Société et justice pénale examen final Flashcards

1
Q

1.Les nouveaux médiums de connaissance.

A

Avant, connaissance se faisait de première main (expérience) et par les autorités légitimes (médécins etc), et par des circuits controlés (livre, peer-review etc). Maintenant, par :
*1)L’oligarchies médiatique (ex. 80% des médias appartient a 4 entreprise), *2) Internet et autres outils numériques (ex.podcats) qui donne un faux sentiment de neutralité.

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2
Q
  1. Les cinq filtres de la machine médiatique et les implications de la thèse chomskienne pour comprendre les médias.
A

Médias : Média s’interesse a des situations particulière et aborde de façon spécifique. Média n’est pas un miroir de la réalité, le choix de leur nouvelle nous font voir le monde d’une façon en particulier.
- Média sont supposé être contre-pouvoir état, mais en réalité c’est rare. Média sert à fabriquer des citoyens dociles. Médias véhicules message des puissants. Thèse de Chomsky : Manufacturing consent qui dit : Les médias ne sont pas un outil contre-pouvoir, mais un outil indispensable au Pouvoir.
1er filtre. : Des institutions fondamentalement capitaliste. Veulent du profit, le choix des nouvelles et manière de l’aborder n’ont pas comme but l’information, mais le profit. Média critique rarement politiques néolibérales et critique ceux qui revendique changement, car médias sont des oligarchies grâce au modèle actuelle. Le crime est un sujet lucratives. Attention sur des types de crimes en particulier, comme disparation.
2er filtre: Des institutions indissociable des publicitaires. Médias coute cher. Indissociable des intérêts des publicitaires. Thème contraire aux intérêts commanditaire sont occulté (caché). Donc choix des évènements couvert = préférence publicitaire.
3er filtre: Des institutions en symbiose avec le pouvoir. Média vont construire leur contenu sur la base des infos fournies par dirigeants. gov utilise média comme véhicule de propagation. Aussi, chroniquer invite en qualité expert des proche du gov. (sont biasé, comme James= Carfield.p.8).
4er filtre. Les contre-feux : journaliste qui challenge pouvoir sont décrédibilisé. Contre-feux sont des techniques contre les médias qui ne suive pas le “script”. Ex: Contre-messages : quand média trop critique agaisnt armée, lobbyiste gov conférence pour condamner le média pour manque de patriotisme. Perte d’accès à l’info: si trop critique, pu d’accès venant du pouvoir. Pas d’info, pas de nouvelle, pas de profit.
5er filtre. Les boucs émissaires. Média brandir symbole fort du mal, pour construire un ennemi qui sert à faire oublier des problèmes sociétaux complexe. Des diversions. ex. le communisme, immigrants, woke etc.
CONCLUSION : Les 5 filtre ensemble : 1. Engendre contenu médiatique pas but informer, mais de véhiculer messages dirigeants. Crée un consentement autour scripts du pouvoir (conception monde, idéologie). 2. Créer citoyens dociles qui accepte message du pouvoir sans aller voir derrière le rideau de message. a. citoyens se questionne pas sur différence force sur quel info véhiculé par média sont construits. b. citoyen question pas sur but rechercher par média qui dise info a pas b.
MAIS. Théorie est macrosociale. 1. S’applique média traditionnel qui propriété ultra-riche. 2. explique machine médiatique dans l’ensemble. 3. pas pour prétention d’expliquer chaque action des média, mais tendance.

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3
Q
  1. La question des chroniqueurs et des débats d’idées au sein des médias.
A

Déterminer que intervention médiations se font selon une position et un intérêt particulier, question sur débats d’idées. : Sont-il égaux ? Non, scientifique vs joe pas égale. Bon parleur qui fait passé pour vrai des informations qui n’ont aucune base scientifique vs un scientifique qui n’est pas un bon parleur mais qui dit de la vrai bonne information de qualité. p.9. Donc parleur gagne débat, mais juste car bon parleur.

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4
Q
  1. La construction idéologique des nouvelles de crime (et les cinq composantes qui sous-tendent cette construction).
A

Nouvelles de crimes. Mise en récit par un pattern prédefeni et quasi universel. Car nouvelle pas but informer, mais véhiculer conceptions du crime et de la justice pénale, voire plus largement de véhiculer conceptions particulière de société. Construit idéologique. 5 composante.
1. Le choix de l’évenement. Filtrage ou seulement certains crime aux caractéristique sensationnelles sont mentionné. 3 branches : a. Type singulier de comportement comme violent. b. Type singulier d’accusé comme groupe minoritaire ou célébrité. c. Type singulier de crime, comme victime blanche + attention que victime autochtones.
2. Description du sujet. Descr. d’une personne/groupe qui refusent de se conformer aux prohibitions. renforce Transgresseur. *Renforcement : éléments présente par médias ayant causé crime. Étale évènement majeur de vie ou caractéristique transgresseur. Ampleur négative (homme impulsif etc), peut avoir élément positif qui aurait permis de commettre son acte (ex. Ted Bundy qui dit que beauté permis de faire ses crimes.)
3. Mise à l’avant-plan de l’objet. victime pure et angélique. Victime admirable et transgresseur adverse. Opposé, monstruosité. Enforce que victime est un citoyen moyen qui adhere aux règles du contrat social. Victime incarne ensemble de la société qui respecte valeurs. Média présente victime pour que monsieur tout le monde se reconnaisse.
4. Présentation de l’adversaire: Adversaire positif, le bien. Bien inclut normes, prohibitions etc. En gros, L’entrée en scène de la justice pénale. Sert à montrer que transgresseur seront toujours punis. Bien va gagner. Cette étape que description de l’enquete, recherche du suspect, capture etc. Média présente JP comme force qui triomphera toujours contre mal. Justice pénale est montré comme infaillible.
5. La séquence finale. Quand coupable est puni. doit avoir une belle fin, car montre 1) triomphe de ordre social sur mal, 2) bien-fondé normes sociales. Sans fin, nouvelle pas fini. (ex. cédrika provencher). Dans nouvelle, seule la peine peut confirmer le triomphe des prohibitions sociales donc légitimer leur existence. renforce la nécessité norme sociale.
(Média ne relate pas seulement évènement, il l’inteprete. Dise que crime bad, mais JP sauve. Reflète ordre social. Promu paire de lunette spécifique.

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5
Q
  1. Les médias comme institutions créatrice de sens.
A

Les médias ne décrive pas juste, elles sont créatrice de sens, nous font adopter des conceptions bien particulières du monde. Comme dit, existe un cliché que Média sont miroir de la réalité, faux. Média crée du sens dans le sens que en choisissant certains évènement et les traitre d’une manière x ou y, les médias offre au citoyens une façon de comprendre la vie, la justice pénale. Les médias nous font adopter une paire de lunette qui nous font comprendre le monde d’une façon x pas y.

