test 1.2 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’évaluation en psychologie?

A

l’évaluation est un processus complexe au cours duquel le psychologue clinicien cherche et rassemble les info sur une personne et les approfondit en vue de cerner des problèmes de celle-ci et leurs causes , de décider s’il y a lieu d’intervenir et comment, et d’évaluer les interventions et leurs effets.
-on est toujours entrain d’évaluer pas juste au début

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2
Q

Quels-sont les objectifs de l’évaluation en psychologie?

A
  • dépistage
    -évaluation pas nécessairement en lien avec un trouble (ex: garde d’enfant)
    -evaluation en vue de traitement
    -pronostique/baselines/pour prévention de population
    -déterminer le plan de traitement
    -déterminer l’urgence
    -monitorer l’évolution
    -évaluer l’efficacité
    c’est un process continue
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3
Q

les différents types d’évaluation en psychologie?

A
  • les symptoms en fonction du motif et leurs normalité
  • diagnostique différentiel
  • les comorbidités
  • l’humeur
  • le fonctionnement de différentes sphères de la vie
  • les forces et les facteurs de protection
  • les objectifs
  • les attents
  • la motivation
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4
Q

Parlez-moi de l’évaluation continue et de son importance.

A

l’évaluation continue est un processus continue dans le fait qu’on est toujours entrain d’évaluer la personnes pour prendre notes des changements, de l’efficacité du traitement et de mieux l’adapter aux situations présente de la personne.

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5
Q

Quelles-sont les étapes de l’évaluation?

A
  • recevoir et clarifier la référence
  • planifier la procédure et les méthodes pour la collecte de données
  • collecter les données
  • traiter les données et formuler des hypothèses
  • communiquer les résultats de l’évaluation
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6
Q

L’entrevue clinique

A
  • Établire un lien de confiance
  • observer le non verbal
  • poser des questions ouvertes et fermées
  • opérationnalistation des comportements
  • souvant des entrevus diagnostique
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7
Q

quel instrument de mesure est le mieux

A

l’entrevu structuré permet le DX car elle se rapproche des critères de diagnostique des troubles psychiatriques

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8
Q

Parlez-moi de l’évaluation selon les principales approches théoriques.

A

Psychodynamique: utilisent le plus la méthode d’observation et les grilles d’auto-observation

Approche humaniste: utilisent le plus les tests projectifs

CBT: pensent que l’évaluation faite par l’individu est exacte

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9
Q

Comment faut-il sélectionner les méthodes d’évaluation?

A

1) En fonction de la plainte et des symptômes
2) En fonction de la littérature=évaluation basée sur les données probantes (Evidence-based assessment)
3) En fonction des propriétés psychométriques des instruments de mesure

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10
Q

Qu’est-ce que l’évaluation basée sur les données probantes et pourquoi est-elle importante?

A

— Utiliser la recherche et la théorie pour guider :

  • La ou les variables à évaluer
  • Les méthodes d’évaluation et les mesures à utiliser
  • La façon dont le processus d’évaluation se déroule

-Reconnaissance que l’évaluation est un processus de prise de décision lors duquel le clinicien doit constamment émettre et tester des hypothèses en intégrant les données obtenues lors de l’évaluation (Hunsley & Mash, 2007)

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11
Q

Parlez-moi des propriétés psychométriques des instruments de mesure.

A

Normes: pour interpréter les résultats

standardisation: permet d’assurer la constance dans la procédure utilisée pour administrer et coter le test

— Fidélité (reliability) = reproductibilité
◦ Fidélité test-retest = résultats similaires obtenus lors
de différentes passations
◦ Fidélité inter-évaluateurs (inter-rater) = résultats similaires avec différents évaluateurs
◦ Etc.
— Validité (validity) = Mesure bien ce qu’il doit mesurer
◦ Validité de construit = mesure tous les aspects du construit
◦ Validité prédictive = les données sont consistantes avec la théorie associée au phénomène qui est évalué
◦ Etc.

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12
Q

Erreur d’attribution fondamentale

A
  • Erreur d’attribution fondamentale: Tendance à surestimer l’influence des traits de personnalité et sous-estimer l’influence de la situation sur le comportement
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13
Q

Comment peut-on faire pour limiter les biais de l’évaluateur?

