cadre méthodologique Flashcards
A la naissance de la discipline, l’ergonomie s’est principalement centrée sur des problématiques en lien avec : A – La formation. B – Le travail. C – Le handicap. D – Le domaine de l’enfance.
B – Le travail
L’ergonomie s’intéresse majoritairement aux activités en situation : A – Simulée. B – Non écologique. C – Expérimentale. D – Naturelle.
D – Naturelle.
On dit que l’ergonomie vise à : A – Observer pour inférer. B – Interroger pour évaluer. C – Comprendre pour agir. D – Interpréter pour améliorer
C – Comprendre pour agir.
En ergonomie, la tâche prescrite :
A – Ne dépasse jamais les prescriptions.
B – Est la tâche conçue par celui qui en commande l’exécution.
C – Prend en compte les nouveaux buts que peut se fixer l’opérateur.
D – Est la tâche conçue par celui qui l’exécute
B – Est la tâche conçue par celui qui en commande l’exécution.
En ergonomie, la notion de diversité :
A – Renvoie aux différences intra-individuelles.
B – Ne renvoie qu’aux personnes qui composent les populations de travail.
C – Se définit de façon synchronique.
D – Se définit de façon systématique
C – Se définit de façon synchronique.
Dans l’étude menée dans le secteur automobile (Ekodo, Toupin, 2003), on observe une évolution des pratiques des serveurs avec l’expérience ; cela illustre le concept de : A – Diversité inter-personnelle. B – Diversité des situations. C – Variabilité intra-personnelle. D – Variabilité des situations.
C – Variabilité intra-personnelle.
Dans le modèle d’analyse de l’activité de Leplat (1997), les déterminants :
A – Peuvent concerner les caractéristiques propres à chaque individu.
B – Exercent leur influence isolément.
C – Sont des éléments de réponse à la question « comment l’acteur agit ?».
D – Peuvent être en lien direct avec les effets
A – Peuvent concerner les caractéristiques propres à chaque individu.
Dans ce modèle d’analyse, les déterminants sont en rapport avec les effets par l’intermédiaire :
A – Des compétences du sujet, de son expérience.
B – De l’activité.
C – De la tâche prescrite.
D – De l’organisation du travail
B – De l’activité.
Dans ce modèle d’analyse, on peut retrouver dans les effets sur le sujet :
A – Des postures.
B – Des conséquences sur les collègues de travail.
C – Des incidents.
D – Un accroissement des compétences de l’opérateur.
D – Un accroissement des compétences de l’opérateur.
Question 10 : L’action de l’ergonome :
A – S’organise autour d’une démarche type.
B – Fournit des solutions toutes faites.
C – Propose un modèle d’intervention unique par thématique.
D – Consiste en une application d’outils toujours identiques.
A – S’organise autour d’une démarche type.
La phase d’analyse de la demande :
A – Se mène unilatéralement, par l’ergonome.
B – Se mène bilatéralement, par l’ergonome et le demandeur.
C – Se mène bilatéralement, par l’ergonome et le service « conditions de travail ».
D – Se mène avec tous les acteurs qui jouent un rôle dans la situation de travail.
D – Se mène avec tous les acteurs qui jouent un rôle dans la situation de travail.
En ergonomie, les hypothèses du pré-diagnostic :
A – Visent à proposer des pistes de solution aux problèmes posés.
B – Permettent de tisser des premiers liens pour expliquer les problèmes identifiés.
C – Sont formulées par les acteurs rencontrés sur le terrain.
D – Sont formulées à partie des observations systématiques
B – Permettent de tisser des premiers liens pour expliquer les problèmes identifiés.
Dans la démarche ergonomique, le diagnostic :
A – Signe la fin de l’intervention.
B – Met en cohérence et synthétise l’ensemble des données recueillies lors de la phase d’analyse de la demande.
C – Vise à formuler les hypothèses.
D – Est formulé en situation naturelle par les opérateurs.
A – Signe la fin de l’intervention.
Pour Rabardel et coll. (2002), les recommandations proposées à la fin de l’intervention ergonomique :
A – Sont co-élaborées, entre autres, par l’ergonome et les opérateurs concernés.
B – Sont décidées par les concepteurs et ingénieurs.
C – Ne portent pas sur les représentations du travail.
D – Ne portent que sur des équipements de protection individuels et collectifs.
A – Sont co-élaborées, entre autres, par l’ergonome et les opérateurs concernés.
Dans la démarche ergonomique, les résultats d’analyse doivent être restitués, avant toute diffusion :
A – Au demandeur de l’étude.
B – Aux opérateurs ayant participé à l’étude.
C – Au service des méthodes.
D – A l’ergonome du site.
B – Aux opérateurs ayant participé à l’étude.
En ergonomie, analyser l’activité suppose :
A – D’appliquer des méthodes définies à l’avance.
B – De mobiliser des connaissances et des méthodes, à articuler de façon pertinente dans des situations expérimentales.
C – De choisir une méthode en fonction de ses prérequis et limites.
D – De sélectionner une seule et unique méthode.
C – De choisir une méthode en fonction de ses prérequis et limites.