Société et justice pénale examen final Flashcards
1.Les nouveaux médiums de connaissance.
Avant, connaissance se faisait de première main (expérience) et par les autorités légitimes (médécins etc), et par des circuits controlés (livre, peer-review etc). Maintenant, par :
*1)L’oligarchies médiatique (ex. 80% des médias appartient a 4 entreprise), *2) Internet et autres outils numériques (ex.podcats) qui donne un faux sentiment de neutralité.
- Les cinq filtres de la machine médiatique et les implications de la thèse chomskienne pour comprendre les médias.
Médias : Média s’interesse a des situations particulière et aborde de façon spécifique. Média n’est pas un miroir de la réalité, le choix de leur nouvelle nous font voir le monde d’une façon en particulier.
- Média sont supposé être contre-pouvoir état, mais en réalité c’est rare. Média sert à fabriquer des citoyens dociles. Médias véhicules message des puissants. Thèse de Chomsky : Manufacturing consent qui dit : Les médias ne sont pas un outil contre-pouvoir, mais un outil indispensable au Pouvoir.
1er filtre. : Des institutions fondamentalement capitaliste. Veulent du profit, le choix des nouvelles et manière de l’aborder n’ont pas comme but l’information, mais le profit. Média critique rarement politiques néolibérales et critique ceux qui revendique changement, car médias sont des oligarchies grâce au modèle actuelle. Le crime est un sujet lucratives. Attention sur des types de crimes en particulier, comme disparation.
2er filtre: Des institutions indissociable des publicitaires. Médias coute cher. Indissociable des intérêts des publicitaires. Thème contraire aux intérêts commanditaire sont occulté (caché). Donc choix des évènements couvert = préférence publicitaire.
3er filtre: Des institutions en symbiose avec le pouvoir. Média vont construire leur contenu sur la base des infos fournies par dirigeants. gov utilise média comme véhicule de propagation. Aussi, chroniquer invite en qualité expert des proche du gov. (sont biasé, comme James= Carfield.p.8).
4er filtre. Les contre-feux : journaliste qui challenge pouvoir sont décrédibilisé. Contre-feux sont des techniques contre les médias qui ne suive pas le “script”. Ex: Contre-messages : quand média trop critique agaisnt armée, lobbyiste gov conférence pour condamner le média pour manque de patriotisme. Perte d’accès à l’info: si trop critique, pu d’accès venant du pouvoir. Pas d’info, pas de nouvelle, pas de profit.
5er filtre. Les boucs émissaires. Média brandir symbole fort du mal, pour construire un ennemi qui sert à faire oublier des problèmes sociétaux complexe. Des diversions. ex. le communisme, immigrants, woke etc.
CONCLUSION : Les 5 filtre ensemble : 1. Engendre contenu médiatique pas but informer, mais de véhiculer messages dirigeants. Crée un consentement autour scripts du pouvoir (conception monde, idéologie). 2. Créer citoyens dociles qui accepte message du pouvoir sans aller voir derrière le rideau de message. a. citoyens se questionne pas sur différence force sur quel info véhiculé par média sont construits. b. citoyen question pas sur but rechercher par média qui dise info a pas b.
MAIS. Théorie est macrosociale. 1. S’applique média traditionnel qui propriété ultra-riche. 2. explique machine médiatique dans l’ensemble. 3. pas pour prétention d’expliquer chaque action des média, mais tendance.
- La question des chroniqueurs et des débats d’idées au sein des médias.
Déterminer que intervention médiations se font selon une position et un intérêt particulier, question sur débats d’idées. : Sont-il égaux ? Non, scientifique vs joe pas égale. Bon parleur qui fait passé pour vrai des informations qui n’ont aucune base scientifique vs un scientifique qui n’est pas un bon parleur mais qui dit de la vrai bonne information de qualité. p.9. Donc parleur gagne débat, mais juste car bon parleur.
- La construction idéologique des nouvelles de crime (et les cinq composantes qui sous-tendent cette construction).
Nouvelles de crimes. Mise en récit par un pattern prédefeni et quasi universel. Car nouvelle pas but informer, mais véhiculer conceptions du crime et de la justice pénale, voire plus largement de véhiculer conceptions particulière de société. Construit idéologique. 5 composante.
