Principales théories de l'identité Flashcards

1
Q

Selon la théorie des conflits réels de Sherif, qu’est-ce qui est à la base des conflits intergroupes?

A

Des intérêts incompatibles entre les groupes, soit qu’ils ne veulent pas la même chose ou bien ils doivent compétitionner pour obtenir des ressources limitées.

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2
Q

Vrai ou faux? Selon Sherif, les préjugés mènent aux conflits.

A

Faux; ce sont les conflits qui mènent aux préjugés (aspect sociopsychologique).

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3
Q

Théorie des conflits réels

Quelles conditions doivent être respectées pour que la phase de coopération donne des résultats positifs?

A

1) Le but supérieur doit être atteint (succès), sinon il y a augmentation des préjugés et de la haine envers l’autre groupe (rejette la faute dessus).
2) Un seul but supérieur n’est pas suffisant, il doit y avoir plusieurs tâches de coopération.

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4
Q

Selon Tajfel, quelles sont les conditions minimales
requises pour qu’une personne fasse une différenciation endogroupe-exogroupe?

A

Elle doit simplement appartenir à un groupe

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5
Q

Vrai ou faux? Dans sa théorie des conflits réels, Sherif étudie l’effet de l’affiliation et de l’appartenance des membres d’un endogroupe sur les comportements de discrimination.

A

Faux; il ignore cet aspect alors Tajfel pull up

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6
Q

Quelle méthode de recherche est utilisée dans la théorie de l’identité sociale?

A

Le paradigme des groupes minimaux

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7
Q

Vrai ou faux? Dans l’expérience Kandisky/Klee, les participants attribuaient le maximum de jetons à leur groupe et le minimum à l’exogroupe.

A

Faux; ils favorisaient leur endogroupe mais n’allaient pas dans les extrèmes pour montrer une image de soi positive. Le favoristisme à l’égard de l’endogroupe était léger.

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8
Q

Selon le texte de Chédotel, de quoi dépendent les comportements de discrimination envers l’exogroupe?

A

Des processus d’ouverture et de fermeture des frontières du groupe;

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9
Q

Dans la dis-identification, à quoi ressemble la coopération?

A

Dans les équipes homogènes aux frontières fermées et l’identification faible, les membres sont distants et méfiants, peu de coopération.

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10
Q

texte de Chédotel

Quelles équipes ont un potentiel de coopération?

A

Dans les équipes où l’identification est forte
(identification forte pour modules et identification duale pour insertion automatique).

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11
Q

La tendance de l’individu à tenter d’accéder à, ou de maintenir, une identité sociale positive est d’autant plus forte lorsque…?

A

Lorsqu’il vit une menace à son identité personnelle

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12
Q

Sur quoi est basée une identité sociale positive?

A

Sur des comparaisons avec d’autres groupes pertinents qui soulignent le caractère positif et/ou différent de l’endogroupe.

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13
Q

Qu’est-ce que l’individu peut faire lorsque l’identité sociale est insatisfaisante? (2)

A

Il peut tenter d’améliorer l’image de son endogroupe ou de son image personnelle.

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14
Q

Qu’est-ce que l’individu fait lorsque son identité sociale est satisfaisante? (2)

A

Il tente de conserver sa propre supériorité ou de l’étendre

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15
Q

Lorsque l’identité sociale est insatisfaisante, quelles sont les stratégies de changement si on perçoit des alternatives à la situation intergroupe existante
(instabilité ET illégitimité)?

A

L’assimilation, la redéfinition des caractéristiques, la créativité sociale et la compétition sociale

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16
Q

Qui suis-je? Cette théorie a été employée pour comprendre les liens entre l’identité sociale et les interactions sociales dans différents contextes.

A

Théorie de l’identité sociale

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16
Q

Quelles stratégies utilise une personne qui ne perçoit pas son endogroupe comme différent ou positif mais que c’est stable et légitime (ne peut rien y changer)?

A

Elle utilise des stratégies qui visent plutôt à changer la perception d’elle-même telle que la mobilité sociale et la comparaison intragroupe.

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17
Q

Qui suis-je? Stratégie où l’endogroupe se rallie à l’exogroupe en acceptant ses valeurs et ses normes de l’exogroupe, en les intériorisant pour former un seul groupe.

A

L’assimilation

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18
Q

Quelle stratégie utilisée pour changer une identité sociale non satifaisante est soulignée dans le mouvement “Black is beautiful” à l’époque où la couleur de la peau foncée était perçue comme laide?

A

La redéfinition des caractéristiques (prendre quelque chose de négatif et le redfinir comme positif)

19
Q

Le Glee Club se fait hate par tout le bahut et ses membres se font pitcher de la slush dessus. Leur identité sociale est insatisfaisante; tout le monde a une perception négative de ce groupe (dont eux-mêmes). Ils décident d’accepter leur étiquette de looser mais mettent de l’avant leur diversité (ethnique, sexuelle, etc.) comme caractéristique positive. Quelle stratégie a utilisé le Glee Club?

A

La créativité sociale

20
Q

Santana en a marre du Glee Club et de son identité sociale négative alors elle les ditch et devient cheerleader à temps plein. Quelle stratégie a-t’elle utilisé?