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6
Q
  1. Les six grandes prémisses de l’infodivertissement et leurs conséquences sur les images véhiculées sur le crime et la justice pénale.
A

Infodivertissment prétention de s’appuyer sur fait réels, fait croire que portrait représentatif de la réalité.
1. Structures narrative tendancielles. Choix partiaux dans la structure narrative. Plus précisément, que ce soit but d’attirer l’interet auditeur ou d’un parti pris, reconstitution des événements pas toujours impartiale. (p.22). Montre pas l’ensemble de la réalité. Choix de quoi montrer ou pas. Influence sur la population qui pense que réel, se faire une opinion, alors que montre pas tout. Bref, difficile d’être neutre dans reconstitution élément. Rappel que infodiv. est une reconstitution limité, diff impartial.
2. Fausse prophéties : partir d’une conclusion connue et analyser passé pour affirmer que les gestes antérieur étaient signes prémonitoires. (23, dont fuck with cats. Bref : Fause cause a effet (tue un chat veut dire que la personne va tuer someone), différencier facteur de risque et cause à effet)
3. Des focaux d’observation limités et/ou une incomplétude des données : traiter d’un sujet à travers le prisme d’une variable explicative unique et donc exclure les autres voies explicatives possibles. Expliquer sous une seule variable explicative alors que problème a plusieurs variable. Mais pas mentionner. Personne peut penser que le problème est causé par seulement cette variable, alors que c’est faux. Se demander : quelle est la portée du regard sur la situation.
4. Des constructions narratives indissociables de la société. Traiter du crime et de la justice pénale à travers les stéréotypes dominants de la société. Stéréotype criminel. Noir, pauvre, ghetto. Stéréotype intériorisé. Chanson : crée un sentiment que la justice va gagner et les trouver. Prétend montre la vérité, mais montre les stéréotypes. Bref, quand on écoute infodev, Quelle image montre-elle ?
5. Soulever possibilité sans aucune hiérarchie. Soulever plein de possibilités pour rendre énigmatique une histoire sans hiérarchiser la valeur des possibilités. Manière dont possibilités sont présentées peuvent influencer également notre perception. (26). (Hypothèse a full preuve, b 1, mais montre les deux comme égale. Bref, choix des mots importe.
6. Des reconstitutions boiteuses, voire frauduleuses. Prendre des libertés face aux faits, ou dénaturer l’histoire, pour divertir ou pour véhiculer certains messages. romantication. Ex. Cia qui paye pour faire a croire que torture a permis d’empecher Ben ladan, mais en réalité non. Passe un message. Mais gens pense que vrai, car vu dans le film. Bref, gens croit ce qu’il voit, souvent faux comme trouver la personnalité d’un tueur.
CONCLUSION : Infodiv offre portrait limité, reconstruction tendancielle et biaisé de cette réalité. 1. difficile reconstruire justement et impartialement des évènements de nature criminelle. Peut pas présenter sous tout les angles possible ni sous tous les PDV. 2. Car abondance quantitative et intérêt envers crime spectaculaires, portait tendancieux de la réalité.

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7
Q
  1. Le fonctionnement d’Internet et des réseaux sociaux et leur conséquences (ex. les filtres de personnalisation, les biais de confirmation, etc.).
A

Internet loi d’être neutre. Info pas aléatoire.
Google : algorithme qui mesure la popularité des pages et les hiérarchiser selon la popularité. + page cité, + document fait preuve d’authorité. algorithme lui accord alors place de choix. Premier résultats sont ceux les plus populaires aux yeux de l’algorithme. 1. Popularité ne signifie pas pertinence et qualité des propos. (article triste vs nuancé et juste), 2. Popularité ne signifie pas véracité et vérité des propos. (fausse info circule plus vite que vrai) 3. Popularité ne signifie pas diversité et profondeur des propos. Moteur donne ce qu’on cherche, expose pas à thèses alternatives.
Filtre de personnalisation: chaque utilisateur a des informations présenté différent selon ses intérêts. Pas juste google, tous les réseaux sociaux. expose à des contenus qui correspondent à leur profil. Crée un court circuitage qui transcende choix usagers. Expose internaute à info qui concorde avec leur opinion, et limite contenu contraire. Mais nous avons rarement connaissance. TROIS CONSÉQUENCES :
1. Bias de confirmation : engendrent biais de confirmation chez utilisateurs, soit une inclination à privilégier informations qui confortent préjugés, idées reçues, convictions, plus largement conception du monde.
2. Chambre d’écho collective : usagers se regrouper en communautés virtuel cimenté autour de sensibilités ou autour d’affinités politiques et idéologiques, car voit même infos. Renfermement sur communauté. Conséquence : valide, renforce ce que membre croient déjà.
3. Radicalisation des opinions: Internet et les réseaux sociaux semblent également libérés chez certains des subjectivités plus débridées, plus suspicieuses, voire plus violentes car communauté qui s’autovalide. Terrau pour radicalisation des idées et opinion comme Pizza Gate.

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8
Q
  1. Les aléas des podcasts.
A
  1. Quantité : Aujourd’hui, qui n’a pas un podcast? Nombre illimité de podcats. Peut trouver n’importe quelle position. Gens tendent à écouter podcats qui cadrent avec leur croyance. Quand on écoute podcasts, moins dans l’information et dans la découverte que dans biais de confirmation.
  2. Qualité: aucun controle de qualité. Aucune vérification. Seule limite sont le code criminel ou celle de la plateforme qui héberge le podcast. Qualité des propos pas rapport avec la popularité. Souvent, charisme du présentateur attirent le plus de cote d’écoute.
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9
Q
  1. La post-vérité et la question fait/interprétation.
A

Conclusion : Information n’est pas partagé aléatoirement/impartialement.
Pas sans conséquences, prolifération de connaissance non-hiérarchisés bouleverse rapport au monde. 1. ERE DE POST-VÉRITÉ. Les faits ont moins d’influence dans le discernement de la vérité que opinion personnelles. Pas une prolifération de mensonge, contraire, car pour parler de mensonges, doit croire a une vérité officile. 2. Dans cas de la post-vérité, VÉRITÉ OFFICIELLE EXISTE PLUS car autorité légitime ont perdu validité. Plusieurs personnes maintenait choissient le vrai du faux selon préférence personnelle. Croit a tort que tout idées sont égales.( magasin d’opinion 37)

Dans société post-vérité, différencier 1) fait tangible (vérité incontestable) 2) d’une interprétation du monde sociale (théorie) est devenu controversé.
Fait ou interprétation ? N’existe pas de critère consensuelles pour différencier fait d’une interprétation d’un fait. Certains interprétation ont plus de preuve, mais au moment ou on dit que c’est une interprétation, on autorise ceux qui dise le contraire de l’utiliser. Deux grande question a se poser : 1. Dans quel condition ont peut tenir une affirmation comme vraie ? 2. Sur quel base on peut venir dire que cette interprétation est vraie ?(38)

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10
Q
  1. Les nouveaux médiums de connaissance comme moteur de changement social.
A
  • Constat est que médias ont une forte tendance a dénateur réalités sociales. MAIS pas toujours une mauvaise chose.
    C’est aussi un puissant moteurs de changements sociaux, ex. Floyd, grace au médias justice a été rendu. Me too. Médium constitue une voie pour créer un monde meilleure, rejoint plus de gens. Permet de connaitre de nouvelle histoire. (39)
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11
Q

MODULE 8. 1. Définition, perception et rapport à la violence.