1. Le choix de l’évenement. Filtrage ou seulement certains crime aux caractéristique sensationnelles sont mentionné. 3 branches : a. Type singulier de comportement comme violent. b. Type singulier d’accusé comme groupe minoritaire ou célébrité. c. Type singulier de crime, comme victime blanche + attention que victime autochtones.
2. Description du sujet. Descr. d’une personne/groupe qui refusent de se conformer aux prohibitions. renforce Transgresseur. *Renforcement : éléments présente par médias ayant causé crime. Étale évènement majeur de vie ou caractéristique transgresseur. Ampleur négative (homme impulsif etc), peut avoir élément positif qui aurait permis de commettre son acte (ex. Ted Bundy qui dit que beauté permis de faire ses crimes.)
3. Mise à l’avant-plan de l’objet. victime pure et angélique. Victime admirable et transgresseur adverse. Opposé, monstruosité. Enforce que victime est un citoyen moyen qui adhere aux règles du contrat social. Victime incarne ensemble de la société qui respecte valeurs. Média présente victime pour que monsieur tout le monde se reconnaisse.
4. Présentation de l’adversaire: Adversaire positif, le bien. Bien inclut normes, prohibitions etc. En gros, L’entrée en scène de la justice pénale. Sert à montrer que transgresseur seront toujours punis. Bien va gagner. Cette étape que description de l’enquete, recherche du suspect, capture etc. Média présente JP comme force qui triomphera toujours contre mal. Justice pénale est montré comme infaillible.
5. La séquence finale. Quand coupable est puni. doit avoir une belle fin, car montre 1) triomphe de ordre social sur mal, 2) bien-fondé normes sociales. Sans fin, nouvelle pas fini. (ex. cédrika provencher). Dans nouvelle, seule la peine peut confirmer le triomphe des prohibitions sociales donc légitimer leur existence. renforce la nécessité norme sociale.
(Média ne relate pas seulement évènement, il l’inteprete. Dise que crime bad, mais JP sauve. Reflète ordre social. Promu paire de lunette spécifique.
- Les médias comme institutions créatrice de sens.
Les médias ne décrive pas juste, elles sont créatrice de sens, nous font adopter des conceptions bien particulières du monde. Comme dit, existe un cliché que Média sont miroir de la réalité, faux. Média crée du sens dans le sens que en choisissant certains évènement et les traitre d’une manière x ou y, les médias offre au citoyens une façon de comprendre la vie, la justice pénale. Les médias nous font adopter une paire de lunette qui nous font comprendre le monde d’une façon x pas y.
- Les six grandes prémisses de l’infodivertissement et leurs conséquences sur les images véhiculées sur le crime et la justice pénale.
Infodivertissment prétention de s’appuyer sur fait réels, fait croire que portrait représentatif de la réalité.
1. Structures narrative tendancielles. Choix partiaux dans la structure narrative. Plus précisément, que ce soit but d’attirer l’interet auditeur ou d’un parti pris, reconstitution des événements pas toujours impartiale. (p.22). Montre pas l’ensemble de la réalité. Choix de quoi montrer ou pas. Influence sur la population qui pense que réel, se faire une opinion, alors que montre pas tout. Bref, difficile d’être neutre dans reconstitution élément. Rappel que infodiv. est une reconstitution limité, diff impartial.
2. Fausse prophéties : partir d’une conclusion connue et analyser passé pour affirmer que les gestes antérieur étaient signes prémonitoires. (23, dont fuck with cats. Bref : Fause cause a effet (tue un chat veut dire que la personne va tuer someone), différencier facteur de risque et cause à effet)
3. Des focaux d’observation limités et/ou une incomplétude des données : traiter d’un sujet à travers le prisme d’une variable explicative unique et donc exclure les autres voies explicatives possibles. Expliquer sous une seule variable explicative alors que problème a plusieurs variable. Mais pas mentionner. Personne peut penser que le problème est causé par seulement cette variable, alors que c’est faux. Se demander : quelle est la portée du regard sur la situation.