A

— Utiliser des instruments d’évaluation validés qui mesurent directement ce qu’on doit mesurer
◦ Bien regarder s’il y a des erreurs dans la cotation
◦ Utiliser des normes d’interprétation et des données au niveau de base,
lorsque disponibles
— Utiliser plusieurs méthodes d’évaluation et types d’évaluateurs
— Utiliser des critères DX bien établis et des aides à la décision
— Être le plus systématique possible + opérationnaliser
— Connaître la recherche dans le domaine

— Connaître nos biais personnels
— Se remettre en question
— Chercher à éliminer
— Consulter des collègues ou d’autres professionnels
— Ne pas se baser seulement sur notre mémoire et ne pas émettre des conclusions trop rapidement
— Formation continue

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14
Q

avantage et désavantages d’observation direct

A
Avantages:
— - Observation directe du comportement
— - Observation en situation naturelle
-—  Observation directe des interactions
— - Moins biaisée par le point de vue de la personne qui est évaluée ou de son entourage

Désavantages
-— Peut impliquer le déplacement de l’observateur
— - Peut briser la confidentialité
—- L’élaboration de la grille de cotation des comportements peut être longue
— - Il peut être long et difficile de coter les comportements
— - Peut nécessiter des accords inter-juges

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15
Q

avantage et désavantages d’observation direct

A
Avantages:
— - Observation directe du comportement
— - Observation en situation naturelle
-—  Observation directe des interactions
— - Moins biaisée par le point de vue de la personne qui est évaluée ou de son entourage

Désavantages
-— Peut impliquer le déplacement de l’observateur
— - Peut briser la confidentialité
—- L’élaboration de la grille de cotation des comportements peut être longue
— - Il peut être long et difficile de coter les comportements
— - Peut nécessiter des accords inter-juges

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16
Q

• Prévention universelle =

A

s’applique à toute la population (p.ex., danger de texter au volant)

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17
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de risque/de protection ?

A

facteur de risque: caractéristiques des individus et/ou de l’environnement qui rendent une personne plus vulnérable au développement d’un problème /trouble ou qui sont associés à des symptômes plus sévères.

Facteur de protection: caractéristiques des individus et/ou de l’environnement qui rendent une personne moins vulnérable au développement d’un problème/trouble.

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18
Q

Comment élaborer et mesurer l’efficacité d’un programme de prévention (6 étapes) ?

A

1) Identifier le problème cible. Qu’est-ce qu’on veut prévenir?

2) Déterminer à quel point le problème cible est sérieux. Combien de personnes en sont affectées? Quels sont les coûts associés à ce problème, pour les personnes affectées et pour la société?
- L’incidence = le nombre de nouveaux cas d’un problème spécifique
- La prévalence (cours 4) = le nombre de cas à un moment donné ou prévalence à vie. S’exprime habituellement en %

3) Effectuer une revue de la littérature. Quels sont les facteurs de risque et comment se développent-ils? Quels-sont les facteurs de protection? Existe-il une intervention de prévention et a t-elle été testée?
4) Identifier les personnes à risque de développer le problème cible
5) Élaborer le programme de prévention
6) Élaborer l’étude. Comment savoir si l’intervention est efficace pour prévenir le problème cible?

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19
Q

Parlez-moi du programme de prévention de l’anxiété Fun FRIENDS.

A
  • Enfants âgés de 4 à 7 ans
  • Objectifs:
  • Diminuerlessymptômesanxieux et l’inhibition comportementale
  • Augmenterlacompétencesocio- émotionnelle
  • Augmenterlarésilience
  • TCC, avec participation parentale
  • 10 séances, en petit groupe, à offertes par un enseignant formé
Feelings
 Remember to relax
I can try my best ! Encourage Nurture
Don’t forget to be brave
 Stay smiling
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20
Q

Donnez-moi des exemples de cibles de prévention.

A
  • Le développement d’une psychopathologie • L’intimidation à l’école
  • La violence/la négligence parentale
  • Les problèmes de consommation
  • Les problèmes de comportement
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21
Q

Les programmes de prévention sont-ils toujours efficaces ?

A

• Stratégie de débriefing = raconter l’événement traumatique en détails, décrire leurs pensées, émotions et symptômes en réponse à l’événement, et psychoéducation
• Méthode préventive, plutôt intuitive
• Pas supportée empiriquement; peut parfois même être nocif
(World Health Organization, 2004)
• Les gens ne développent pas nécessairement un TSPT à la suite d’un événement traumatique
• Deuil d’un parent chez un enfant
• Femmes ayant été abusées sexuellement

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22
Q

Si les programmes de prévention sont habituellement efficaces, pourquoi ne sont-ils pas plus utilisés ?