A

Mythes : 1. La criminalité est déchaînée, 2. Les récidivistes = des criminels dangereux, 3. Les immigrants sont tous des criminels/les criminels sont des inconnus, 4. La justice pénale canadienne est trop laxiste, 5. Il faut augmenter les peines pour diminuer la criminalité.
1, Criminalité est déchainé, a) jeunes + violent, b) fusillades/homicide ++.
🎅Jeunes : Dépend comme plus en plus violent. Mais.. vieilles générations trouvent TOUJOURS que jeunesse de plus en plus violente. Idée de jeunes qui se regroupe avec des substances pas nouveau. En réalité, diminution, surtout d’agressions sexuelles. Car société donne des étiquettes pour des comportements. Les gens se sont toujours rejoint entre eux, mais l’étiquette de gang de rue est récente, ce qui fait a croire que c’est un nouveau problème. Besoin de questionner sur si l’étiquette a changer.
- La violence physique change toujours selon l’étiquette, comme avant enfant qui frappait parent était de l’éducation, maintenant un crime grave.
- Flucations complète des perceptions sociales qui constituent la violence.
- Bref, avant de se demander si la violence est en augmentation, regarder si la définition a changer. Si la définition n’a pas évoluer, été modifier.
🎄Constas finaux face a violence : 🎁1. définition de la violence a grandement évolué et elle va continuer. 🎁2. comportements qui sont aujourd’hui jugés comme violents étaient par le passé beaucoup plus fréquents ET surtout plus tolérés. 🎁3. Le plus grand changement est relatif à notre tolérance face à certains types d’actions que nous allons définir (ou non) comme de la violence. 🎁4. remettre en question la définition de la violence pas synonyme de dévaloriser dommages causés, mais de développer une compréhension plus juste pour intervenir better sur les situations/comportements qui causent des souffrances. 🎁5. définir nouvelles formes de comportements comme de la violence = signe d’une société saine qui se remet en question et qui est plus sensible aux préjudices subis par ses membres. (Pacification des moeurs, moins en moins violente mais de plus en plus peur des crimes.)

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12
Q
  1. Les limites et les implications entourant les statistiques de la criminalité
A

🎄- Meurtre en diminution constante. Canada est un pays sécuritaire, plus que Mexique ou US mais moins que France ou Grande-Bretagne.
- Mais crime partout dans médias, est-ce qu’il y a une augmentation des crimes graves recement ? armes a feu, augmentation de 6.3%. Taux d’infraction diminution de 19,8%, complot diminution et entré infraction diminution. Grand augmentation aggressions sexuel rapporté police, 28,7%.
- Avec stats agression augmentation, vraiment plus de viol ? Non. Arriver du Me Too. LE CONTEXTE IMPORTE!!! Permet de comprendre que les aggressions sexuelles sont plus reportés.
🎄- Effets des statistiques policières :
1. Créer des vagues d’insécurité parfois infondées: ex. si médias disent que crime de gang ont doublé, population aura peur de ce type de crime. Hors, possible que la criminalité réelle soit la meme, mais que la criminalité enregistrée est augmenté. Donc aucune réel risque de plus.
2. Créer des perceptions faussées et discriminatoire, mettre accent sur certains type de crime, de personne pas d’autre.
3.Donner un faux portrait des différents types préjudices. Stats relaye crime très visible et montre pas crime moins visible. Population peuvent surévaluer la dangerosité de certains comportments.
4. Donner l’impression de relayer portrait de la criminalité, mais davantage portait des choix des agences pénales/gouvernements. (p.16)
🎄- Conclusion : un chiffre à lui seul ne nous apprend pas grand-chose. TOUJOURS remettre en contexte, se rappeler du chiffre noir. Que stats juste crime visible. On doit regarder derrière le rideau, stats = une interprétation de réalité, faire attention car influence notre perception.

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13
Q
  1. La distinction manquement/récidive.
A
  1. Les récidivistes = des criminels dangereux
    récidive : Retour dans système judicaire, mais pas obliger d’etre de quoi d’intense. veut pas dire qu’un meurtrier va refaire un meurtre. Peut être juste possession de drogue ou autre. Récidiviste n’a pas nécessairement fait de prison pour son premier crime. Maj. des récidives sont extrêmement moins grave que le premier crime.
    Manquement : revocation de la liberté conditionnelle car la personne a manquer une condition. Représente 20% des révocations. Conditions peuvent sembler facile a respecter, mais non. Un rendez-vous est vite manqué quand plein de problèmes personnel, santé etc. consommation peut devenir une solution plutôt qu’un problème. (ex. durant covid, pas suivre règle car “pas de risque de l’attraper si je sors une fois”, meme chose. “risque pas de faire de la récidive si je bois du vin le 24 au soir.”
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14
Q
  1. Les grands constats entourant la récidive au Canada
A

-prov. 20% manquement, 2% récidive révocation.
- fed. 10% manquement, 3% récidive.
- Les choses peuvent s’améliorer ! retour en arrière sont possibles. Histoire a succès existe, Comme Shaun Weiss, acteur qui a eu déméler justice et probleme de drogues, qui s’est complétement réhabiliter.(22)

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15
Q
  1. Les pratiques auto-référentielles de la justice pénale.
A
  1. Les immigrants sont tous des criminels/les criminels sont des inconnus.
    pratiques auto-référentielles = actions dont la légitimé prend forme à travers l’acocmplissement de l’action.
    Exemple : Police intervient auprès public d’« étrangers » parce qu’elle pense y trouver + de délits et, quand trouve ce qu’elle cherche, voit la confirmation que étrangers sont « criminels ». Donc des cibles légitimes.
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16
Q
  1. Les biais dans les représentations sociales sur le crime et le contrevenant(et les variables sous-tendant la construction de ces biais).
A
  • Tendance à arrêter beaucoup plus marginaliser, gens de couleur pauvre.
  • Certains immigrants commentent des crimes (comme blancs), mais se rappeler que associer l’origine et le passage à l’acte : explication causale fausse. En gros : origine ethnoculturelle n’est peut-être nullement explicative d’un crime commis par une personne qualifiée d’étrangère.
  • Mettre focus sur étranger = essentialiser cette caractéristique. Comportement criminalisable d’un étranger s’expliquer de PLEIN de raison. Nous choisissons socialement de dire que délinquance = origine.
  • Essentialiser une caractéstique : tout expliquer sous les lunettes d’une caractéristique. ex. toujours tout voir sous l’idée que la personne est laide. Donc si rejet, car laide. Si pas travail, car laide etc. Même chose pour race.
  • Idée rependu que criminels sont des inconnus. FAUX. Femme 9 fois + risque assassiné par son conjoint que par inconnu. 90% meurtriers connus de la victime. 60 à 80% connaissait agresseurs sexuels. Réalité = connu.
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17
Q
  1. La sévérité pénale (connaissance du public, demandes du public et les manières d’évaluer le degré de sévérité.).
A
  1. La justice pénale canadienne est trop laxiste.
    - Population PAS exposé à la plupart des peines données. Seules connaissances sont les crimes sensationnel. Population a donc un portrait qui est loin de la réalité. Comme Guy Turcotte, jugé non-coupable car maladie mentale, mais pression public si grosse que new procès.(29)
    - Mais, quand public vraiment informé, tendance a choisir même peine que le tribunal. Étude (30). Journal = peine pas assez grande. Procès verbaux officiel = peine trop sèvere. Bref, les journaux pousse x, avoir vrai info pousse a voir différemment la question de la sévérité de la peine.
    - Étude Stike Laws = théoriquement, appuie peine a vie sans libération (88%) mais quand contexte, seulement 17%. EN GROS: 🎄D’une facon philosophique, citoyens réclame des peines plus sévère. MAIS, quand c’est question d’attribvuer une peine à un être humain, avec son histoire, le contexte, citoyens embrasse PAS la sévérité pénale. Mais le désir seulement est pris en contexte par les politiciens dans notre société…
    - Comment évaluer le degré de sévérité ? a) Comparé, mais si on compare US, CA est laxiste et si on compare Europe, CA est sévère. Dire que le moins macho dans une gang de trumpiste veut pas dire que la personne est féministe. b) Face a une finalité de la peine?
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18
Q
  1. Les limites et les critiques de la dissuasion.
A
  1. Il faut augmenter les peines pour diminuer la criminalité.
    - difficile 1) de mesurer l’efficacité dissuasive des peines et quand possible, 2)la sévérité pénale ne semble pas très dissuasive. Comment évaluer ce qui n’est jamais réalisé ? (33)
    - basée sur choix rationnel (calcul coûts et bénéfices), donc si les coûts de l’action sont supérieurs aux bénéfices, la personne agira en conséquence.
    🎁- Grande failles : 🎄- On doit CROIRE qu’on va être attrapé. 🎄- Donc, dissuasion ne marche pas si croit que en mesure d’échapper à la police / justice.🎄 - On doit aussi déjà avoir connaissance de la loi. 🎄- Émotion égale pas réflexion rationnelle. Sous état, peut être incapable de prendre en compte potentiel conséquences. Pas toujours rationnel. 🎄- Cout est un risque, pas une certitude. a) Peine est un risque contrôlable, pas efficace si croit que peut s’en sortir. b) Tolérance variable face risque, chacun tolérance différente face risque d’être frappé cout de la peine. Chez même personne, tolérance va varier selon situation.(35)
    - Veut pas dire que aucune dissuasion, mais rattacher des conséquences à certains types d’action va diminuer la tendance de certaines personnes à le faire. Déconstruire idée que augmentation sévérité peine dissuade + de gens. (36, exemple rond rouge). Dissuasion fonctionne pour ceux qui en ont pas de besoin et marche pas pour ceux qui en ont de besoin.
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19
Q
  1. La propension symbolique des actions de la justice pénale.
A

