Septembre 2016 Flashcards

1
Q

Le colloque du Darmouth College aux Etats-Unis :
A – est considéré comme fondateur de l’intelligence artificielle.
B – a réuni plusieurs chercheurs, dont E. Hutchins, L. Suchman, D. Norman.
C – a réuni des chercheurs dont H. Simon, H. Gardner, N. Chomsky et G. Miller.
D – est centré sur les principes de la grammaire générative.

A

A – est considéré comme fondateur de l’intelligence artificielle

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2
Q
Quelle est la métaphore centrale utilisée par les chercheurs en Intelligence artificielle pour décrire l’esprit humain ?
A – l’ordinateur.
B – une machine à traduire des langues. 
C – un programme informatique.
D – un jeu d’échecs.
A

A – l’ordinateur.

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3
Q

Une des dimensions fondamentales du cognitivisme est de comprendre :
A – ce qui fait sens pour la personne.
B – la pensée comme un mécanisme de traitement de l’information.
C – l’activité humaine.
D – l’expérience de la vie quotidienne

A

B – la pensée comme un mécanisme de traitement de l’information.

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4
Q

Quelle est la thèse principale du post-cognitivisme ?
A – l’activité cognitive ne peut se limiter à une résolution de problèmes s’appuyant sur des représentations symboliques.
B – l’esprit humain est fondamentalement un dispositif de traitement de l’information.
C – le cerveau fonctionne comme un micro-ordinateur.
D – le traitement de l’information permet de trouver des solutions efficaces aux problèmes

A

A – l’activité cognitive ne peut se limiter à une résolution de problèmes s’appuyant sur des représentations symboliques.

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5
Q

Pour Jérôme Bruner, il est essentiel de :
A – construire une science cognitive qui explique la façon dont l’information est traitée.
B – réfléchir au rôle constituant de la culture sur les systèmes symboliques.
C – comprendre la façon dont l’information est pré-codée dans l’ordinateur.
D – analyser la distribution de l’information dans un système cognitif.

A

B – réfléchir au rôle constituant de la culture sur les systèmes symboliques

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6
Q

Qui a impulsé le courant de “l’action située” et quand ?
A – Jérôme Bruner et George Miller, dès l’année 1956.
B – Ed Hutchins à partir des années 1990.
C – Lucy Suchman à partir des années 1980.
D – Lev Vygotski à partir des années 1930.

A

C – Lucy Suchman à partir des années 1980.

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7
Q

Quel est le lieu d’où a émergé le courant de “l’action située” ?
A – un séminaire de recherche qui s’est tenu au Massachusset.
B – le centre de recherche Xerox à Palo Alto.
C – le centre de recherche de science cognitive à San Diego.
D – l’Institut de psychologie de Moscou.

A

B – le centre de recherche Xerox à Palo Alto.

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8
Q

Le courant de l’action située met la focale sur :
A – l’action guidée par des plans par rapport à l’importance de la non-détermination de l’action.
B – l’indétermination de l’action par rapport à l’action guidée par des plans.
C – les processus de pensée qui permettent de traiter l’information par rapport à la signification créée et négociée dans une communauté.
D – le comportement dirigé par des objectifs par rapport aux actes réflexes.

A

B – l’indétermination de l’action par rapport à l’action guidée par des plans.

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9
Q
Quel est le nom du scientifique à qui l’on doit l’approche historico-culturelle ?
A – Edwin Hutchins. 
B – Lucy Suchman. 
C – Pierre Rabardel. 
D – Lev Vygotski.
A

D – Lev Vygotski.

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10
Q

A quoi s’intéresse la théorie de l’activité ?
A – aux processus cognitifs de l’activité et aux rôles des artefacts.
B – au découpage de l’activité en représentations internes et externes.
C – au développement historique de l’activité et au rôle médiateur des artefacts.
D – au développement de l’activité distribuée et aux rôles de représentations externes.

A

C – au développement historique de l’activité et au rôle médiateur des artefacts.

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11
Q

Quel est le niveau intermédiaire de la structure hiérarchique de l’activité de Leontiev ?
A – l’action orientée par un but.
B – l’opération en relation étroite avec des conditions. C – l’activité orientée par un motif.
D – l’activité orientée par un but.

A

A – l’action orientée par un but.

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12
Q

Quel est le troisième niveau de la structure hiérarchique de l’activité de Leontiev ?
A – l’opération orientée par un but.
B – l’opération en relation étroite avec des conditions.
C – l’action orientée par un motif.
D – l’activité orientée par un but.

A

B – l’opération en relation étroite avec des conditions.

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13
Q
Quel est le nom du scientifique qui a ouvert la voie des théories de l’activité dans les pays nordiques ?
A – Lena Nooros. 
B – Yrjo Ochanine. 
C – Alexis Leontiev.
D – Yrjo Engeström.
A

D – Yrjo Engeström.