A

très couteux

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23
Q

psychotherapy de type expérientielle

A

Développer la relation thérapeutique
• Entrer dans l’expérience du client/patient
• Montrer de l’empathie et une acceptation inconditionnelle du client/patient et de
son expérience
• Faciliter l’implication mutuelle sur les buts/taches de la thérapie

Faciliter le travail thérapeutique
• Faciliter le processus expérienciel optimal
• Construire l’actualisation (growth) et la détermination de soi
• Faciliter la complétion des éléments clefs des tâches thérapeutiques

Modes de réponse expérientiels
• Utiliser des réponses simples d’empathie
• S’engager dans l’exploration empathique de l’expérience du client/patient
• Guider le client/patient dans l’exploration de l’expérience
• Encourager le client/patient à rester dans le moment présent afin de ce centrer
sur l’expérience

Tâches thérapeutiques
• Aider le client/patient à explorer les émotions et l’expérience
• Utiliser la réflexion et l’expression active des états émotionnels du client/patient
• Utiliser la relation thérapeutique afin de supporter et faciliter l’exploration du client/patient

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24
Q

Quelle est la durée moyenne et l’impact de la psychothérapie ?

A
  • Entre 5 et 13 séances, 10 en moyenne
  • En général, les clients/patients rapportent plus de bénéfices que les thérapeutes à la suite d’une thérapie, et ce, même pour les traitements de courte durée
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25
Q

Qui consulte le plus ?

A

les femmes

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26
Q

Parlez-moi des différentes modalités de traitement et de leur efficacité.

A
thérapie individuelle 
thérapie de couple 
therapie de groupe 
thérapie familial et systémique 
le coaching parental
télé-thérapie
bibliotherapies 
réalité virtuelle
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27
Q

Qu’est-ce que l’entrevue motivationnelle ? Est-elle efficace ?

A
  • Les clients/patients ne suivent pas toujours les recommandations…
  • Les clients/patients peuvent être présents physiquement aux rencontres, mais tout de même « résistants » au traitement
  • Le changement est difficile et parfois même anxiogène…
  • Une méthode permettant potentiellement d’augmenter le degré de motivation du client/patient
  • Changer une habitude, compliance au traitement, gérer les comportements à risque, etc.
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28
Q

Quels sont les stades de changement et qu’est-ce qui caractérise chacun d’eux ?

A

1) Précontemplation = pas de problème
2) Contemplation = ambivalence/n’est pas convaincu d’avoir un problème, il n’effectue pas d’action pour changer de comportement
3) Préparation/détermination = sait qu’il a un problème, se prépare à changer, mais n’effectue pas d’action concrète
4) Action = effectue des changements/applique le traitement
5) Maintien/consolidation

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29
Q

De quelles manières peut-on déterminer le stade de changement d’un patient/client ?

A
  • En observant la personne (verbal et non verbal) • En s’observant!
  • En demandant à la personne
  • En utilisant des questionnaires
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30
Q

Quelles sont les interventions à privilégier pour chacun des stades de changement ?

A

Précontemplation
• Développer la relation de confiance
• Exprimer nos inquiétudes
• Semer le doute

Contemplation
• Avantages et inconvénients de changer vs de ne pas changer
• Refléter le discours associé au changement
• Normaliser l’ambivalence et les difficultés associées aux changements

Préparation/détermination
• Aider au changement (p.ex., donner de l’information, discuter des objectifs,
diminuer/contourner les obstacles)

Action
• Aider au changement
• Nommer les succès et renforcer les comportements/efforts associés au
changement

Maintien
• Prévenir la rechute
• Rechute
• Normaliser, encourager

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31
Q

Que peut-on faire pour augmenter la participation en psychothérapie ?

A

• Permette des choix, dans la mesure du possible, concernant les heures de RV
• Confirmer les RV
• Permettre, dans la mesure du possible, au patient/client de choisir
son thérapeute
• Prendre le temps de discuter des raisons qui motivent le du patient/client à venir en thérapie
• Utiliser des stratégies d’entrevue motivationnelle
• Prendre le temps de discuter des attentes du thérapeutes,
notamment en lien au déroulement de la thérapie
• Chargé de dossier (case manager), dans la mesure du possible

32
Q

Parlez-moi des facteurs associés au suicide.

