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Fondements de l'audit > Séance 6 > Flashcards

Séance 6 Flashcards

1
Q

Que signifie RA?

A

Risque d’audit

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Q

Que signifie RAS?

A

Risque d’anomalies significatives

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3
Q

De quoi est regroupé le RAS?

A

RAS = RI + RLC

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4
Q

Que signifie RI?

A

Risque inhérent

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5
Q

Que signifie RLC?

A

Risque lié au contrôle

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6
Q

Que signifie RND?

A

Risque de non-détection

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7
Q

Quelle est la formule pour calculer le risque d’audit?

A

RA = RAS x RND
ou
RA = RI x RLC x RND

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8
Q

Quel est la taux maximum du risque d’audit?

A

5% maximum

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9
Q

Qui suis-je?

Risque que les états financiers comportent une anomalie sans prise en compte du contrôle interne (risque intrinsèque)

A

Risque inhérent (RI)

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10
Q

Qui suis-je?
Risque qu’il y ait une anomalie significative dans les états financiers qui ne serait ni détectée, ni prévenue par le contrôle interne.

A

Risque lié au contrôle

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11
Q

Qui suis-je?

Risque que nos procédures ne nous permettent pas de détecter une anomalie.

A

Risque de non-détection

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12
Q

Quel est le risque qui est contrôlé par l’auditeur?

A

Le risque de non-détection (RND)

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13
Q

Quels risques ne sont pas controlés par l’auditeur?

A

Risque inhérent (RI) et risque lié au contrôle (RLC).

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14
Q

Qui suis-je?
Risque que l’auditeur conclue que les états financiers sont exempts d’anomalies significatives alors qu’ils en contiennent.

A

Risque d’audit (RA)

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15
Q

Vrai ou faux, il est possible de ramener le risque d’audit à 0.

A

Faux, il est impossible, car l’auditeur ne vérifie pas tout.

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16
Q

Vrai ou faux, plus le risque d’audit est bas, plus la quantité de travail sera importante.

A

Vrai

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17
Q

Qui est responsable de la prévention et de la détection de la fraude en entreprise?

A

Les responsables de la gouvernance ainsi que la direction de l’entité

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18
Q

Nommez des moyens pour prévenir et détecter la fraude.

A
  • Mettre en vigueur un code d’éthique au sein de l’entreprise.
  • Établir des contrôles internes efficaces.
  • Obliger tout employé à prendre des vacances annuelles.
  • Favoriser la communication d’indices de fraudes.
  • Recourir à la juricomptabilité
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19
Q

Vrai ou faux, les auditeurs sont responsables d’obtenir l’assurance raisonnable que les états financiers pris dans leur ensemble ne comportent pas d’anomalies significatives.

A

Vrai

20
Q

Vrai ou faux, les auditeurs doivent faire preuve d’esprit critique tout au long d’une mission d’audit.

A

Vrai

21
Q

Vrai ou faux, il est facile pour l’auditeur de détecter la fraude.

A

Faux, car l’auditeur ne vérifie pas tout et la fraude peut impliquer des stratagèmes complexes.

22
Q

Vrai ou faux, introduire des mesures d’imprévisibilité dans la mission d’audit peut aider à découvrir la fraude.

A

Vrai

23
Q

Quelles sont les procédures en cas de détection de fraude par l’auditeur?

A
  • Communiquer dès que possible avec la direction afin que ceux qui ont la responsabilité première pour la prévention et la détection des fraudes soient informés des questions qui relèvent de leur compétence.
  • En cas d’une fraude impliquant la direction, communiquer avec les responsables de la gouvernance et s’entretenir avec des procédures d’audit nécessaires pour achever la mission.
24
Q

Vrai ou faux, il est impossible pour un auditeur de communiquer une fraude à un tiers de l’entité, car l’auditeur enfreindrait le secret professionnel.

A

Faux, l’auditeur peut enfreindre le secret professionnel si les obligations légales l’emportent sur l’obligation au secret professionnel.

25
Q

Quels sont les trois facteurs de risque de fraude (triangle de la fraude)?

A
  • Motifs et pressions
  • Circonstances favorables
  • Attitudes et rationalisations
26
Q

Qui suis-je dans le triangle de la fraude?
Les personnes impliquées dans une fraude perçoivent souvent qu’elles sont l’objet de pressions importantes (financières ou non financières).