Majorité des lois et des actions de la justice pénale cherchent à sévir
(tough on crime) afin d’illustrer une intransigeance et une impitoyabilité envers la criminalité. ➡️Peut générer des avantages pour les décideurs publics /légitimer l’allocation des ressources des agences pénales ➡️Mais ces lois et actions ont souvent peu ou pas de considérations envers leurs impacts/retombées concrètes.➡️Réformes de la justice pénale sont souvent symboliques : Des lois/actions qui jappent fort, mais mort pas.

Majorité politique pénale veut pas rendre la justice plus efficace, mais est symbolique. Est-ce que créer un nouveau type d’infractions permet de diminuer un crime ? non. Cherche juste à dire que la justice agit. Réforme qui jappe fort, mais qui ne mort pas, aucune vrai influence (37)

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20
Q

Module 9.1. Définition et implications d’un système d’idées.

A
  • La RPM (rationalité pénale moderne) fait la promotion d’une vision particulière et restrictive de la réponse au crime.
  • Ce système comprend : 🎄1. Une identité cognitive : Idées de RPM ont un ADN spécifique qui implique de penser la peine d’une manière x et non y. Identité cognitive réfère donc à la nature et au caractère spécifique de ces idées. 🎄2. Frontières hermétiques : Clairement délimités car toutes réponse au crime qui concordent pas avec système idée sont jugés insensés. Frontières devient des obstacles épistémologiques aux innovations, tentative penser différament sont décrédibilisé.
  • Comme plat de légume, pourquoi on a tel ou tel légumes dans le plat et que tout ce qui fit pas reste à l’extérieur de la frontière.
21
Q
  1. Les caractéristiques de la rationalité pénale moderne
A

Devrait être :🎄1.Hostile : peine basée sur représentation du contrevenant comme un ennemi de la société qu’il faut punir et exclure. 🎄2. Abstraite : peine doit causer un mal pour répondre à visées abstraites, elle doit par ex causer souffrance pour guérir une Justice bafouée ou convaincre condamné de pas récidiver🎄3. Négative : peine doit causer souffrance chez condamné et non pas donner quelque chose positif à la victime🎄 4. Atomiste : peine se préoccupe pas de ses effets collatéraux sur liens sociaux qu’entretiennent gens impliquées dans le processus.
- Valorise : la souffrance (seule sanction juste) et l’exclusion sociale du condamné.

22
Q
  1. Les implications de la RPM sur l’interprétation des objectifs de la peine et sur l’utilisation des objectifs plus punitifs vs plus plus positifs.
A

🎁- Art. 718, codifie objectif la peine. 🎄1. La dissuasion. A) Dissuasion générale : Punir l’individu pour influencer comportement des autres (non coupables), influencer à ne pas agir. B) Dissuasion spécifique : Punir un individu (coupable) pour influencer son propre comportement à l’avenir. Créer la peur de répétition (récidive). 🎄2. Dénonciation : Punir un individu pour dénoncer le crime et pour réaffirmer valeurs fondamentales de société. Exprime dégoût du public envers le crime et témoigne que certaines valeurs doivent pas être violées. 🎄3. Neutralisation : Punir dans optique de mettre à l’écart, ou éliminer un individu de son milieu.🎄4. Réhabilitation : Punir individu dans optique d’imposer un traitement pour enlever l’envie du mauvais comportement et aider à mieux intégrer la société. 🎄5. Punir dans optique de réparation positive à la victime, faire justice en essayant de compenser avant tout les pertes subies par personne affectée par comportement d’autrui. 🎄6. Conscientisation : Punir dans optique que contrevenant ait une prise de conscience.
🎁- Application ambigu. Permet pas de comprendre l’histoire de ses objectifs, dit pas de quelles façons ces objectifs sont définis, dit pas si ces objectifs sont d’importance égale ou combien doivent être utiliser par sentence, aucune hiérarchie, laisse entendre à tort, que réparation est aussi valoriser comme dissuasion. BREF : Le sens et fondement sur lequel objectifs ont été construit sont plus complexe qu’il semble.
🎁- Choix de ces objectifs, 2) Manière de les interpréter et 3) leur articulation collective ne vient pas du ciel. Construction humaine qui peut changer (slide 10)
🎁- Objectifs plus punitif : Dissuasion, neutralisation et dénonciations importance + significative. Si juge utilise pas un de ses trois objectifs, doit se justifier sinon sentence risque d’être brisé en cour d’appel. Pareil niveau politique, si utilise pas, critique seront nombreuse et risque de perdre élection ou perdre voteur.
🎁- Objectifs plus positif : Plus secondaire, et pas si positif en réalité. 1. objectifs qui nous semble positif sont en réalité défini par idée punitive RPM. ex. réhabilitation exige emprisonnement. 2. Objectifs + positif doivent être contrebalancé par objectif punitif. Réhabilitation, réparation et conscientisation ne peut rarement être utiliser seul. Alors que délaisser ses trois objectifs est facile et require aucune justification. Bref, pour RPM doit s’assurer que l’objectif de réparation ne soit pas laissé à lui-même sans contrepartie réellement punitive.

