Séance 7 Flashcards
Quelles sont les facteurs du message selon l’école de Yale? (10)
- nombre d’arguments
- utilisation de la peur
- intelligibilité
- répétition du message
- style de la présentation
- unidirectionnel/bidirectionnel
- conclusion au message
- théorie de l’inoculation
- identification de la source
- ordre de présentation
Vrai ou faux. Plus un message est facile à comprendre, plus la persuasion est efficace?
Vrai. Plus l’intelligibilité est grande, plus c’est facile de comprendre et ça améliore aussi la rétention des arguments, on retient plus facilement.
Lorsqu’il y a trop d’arguments dans un message, qu’est-ce que ça peut entrainer?
de l’ennuie, de la fatigue et de l’irritation. c’est trop lourd à comprendre et on se tanne
il y a aussi un risque d’information overload (maximum 7 ARG par message)
En quoi consiste le low fear?
Plus la peur est faible, meilleure est la persuasion.
Pourquoi Leventhal croit-il qu’une peur élevée est plus efficace?
Il vient du milieu clinique.
On pousse les gens très loin.
Ils voient que c’Est dangereux
Ça change ainsi les comportements
La stratégie basée sur la crainte repose sur 3 critères:
- Les conséquences négatives perçues à garder le comportement et ne pas en adopter un nouveau.
- Les probabilités personnelles à subir les conséquences
- Les probabilités d’éviter les conséquences si je change de comportement (solution efficace)
Selon Janis et Feshbach, le drive-reductiony theory est basé sur quoi?
C’est comme une relation curvilinéaire entre la peur et la persuasion.
Le modèle des réponses parallèles de Leventhal consiste en quoi?
Il vise à comprendre les conséquences.
D’un côté il y a le contrôle de la peur de cette conséquence qui est émotif, incontrôlable.
De l’autre, il y a le contrôle du danger, où c’est l’aspect cognitif des gens qui entre en ligne de compte, où nous pouvons expliquer.
Le modèle de Rogers de protection-motivation theory en est un exclusivement cognitif. De quelle manière arrivons-nous à l’adoptions du comportement prescrit?
la gravité de la menace perçue, la vulnérabilité perçue et l’efficacité perçue
DEVIENT
motivation à la perception
DEVIENT
adoption du comportement prescrit
Le modèle des réponses parallèles étendues de White est presque semblable à celui de Leventhal. Comment s’applique t’il?
Après avoir été exposé à un message menaçant, on analyse le message selon 2 variables. La première est la sévérité de la menace perçue alors que la seconde est la vulnérabilité perçue. Il y a ensuite un éveil à la peur.
On regarde ensuite si le message a porté fruit, s’il a été efficace. Si les recommandations sont faites, si la personne croit que c’est rentré dans sa tête, si le contrôle du danger est expliqué, nous adopterons alors le comportement. Cependant, si on contrôle la peur, si rien n’est expliqué, il y aura alors un rejet du message
Pour amener la peur, on doit s’assurer de 2 choses:
- On doit s’assurer que les gens sont vulnérables
2. On doit éveiller quelque chose chez le récepteur, une émotion.
3 limites des études portant sur l’efficacité de la peur
- Validité écologique:
- le contexte est différent en laboratoire que sur le terrain.
- Ça ne tient pas compte des conditions d’exposition réelles, comme zapper de chaine par exemple.
- Il n’y a pas de répétition des messages, on ne peut donc pas calculer l’ennuie, la fatigue, etc.
- la réaction est à court terme, on ne mesure pas dans l’Avenir voir si le choc ressenti par la personne a entrainé des changements de comportement.
2. On ne sait pas ce qui est supposé nous faire peur ou non, on a de la difficulté à distinguer la peur des autres émotions négatives qui peuvent découler de l’exposition à des messages de peur.
- C’est difficile de distinguer entre la peur de l’objet ou la peur du message
- quand c’est une image choc (accident, sang, mort, etc..), la persuasion se fait à court terme
- quand c’est un objet ou un thème du message (cancer, vitesse au volant, etc.), la persuasion est plus à long terme.
Pour quel type de public est-il préférable de montrer les deux côtés de la médaille?
Chez les personnes plus éduqués et en désaccord avec le message.
Une seule version du message est préférable pour quel type de public?
Chez les gens qui sont déjà d’accord avec le message ou pour ceux qui sont moins éduqués.
Il est plus efficace de montré les 2 côtés quand:
- l’auditoire connait bien le produit
- l’auditoire est exposé au message de la concurrence
Il est préférable de faire une conclusion explicite quand:
l’auditoire n’est pas motivé/pas assez éduqué pour comprendre les arguments
C’est aussi peut-être parce que l’attention que porte l’auditoire n’est pas bonne…
Il est préférable de laisser l’auditoire tirer ses propres conclusions quand…
l’auditoire est impliqué
quand les ARG sont faciles à comprendre.
La manière de traiter l’information varie d’une source à l’autre. Comment traitons-nous l’information dépendant si la source est un expert ou quelque de simplement attrayant?
expert : niveau cognitif seulement si l’expert est présenté avant le message
source attrayante: niveau affectif, plus superficiel
L’ordre de présentation n’a pas vraiment d’importance, sauf lorsque les gens n’ont pas de position bien ancrée. Qu’est-ce qui s’observe alors?
Effet de récence : on retient ce qui termine
Effet de primauté: on retient ce qui vient au début et on se concentre la dessus pour ne pas l’oublier et on délaisse le reste un peu
La répétition du message peut représenter une alternative intéressante. Qu’arrive-t’il si nous répétons un messages plusieurs fois et que ce message est simple?
Il y aura plus de rétention, les gens le comprendrons plus, mais ils seront tanné de l’entendre, il y aura donc une diminution de l’acceptation
–> effet boomerang
Vrai ou Faux. L’utilisation de l’humour peut être un bon effet persuasif?
Vrai, mais la blague ne doit pas dépasser le message, sinon les attitudes ne seront plus positives.
Selon Hemsley et Doob, les présentateurs qui regardent l’auditoire sont-ols plus efficaces?
Oui, mais seulement s’ils sont plus impliqués.
Comment sont perçu les présentateurs qui parlent sans hésitation, avec force et qui parlent plus vite que la moyenne?
ils sont perçus comme étant plus crédible et plus compétents