A

Facteurs prédisposant familiaux et/ou individuels = augmente la vulnérabilité
• Violence,abus,décèsd’unproche,isolement,maladiementale, tentatives de suicide antérieures, etc.

Facteurs contribuant = augmente le risque
•Abusdesubstances,pauvretédusoutiensocialoudesressources
disponibles, instabilité familiale, etc.

Facteurs précipitant = peuvent déclencher une crise • Rupture,humiliation,rejet,problèmesfamiliaux,etc. • «La goutte qui fait déborder le vase»

Facteurs de protection
•Soutiensocial,ressourcesdisponibles,habiletésderésolutionde problèmes, etc.

33
Q

Donnez-moi des exemples de signes précurseurs du suicide.

A

Verbalisations directes et/ou indirectes : «Jevaismetuer»
• «Jeveuxenfiniraveclavie»
• « Je vais me suicider »
• «Lavien’envautpaslapeine» • « Vous seriez mieux sans moi » • « Je suis inutile »
• « Je ne m’en sortirai jamais »
• « J’ai fait mon testament »
• Parle souvent d’un départ à long terme, un long voyage
• Déclarations d’affection très intenses: « n’oublie jamais ça » • Etc.

Comportements
• Isolement, retrait
• Intérêts pour les armes ou les médicaments
• Donner des objets qui lui sont chers
• Consommation abusive d’alcool et de médicaments • Parler du courage de ceux qui se suicident
• Émotions soudaines (p.ex., colère, tristesse)
• Désorganisation comportementale
• Hyperactivité, fatigue ++
• Désorganisation cognitive, incohérence du langage

Symptômes psychologiques
• Incapacité de jouir de quoi que ce soit (désorganisation émotive) • Perte de mémoire, indécision (désorganisation cognitive)
• Tristesse, ennui, irritabilité (désorganisation émotive)

Symptômes biologiques
• Désordre du sommeil (réveils, endormissement, hypersomnie,
insomnie)
• Symptômes d’anxiété/stress

34
Q

Quels sont les stades du processus suicidaire?

A

detresse
flash (fantasme de mort)-idéation (fantasme suicide)-rumination
-cristalisation
-passage a l’acte

35
Q

Quels sont les objectifs de l’intervention en situation de crise suicidaire ? Parlez-moi des principes de base de ce type d’intervention.

A

Objectifs
• Assurer la sécurité immédiate de la personne
•S’assurer que la personne est capable de faire face à la situation ici et maintenant (désamorçage)
• Favoriser l’émergence de moyens d’adaptation adéquats

Quelques principes de base
• Intervention active; elle doit dépasser l’écoute. Elle doit permettre à la personne de reprendre le contrôle/retour à l’équilibre émotionnel
• Précise et concrète, car l’intervention se fait avec peu d’information
• Susciter l’espoir; doute raisonnable qu’un changement est possible
• Impliquer la personne dans la gestion de la situation
• Transmettredel’information
• Impliquer l’environnement= multiplier le support et les ressources

36
Q

Parlez-moi des interventions possibles en situation en crise suicidaire.

A
  • Évaluer les besoins de la personne
  • L’aider à trouver des solutions alternatives
  • L’aider à voir que les choses peuvent changer (semer le doute)
  • Évaluer le support social et les ressources disponibles
  • Éloigner le moyen
  • Faire un contrat de non suicide
  • Utiliser les ressources d’urgence au besoin et de préférence avec la collaboration de l’individu
37
Q

Quelle est l’attitude à privilégier en situation de crise suicidaire ?

A
  • Empathie
  • Calme/contrôle
  • Directivité = entre le laisser faire et autorité • Organisée/structurée
  • Concret
38
Q

psychotherapie psychodynamique

A
  • Étape 1
  • Développer une relation de transfert positive
  • Identifier les thèmes importants pour le client/patient
  • Étape 2
  • Analyser la relation de transfert
  • Explorer les thèmes via la clarification et la confrontation
  • Étape 3
  • Terminer la thérapie
  • Travailler le deuil thérapeutique • Anticiper les défis potentiels
39
Q

