleure que les autres, deux façons :
o Valoriser mon endogroupe
o Dévaloriser l’exogroupe
Contraire pour exogroupe!
Concernant les théories sur les processus relationnels et dynamiques :
Vrai ou faux, elles tiennent toutes compte du contexte ?
Les processus selon Breakwell :
Quels sont les deux processus qui sont à la base du développement de l’identité selon cette théorie ?
Les processus selon Grotevant :
Comment est-ce qu’il examine et décrit le développement de l’identité ?
Sur quelle interaction est basée la probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire ?
Vrai ou faux, l’accent est mis sur le caractère transactionnel du processus ? Comment ?
Les processus selon Berzonsky :
Quels sont les trois styles de traitement de l’information ? Mentionne le traitement cognitif, l’adaptation et la perception de soi.
Les processus selon Kunnen et Bosma :
Vrai ou faux, la personne et le contexte réagissent l’un à l’autre ?
Vrai ou faux, c’est un processus qui a lieu une seule fois ?
Le contexte et la personne peuvent conduire à des changements dans quoi ?
voir les exemples dans les notes
Vrai
Breakwell :
* Assimilation-accomodation (comment organiser une nouvelle information avec celles qu’on a déjà)
* Évaluation : implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité (est-ce qu’elle nous définit dans notre identité)
Grotevant :
Dans différents domaines (ex : famille, école, travail).
- Les caractéristiques individuelles (ex : estime de soi, le contrôle, la résilience, l’ouverture, capacité cognitives et l’identité actuelle)
- Les facteurs contextuels (ex : la pression sociale – gens qui sont proches de nous, type de communication dans la famille – lien avec identité narrative de Ricoeur, les croyances véhiculés et la culture)
- Les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines (quand qqn utilise un mécanisme dans un domaine, il l’utilise aussi dans les autres)
Vrai, le contexte influence la personne et la personne influence le contexte
Berzonsky
Style orienté vers l’information : la personne explore activement et évalue l’information pertinente avant de s’engager
o Traitement cognitif : ouverture à la critique (assimilation-accomodation, évaluation)
o Adaptation : se connaissent mieux, meilleure adaptation
o Perception de soi : plus claire
Style orienté vers la norme : la personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle
o Traitement cognitif : moins ouverts à de nouvelles informations (rigidité), traitent les informations ne lien avec le groupe
o Adaptation : adaptés au groupe sociale, mais individuellement plus de difficulté d’adaptation
o Perception de soi : pas claire (bonne identité sociale, mauvaise identité personnelle)
Style orienté vers la diffusion : la personne tend à retarder et à faire traîner les choses jusqu’à ce que ça leur donne qqc de positif
o Traitement cognitif : axé sur les information positives, plus de distorsions et de biais, analyse en surface
o Adaptation : schémas de caméléon (faire ce qu’ils pensent ce que les autres pensent d’eux), se plient aux demandes du contexte surtout lorsqu’il y a un risque de punition (adapté en apparence)
o Perception de soi : très confuse
Kunnen et Bosma :
Vrai
Faux, c’est un processus itératif
Les engagements
Concernant les représentations identitaires :
Qu’est-ce qu’une représentation ? Quels sont les types de représentation identitaire ?
Vrai ou faux, représentation sociale et personnelle sont l’équivalent d’identité social et personnelle ?
Représentation : action de concrétiser une réalité absente physiquement
- personnelle, sociale et collective
Faux, ce n’est pas la même chose
Concernant la représentation personnelle dans les représentations identitaires :
Qu’est-ce que c’est ?
Comment se forme la représentation personnelle (graphique avec 4 éléments) ?
Comment sont organisés les informations en mémoire (4 éléments) ?
Quelle est la différence entre mémoire sémantique et épisodique ?
