Stitou Flashcards

1
Q

V / F L’entretien clinique rejette le négativisme pour préserver un lieu confortable et éviter le mal aise du client

A

FAUX

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2
Q

V / F

Il s’agit d’aider le sujet à dénouer sa problématique à partir de sa position de sujet

A

VRAI

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3
Q

Dans l’entretien clinique, il est important, avant tout, que le psychologue interroge le client

A

FAUX, il faut que le patient s’interroge lui même

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4
Q

V / F

En premier lieu, il y a une énonciation, puis, viens un énoncé

A

FAUX, contraire

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5
Q

Quelles sont les critères de variation de l’entretien clinique ?

A
  • Conceptuel (théorie choisie)

- Modalités visées par l’entretien

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6
Q

V / F L’entretien clinique dans le cadre d’un bilan ou d’une évaluation est différent d’un entretien à visée thérapeutique

A

VRAI

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7
Q

Il est conseillé de rencontré le sujet combien de fois avant de faire un bilan ?

A

2 fois

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8
Q

Qu’est-ce qui est fondamental dans un entretien clinique ?

A

La demande

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9
Q

V / F

Il n’est pas nécessaire de rapporter les résultats de l’évaluation / bilan au patient

A

FAUX, il doit y avoir restitution.

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10
Q

La restitution doit être un espace de fermeture

A

FAUX, un espace d’OUVERTURE

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11
Q

Sans mettre le sujet dans une catégorie, que faut-il repérer chez le sujet ?

A

Sa particularité de sa position subjective

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12
Q

V / F

Ce dont se plaint le sujet est ce qui nous intéresse réellement

A

FAUX

C’est ce que le sujet à a dire de son symptôme.

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13
Q

V / F

L’acte de parole est lorsque le sujet implique ce qu’il a de plus intime dans le langage

A

VRAI

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14
Q

Quels sont les deux sortes de conflits qu’implique le symptôme ?

A

Celui conservé dans l’inconscient en tant que signifiant ET celui qui est actuel et qui va être l’occasion pour que l’autre se réveille (langage)

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15
Q

V / F

Les deux conflits qu’implique le symptôme sont indépendants l’un de l’autre.

A

FAUX, l’un entraîne l’autre.

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16
Q

V / F

L’énonciation est du côté de la dimension du symbolique

A

VRAI

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17
Q

Il est important de ne pas laisser la place à l’imprévisibilité dans un entretien clinique, le psy doit être en contrôle

A

FAUX, très important de laisser place à l’inconnu et à l’imprévisibilité

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18
Q

V / F

Le psychologue n’est jamais totalement neutre face aux patients

A

VRAI, il est toujours présent avec son inconscient

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19
Q

La théorie donne un cadre. La pratique n’est pas une simple application de la théorie : c’est …. ?

A

un mouvement dialectique

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20
Q

V / F

Il peut y avoir une demande sans offre

A

FAUX

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21
Q

Pour qu’il y ait offre, que nécessite la rencontre ?

A

une éthique et un pacte symbolique

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22
Q

Soutenir une offre pour un psy signifie d’être en congruence avec les normes, les injonctions et les attentes de la société ?

A

FAUX, il faut avant tout prendre en compte les désirs du sujet et non pas ceux de la société ou même nos propres désirs

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23
Q

V / F

La demande manifeste est souvent paradoxale

A

VRAI

Le sujet veut à la fois préserver ses défenses, mais ce défaire de son symptôme

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24
Q

V / F

Il faut faire la distinction entre la demande explicite/manifeste et la demande au sens clinique