A

Motifs et pressions

27
Q

Qui suis-je dans le triangle de la fraude?

La nature des activités de l’entité ou du secteur fournit des occasions de procéder à une fraude.

A

Circonstances favorables

28
Q

Qui suis-je dans le triangle de la fraude?

Les personnes qui commettent une fraude trouvent souvent le moyen de justifier et de rationaliser leur action.

A

Attitudes et rationalisations

29
Q

Vrai ou faux, lorsque les trois facteurs du triangle de la fraude sont présents, il est très probable qu’il y ait une fraude.

A

Vrai

30
Q

Quels sont les deux types de stratégies d’audit?

A
  • Stratégie corroborative

- Stratégie mixte

31
Q

Quelle stratégie d’audit suis-je?

Obtention d’éléments probants à l’aide de procédés de corroboration.

A

Stratégie corroborative

32
Q

Quelle stratégie d’audit suis-je?

Obtention d’éléments probants à l’aide de tests de contrôle et des procédés de corroboration.

A

Stratégie mixte

33
Q

Quel est l’objectif principal de la stratégie d’audit mixte?

A

Diminuer le risque lié au contrôle (RLC) dans la formule de risque à un niveau inférieur au maximum.

34
Q

Vrai ou faux, l’auditeur peut utiliser la stratégie mixte, même si l’environnement de contrôle est jugé insatisfaisant.

A

Faux, l’environnement de contrôle doit être jugé satisfaisant pour utiliser la stratégie mixte. Si jugé insatisfaisant, il faut alors utiliser la stratégie corroborative.

35
Q

Quels sont les trois cycles opérationnels d’une entité?

A
  • Cycle des ventes
  • Cycle des achats
  • Cycle des salaires
36
Q

Dans la stratégie d’audit mixte, on procède à l’identification de contrôles qui permettent de réduire les risques d’anomalies significatives au niveau des postes des trois différents cycles opérationnels. Une fois ces contrôles identifiés, que faut-il faire?

A

Il faut procéder aux tests de contrôle (test de conception et test d’efficacité), dans le but de conclure sur l’efficacité de ces contrôles afin de réduire le risque lié au contrôle (RLC).

37
Q

Quels sont les deux tests de contrôle effectués sur les contrôles identifiés dans la stratégie d’audit mixte?

A
  • Test de conception

- Test d’efficacité

38
Q

À quoi sert le test de conception?

A

À valider que le contrôle existe réellement et qu’il fonctionne tel que décrit pas la direction.

39
Q

À quoi sert le test d’efficacité?

A

À s’assurer que le contrôle est efficace (en sélectionnant un échantillon).

40
Q

Vrai ou faux, tous les contrôles sont pertinents pour un auditeur.

A

Faux, seulement ceux qui nous permettent de s’assurer que les états financiers sont exempts d’anomalies significatives

41
Q

Vrai ou faux, dans la stratégie corroborative, le risque lié au contrôle (RLC) reste au maximum.

A

Vrai, aucune possibilité d’influer sur ce risque dans le cadre de cette stratégie.

42
Q

Vrai ou faux, dans la stratégie corroborative, nous pouvons baser notre analyse sur les contrôles de l’entité.

A

Faux, car en stratégie corroborative, l’environnement de contrôle est jugé insatisfaisant. On ne peut donc pas baser notre analyse là-dessus.

43
Q

Vrai ou faux, la stratégie corroborative est une stratégie simple et peu coûteuse.

A

Faux, il s’agit d’une stratégie ardue et très coûteuse, car nécessite beaucoup de temps.

44
Q

Vrai ou faux, plus le risque d’anomalies significatives (RAS) sera élevé, plus le nombre de tests de corroboration sera élevé.

A

Vrai

45
Q

Vrai ou faux, plus le seuil de signification (SS) sera bas, plus le nombre de tests de corroboration sera bas.

A

Faux, plus le seuil de signification sera bas, plus le nombre de tests de corroboration sera élevé, car il y a une moins grande marge d’erreur possible.

46
Q

Quels éléments seront abordés lors de la réunion de la planification de l’audit?

A
  • Calendrier de l’audit
  • Personnel désigné pour l’audit
  • Services autres que l’audit proposés
  • Estimation des honoraires d’audit

Fondements de l'audit (9 decks)

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