4. Des constructions narratives indissociables de la société. Traiter du crime et de la justice pénale à travers les stéréotypes dominants de la société. Stéréotype criminel. Noir, pauvre, ghetto. Stéréotype intériorisé. Chanson : crée un sentiment que la justice va gagner et les trouver. Prétend montre la vérité, mais montre les stéréotypes. Bref, quand on écoute infodev, Quelle image montre-elle ?
5. Soulever possibilité sans aucune hiérarchie. Soulever plein de possibilités pour rendre énigmatique une histoire sans hiérarchiser la valeur des possibilités. Manière dont possibilités sont présentées peuvent influencer également notre perception. (26). (Hypothèse a full preuve, b 1, mais montre les deux comme égale. Bref, choix des mots importe.
6. Des reconstitutions boiteuses, voire frauduleuses. Prendre des libertés face aux faits, ou dénaturer l’histoire, pour divertir ou pour véhiculer certains messages. romantication. Ex. Cia qui paye pour faire a croire que torture a permis d’empecher Ben ladan, mais en réalité non. Passe un message. Mais gens pense que vrai, car vu dans le film. Bref, gens croit ce qu’il voit, souvent faux comme trouver la personnalité d’un tueur.
CONCLUSION : Infodiv offre portrait limité, reconstruction tendancielle et biaisé de cette réalité. 1. difficile reconstruire justement et impartialement des évènements de nature criminelle. Peut pas présenter sous tout les angles possible ni sous tous les PDV. 2. Car abondance quantitative et intérêt envers crime spectaculaires, portait tendancieux de la réalité.
- Le fonctionnement d’Internet et des réseaux sociaux et leur conséquences (ex. les filtres de personnalisation, les biais de confirmation, etc.).
Internet loi d’être neutre. Info pas aléatoire.
Google : algorithme qui mesure la popularité des pages et les hiérarchiser selon la popularité. + page cité, + document fait preuve d’authorité. algorithme lui accord alors place de choix. Premier résultats sont ceux les plus populaires aux yeux de l’algorithme. 1. Popularité ne signifie pas pertinence et qualité des propos. (article triste vs nuancé et juste), 2. Popularité ne signifie pas véracité et vérité des propos. (fausse info circule plus vite que vrai) 3. Popularité ne signifie pas diversité et profondeur des propos. Moteur donne ce qu’on cherche, expose pas à thèses alternatives.
Filtre de personnalisation: chaque utilisateur a des informations présenté différent selon ses intérêts. Pas juste google, tous les réseaux sociaux. expose à des contenus qui correspondent à leur profil. Crée un court circuitage qui transcende choix usagers. Expose internaute à info qui concorde avec leur opinion, et limite contenu contraire. Mais nous avons rarement connaissance. TROIS CONSÉQUENCES :
1. Bias de confirmation : engendrent biais de confirmation chez utilisateurs, soit une inclination à privilégier informations qui confortent préjugés, idées reçues, convictions, plus largement conception du monde.
2. Chambre d’écho collective : usagers se regrouper en communautés virtuel cimenté autour de sensibilités ou autour d’affinités politiques et idéologiques, car voit même infos. Renfermement sur communauté. Conséquence : valide, renforce ce que membre croient déjà.
3. Radicalisation des opinions: Internet et les réseaux sociaux semblent également libérés chez certains des subjectivités plus débridées, plus suspicieuses, voire plus violentes car communauté qui s’autovalide. Terrau pour radicalisation des idées et opinion comme Pizza Gate.
- Les aléas des podcasts.
- Quantité : Aujourd’hui, qui n’a pas un podcast? Nombre illimité de podcats. Peut trouver n’importe quelle position. Gens tendent à écouter podcats qui cadrent avec leur croyance. Quand on écoute podcasts, moins dans l’information et dans la découverte que dans biais de confirmation.
- Qualité: aucun controle de qualité. Aucune vérification. Seule limite sont le code criminel ou celle de la plateforme qui héberge le podcast. Qualité des propos pas rapport avec la popularité. Souvent, charisme du présentateur attirent le plus de cote d’écoute.