23
Q
  1. L’emprise punitive des objectifs de la peine(et de la RPM).
A

🎁- Amène Tyrannie de la punitivité : toujours un objectif qui peut coller avec situation et exiger lourde peine ou qui agit comme barrière pour empêcher peine + positive.
Emprise punitive : Dans leur ensemble, objectifs de peine nous emprisonne dans la souffrance. Dès qu’on essaye de s’en sortir, quelque chose nous y remet dans l’afflication.
🎁- Rationalité pénale moderne influence la formulation et la compréhension des objectifs de la peine d’une manière qu’ils vont : 🎄1.Légitimer et valoriser les peines afflictives qui visent à faire souffrir les condamnés et qui communique publiquement cette souffrance. RPM oblige d’aller vers les peins afflictives et est publique, société le voit. 🎄2. Délégitimer peines non-afflictives qui délaissent un / plusieurs objectifs plus répressifs. Juge risque cour d’appel et politicien pas être réélue. Pour délaisser, doivent avoir argument de béton (mais toujours à travers RPM).

24
Q
  1. Le principe de proportionnalité.
A
  • Retributivisme se retrouve dans PRINCIPE DE PROPORTIONNALITÉ. Explicite c.cr. Toute peine doit être : Proportionnelle à la gravité de l’infraction et au degré de responsabilité du délinquant. Réfère à idée que peine just = peine impose conséquences qui reflète graviter de ses gestes.
  • Ce principe est une construction sociale. PAS UNE VÉRITÉ, mais une manière de penser la peine naturalisé par la force des idées de la RPM.
  • Un des principes les plus ancrés dans la jurisprudence. Juges qui s’en détache risque cour d’appel. Principle de proportionnalité = un des plus grand obstacles aux innovations pénales.
25
Q
  1. La rétribution et la rétribution au nom des victimes.
A

🎁- Pas officiel, mais objectif rétribution. Selon principe, peine afflictive permet de restaurer justice bafoué et retrouver un morale outragée par l’acte. Trouve la rétribution caché à travers expressions comme : peine juste ou principes de justice fondamentale. Pourquoi invisibilité ? Car rétribution associé à vengeance. Rétribution nous pousse à penser que la reconnaissance de la gravité des torts causés doit passer par une peine négative de la même gravité
🎁- Nouvelle rétribution, au nom de la victime. (slide 18). Exiger souffrance au nom de la victime, idée de reconnaitre expérience de la victime. Pourtant, justice est au nom de la société… paradoxe.
🎁- Donc, quand juge détermine peine : 1. Objectifs de la peine, 2. Principes de justice fondamentale sont compris et mis en application à travers idée de la RPM (hostile, abstraite, négative et atomiste). Niveau juridique : juges peuvent interpréter objectifs comme ils veulent, défini à travers RPM. Car jurisprudence basé sur ces idées, et juge doit respecter jurisprudence. Niveau politique : création de loi influencer. (SLIDE 20)

26
Q
  1. Le devoir de punir et le devoir d’enfermement (et leurs remises en question)
A
  • Punition est un devoir de punir, pas seulement une autorisation. (Juge doit se justifier de ne pas faire de souffrance, mais se justifie pas de faire souffrance)
  • Devoir de punir afflictif : seules peines afflictives et qui font souffrir sont légitimes et de la justice. Autre tentative = renversé en cour d’appel, ou contesté par peuple.
  • Devoir d’emprissonement, prison peine d’excellence. Devoir de punir va avec le devoir d’enfermement. Mais faut-il comprendre : que la prison est sanction + utilisé ? Non, montrer que la RPM a naturalité (rendu non questionnable) l’idée : 1. il y a un seuil de gravité au-delà duquel pas autre alternative que l’incarcération, 2. En matière de peine, privation liberté semble = meilleure idée qu’accomplir quelque chose positif.
27
Q
  1. La rationalité pénale comme manière dominante de penser la peine et comme spirale de croissance pathologique.
A

🎁Toute les peines ne sont pas hostiles, négative, abstraire et atomiste, mais.. 🎄- utilisation marginale de sentence non-répressive, 🎄- d’autre infraction devrait pouvoir avoir de telle sentence, et de nouvelle sentence positif devrait être accepté., 🎄- RPM est manière dominante de penser, difficile de s’en détacher même si serait profitable pour victime etc de s’en évader.
🎁 RPM pas juste promotion peine afflictive, nous fait adopter paire de lunettes qui décrédibilise tout autre opinion. 🎄- Existe d’autre sanction souhaitable, mais rejetés en raison de la force des idées de la RPM. 🎄- Sanction comme dédommagement admissible dans cas très particuliers, crime mineur. (25-26 juge parle) bref : avoue que dissuasion marche pas, mais que la RPM crée un cercle vicieux ou les juges sont pris e obliger d’agir dans cette spirale, renforçant la spirale de croissance pathologique.
- Critique au devoir de punir et au devoir d’enfermement : 🎄1. Comment calculer juste du et pourquoi traduire en termes punitifs ? 🎄2. En quoi peine carcérale réforme moralement quelqu’un? 🎄3. En quoi enlever envie de faire un crime serait davantage atteignable par peur, menace, souffrance ? 🎄4. En quoi souffrance remède pour exprimer l’attachement de la collectivité à certaines valeurs (dénonciation) ou pour détourner collectivité de faire crimes (dissuasion générale) ? But de ses critiques de monter que les idées de la RPM apparaise naturelle et que ce ces critiques sont rarement soulevés dans les réformes du droit criminel. Bouteille à mouche (trop peur de quitter, préfère continuer de rater)

28
Q
  1. Les propositions d’interprétations alternatives des objectifs de la peine.
A
  • Monde alternative, comment on peut manger le plat autrement ?
    🎁- Dissuasion autrement : Rien indique que conséquence positive aka devoir d’accomplir une prestation, serait moins dissuasives que souffrance. Recherche souligne que la socialisation et responsabilité collective est plus efficace pour promouvoir respect des normes. ex. cellulaire au volant, quelle plus dissuasive avoir une amende ou tuer son ami ? La peur de tuer son ami dissuade plus.
    🎁- Neutralisation. Protege la société temporairement seulement, plus longtemps en prison, + de risque à leur retour. Existe autres moyens de gérer risque en dehors de la prison qui pourrait être plus efficace.
    🎁- Proportionnalité et rétribution. Pourrait s’en détacher. Peine pourrait se tourner vers : répondre besoin de l’accusé, réparé torts causé par victime, améliorer communauté de l’accusé ou victime. Survalorisation grand obstacle a innovation.
    🎁- Dénonciation. Autre moyen de monter que action est inacapatable. 1. Reconnaissance par instance officielles peut constituer en soi. 2. Fait que accusé reconnait lui-même ses torts. - Dénoncer meurtre sans infliger souffrance ? Rwanda, réconciliation a eu lui lentement, maintenant travail ensemble. Hutu plaide coupable et assume leur tort. Bref, objectif dénonciation peut être atteint sans peine afflictive.
    🎁 - Reconnaissance victime : Remise en question n’est pas une minimisation de la victime et des torts vécus, c’est affirmer que affliction du condamné échou a reconnaitre ses préjudices. C’est soulever possibilité que la peine afflictive ou exclusion arrivent pas à répondre pleinement à expérience des victimes. Politician mobilise victime pour renforcer affliction, mais à l’inverse offre peut de mesure pour les appuyer. (ex.35).
    🎁- Réponse pour les victimes. RPM échoue prendre en compte vécu, souffrance, besoins, attentes victime :🎄1. Offrant aucun gain substantiel, oublier que les réalités et besoins victime sont complexe et varié. 🎄2. Utopique de penser que sévérité pénale permet la closure, la réparation et guérison des victimes et largement reconstruire liens sociaux. 🎄3. Gov et justice peu d’interet offrir mesures d’accompagnements, soutien sur court et long terme ou qui priorise guérison chez victimes. 🎄4. Victimisation nécessite reconstruction de la personne. Justice pénale pas souplesse de participer reconstruction. Société devrait investir dans support victime en dehors de justice pénale.
    🎁- Innover aider victime. Acteur de la justice ont pouvoir aider victime. Ex. juge dans procès de Jeffrey Epstein qui a entendu les victimes même si Epstein mort.
29
Q
  1. Les possibles caractéristiques d’une rationalité pénale alternative.
A

