Semaine 8 Flashcards
La légitimation des programmes correctionnels réside dans quoi ?
Elle réside dans la capacité à minimiser les risques futurs en réformant l’individu.
En quoi dépendent les décisions administratives au sujet de la gestion de la sentence du délinquant ?
Elles dépendent de la volonté et de la capacité du délinquant à prendre conscience de ses propres facteurs criminogènes.
Qu’est-ce qui peut entraîner le transfert dans une institution à sécurité maximale ou même à un refus d’une libération conditionnelle ?
Le fait de ne pas se soumettre à la stratégie de réduction/gestion du risque.
Des évaluations correctionnelles du risque incluent des variables telles que : “vit dans un milieu criminogène ou logement instable”.
À quoi ces situations sont reliées plutôt que le signe d’un refus d’adopter un mode de vie moins criminalisé ? (2)
- pauvreté
- l’incapacité de se trouver un logement abordable en milieu urbain.
À partir de quoi l’opinion des praticiens se forme ?
aux normes dominantes sur la culture et le genre
La rationalité de calcul du risque est : _____ et _____
discrétionnaire et subjective
Dans la plus grande partie de la recherche fondée sur le risque, les définitions des risques sont _____ et reflètent les caractéristiques des _____ plutôt que des _______
- Statistiques
- Populations
- Individus
Pourquoi la validation des barèmes actuels d’évaluation du risque et du besoin est problématique lorsque appliquée à la population féminine ?
Parce qu’elle est basée sur la recherches et les théories applicables à la criminalité masculine
Qu’est-ce qu’on doit considérer pour établir des programmes d’intervention efficaces qui répondent aux besoins des femmes délinquantes et qui parviennent à diminuer le risque de récidive ? (3)
- Profil démographique
- L’historique de la population féminine
- L’impact des facteurs de vie sur leur criminalité
En quelle année la Prison pour femmes de Kingston est fermée ?
Pourquoi ?
6 juillet 2000
Suite aux événements survenus en 1994, il y a eu une Commission d’enquête (Rapport Arbour 1996), présidée par l’ancienne juge de la Cour Suprême Louise Arbour
Qu’est-ce que dénonce le Rapport Arbour ?
Les femmes et les minorités culturelles ont des besoins et des caractéristiques qui différent de ceux des hommes; c’est pourquoi l’approche doit être différente.
Au sujet des femmes autochtones, qu’est-ce que le Rapport Arbour souligne comme problématiques spécifiques ? (6)
- La surreprésentation dans la population carcérale
- Le caractère distinctif de leur culture, leur langue et leurs habitudes sociales par rapport aux autres femmes dans les pénitenciers.
- La différence marquante de leur histoire personnelle et sociale.
- La différence significative quant aux délits commis.
- L’éloignement géographique comme fardeau particulier.
- Leur approche holistique de la guérison et de la réintégration qui va à l’encontre de la philosophie et de la culture traditionnelle des prisons.
Qu’est-ce que le Rapport Arbour fait ressortir comme différences par rapport aux femmes ? (3)
- Leurs crimes
- Leurs facteurs criminogènes
- Leurs besoins correctionnels en matière de programmes et de services
Quels sont les désavantages de l’institutionnalisation sur les minorités ? (7)
- Racisme
- Expériences dans les internats
- Taux élevé de chomage
- Analphabétisme
- Alcoolisme
- Exigences culturelles conflictuelles
- Les différences des conditions régionales, des expériences de vie et des structures sociales dans les communautés autochtones
Vidéo prison El Salvador :
Depuis quelle année elle est ouverte ?
Combien de détenus elle contient ?
Quelle est la capacité maximale ?
- 2023
- 2000
- 40 000