- La post-vérité et la question fait/interprétation.
Conclusion : Information n’est pas partagé aléatoirement/impartialement.
Pas sans conséquences, prolifération de connaissance non-hiérarchisés bouleverse rapport au monde. 1. ERE DE POST-VÉRITÉ. Les faits ont moins d’influence dans le discernement de la vérité que opinion personnelles. Pas une prolifération de mensonge, contraire, car pour parler de mensonges, doit croire a une vérité officile. 2. Dans cas de la post-vérité, VÉRITÉ OFFICIELLE EXISTE PLUS car autorité légitime ont perdu validité. Plusieurs personnes maintenait choissient le vrai du faux selon préférence personnelle. Croit a tort que tout idées sont égales.( magasin d’opinion 37)
Dans société post-vérité, différencier 1) fait tangible (vérité incontestable) 2) d’une interprétation du monde sociale (théorie) est devenu controversé.
Fait ou interprétation ? N’existe pas de critère consensuelles pour différencier fait d’une interprétation d’un fait. Certains interprétation ont plus de preuve, mais au moment ou on dit que c’est une interprétation, on autorise ceux qui dise le contraire de l’utiliser. Deux grande question a se poser : 1. Dans quel condition ont peut tenir une affirmation comme vraie ? 2. Sur quel base on peut venir dire que cette interprétation est vraie ?(38)
- Les nouveaux médiums de connaissance comme moteur de changement social.
- Constat est que médias ont une forte tendance a dénateur réalités sociales. MAIS pas toujours une mauvaise chose.
C’est aussi un puissant moteurs de changements sociaux, ex. Floyd, grace au médias justice a été rendu. Me too. Médium constitue une voie pour créer un monde meilleure, rejoint plus de gens. Permet de connaitre de nouvelle histoire. (39)
MODULE 8. 1. Définition, perception et rapport à la violence.
Mythes : 1. La criminalité est déchaînée, 2. Les récidivistes = des criminels dangereux, 3. Les immigrants sont tous des criminels/les criminels sont des inconnus, 4. La justice pénale canadienne est trop laxiste, 5. Il faut augmenter les peines pour diminuer la criminalité.
1, Criminalité est déchainé, a) jeunes + violent, b) fusillades/homicide ++.
🎅Jeunes : Dépend comme plus en plus violent. Mais.. vieilles générations trouvent TOUJOURS que jeunesse de plus en plus violente. Idée de jeunes qui se regroupe avec des substances pas nouveau. En réalité, diminution, surtout d’agressions sexuelles. Car société donne des étiquettes pour des comportements. Les gens se sont toujours rejoint entre eux, mais l’étiquette de gang de rue est récente, ce qui fait a croire que c’est un nouveau problème. Besoin de questionner sur si l’étiquette a changer.
- La violence physique change toujours selon l’étiquette, comme avant enfant qui frappait parent était de l’éducation, maintenant un crime grave.
- Flucations complète des perceptions sociales qui constituent la violence.
- Bref, avant de se demander si la violence est en augmentation, regarder si la définition a changer. Si la définition n’a pas évoluer, été modifier.
🎄Constas finaux face a violence : 🎁1. définition de la violence a grandement évolué et elle va continuer. 🎁2. comportements qui sont aujourd’hui jugés comme violents étaient par le passé beaucoup plus fréquents ET surtout plus tolérés. 🎁3. Le plus grand changement est relatif à notre tolérance face à certains types d’actions que nous allons définir (ou non) comme de la violence. 🎁4. remettre en question la définition de la violence pas synonyme de dévaloriser dommages causés, mais de développer une compréhension plus juste pour intervenir better sur les situations/comportements qui causent des souffrances. 🎁5. définir nouvelles formes de comportements comme de la violence = signe d’une société saine qui se remet en question et qui est plus sensible aux préjudices subis par ses membres. (Pacification des moeurs, moins en moins violente mais de plus en plus peur des crimes.)
- Les limites et les implications entourant les statistiques de la criminalité
🎄- Meurtre en diminution constante. Canada est un pays sécuritaire, plus que Mexique ou US mais moins que France ou Grande-Bretagne.