Hostile ➡️Socialisante, Abstraite ➡️ Tangible, Négative ➡️ Productive, Atomiste ➡️ Holiste.
Socialisante : Voir justiciable comme quelqu’un qui a besoin d’aide, que la société a échoué. Peine viserait l’inclusion, pas l’exclusion.
Productive : Plutôt que rétablir la justice par souffrance, le faire via prestation productive (accomplir qlq chose) pour victime et communauté. Peine doit apporter quelque chose de productif aux parties impliquées.
Tangible : Promouvoir des objectifs de la peine qui sont tangibles. (obtention du pardon, à la réparation, à de l’aide de son prochain, etc.). Peine doit apporter quelque chose qui se mesurent quantitativement ou qualitativement, ou qui se vérifient.
Holiste : Pas évacuer la personne ou comportement de son contexte, promouvoir une réponse qui préserve les liens sociaux. Mettre de l’avant responsabilité collective. Penser la réponse sociale selon le contexte complet de l’acte et toutes les parties impliquées. Mais, mesure doit être consensuelle. Justiciable doit reconnaitre ses torts, accepter et participer de son plein gré à la réponse.

30
Q
  1. Changements pénaux et le piège de la modération.
A
  • Prétention de vouloir changer ne signifie pas la réforme. Prétention de modération, mais institutions sont souvent aveugles à leur propre radicalité. 🎄1. Droit criminel dit déjà s’appuyer sur principe de dernier recours (mais c’est faux.) 🎄2. Prétention d’être fondé sur principe de l’emprisonnement comme dernier recours. (faux). 🎄3. Réduction du degré de sévérité pas nécessairement évasion rationalité pénale.
  • FAUSSE MODÉRATION : idée que 25 ans maximum, meilleur que 40 ans et que c’est humaniste. Mais reste que pour beaucoup, c’est une peine de mort. On pourrait penser plus gentil, mais pas tant, on évite pas les conséquences de l’affliction (40)
31
Q
  1. Les implications d’un changement de paradigme.
A

Transformation ne pourront passer par simple changement dans modalité des sanctions afflictives, mais pas une *subversion complète de nos manière de penser la réponse pénale.
Changement de paradigme ! Métaphore : monopoly (jeu individualiste ou chacun veut gagner, peu importe les conséquences qui devient le jeu du verger, ou tous s’entraide pour ramasser toute les pommes contre le corbeau. Implique de travailler ensemble, la victime, justiciable pour trouver une solution.
- Changement paradigme peut changer utopique, mais exemple Nelson Mandela. Décide de garder équipe rugby et pas se venger, mais s’entraider à la place. (42)

32
Q

Module 10. 1. La conception sociétale sur le choix volontaire de la mort et l’injonctionà la vie.

A

🎅Choix volontaire de la mort, conception sociale : Amalgame entre différent termes comme suicide, suicide assisté, euthanasie, aide médicale a mourir, mort médicale par compassion. Terme utiliser différent selon notre perception. Choix terme importe.
🎅Injonction à la vie : Choix de vivre toujours + valide que choix de mourir. Injonction à la vie veut dire préconception ou inacceptable de vouloir mourir et doit faire tout en notre pouvoir pour assurer maintien en vie de chaque personne.
🎅Société promeut idée de mourir temporaire. Désir irrationel. Toujours un espoir. Volonté de mourir est considérée comme anormale, irrationnelle, temporaire et illégitime. Pas accepté de tous, certains croit que certains suicide sont rationnel.

33
Q
  1. Les débats entourant les critères pour évaluer l’existence humaine, les souffrances, les sens à la vie, etc
A

🎅Peut-on être libre de vouloir mourir, acceptable de vouloir mourir, vouloir mourir rationnellement?
🎅 Jamais enlever la responsabilité de remettre en question nos appréhensions individuelles et conceptions sociales qui teintent lecture de la pratique.
🎅Quel critère analyse si suicide acceptable, rationnel et libre ? MA conception de dépression, souffrance, mes croyances etc. Ce qui fait que en absence de critères consensuels pour 🎄1)Évaluer qualité et valeur de l’existence, 🎄2) pour quantifier graviter souffrance, 🎄3) Jauger des sens que nous donnons à nos vies est le plus important pour comprendre que ses des lectures différentes et parfois opposé sur choix volontaire de la mort. (Exemple David Audesse, perd bras et jambes et décide de se suicide vs Stephen Hawkings. Les deux ont fait une analyse de leur situation, et on pris de décision différente. Doit prendre le point de vue de la personne.
🎅Est-ce que d’un point de vue subjectif choix volontaire de mort peut être libre, rationnel et acceptable et pourquoi ?
2 réponse:

34
Q
  1. Les arguments de la réponse libertaire
A

🎅Peut rationnellement, librement avoir volonté de mourir. Conception existentialiste de la liberté selon laquelle aucune force sociale ne devrait s’interposer entre nous et notre vie. Choix de mort serait essence d’une société libre.
🎅PAS un choix entre la vie et la mort, mais un choix entre une bonne mort et une mauvaise mort. Pour certains, doit arrêter de voir la mort négativement. C’est compassion profonde envers la souffrance.
🎅Doit avoir une transformation du regard porté sur la mort. Existerait d’autre visions plus positives de la mort. Devrait pas toujours être traité comme tragédie. Devrait accepter que pour certains, mort est une délivrance.
🎅Cruel de forcer la vie parce que d’autre gens en santé pensent mieux savoir que la personne elle-même. Souffrance tolérable pour un peu être intolérable pour l’autre.