psychodynamique TCC

A
  • Intervention
  • Retoursurlasemaineetsurlesexercicesréalisésàlamaison
  • Introductiond’unestratégies
  • Applicationdelastratégieenrencontre
  • Planificationdelapratiquedelastratégieappriseàlamaison
  • Applicationdelastratégieauquotidienetgénéralisationdesacquis • Évaluerleseffetsdel’introductiondecettestratégie
  • Planification de la fin du traitement
  • Revoirlesobjectifsetlesrésultatsobtenusenfonctiondesobjectifs • Anticiperlesdéfisetcommentilspourraientêtregérés
  • Rencontres de maintien (booster sessions)
  • Revoirlesobjectifsetlesrésultatsobtenusenfonctiondesobjectifs • Revoirlesstratégiesapprisesetleurapplicationauquotidien
  • Anticiperlesdéfisetcommentilspourraientêtregérés
40
Q

psychodynamique TCC

A
  • Intervention
  • Retoursurlasemaineetsurlesexercicesréalisésàlamaison
  • Introductiond’unestratégies
  • Applicationdelastratégieenrencontre
  • Planificationdelapratiquedelastratégieappriseàlamaison
  • Applicationdelastratégieauquotidienetgénéralisationdesacquis • Évaluerleseffetsdel’introductiondecettestratégie
  • Planification de la fin du traitement
  • Revoirlesobjectifsetlesrésultatsobtenusenfonctiondesobjectifs • Anticiperlesdéfisetcommentilspourraientêtregérés
  • Rencontres de maintien (booster sessions)
  • Revoirlesobjectifsetlesrésultatsobtenusenfonctiondesobjectifs • Revoirlesstratégiesapprisesetleurapplicationauquotidien
  • Anticiperlesdéfisetcommentilspourraientêtregérés
41
Q

Quelles sont les principales différences entre l’entrevue clinique et la
conversation ?

A
entrevue: 
• Lieu = bureau
• Confidentielle
• But défini
• Centrée sur le client
• Orientée vers un but
• Aborde les sujets
difficiles
• Il peut y avoir prise de notes
• Cadre établi
• Responsabilité plus grande du clinicien
Conversation: 
• Lieu = peu importe! • Parfois privée
• But = maintien de la
relation
• Réciproque
• Flexible
• Évite parfois les sujets
difficiles
• Pas de prise de notes
• Durée variable
• Responsabilité partagée
42
Q

Quels sont les types d’entrevues cliniques ?

A

1) entrevue initial
2) entrevue d’identification de la problématique

3) entrevue d’orientation Objectifs?
Expliquer le déroulement
Décrire l’approche
Clarifier les attentes et entente sur les objectifs

4) entrevue bilan

43
Q

la structure de l’entrevue clinique.

A

• Non structurée (non-directive)
▫ Questions ouvertes vs questions fermées
• Semi-structurée
• Structurée
• Dépend du contexte et de l’approche théorique

44
Q

Quels sont les objectifs spécifiques et communs des entrevues
d’évaluation et d’intervention

A

entrevue d’évaluation: Obtenir de l’information pertinente pour comprendre la problématique et élaborer des recommandations

Entrevue d’intervention:
Changements cognitifs, comportementaux et affectifs par la mise en œuvre de techniques thérapeutiques

commun:
Établir le lien thérapeutique (p.ex., relation positive, atmosphère confortable, collaboration, entente sur les objectifs)
Habiletés de communication de base (p.ex., présence, écoute, empathie, reflet)

45
Q

Quels sont les principes de base de la communication verbale

A

• Tenter d’être le plus clair possible et vérifier la compréhension (la nôtre et celle du client/patient)
▫ Attention au « jargon psychologique »
▫ Définitions du client/patients vs les nôtres
– Corrigez-moi si je me trompe… – J’ai l’impression que…
– Qu’est-ce que vous en pensez? – Voulez-vous dire que…

  • Ne pas «laisser tomber» lorsqu’on ne se comprend pas
  • Utiliser les vrais mots

• Adapter son niveau de langage en fonction du
patient/client

  • Être le plus bref possible (exemple)
  • Ne pas supposer qu’on sait comment le client/patient se sent, pense ou se comporte (présent et futur) = Opérationnaliser ++
  • Quand on ne sait pas quoi dire, on ne dit rien… Le silence est d’or!
  • Ne pas faire des jugements de valeur, évaluer plutôt

• Dans le doute, focusser sur l’émotion
▫ J’ai l’impression que c’est important pour vous ce que les autres pensent?
▫ Comment vous sentez-vous par rapport au fait que vous avez perdu votre emploi?
▫ Vous étiez très en colère?

46
Q

Quelles sont les principales manifestations de la communication
non verbale ?