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14
Q

Que permet de modéliser le système d’activité d’Engeström ?
A – les interactions entre sujets dans l’organisation.
B – le travail individuel, collectif et son inscription dans l’organisation.
C – le travail de concepteurs dans une organisation.
D – les interactions entre concepteurs dans l’organisation

A

B – le travail individuel, collectif et son inscription dans l’organisation.

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15
Q

Parmi les propositions suivantes, laquelle synthétise le mieux le double objectif de l’ergonomie francophone ?
A – comprendre les interactions entre les humains et les autres éléments d’un système.
B – analyser les processus cognitifs de l’homme et définir des recommandations pour la conception.
C – comprendre l’activité humaine pour améliorer les conditions de réalisation de l’activité.
D – contribuer à la conception et à l’évaluation des tâches et des produits afin de les rendre compatibles avec les besoins et les limites de l’individu.

A

C – comprendre l’activité humaine pour améliorer les conditions de réalisation de l’activité.

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16
Q

Qu’est-ce que l’ergonomie francophone, par le recueil de commentaires des acteurs sur leur propre activité, cherche à identifier ?
A – la signification pour les acteurs de leurs actions.
B – les processus cognitifs sous-tendant toute tâche professionnelle.
C – les dimensions cachées de l’activité notamment cognitives et émotionnelles.
D – les plans qui guident l’action

A

A – la signification pour les acteurs de leurs actions

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17
Q
Quel est le nom du scientifique à qui l’on doit la théorie instrumentale ?
A – Edwin Hutchins. 
B – Alexis Leontiev. 
C – Pierre Rabardel. 
D – Lev Vygotski.
A

C – Pierre Rabardel.

18
Q

: La théorie instrumentale considère l’homme comme un sujet non divisible, ce qui signifie que :
A – l’homme ne peut être compris en tenant compte séparément sa vie privée et professionnelle.
B – l’homme est engagé dans des activités et des systèmes d’activités qui conditionnent ses tâches.
C – l’homme est engagé dans des activités et des systèmes d’activités inscrits dans des rapports sociaux de vie et de travail.
D – l’homme peut être compris en étudiant ensemble ses représentations internes et externes.

A

C – l’homme est engagé dans des activités et des systèmes d’activités inscrits dans des rapports sociaux de vie et de travail.

19
Q
Quelles sont les dimensions des schèmes d’utilisation dans la théorie instrumentale ? 
A – privée et sociale.
B – technique et humaine. 
C – interne et externe.
D – personnelle et inter-personnelle
A

A – privée et sociale.

20
Q

Quelles sont les dimensions des genèses instrumentales dans la théorie instrumentale?
A – L’accommodation et l’assimilation.
B – La construction de schèmes opératoires et une recherche d’équilibre entre le sujet et son environnement.
C – L’instrumentation et l’instrumentalisation.
D – L’adaptation des artefacts à l’homme et la constitution de l’instrument.

A

C – L’instrumentation et l’instrumentalisation.

21
Q

L’objectif de l’étude menée par Chassaing (2004) dans le secteur automobile est d’analyser précisément :
A – la tâche des opérateurs.
B – les principes qui sous-tendent les modes opératoires.
C – les principes qui sous-tendent les processus mentaux.
D – les effets des modes opératoires sur l’efficacité productive.

A

B – les principes qui sous-tendent les modes opératoires.

22
Q

Dans l’étude menée dans le secteur automobile, Chassaing (2004) conclut que le geste :
A – ne renvoie pas simplement à une exécution.
B – doit être interprété à partir de la compréhension d’objectifs visant la qualité et la production.
C – doit être standardisé pour permettre la préservation de la santé.
D – et propre à chacun, et ne repose pas sur des principes communs aux opérateurs.

A

A – ne renvoie pas simplement à une exécution.

23
Q

Dans son étude sur l’activité de conduite, Villame (2004) postule que :
A – la cognition est uniquement contenue dans les processus perceptifs internes à l’acteur.
B – la cognition est uniquement contenue dans les processus mentaux internes à l’acteur.
C – la cognition est considérée comme instanciée dans la perception.
D – la cognition est considérée comme instanciée dans l’action.

A

D – la cognition est considérée comme instanciée dans l’action.

24
Q

Dans la démarche ergonomique, l’étape d’analyse de la demande vise à :
A – mettre en œuvre des observations ouvertes de la situation.
B – soulever des enjeux non identifiés a priori.
C – formuler un pré-diagnostic de la situation.
D – valider le pré-diagnostic formulé.

A

B – soulever des enjeux non identifiés a priori.

25
Q

À partir d’observations et d’entretiens menés sur le terrain, l’ergonome formule des hypothèses en établissant des liens entre :
A – La diversité et la variabilité des situations.
B – La tâche, l’activité réelle et les écarts entre les deux.
C – Le couplage entre les déterminants internes et les déterminants externes.
D – Les déterminants, l’activité déployée, et ses effets.

