Structure identitaire et construction de l'identité Flashcards
Vrai ou faux? Des jumeaux identitques peuvent avoir la même identité.
Faux
Qui suis-je? Facteur identitaire faisant réfèrence à se qu’on pense de nous-mêmes, comment on s’évalue.
Facteur cognitif
Vrai ou faux? Un stéréotype est un ensemble de personnes ayant les mêmes caractéritiques.
Faux; il s’agit d’une catégorie. Un stéréotype est un ensemble d’informations qui permettent de décrire les membres de la catégorie.
Qui suis-je? Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe.
Assimilation
La combinaison de ces deux phénomènes amène les gens à
percevoir à tort que les membres del’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe. Quels sont-ils?
L’assimilation et la différenciation
Vrai ou faux? L’estime de soi correspond à un facteur identitaire cognitif.
Faux; c’est un facteur identitaire affectif
1) Je me perçois comme une étudiante lorsque je suis à Montréal et davantage une intervenante lorsque je travaille au Point d’appui pendant l’été. Quelle structure identitaire ai-je utilisée?
2) Quelle stratégie cognitive vais-je utiliser s’il y a une incohérence entre ces deux identités, par exemple si je réalise un travail sur les agressions sexuelles selon une perceptive de psychologie évolutive qui entre en contradiction avec ma fibre féministe d’intervenante?
1) La compartimentalisation, puisque mes caractéritiques saillantes dépendent des contextes. En intervention, je ne mets pas mon identité d’étudiante de l’avant, bien que ce que j’apprends à l’école est encore là.
2) En fonction de la structure de compartimentalisation, j’effectuerais un isolement cognitif. Pendant mon travail d’école, j’ignore mon identité d’intervenante pour me mettre complétement dans cette théorie.
Quelle structure identitaire est-il question? En cas d’incohérence, la différenciation est faible et on sépare les informations (pas d’intégration). C’est la structure qui demande le moins d’effort cognitif.
L’intersection
Qui suis-je? Structure identitaire qui nous met plus à risque d’entretenir des préjugés.
L’intersection. En effet, on fait partie de moins d’endogroupe et ceux qui ont la moindre différence de nous ne fait pas partie de notre groupe.
Je me perçois comme une jeune femme avant tout, mais ayant comme caractéristique d’avoir les cheveux bruns.
1)Quelle est la structure identitaire utilisée?
2)Est-ce que mon endogroupe peut être composé d’hommes aux cheveux bruns?
1) La dominance; ma caractéristique principale est d’être une femme.
2) Non, car ils ne possèdent pas ma caractéristique principale.
Qui suis-je? Structure identitaire qui utilise la transcendance comme stratégie cognitive en cas d’incohérence.
La fusion. En effet, la transcendance consiste à créer une nouvelle caractéristique qui englobe celles en conflit. C’est possible car la personne qui utilise la fusion se perçoit en considérant toutes ses caractéristiques.
Qui suis-je? Stratégie cognitve utilisée lors d’incohérence par une personne ayant une structure de dominance.
Le renforcement
Quelle structure identitaire utilise la stratégie cognitive de la différenciation cognitive en cas d’incohérence?
L’intersection
Pourquoi la fusion est la structure identitaire la plus complexe?
Elle demande plus d’effort cognitif en cas d’incohérence. En effet, l’individu en dissonnance va faire preuve de différenciation en considérant l’incohérence au lieu de l’ignorer et combine les informations pour la résoudre (intégration).
Qui suis-je? Structure identitaire la moins à risque d’entrenir des préjugés.
La fusion
Qui suis-je? La personne établit les critères précis à utiliser pour classer les gens. Si quelqu’un d’autre utilise ces critères, elle arriverait au même groupe de personnes.
La catégorisation basée sur le sujet
Vrai ou faux? Les catégories “bons à l’école” et “mauvais à l’école” sont basées sur l’objet.
Faux; c’est plutôt une catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet, car les critères pour être bon ou pas sont subjectifs (à partir de quelle note on dit que c’est bon? est-ce qu’il suffit d’être en haut de la moyenne?).
Coraly est éducatrice spécialisée. Je la décris donc comme étant empathique et ayant le bien-être des enfants à coeur. J’ai utilisé mes catégories en faisant de l’/la _________.
la déduction
Qui suis-je? Niveau d’auto-catégorisation utilisé lorsqu’on fait des comparaisons intergroupes.
Niveau intermédiaire
Quel niveau d’auto-catégoristion fait davantage référence à l’identité par une perception d’unité?
Le niveau subordonné (comparaisons interpersonnelles et intragroupes)
Je me perçois comme un bon exemple de ma catégorie jeune étudiante en psychologie à l’UDEM et je mets l’accent sur mes ressemblances avec les autres étudiantes. Quel concept est souligné?
La dépersonnalisation
Vrai ou faux? La comparaison croisée est le processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales.
Vrai
Je commence à m’entraîner en m’inscrivant à des cours de zumba. Judy et Mel sont pour moi des points de comparaison pertinents pour me situer par rapport à mon endurance. Vrai ou faux?
Faux; je ne suis pas au même niveau qu’elles. Il s’agirait plutôt d’une comparaison ascendante.
Vrai ou faux? La première façon de s’évaluer est en se comparant aux autres par rapport à leurs aptitudes et opinions.
Faux; on cherche d’abord à se situer à l’aide de moyens objectifs non sociaux. Par exemple, je peux situer mes peformances scolaires par mes notes. Dans le cas où mes notes ne me permettent pas de me situer précisement ou que je n’ai pas de rétroaction sur un examen, je vais alors tenter d m’évaluer selon les performances des autres et leurs réponses.
Vrai ou faux? La comparaison descendante a l’inconvénient de moins nous porter à faire des efforts pour nous améliorer.
Vrai (on se compare à des personnes inférieures à soi)
Lorsqu’il y trop de différences intragroupes, il est plus difficile de se comparer et ainsi clarifier notre identité. Quelles sont les possibilités pour retrouver l’uniformité? (3)
1- Changer nous-mêmes (ex; se ranger à l’opinion des autres)
2- Essayer de changer les autres
3- Rester comme on est tout en soulignant et mettant de l’avant un point commun du groupe
Les pressions à l’uniformité dans un groupe dépendent de deux facteurs. Quels sont-ils?
L’importance qu’on accorde au groupe et l’importance accordée aux aptitudes ou opinions différents dans le groupe.
De quoi dépend la façon dont on organise les différents éléments de sorte à créer une image unifiée de soi-même? (2)
De nos capacités cognitives et notre degré d’ouverture ou de rigidité aux nouvelles informations.
Quels sont les types de processus qui contribuent à la construction de l’identité? (3)
Les processus sociocentrés (relatifs aux groupes sociaux)
Les processus égocentrés
Les processus relationnels et dynamiques
À quel type de processus correspond l’auto-catégorisation?
Les processus sociocentrés