35
Q
  1. Les arguments de la réponse compatibiliste.
A

🎅Mélange entre libre-arbrite et divers formes de déterminisme. Choix et actions de l’homme influencé par certaines forces de nature sociales, naturelle, biologique. L’homme peut être libre de ses choix, mais cette subjectivité peuvent être influencée et contraintes par diverses forces. Remettre en question aspects entourant liberté et rationalité de la subjectivité de la personne.
🎅Une personne avec ressources limités, souffrant de trouble mentaux ou une période rough de sa vie peut avoir lecture diff et être aveuglé quant aux solutions. Quand nous ne sommes pas conscient de toute les options, peut-on être libres de prend un choix raisoné ?
🎅Jamais vraiment seul dans choix, choix influencé par les pairs, paroles, actions etc. Signification donné à existence humain ont un caractère social. ex. sentiment d’inutilité seulement un sens par rapport à l’autre et la société.
🎅Personne est-elle vraiment libre dans sa subjectivité si sens donner à la vie ou lecture de ses souffrances sont construits par les rapports sociaux, force social ?

36
Q
  1. Les conséquences de la criminalisation du suicide assisté/aide médicale à mourir à travers des critères trop stricts.
A

🎅Criminalise ceux qui aide à se suicider.
🎅Critère très stricte (voir slide 19) pour aide médicale à mourir.
🎅1. Souffrance des gens qui ne concordent pas avec critères. ex. enfant malade, refus aide médical car mineur. Meurt après 4 ans dans d’attroce souffrance.
🎅2. Conséquences relatives à la criminalisation du suicide assisté. Pas efficace pour diminuer comportement, malgré interdiction la pratique n’arrête pas. Mais fait en sorte que :🎄Méthodes sont pas optimales, tentative rate. 🎄Par peur que leur proche soit criminalisé, passe leur dernier moment seul sans pouvoir dire adieu, 🎄Criminalisation personnes qui aident ex. entrevue avec David Audesse, avoue que du déménager changer d’amis et vit avec guilt. 🎄Est-ce irrationnel d’aider quelqu’un à faire un geste légal (le suicide) est un crime?

37
Q
  1. Les difficultés qui sous-tendraient la légalisation du suicide assisté/élargissement des critères de l’aide médicale à mourir
A

🎅Si accepte de décriminaliser suicide assisté, problème au niveau consentement de la personne.🎄1. Personne qui demande suicide assisté plus présente pour expliquer qu’elle était bien consentante. 🎄2. Même quand évaluation a priori du consentement, rien indique que pas d’influence insidieuse par proche. 🎄3. Question du suicide assisté porte régulièrement sur des personnes dans des situations extrêmement complexes : gens avec problèmes psychologique affectant jugement? 🎄Gens ne peuvent pas donner consentement juridiquement valide : mineur ou personne en état végétatif.
🎅Tier parti doit être en charge de décider du consentement, amène autre problèmes. Doit s’entendre sur qui a le pouvoir de décider pour personne qui ne peut pas consentir. Comment savoir si la personne consent pour la personne en question ou pour elle-même ? Si deux parents pas meme opinion, on fait quoi ?
🎅Questions à se poser : 🎄1. Si peut pas consentir à mourir, peut-elle consentir à vivre? 🎄2. est-ce l’aidant qui va être responsable de la mort ou la maladie / condition qui aurait tué autrement la personne dans des souffrances ? Est-ce que certaines maladies peuvent contraindre à ce choix ?
🎅Idée d’élargir aide médicale pour personnes en fin de vie. Mais c’est quoi être en fin de vie ? Utiliser quand le mort approche et irrémédiable. Mais on meurt tous un jour, sommes nous tous en fin de vie ? Hawkings aurait-il était considéré en fin de vie ? Pourtant vécu longtemps. Bref pas clair.

38
Q
  1. Les grandes conclusions tirées face au choix volontaire de la mort.
A

🎅 Ligne sur la mort volontaire très mince entre éthique de compassion envers la souffrance et un simulacre de liberté.
🎅DOIT naviguer avec ouverture et empathie. Sinon, risque d’abandonner à leur malheur et souffrance l’humanité.
🎅 Conclusion: Le choix volontaire de la mort est un choix traversé des plus hautes tensions qui ne devrait JAMAIS être disqualifié OU banalisée sans une réflexion extrêmement minutieuse ET sans aller à la rencontre de la subjectivité de l’autre.

39
Q

MODULE 11- 1) Les postulats de la neutralité axiologique et sa remise en question.

A

🎅Selon la neutralité axiologique :
- Uni doit s’abstenir de faire des jugements de valeurs et de critiquer.
- Doit décrire et d’expliquer les phénomènes. Explications devraient avoir aucune critique et ne devrait pas chercher à promouvoir changement social. Face au monde, neutralité tout le temps.
- Dans un cours d’histoire, devrait expliquer et décrire événements historiques sans formuler de jugements sur ces évènements. (ex. pas dire horrible quand ww2)
🎅MAIS impossible. En choissant de parler d’un événement x et non y, on fait un jugement de valeur. TOUJOURS une prise de position et un acte politique. Aucune prise de parole peut être neurtre, impossible de supprimer subjectivité. MYTHE! Ceux qui pretende être fully objectif sont aveugle face a leur point de cécité.
🎅On peut pas rester neutre dans un train en marche. Le monde avance dans une direction, rester neurtre c’est collaborer. Rend plus proche du bourreau que de la vicitme. (En ne critiquant pas la justice pénale, collabore statut quo. Complexe en crimino de savoir qui est la victime et le bourreau, rôle souvent interchangeable)

40
Q

2) La subjectivité et l’université.

A

🎅Subjectitivé n’est PAS une opinion personnelle. Peut pas dire n’importe quoi, peut pas inventer une position. C’est d’observer et porter un jugement critique sur les positions diverses.
🎅 La manière dont on se postione sur nos réflexions va se transformer dans la manière dont on va utiliser ou ses réflexions sur le terrain.
🎅Pourquoi s’inscrire a l’université? Deux clans, pour avoir accès a un travail ou pour trois grandes visés. Regarder ces visés pour mieux comprendre : 1) Nous positionner face à ces finalité, 2) comprendre la pertinence de réfléchir aux finalités de tous nos cours, 3) mieux mobiliser les connaissances transmises dans les pratiques.

41
Q

3) L’université et le développement personnel. (visé 1)

A

🎅 Université comme prisme de développement personnel.
🎅 Permet de développer leur subjectivité. De se découvrir, et de se positionner dans notre monde.
🎅 Uni ne devrait pas se limiter à l’apprentissage de compétences techniques. Au contraire :
🎄1) devrait pousser étudiants à se remettre en question, identifié point de cécité.
🎄2) Fournir aux étudiants les conditions optimales pour les aider à parvenir à une émancipation personnelle. Devrait développer leur manière d’être !

42
Q

4) L’université et la formation des citoyens (visé 2)

A

🎅 Lieu de réflexion sur l’existence de la société et de l’humain.
🎅 Devrait créer des citoyens plus aguerris sur divers enjeux du monde.
🎅 Uni devrait favoriser culture générale, curiosité intellectuelle dans une optique d’enrichir l’esprit sur tous les enjeux de la cité. Entretenir réflexion sur l’humanité.
🎄 Uni devrait : 1) Éduquer au jugement
🎄2) Transmettre la passion de la culture
🎄3) Susciter une soif de questionnements
🎄4) Pousser à réfléchir sur le sens de notre présence dans le monde
🎅 Former des citoyens éduqués sur les crises économiques, sociales, etc. important.