A

VRAI

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25
V / F | La demande manifeste est à satisfaire
FAUX, Il ne faut pas répondre à partir d’un savoir fermé sur le versant de la connaissance, ce qui réduirait le sujet à un objet.
26
V / F | Il est important d'écouter d’avantage la demande latente que la demande manifeste
FAUX Le sujet doit se faire entendre dans ses deux versants (manifeste et latent). Aussi, faire le lien avec attention flottante de Carton
27
V / F | La responsabilité du sujet est primordiale
VRAI
28
V / F | Pour qu'il y ait maniement du transfert, il est nécessaire d'avoir une éthique.
VRAI
29
V / F | le patient, ce qui dérange avec le symptôme, c'est le manque que celui-ci actualise
VRAI
30
V / F | La manière de répondre au patient est par le registre du symbolique
VRAI, | ce n'est pas en lui donnant une réponse du côté du savoir et de la maîtrise
31
V / F | Il n'est pas nécessaire que le patient suppose un savoir au psychologue
FAUX, | C'est très important pour qu'il y ait transfert
32
V / F supervision vise à se faire corriger son travail en tant que clinicien
FAUX, c'est de se faire rappeler que nous avons tous un inconscient
33
Qu'est-ce qui va qui permettre le passage de la demande manifeste (plainte initiale) à la parole ?
Les entretiens préliminaires
34
V / F | Le transfert est la mise en acte de l'inconscient
VRAI
35
Le transfert s’avère être le lieu de la conjonction de .... ?
la répétition et de la résistance
36
V / F | Le transfert est un moteur
VRAI
37
V / F Durant l'entretien, le sujet va mettre en jeu des modalités relationnelles qui lui sont spécifiques et cette mise en jeu n’est pas délibérée et est inconsciente.
VRAI
38
V / F | Ce que dit le patient au psychologue est adressé à sa personne en tant que telle
FAUX, c'est adressé à la personne / chose qu'il représente
39
Lacan est le créateur de la théorie du contre-transfert
FAUX, | Il croit qu'il n'y a pas de contre-transfert
40
V / F | Il est possible que l'équilibre subjectif soit remanier durant le suivi thérapeutique
VRAI dû au nouveaux événements dans la vie du patient
41
Pour questionner le rapport que le sujet établit avec ce dont il se plaint, il doit nécessairement renouer avec son histoire, avec les signifiants qui le déterminent.
VRAI
42
V / F | Le patient reproduit toujours ce qui a été transmis par ses parents
FAUX, il y a toujours une part qui échappe au déterminisme
43
Le symptôme est la réponse du sujet à l’énigme
VRAI
44
Quel est l'objectif des entretiens à visée thérapeutique ?
Mutation subjective
45
V / F | Lorsque la thérapie se termine, c'est uniquement le patient qui a un deuil à faire
FAUX, | aussi le clinicien
46
V / F | Chez le psychotique, la place à laquelle il convoque le psychologue est une place de témoin
VRAI
47
V / F | Chez le psychotique, l’autre est médiatisé par un processus métaphorique
FAUX, il N'est PAS médiatisé
48
V / F | Le sujet psychotique s'inscrit dans le rapport au langage, mais ne s'implique pas subjectivement dans la parole
VRAI
49
Qu'est-ce qui affecte le rapport au langage chez le psychotique ?
Le défaut du nom du père
50
Quelle est l'une des solutions mise en place par Lacan qui vise à aider les psychotiques dans un entretien clinique ?
La suppléance qui permet de fabriquer un lien/nouage là où ça ne tenait pas
51
V / F | Dans l'entretien clinique avec l'enfant, il s'agit d'ouvrir un questionnement exclusivement chez l'enfant
FAUX, il faut aussi ouvrir un questionnement chez les parents
52
V / F Encore dans l'entretien clinique chez l'enfant, il ne suffit pas de prendre en compte les dires du parents, mais aussi la représentation fantasmatique dans laquelle ils mettent l'enfant
VRAI
53
Même si c'est la plainte du parent ou de l'école qui domine, il peut quand même y avoir subjectivation du symptôme
FAUX
54
V / F | Il n'est pas possible d'effectuer un travail avec l'enfant sans que celui-ci ait construit sa propre demande
VRAI
55
Quel sont les deux aspects de savoir ?
Savoir singulier et savoir scolaire
56
V / F | Pour accéder au désir d'apprendre, l'enfant doit être sorti de sa position d'objet
VRAI
57
V / F | Avec l'apprentissage scolaire, nous entrons dans le processus primaire
FAUX processus SECONDAIRE
58
V / F | Il peut y avoir un lien sans coupure
FAUX, il doit avoir une coupure au préalable pour créer le lien
59
V / F | La traduction est faite par l'objectivité de celui qui traduit.
FAUX par sa SUBJECTIVITÉ
60
V / F | Un travail fait en deux langues peut être un mécanisme de défense ou des résistances chez le patient
VRAI, ça peut servir à ne pas trop impliquer ses affects
61
La langue maternelle en psychanalyse est la langue du pays des parents
FAUX, c'est plutôt la langue non prononcée par les bébés pour avoir un lien avec la mère (gougou, gaga)
62
V / F Lorsqu'un enfant a des difficultés scolaires, il est important de prendre en compte les résonances subjectives dans la langue
VRAIS
63
V / F Un psychologue en institution psychiatrique de liaison peut ne pas respecter la confidentialité étant donné qu'il doit livrer certaines informations pour son hospitalisation
FAUX, la confidentialité doit toujours demeurer
64
En institution, le psy doit parfois répondre de manière décaler aux attentes du personnel soignant.
VRAI | Il faut aller à la rencontre de l’autre et l’accueillir tel qu’il est et non pas tel qu’il voudrait qu’il soit
65
V / F | le psychologue s’intéresse à l’organisme du patient
FAUX | plus à la façon dont le sujet raconte son corps
66
Le phénomène psychosomatique peut se retrouver dans toutes les structure psychique
VRAI
67
Dans le suicide, le passage à l'acte est un appel à l'autre
FAUX | C'est l'acting out qui est un appel à l'autre