- Mais crime partout dans médias, est-ce qu’il y a une augmentation des crimes graves recement ? armes a feu, augmentation de 6.3%. Taux d’infraction diminution de 19,8%, complot diminution et entré infraction diminution. Grand augmentation aggressions sexuel rapporté police, 28,7%.
- Avec stats agression augmentation, vraiment plus de viol ? Non. Arriver du Me Too. LE CONTEXTE IMPORTE!!! Permet de comprendre que les aggressions sexuelles sont plus reportés.
🎄- Effets des statistiques policières :
1. Créer des vagues d’insécurité parfois infondées: ex. si médias disent que crime de gang ont doublé, population aura peur de ce type de crime. Hors, possible que la criminalité réelle soit la meme, mais que la criminalité enregistrée est augmenté. Donc aucune réel risque de plus.
2. Créer des perceptions faussées et discriminatoire, mettre accent sur certains type de crime, de personne pas d’autre.
3.Donner un faux portrait des différents types préjudices. Stats relaye crime très visible et montre pas crime moins visible. Population peuvent surévaluer la dangerosité de certains comportments.
4. Donner l’impression de relayer portrait de la criminalité, mais davantage portait des choix des agences pénales/gouvernements. (p.16)
🎄- Conclusion : un chiffre à lui seul ne nous apprend pas grand-chose. TOUJOURS remettre en contexte, se rappeler du chiffre noir. Que stats juste crime visible. On doit regarder derrière le rideau, stats = une interprétation de réalité, faire attention car influence notre perception.
- La distinction manquement/récidive.
- Les récidivistes = des criminels dangereux
récidive : Retour dans système judicaire, mais pas obliger d’etre de quoi d’intense. veut pas dire qu’un meurtrier va refaire un meurtre. Peut être juste possession de drogue ou autre. Récidiviste n’a pas nécessairement fait de prison pour son premier crime. Maj. des récidives sont extrêmement moins grave que le premier crime.
Manquement : revocation de la liberté conditionnelle car la personne a manquer une condition. Représente 20% des révocations. Conditions peuvent sembler facile a respecter, mais non. Un rendez-vous est vite manqué quand plein de problèmes personnel, santé etc. consommation peut devenir une solution plutôt qu’un problème. (ex. durant covid, pas suivre règle car “pas de risque de l’attraper si je sors une fois”, meme chose. “risque pas de faire de la récidive si je bois du vin le 24 au soir.”
- Les grands constats entourant la récidive au Canada
-prov. 20% manquement, 2% récidive révocation.
- fed. 10% manquement, 3% récidive.
- Les choses peuvent s’améliorer ! retour en arrière sont possibles. Histoire a succès existe, Comme Shaun Weiss, acteur qui a eu déméler justice et probleme de drogues, qui s’est complétement réhabiliter.(22)
- Les pratiques auto-référentielles de la justice pénale.
- Les immigrants sont tous des criminels/les criminels sont des inconnus.
pratiques auto-référentielles = actions dont la légitimé prend forme à travers l’acocmplissement de l’action.
Exemple : Police intervient auprès public d’« étrangers » parce qu’elle pense y trouver + de délits et, quand trouve ce qu’elle cherche, voit la confirmation que étrangers sont « criminels ». Donc des cibles légitimes.
- Les biais dans les représentations sociales sur le crime et le contrevenant(et les variables sous-tendant la construction de ces biais).
- Tendance à arrêter beaucoup plus marginaliser, gens de couleur pauvre.
- Certains immigrants commentent des crimes (comme blancs), mais se rappeler que associer l’origine et le passage à l’acte : explication causale fausse. En gros : origine ethnoculturelle n’est peut-être nullement explicative d’un crime commis par une personne qualifiée d’étrangère.
- Mettre focus sur étranger = essentialiser cette caractéristique. Comportement criminalisable d’un étranger s’expliquer de PLEIN de raison. Nous choisissons socialement de dire que délinquance = origine.
- Essentialiser une caractéstique : tout expliquer sous les lunettes d’une caractéristique. ex. toujours tout voir sous l’idée que la personne est laide. Donc si rejet, car laide. Si pas travail, car laide etc. Même chose pour race.