43
Q

5) L’observation et la pensée critique. (visé 3)

A

🎅 Uni doit agir comme vecteur de 1) pensée critique, 2) regards critiques sur le monde, 3) actions critiques sur le monde.
🎅 Doit comprendre la signification de critique :
🎄 Critique partisane (ex. simple opinion de récusation ou dévalorisation) : Gens donne un sens au parole selon leur humeur, leur opinion. Critique sans fondement, juste leur opinion. Esprit critique c’est plutôt distinguer les choses qui sous-tendent chacune des conséquences, réfléchir à la modalité de fonctionnement.
🎄 Critique scientifique : Signifie observer, discerner et distinguer.

44
Q

6) La pensée critique et les regards et actions critiques sur le monde.

A

Schémas de la pensée critique :
1. Idées reçus sur le monde ➡️ 2. Idées soumises à un processus d’observation (confronter idée avec terrain, histoire) ➡️ 3. Observation permet séparer opinions des données plus rationnelles ➡️ 4. Donnés analysés à travers différentes perspectives théoriques ➡️ 5. Différentes paires de lunettes font émerger interprétations différentes des données. ➡️ 6. Interprétations soulèvent nouvelle question ➡️ 7. Nouvelles questions complexifient notre compréhension du monde ➡️ 8. Compréhension d’un monde est constamment revisité selon nouvelles données, question, paire de lunette, etc ➡️ COMPRÉHENSION DU MONDE JAMAIS ACHEVÉE.

45
Q

7) La pensée critique face à la carrière ET l’intelligence artificielle

A

🎅 Pensée critique à regard critique. Uni doit créer des remises en questions sur l’état des choses face aux conditions de notre monde.
🎅 Implique explorer forces sociales, les mythes, préjugés, analyse les conséquences des actions qui engendre la marginalisation ou de la souffrance. Permet de comprendre obstacles institutionnels, politique ou idéologique.
🎅 Pensée critique peut se transformer regard critique vis ambition progrès social. Regard critique remet toujours en question le statut quo.
🎅 Pousse à adopter des actions aux visées subversives (reverse l’ordre établi) :
🎄1. Université doit favoriser les actions réformatrices visant l’émancipation des êtres humains (ex. travail humain permit remettre question homo, now normalisé.)
🎄 2. Aider les gens défavorisés, discriminés, marginalisés. Savoir, c’est le pouvoir.
🎅 S’applique vie quotidienne (défense de la marginalité et souffrance) et la carrière.
🎄 Carrière : Acteur au sein ou à l’extérieur de la justice pénale ?
🎁1. Extérieur ? Intérieur ? 2 positions sont légit et se complémentent. Extérieur nécessaire pour critiquer le système, et intérieur nécessaire pour comprendre les réalité des acteurs du système. Aussi, si seulement critique extérieur, c’est juste du bruit vs critique petit a petit de l’intérieur permet de faire du réel changement.
🎅IA : donne des résumés, MAIS - Peut pas éclairer sur les conséquences d’adopter théorie x ou y. - Peut pas apprécier forces et faiblesses des paires de lunettes théoriques.- Peut pas faire ressortir point de cécité. (plus de confiance en l’ia, plus de chance on laisse la garde down et erreur et point de cécité arrive)

46
Q

8) Les exigences externes de l’université

A

🎅Cours construit à partir exigences externes (slide 19). Économie néolibérale, utilité matérielle, marché de l’emploi, exigence étatique.
🎅Cours construit a travers visé présente : Développement personnel, acte citoyen, action / pensé critique, mene peut-etre a carriere.
🎅 Réalité, mélange des deux, importance de la réflexion et de devenir des humains critiques. Oblige quand meme prof de mettre examen etc.

47
Q

9) Les implications des théories dans la compréhension du monde

A

🎅 Importance réflexions épistémologiques et théoriques quand acteurs sur le terrain. Représentation du monde influence nos actions individuelle. Base nos actions.
🎅Ex. soleil pour inca quand une éclipse voulait dire qu’il se faisait manger par une créature donc faisait du bruit pour l’éloigner. Bref, théories meme farfelues impact nos comportements, ici crée comportements farfelu.

48
Q

10)Les quatre préceptes des acteurs critiques en criminologie/justice pénale.

A

🎅1. Ne pas se limiter à la question du crime : Être crimino pas un simplement expert de la transgression. S’intéresser à tous les types de comportements préjudiciables.
🎄Face au comportemnt défini comme crime : a) Doit pas oublier de questionner ce qui est désigné comme déviant et criminel car cette désignation varie selon le temps et résultes de jeux de pouvoir et d’intérêt particuliers qui refléter ordre social stratifié. b) Face a transgression, se demander quelle raison sous-tend présence de norme. c) quand action état engendre souffrance, se questionner sur les raisons mobilisé pour justifier choix d’intervenir dans cette voir plutot qu’une autre.
🎄face au comportement pas défini comme crime : a) quand comportement crée préjudice mais société intervient pas, se questioner sur les raisons.
🎅2. Questionner les étiquettes socialement attribués : Pas définir le crime dans une seule lecture, pas oublier conséquences de son application.
🎄a) Promouvoir interprétations contextualisées des situations “criminelles” et promouvoir regard nuancé sur personne qualifié criminelle. b) Avant de lancer étiquette criminel, nous avons tous déjà transgressé la loi. Éviter de comprendre une personne à travers des étiquettes.
🎅3. Aller à rencontre de la subjectivité de la personne et travailler avec subjectivité : Crimino PAS déprogrammer un criminel et le faire devenir “normal”. C’est aller vers un être humain pour l’aider à maximiser son potentiel, aide a accomplir promesses d’émancipation inhérentes à l’existence humaine. Perspective holiste de la personne.
🎅4. Travailler dans des voies constructives et non afflictives : 1. S’opposer à l’infliction de souffrance stériles, accord valeur aux mécanisme de réparation. Pour allégrer souffrance produite par droit et justice mais aussi souffrance causé par étiquettes et les pratiques d’ostracisation et de persécution. >
🎄 Reconnaitre que affliction ne comble pas besoins victimes. Travailler dans optique qui reconnait que l’intervention pénale répond pas à la plupart des souffrances.
🎄Agir dans optique de limiter les problèmes et les souffrances crée par étiquette.
(Slide 26!!)

49
Q

11) Les trois grandes conclusions sur le cours et la philosophie au fondement de notresession.

A

🎅1. Cours tourné vers le processus non les conclusions. Le but du prof c’est pas nécessairement d’avoir complétement changer notre world view. Mais de nous avoir fait comprendre les implications, donner les outils pour se questionner. Nous avoir permis de nous questionner, nous avoir donné envie de poser des questions. Complexifie les questionnements et les situations.
🎅2. Cours d’introduction dans un monde infini. On sait vraiment rien. On doit avoir l’humilité de reconnaitre les limites de nos connaissances et l’ambition de continuellement complexifier sa pensé. On doit toujours se questionner, sans arrêt jusqu’a notre mort. Les temps change non-stop, on doit toujours modifier nos connaissances et accepter le changement.
🎅3. Voir derrière le rideau : Aller voir plus loin de ce que l’on voit, derrière nos idées recus, nos préjugés, nos jugements de valeur et notre conception et étiquette qui sont promus par la société. (Last capsule : DOIT regarder la personne plus loin que ce qu’on doit, l’individualisé, s’individualisé et réaliser que nous sommes capables de beaucoup plus lorsqu’on délaisse les idées reçues)