A

• Apparence physique
• Mouvements (p.ex., tics, bras croisés, gestes répétitifs,
etc.)
• Posture
• Contact visuel
• Expressions faciales
• Manifestations émotionnelles
• Aspects verbaux (p.ex., ton de voix, accent, qualité,
rapidité, etc.)
• Aspects non verbaux du discours
• Cohérence entre le verbal et le non-verbal

47
Q

parlez-moi des techniques d’entrevue

A

• Techniques directives
▫ Questions ciblées, choix de réponses
▫ Permettent de clarifier un point et d’obtenir des
informations spécifiques

  • Technique non directives (p.ex., l’écoute active, le reflet, la reformulation, etc.)
  • Technique mixte = application flexible
48
Q

Comment peut-on manifester l’écoute active en entrevue

A

1) Aveclecontactvisuel,maisattention…
▫ Mais, attention… Qu’est-ce qu’un contact visuel suffisant? ▫ Les normes sociales en matière de contact visuel varient

2) Par les expressions faciales, mais attention…
▫ Différences interculturelles dans l’expression des
émotions
▫ Il est important que le patient/client perçoive que le thérapeute est cohérent avec ce qu’il exprime
▫ Le thérapeute doit être conscient de son expression faciale!

3) Avec des hochements de tête
▫ Un message verbal n’est pas toujours nécessaire
▫ Encourage le client à poursuivre
▫ Mais attention! L’utilisation trop fréquente peut devenir
distrayante…

4) Par des encouragements légers
▫ «hum,hum»,«oui»
▫ Mais attention! L’utilisation trop fréquente peut aussi
devenir distrayante…

5) En adoptant une posture d’ouverture
▫ Ne pas croiser les bras ou les jambes
▫ Se pencher légèrement vers le patient/client
▫ En bref, prendre une position qui est confortable,
sans quoi il est difficile d’être à l’écoute!
▫ Mais attention!
– La conservation de la même posture d’ouverture peut sembler rigide…
– Attention aussi aux mouvements répétitifs!

6) Enétantsilencieux!
▫ Permet au patient/client d’élaborer
▫ Permet au patient/client de réfléchir, de mieux se
comprendre
▫ Permet au patient/client de trouver et dire ses propres réponses
▫ Permet au patient/client de vivre une émotion
▫ Permet au clinicien de réfléchir, de planifier!
▫ Mais, attention à la durée!

7) En conservant un espace adéquat entre le patient/client et soi!
8) En nommant l’émotion - reflet

9) En résumant le discours du patient/client -
reformulation

10)En demandant des clarifications

49
Q

Quelles sont les composantes de l’empathie

A

1) Comprendre le point de vue et les émotions de l’autre
2) Faire ressentir cette compréhension dans les interventions
3) Rester soi-même

50
Q

Qu’est-ce qui distingue l’empathie de la sympathie

A
  • L’empathie implique une compréhension profonde et sans jugement de l’expérience du patient/client
  • « Se mettre à la place de l’autre »
  • Le thérapeute délaisse momentanément ses valeurs et son point de référence pour ceux du patient/client
51
Q

Quels sont les effets possibles de l’empathie sur le

patient/client

A
  • Apporte un sentiment d’approbation et de support
  • Apporte un sentiment de compréhension
  • Aide à clarifier les émotions vécues
  • Renforce la confiance face aux émotions vécues
52
Q

Qu’est-ce qu’un reflet et à quoi sert-il

A
  • Accent mis sur les émotions
  • Hypothèse vs affirmation
  • Lien émotion et la ou les causes/situations
  • Aide le client à reconnaître et vivre ses émotions
53
Q

Qu’est-ce que la reformulation et à quoi sert-elle

A
  • Montre qu’on écoute attentivement
  • Permet de s’assurer qu’on a bien compris
  • Permet au patient/client d’évaluer ce qu’il pense, d’ajouter des nouveaux éléments et des précisions
  • Brèves + utiliser des mots qui ressemblent à ceux du patient/client
  • Peut être plus concrète et claire que celle du patient/client
54
Q

Parlez-moi de la confrontation et des effets possibles

A

Illustrer la contradiction

  • 2 comportements
  • 2 émotions
  • Un comportement et une valeur L’expérience et le soi, etc.