- Idée rependu que criminels sont des inconnus. FAUX. Femme 9 fois + risque assassiné par son conjoint que par inconnu. 90% meurtriers connus de la victime. 60 à 80% connaissait agresseurs sexuels. Réalité = connu.
- La sévérité pénale (connaissance du public, demandes du public et les manières d’évaluer le degré de sévérité.).
- La justice pénale canadienne est trop laxiste.
- Population PAS exposé à la plupart des peines données. Seules connaissances sont les crimes sensationnel. Population a donc un portrait qui est loin de la réalité. Comme Guy Turcotte, jugé non-coupable car maladie mentale, mais pression public si grosse que new procès.(29)
- Mais, quand public vraiment informé, tendance a choisir même peine que le tribunal. Étude (30). Journal = peine pas assez grande. Procès verbaux officiel = peine trop sèvere. Bref, les journaux pousse x, avoir vrai info pousse a voir différemment la question de la sévérité de la peine.
- Étude Stike Laws = théoriquement, appuie peine a vie sans libération (88%) mais quand contexte, seulement 17%. EN GROS: 🎄D’une facon philosophique, citoyens réclame des peines plus sévère. MAIS, quand c’est question d’attribvuer une peine à un être humain, avec son histoire, le contexte, citoyens embrasse PAS la sévérité pénale. Mais le désir seulement est pris en contexte par les politiciens dans notre société…
- Comment évaluer le degré de sévérité ? a) Comparé, mais si on compare US, CA est laxiste et si on compare Europe, CA est sévère. Dire que le moins macho dans une gang de trumpiste veut pas dire que la personne est féministe. b) Face a une finalité de la peine?
- Les limites et les critiques de la dissuasion.
- Il faut augmenter les peines pour diminuer la criminalité.
- difficile 1) de mesurer l’efficacité dissuasive des peines et quand possible, 2)la sévérité pénale ne semble pas très dissuasive. Comment évaluer ce qui n’est jamais réalisé ? (33)
- basée sur choix rationnel (calcul coûts et bénéfices), donc si les coûts de l’action sont supérieurs aux bénéfices, la personne agira en conséquence.
🎁- Grande failles : 🎄- On doit CROIRE qu’on va être attrapé. 🎄- Donc, dissuasion ne marche pas si croit que en mesure d’échapper à la police / justice.🎄 - On doit aussi déjà avoir connaissance de la loi. 🎄- Émotion égale pas réflexion rationnelle. Sous état, peut être incapable de prendre en compte potentiel conséquences. Pas toujours rationnel. 🎄- Cout est un risque, pas une certitude. a) Peine est un risque contrôlable, pas efficace si croit que peut s’en sortir. b) Tolérance variable face risque, chacun tolérance différente face risque d’être frappé cout de la peine. Chez même personne, tolérance va varier selon situation.(35)
- Veut pas dire que aucune dissuasion, mais rattacher des conséquences à certains types d’action va diminuer la tendance de certaines personnes à le faire. Déconstruire idée que augmentation sévérité peine dissuade + de gens. (36, exemple rond rouge). Dissuasion fonctionne pour ceux qui en ont pas de besoin et marche pas pour ceux qui en ont de besoin.
- La propension symbolique des actions de la justice pénale.
Majorité des lois et des actions de la justice pénale cherchent à sévir
(tough on crime) afin d’illustrer une intransigeance et une impitoyabilité envers la criminalité. ➡️Peut générer des avantages pour les décideurs publics /légitimer l’allocation des ressources des agences pénales ➡️Mais ces lois et actions ont souvent peu ou pas de considérations envers leurs impacts/retombées concrètes.➡️Réformes de la justice pénale sont souvent symboliques : Des lois/actions qui jappent fort, mais mort pas.
Majorité politique pénale veut pas rendre la justice plus efficace, mais est symbolique. Est-ce que créer un nouveau type d’infractions permet de diminuer un crime ? non. Cherche juste à dire que la justice agit. Réforme qui jappe fort, mais qui ne mort pas, aucune vrai influence (37)