A

La mobilité sociale (un membre de l’endogroupe se rallie à l’exogroupe)

21
Q

Rachel Berri sait que le Glee Club est perçu négativement (identité sociale insatisfaisante) mais elle est la meilleure chanteuse du groupe donc ça ne lui dérange pas tant que ça que son endogroupe soit inférieur. Quelle stratégie a-t’elle utilisée?

A

La comparaison intragroupe

22
Q

Selon la théorie de l’identité sociale, pourquoi désirons-nous faire partie de groupes qui ont du
succès?

A

Parce qu’en partageant les mêmes caractéristiques que ce groupe, ça augmente notre estime de soi.

23
Q

Pourquoi désirons-nous faire partie de groupes qui se
distinguent des autres?

A

Pour se démarquer, avoir une valeur unique

24
Q

Comment l’appartenance à un groupe contribue au
développement de notre identité sociale?

A

Ça nous aide à apprendre à se connaître

25
Q

Qui suis-je? Théorie qui explique comment l’individu se catégorise dans un groupe.

A

Théorie de l’auto-catégorisation (ou catégorisation sociale)

26
Q

Quelle est l’objet principal de la théorie de l’auto-catégorisation de Turner?

A

Le Soi

27
Q

Vrai ou faux? La théorie de l’auto-catégorisation cherche à expliquer un type particulier de comportement.

A

Faux; elle cherche plutôt à
comprendre dans quelles conditions plusieurs individus indépendants peuvent se comporter comme un groupe.

28
Q

Quels sont les trois niveaux d’auto-catégorisation chez les humains?

A

Niveau supra-ordonné, intermédiaire et subordonné

29
Q

Théorie de l’auto-catégorisation

Qu’est-ce qui nous permet de voir si une personne appartient à une bonne catégorie ou non?

A

Le rapport de méta-contraste (la moyenne des différences inter-catégories/ la moyenne des différences intra-catégories)

30
Q

Qu’est-ce qui nous permet d’identifier le prototype d’un groupe?

A

Le rapport de méta-contraste. L’individu se rapprochant le plus de la moyenne du groupe est le prototype.

31
Q

Si j’obtiens un rapport de méta-contraste de 2, qu’est-ce que cela signifie?

A

Cela signifie que je suis dans le bon groupe!

32
Q

Qu’est-ce que signifie un rapport de méta-contraste de 0,67?

A

Que l’individu n’appartient pas à la bonne catégorie (on doit le changer de groupe)

33
Q

Qui suis-je? Stimulus que nous associons en premier à une catégorie, point de référence cognitif.

A

Prototype

34
Q

Quels sont les concepts centraux de la théorie de l’auto-catégorisation? (4)

A

Les concepts de soi, l’organisation hiérarchique des catégorie, le méta-contraste et la dépersonnalisation.

35
Q

Plus on remarque les différences avec l’exogroupe, plus on va faire de la ___________________ car on remarque d’autant plus les ressemblances avec notre endogroupe.

A

dépersonnalisation

36
Q

Dans quelle situation aurai-je davantage tendance à faire de la dépersonnalisation?
1) Dans un groupe de jeunes femmes de 5’2 avec des hommes de 6 pieds
2) Dans un groupe de jeunes femmes qui utilisent des tampons avec des femmes qui utilisent des serviettes sanitaires

A

La première situation, car cette caractéristique (la grandeur) est plus saillante donc je remarque plus cette différence avec l’exogroupe (les hommes de 6 pieds) et donc, je perçois davantage les similitudes avec les ptites femmes et moi.

37
Q

Selon Turner, quel est le processus qui mène à la formation et à l’identification à un groupe? (4 étapes)

A

1) La catégorisation sociale (création de groupe)
2) La dépersonnalisation de soi (début de l’identification)
3) La comparaison sociale
4) La cohésion de groupe et solidification de l’identité sociale

38
Q

À quelle étape du processus d’identification à un groupe de Turner vient s’inscrire la théorie de l’identité sociale?

A

À la dernière étape; la cohésion de groupe et la différenciation des groupes psychologiques.
C’est là qu’apparait un besoin de distinctivité et une volonté de préserver une image positive de soi et de l’endogroupe.

39
Q

À quelle étape du processus d’identification à un groupe de Turner la personne se perçoit comme possédant les mêmes
caractéristiques stéréotypiques que les autres membres
d’un groupe, adoptant aisni la perception de l’identité sociale?

A

La deuxième étape: la dépersonnalisation

40
Q

Selon la théorie de l’équité, qu’est-ce qui motive les gens à travailler?

A

La perception d’équité et d’iniquité (être moins productif/faire un travail de moins bonne qualité)

41
Q

Qui suis-je? Perception de justice vis-à-vis des règles et des procédures utilisées pour la distribution des ressources.

A

Justice procédurale

42
Q

Qu’est-ce qu’englobe la justice interactionnelle?

A

La justice informationnelle et la justice interpersonnelle

43
Q

Qu’est-ce que la justice distributive?

A

La distribution des ressources selon la part qui revient à chacun.
(égalité, équité, besoin)

44
Q

La privation relative personnelle est associée à quelle stratégie de désengagement psychologique?

Tougas et al.

A

Le rejet du feedback