Pas nécessairement conscient pour le patient/client

  • Attention à l’attitude… Doit être faite dans le respect, sans irritabilité/colère
  • Doit être faite avec empathie
  • Toujours vérifier la réception chez le patient/client
  • Est parfois nécessaire pour faire avancer le patient/client…
55
Q

Qu’est-ce que l’interprétation et quels sont les buts visés par
cette technique ?

A

• Présenter une nouvelle compréhension des émotions, pensées ou comportements du patients/client

• Objectifs =
▫ Mieux comprendre le patient/client ou sa
problématique
▫ Aider le patient/client à mieux se comprendre ▫ Stimuler la réflexion

56
Q

Qu’est-ce que l’interprétation et quels sont les buts visés par
cette technique ?

A

• Présenter une nouvelle compréhension des émotions, pensées ou comportements du patients/client

• Objectifs =
▫ Mieux comprendre le patient/client ou sa
problématique
▫ Aider le patient/client à mieux se comprendre ▫ Stimuler la réflexion

57
Q

Quel est l’objectif principal de la recherche clinique et sur quoi peut-elle nous renseigner ?

A

objectif: En utilisant la recherche, on peut améliorer les services/soins cliniques offerts à nos patients/clients.

— La recherche peut nous renseigner sur :
◦ Les facteurs associés au développement et au maintien de la
problématique
◦ Les méthodes d’évaluation les plus efficaces pour une problématique spécifique
◦ Le traitement le plus efficace pour une problématique spécifique
– Comparer l’efficacité de différents traitements
– Identifier les composantes efficaces d’un traitement
– Évaluer les effets/impacts à court, moyen et long terme des
traitements
– Évaluer les processus thérapeutiques
◦ Les pratiques cliniques à risque et autres problèmes cliniques
◦ La relation thérapeutique
◦ L’épidémiologie,etc.

58
Q

Parlez-moi des facteurs associés au client/patient et au thérapeute qui peuvent influencer le traitement

A
  • la similarité entre l’ethnicité entre le patient et le thérapeute
  • la severity des symptômes
  • TP
  • le bien être émotionnel du thérapeute
59
Q

Quels sont les principaux facteurs communs étudiés empiriquement ?

A

Plusieurs facteurs communs sont présents en psychothérapie, et ce, dans toutes les approches théoriques.
Mais, connaissons-nous bien quels sont les facteurs responsables pour l’amélioration des patients/clients?
La diversité des facteurs communs + les inconsistances dans leur opérationnalisation = peu de recherches…

60
Q

En quoi consiste l’alliance thérapeutique et comment peut-elle être évaluée

A

— La qualité et la force (strength) de la relation de collaboration entre le patient/client et le thérapeute (Horvath & Bedi, 2002)
◦ Accord et engagement sur les buts de la thérapie
◦ Un lien émotionnel positif (p.ex., confiance mutuelle,
respect, prendre soins, liking)
◦ Partenariat, impression de faire équipe
— Pas de consensus sur le plan de la définition…
— Présente dans toutes les approches théoriques

Peut être évaluée :
◦ Selon la perspective du patient/client
◦ Selon la perspective du thérapeute
◦ Avec une grille d’observation des rencontres
—
Semble contribuer à l’efficacité du traitement, mais attention…
◦ Attrition
◦ Est-ce vraiment l‘alliance qui permet au patient/client
de changer?

61
Q

Quels sont les objectifs visés par la recherche étudiant les relations basées sur les données probantes ?

A

— Evidence-based psychotherapy relationships
—
Identifier, opérationnaliser et diffuser l’information sur les relations thérapeutiques supportées empiriquement
—
Identifier les méthodes efficaces d’adaptation de la thérapie aux patients/clients

62
Q

Que nous dit la recherche sur l’équivalence des psychothérapies ?

A

ils ne sont pas équivalentes.
toujours en mouvement. ca veut pas dire que cest efficace maintenant peut ne pas être efficace dans le futur . (autres recherches peut prouver un traitement pour un certain trouble)

63
Q

En quoi consiste la pratique basée sur les données probantes et
quels sont ses objectifs ?

A

La pratique de la psychologie basée sur les données probantes est l’intégration des meilleures données issues de la recherche et de l’expertise clinique dans le contexte des caractéristiques, de la culture et des préférences du patient/client

démarche qui va venir autemps de lexpertise clinique, que de lexperience du client et des messures probante

objectifs:
Promouvoir les pratiques efficaces et efficientes en santé mentale
—
Offrir les meilleurs services possible à CE patient/client
— Améliorer la santé publique
—
L’application de ce processus nécessite un
intérêt pour l’apprentissage tout au long de la carrière

64
Q

Qu’est-ce qu’un traitement supporté empiriquement ?