A

D – Les déterminants, l’activité déployée, et ses effets

26
Q

Dans la démarche ergonomique, le diagnostic :
A – oriente les actions de transformation de la situation.
B – signe le début de l’intervention.
C – est formulé par les acteurs rencontrés sur le terrain.
D – est formulé à partir des observations ouvertes menées sur le terrain.

A

A – oriente les actions de transformation de la situation.

27
Q

Pour Guérin et coll. (2001), la démarche ergonomique :
A – consiste en une application d’outils pré-construits.
B – est linéaire et chronologique.
C – est singulière.
D – fournit des solutions toute faites.

A

C – est singulière.

28
Q

Dans la démarche ergonomique, les observations ouvertes visent à :
A – reformuler la demande initiale.
B – établir des liens entre les caractéristiques de la situation.
C – proposer un diagnostic d’activité.
D – valider le pré-diagnostic.

A

B – établir des liens entre les caractéristiques de la situation

29
Q

Les observations ouvertes reposent sur :
A – la consultation de documents de l’entreprise.
B – des entretiens d’auto-confrontations.
C – des prises d’informations visuelles et des échanges.
D – des grilles de saisie de données.

A

C – des prises d’informations visuelles et des échanges.

30
Q
Les observations ouvertes sont également appelées :
A – observations interruptives. 
B – observations spontanées. 
C – observations assistées.
D – observations flottantes
A

D – observations flottantes

31
Q

En ergonomie, le diagnostic synthétise l’ensemble des données recueillies :
A – lors de l’étape d’analyse de la demande.
B – lors de l’étape d’analyse de la prescription.
C – lors de l’étape d’analyse de la tâche.
D – lors de l’étape d’analyse de l’activité.

A

D – lors de l’étape d’analyse de l’activité.

32
Q

En ergonomie, les observations systématiques :
A – sont utilisées dans les phases préliminaires de l’analyse.
B – sont menées par l’opérateur lui-même en situation naturelle.
C – sont menées avec une grille d’observation fine.
D – sont menées à la fin de la démarche, pour évaluer les apports de l’intervention.

A

C – sont menées avec une grille d’observation fine.

33
Q

Citez une catégorie d’observables utilisée dans l’étude menée dans le secteur automobile sur l’activité de picking (Ekodo, Toupin, 2003) :
A – l’activité de contrôle du serveur.
B – les pièces manipulées par les serveurs.
C – la taille des serveurs.
D – les passages à l’infirmerie

A

B – les pièces manipulées par les serveurs

34
Q
Les verbalisations recueillies lorsque l’opérateur communique avec autrui sont :
A – les verbalisations interruptives. 
B – les verbalisations consécutives. 
C – les verbalisations spontanées. 
D – les verbalisations simultanées.
A

C – les verbalisations spontanées.

35
Q
Dans quel type de verbalisation, cette consigne pourrait être donnée : « dès que vous détectez une erreur pendant la réalisation de votre activité de picking, formulez-la à voix haute » :
A – les verbalisations interruptives. 
B – les verbalisations consécutives. 
C – les verbalisations spontanées.
D – les verbalisations simultanées.
A

D – les verbalisations simultanées.

36
Q

Les verbalisations interruptives sont difficiles à mettre en œuvre lorsque :
A – l’opérateur est sous contraintes temporelles.
B – l’opérateur ne dispose pas de traces vidéo de son activité.
C – l’opérateur n’est pas inséré dans un collectif de travail.
D – l’opérateur est novice.

A

A – l’opérateur est sous contraintes temporelles.

37
Q

Dans son étude sur l’activité de conduite, Villame (2004) a demandé au conducteur d’expliciter son activité :
A – à partir d’une grille d’actions à remplir après l’activité de conduite.
B – à voix haute pendant la réalisation même de l’activité.
C – lors d’un entretien d’explicitation.
D – lors d’un entretien d’auto-confrontation

A

B – à voix haute pendant la réalisation même de l’activité.

38
Q
Quelle méthode permet de reconstituer artificiellement sous forme de récits les modes opératoires d’un individu :
A – les verbalisations simultanées. 
B – les verbalisations provoquées. 
C – les simulations langagières. 
D – les stimulations verbales.
A

C – les simulations langagières.

39
Q

: A la fin de son intervention, l’ergonome :
A – joue un rôle de « réverbère, éclairant les prescripteurs chargés de formuler des solutions ».
B – propose des solutions qui seront nécessairement réexaminées par les acteurs du terrain.
C – propose des solutions majoritairement ciblées sur les aspects techniques de la situation analysée.
D – propose des solutions majoritairement ciblées sur la santé.

A

B – propose des solutions qui seront nécessairement réexaminées par les acteurs du terrain.

40
Q

L’ensemble des données recueillies sur le terrain (via les observations, les entretiens, les verbalisations) reste la propriété :
A – du demandeur de l’étude.
B – des opérateurs ayant participé à l’étude.
C – de l’ergonome.
D – du responsable des conditions de travail.

A

C – de l’ergonome.