Concernant les rôles dans le traitement de l’information sur soi, explique :
- La valorisation de soi
- La vérification
- La qualité de l’évaluation de soi
- L’amélioration de soi
Représentation personnelle : image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes (personnelle) et intergroupes (sociale) (toutes les informations uniques à moi et les caractéristiques partagées avec les autres groupes)
L’individu se socialise et construit son identité par étapes, de la naissance (1-caractéristiques personnels), à l’âge scolaire (2-compétences), à l’adolescence (3-relations sociales) à l’âge adulte (4-le tout)
- Je personnel et Moi social (thème 2 diapo 5)
- Soi privé et soi public (thème 2 diapo 27)
- Selon le contexte (thème 2 diapo 26) (celle que les chercheurs pensent)
- Connaissances sémantiques et connaissances épisodiques
Mémoire sémantique : conserve les connaissances générales et les information factuelles (objectif)
Mémoire épisodique : conserve les choses telles qu’elles ont été vécues subjectivement (subjectif)
- La valorisation de soi (se valoriser) : pousse l’individu à élaborer des représentations positives, par le biais de sélection ou de transformations de l’information disponible
- La vérification (confirmer) : conduit l’individu à confirmer ce qu’il pense de lui-même pour être cohérent
- La qualité de l’évaluation de soi (s’évaluer) : conduit l’individu à chercher des situations lui permettant de réaliser des évaluation de soi les plus exactes possibles
- L’amélioration de soi (s’améliorer) : pousse l’individu à faire une comparaison ascendante pour apprendre quelque chose
Concernant les représentations sociales :
Qu’est-ce que c’est ?
Vrai ou faux, les catégories sociales sont plus flous et moins évidentes car elles sont le résultats d’élaborations sociocognitives ?
À quoi sont liés les représentations sociales ?
Concernant l’asymétrie de statut social :
Selon quels rapports hiérarchiques les individus sont-ils classés ?
Quelles sont les caractéristiques d’une personne avec un statut faible ? Et fort ?
Vrai ou faux, le statut affecte le degré d’influence intragroupe et intergroupe ?
Donne un exemple de ce principe.
Quels sont les deux facteurs qui peuvent affecter l’effet d’homogénéité de l’exogroupe ?
Quelle est la perception des personnes avec un statut élevé ? Et avec un statut faible ?
Chez quel statut est-ce que l’effet d’homogénéité de l’exogroupe est-il le plus souvent présent ?
Qu’est-ce qui favorise la réduction de l’effet d’homogénéité de l’exogroupe ?
Concernant les croyances partagées :
Qu’est-ce qu’un objet sociale ?
Vrai ou faux, le groupe doit avoir une vision similaire à ce sujet ?
Vrai ou faux, il influence des groupes, mais pas la perception des autres ?
Vrai ou faux, il nous permet de nous adapter en suscitant des prises de position et permettant les comparaisons entre les groupes ?
Image que la personne a des catégories sociales et des groupes sociaux
Vrai
- Aux asymétries de statut social
- Aux croyances partagées par les membres d’un groupe
Asymétrie de statut social :
Le capital économique, le capital culturel et le genre
Peu de prestige, peu de ressources, peu de pouvoir. Le contraire.
Vrai
Exemple : effet d’homogénéité de l’exogroupe (tendance à percevoir l’exogroupe comme étant homogène, car on ne fréquente pas le groupe)
- Le contact intergroupe
- Le statut de l’endogroupe et de l’exogroupe
Statut élevé : les membres ne sont pas interchangeables (car chacun peut apporter qqc de particulier en raison de leur succès)
Statut faible : les membres sont interchangeables
Chez les membres de statut élevé qui voient ceux de statut faible comme état tous semblables.
Les contacts intergroupes
Croyances partagées :
Objet social : représentation partagée par plusieurs personnes (un groupe et non une société)
Vrai
Faux, il influence les deux
Vrai
Concernant les représentations collectives :
Que sont les représentations collectives ?
Quel est son caractère transversal ?
Quels sont deux exemples de représentation collective ?
Résume le graphique. Quel est la conclusion pour chacun ?
Représentation collective : ensemble des savoirs produits par une société dans sa globalité
Ce sont des croyances générales qui traversent une société dans son ensemble
Culture individualiste (vision analytique) et culture collectiviste (vision holistique)
voir graphique
Que peut-on dire sur les représentations personnelles, représentations collectives et représentations sociales ?
Elles s’influencent mutuellement