A

il y a des critère pour le juger

juste rapport avec le traitement- a quelle point le traitement est supporter empiriquement

65
Q

Quelle est la différence entre la pratique basée sur les données
probantes et les traitements supportés empiriquement ?

A

la pratique inclut les traitements supporté empiriquement ainsi que l’expertise clinique et le characteristque du patient

66
Q

Quelles sont les principales recommandations issues de la recherche basée sur les données probantes par rapport à la clinique, la recherche et la formation ?

A

clinique:

  1. Créer une relation thérapeutique caractérisée par les éléments démontrés efficaces ou probablement efficaces.
  2. Adapter la psychothérapie aux caractéristiques du patient/client qui sont jugées efficaces ou probablement efficaces.
  3. Évaluer régulièrement la relation thérapeutique et la réponse au traitement = Rétablir la collaboration, améliorer la relation, modifier les stratégies d’intervention et prévenir l’attrition.
  4. Utiliser la relation basée sur les données probantes et les traitements supportés empiriquement adaptés au patient/client pour générer les meilleurs résultats.

la recherche:

— Aller au-delà des études corrélationnelles et mesurer les 3 composantes de la pratique basée sur les données probantes.
— Évaluer les médiateurs et modérateurs du lien entre les éléments relationnels et la réponse au traitement
◦ Médiateur = Variable qui explique le mécanisme par lequel un prédicteur influence une variable critère
◦ Modérateur = Variable qui influence la relation entre une variable prédictive et une variable critère
— Continuer d’évaluer les variables non spécifiques pour mieux identifier ce qui fonctionne.

Formation:

— Former les étudiants aux relations thérapeutiques basées sur les données probantes.
— Développer des critères pour évaluer l’adéquation de la formation dans les relations thérapeutiques supportées empiriquement.

67
Q

Selon les recherches actuelles, qu’est-ce qui ne fonctionne pas en psychothérapie ?

A

— La confrontation (p.ex., dépendances) = vaut mieux exprimer de l’empathie et « naviguer » avec la résistance.

— Les commentaires ou comportements hostiles, péjoratifs, rejetants ou accusateurs.
—
Assumer les perceptions du patient/client, p.ex., par rapport à la relation thérapeutique ou à l’efficacité du traitement.
—
Thérapie qui se centre sur les perceptions du thérapeute, même si elles sont bonnes, p.ex., par rapport à la relation thérapeutique.
—
Rigidité, par exemple, dans la structure du traitement.
—
Faire toujours la même chose avec nos patients/clients…

68
Q

Biais confiromatoire

A

-Biais confirmatoire: Chercher les informations qui confirment (vs infirment) notre hypothèse

69
Q

-Inférer une cause au lieu d’une corrélation

A

: Ayant observé que deux informations coexistent, le psychologue infère que l’un cause l’autre

70
Q

-Heuristique d’ancrage et d’ajustement

A

: La première impression peut servir de base pour considérer et intégrer les informations subséquentes

71
Q

-Heuristique d’affect

A

: Jugement basé sur des considérations émotionnelles, avec très peu d’attention portée aux autres éléments importants pour la prise d’une décision

72
Q

-Biais de mémoire

A

: Prendre en compte seulement des informations disponibles en mémoire alors que celle-ci est imparfaite

73
Q
  • Absence de rétroaction:

- Personnels:

A
  • Absence de rétroaction: Absence de rétroaction objective sur notre travail
  • Personnels: Nous ne sommes pas immunisés face à nos biais ou préjugés
74
Q

• Prévention sélective

A

= cible des individus qui présentent un risque plus élevé de développer une certaine problématique/trouble

75
Q

Prévention indiquée

A

• = cible des individus qui ne rencontrent pas les critères DX d’un trouble, mais qui sont très à risque de le développer (trouble sous clinique)

76
Q

• prévention Primaire

A

= se base sur des modèles comportementaux du fonctionnement et non sur le concept de maladie. L’ensemble des conditions qui conduisent à la santé – promotion de la santé

77
Q

prévention secondaire

A

• Secondaire = cible un groupe de personnes qui sont identifiés à risque de développer un problème/trouble (rassemble la prévention sélective et indiquée)