Séance 1 (intra) Flashcards

1
Q

SÉANCE 1 - diapo 1

Définition de «technologie» et de «affaires électroniques (numériques)»

A
Technologies :
Le matériel informatique 
Les logiciels et les applications
Les différents réseaux
Les objets connectés
Les technologies de télécommunication 

Affaires électroniques (numériques):
Appelé aussi e-business
C’est l’utilisation de moyens électroniques pour réaliser des affaires en y intégrant notamment les technologies Internet. Inclut le commerce électronique.
C’est aussi la transformation des processus d’affaires clés au moyen des technologies.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

SÉANCE 1 - diapo 4

Définition de «marketing électronique» et «commerce électronique»

A

Le marketing électronique :
Appelé aussi e-marketing ou Web marketing
C’est est une extension de votre plan de marketing traditionnel qui tire avantage des nouvelles voix numériques.
L’e-marketing enclenche le processus de vente.

Commerce électronique :
Appelé aussi e-commerce.
Le commerce électronique représente la plus grande partie des affaires électroniques.
Aujourd’hui on définit comme « commerce électronique » l’utilisation d’un média électronique pour la réalisation de transactions commerciales via Internet.
Le e-commerce conclut la vente.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Séance 1 - Diapo 11-12

Quels sont les (5) facteurs favorisant le développement du commerce électronique ?

(TPFJF)

A
  1. L’environnement TECHNOLOGIQUE (ordinateurs, terminaux, téléphones intelligents, tablettes, logiciels, systèmes d’exploitation, réseaux, nuage informatique, etc.)
  2. Les INFRASTRUCTURES PUBLIQUES (accès à Internet haute vitesse, qualité des télécommunications, bornes publiques Wifi, etc.)
  3. L’environnement FINANCIER (coût de la mise en place d’une solution e-commerce, la création et l’entretien d’un site web, la création et l’entretien des applications mobiles, les paiements en ligne disponibles, etc.)
  4. L’environnement JURIDIQUE (protection du consommateur, protection des données personnelles, sécurité des transactions, etc.)
  5. L’environnement FISCAL (taxes et impôts selon la réglementation territoriale)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Séance 1 - Diapo 13 et 14

a) Les motifs de l’adoption du commerce électronique par les consommateurs (5 motifs)
b) Les motifs de la non-adoption du commerce électronique par les consommateurs (4 motifs)

A

a) Les motifs de l’adoption du commerce électronique par les consommateurs
1. La praticité (pas de déplacement, heures d’ouverture, économie de temps)
2. Le choix (consulter et comparer des produits ou des services)
3. Les économies (grâce des comparateurs de prix tels trivago.com, meilleursprix.ca, quebec.shopbot.ca)
4. Livraison et paiement facile
5. Le statut social et le plaisir (acheter en s’amusant)

b) Les motifs de la non-adoption du commerce électronique par les consommateurs
1. La dématérialisation de l’interaction avec le produit ou le service
2. L’absence de confiance dans le paiement en ligne
3. Le service après-vente et le retour des produits
4. L’influence des caractéristiques personnelles et de son milieu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Séance 1 - Diapo 18 et 19
Définition générale d’un modèle d’affaire (business model) ou d’un modèle économique :

Un modèle d’affaire doit comprendre quels 5 dimensions ? (PCDAF)

A
  1. Une PROPOSITION DE VALEUR (biens ou/et services). C’est la dimension produit, c’est-à-dire la capacité d’une entreprise à présenter une offre commerciale qui soit unique et qui sorte de l’ordinaire.
  2. LA CONNAISSANCE DE SA CLIENTÈLE CIBLE (segment de marché) afin de livrer à prix raisonnables ce que les clients veulent pour une vivre une expérience agréable.
  3. DES CANAUX DE DISTRIBUTION afin d’atteindre ses clients afin que le produit soit accessible rapidement.
  4. DÉFINIR LES ACTIVITÉS FONDAMENTALES ET DE SOUTIEN afin de produire de la valeur (biens ou services) pour ses clients et ainsi faire des profits.
  5. LA CRÉATION D’ALLIANCES AVEC DES FOURNISSEURS pour bâtir une chaine logistique efficace et ainsi diminuer les coûts.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Séance 1 - Diapo 22
En 2001, ________ a démontré qu’il y avait 9 modèles d’affaires du commerce électronique. Depuis ce temps, on retrouve une douzaine de modèles.

A

Michael Rappa = 9 modèles d’affaires du commerce électronique (depuis = 12 modèles)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Séance 1 - Diapo 23 à 31

a) Énumérer les 12 types de modèles (CourPuInFabCoFiComAbUtiComsoExMob)
b) Donner leur description
c) Nommer un exemple pour chaque

*voir résumé pour réponses complètes

A

RÉPONSE a/b/c
1. Courtier /générateurs de marché. Ils mettent en rapport un acheteur et un vendeur pour faciliter une transaction (%) / Ebay, Amazon, Expedia

  1. Publicité/ une extension du modèle de diffusion multimédia traditionnel. Le diffuseur, dans ce cas, un site Web, fournit du contenu mélangé à des messages publicitaires / Google, Youtube
  2. Infomédiaire / collecte des données sur les consommateurs et leurs habitudes de consommation et leurs intérêts. Ils revendent ces données / Airmiles,
    meilleurprix. ca
  3. Fabricant direct/ Internet alloue aux fabricants la capacité d’atteindre les acheteurs directement/ Dell (ordinateur), Wordans (T-shirt)
  4. Commerçant/ Les grossistes ou détaillants vendent à travers une place d’affaires virtuelle / Archambault, Latulippe, etc
  5. Filiale / Le marketing par affiliation permet de générer des transactions à travers un réseau de partenaires./ Blogue de François Charron
  6. Communauté / visibilité du modèle de communauté est fondée sur la fidélité des utilisateurs. Publicité et contributions volontaires / Wikipédia, Gofundme
  7. Abonnement / Les utilisateurs sont facturés de façon périodique (quotidien, mensuel, annuel) pour s’abonner à un service./ Netflix, Le Soleil, Réseau contact
  8. Utilitaire /Les utilisateurs sont facturés selon leur utilisation du produit ou du service/ Skype (téléphonie IP), ICloud, panierdachat.com
  9. Commerce social/ Le recours aux réseaux sociaux et au « bouche à oreille » numérique. La capture des besoins émergents à travers les médias sociaux et les achats groupés. / Facebook Marketplace, Tuango (achats groupés)
  10. Expérience / La réalité augmentée qui améliore l’expérience de magasinage par le biais de l’émotion et de l’interaction / Ikea, Souris Mini, Nike
  11. Mobilité / Englobe les approches de la vente d’applications en grande quantité et à peu de frais, du paiement sans contact et de la géolocalisation / Aworded (scrabble en ligne), Pages Jaunes, Apple Pay
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Séance 1 - Diapo 32, 33, 34
Quels sont les 4P ? Expliquer

*4P = concentré produit

A

La politique de produit
Le produit est au centre la stratégie. Il est le roi par sa nécessité.
Proposition de solutions aux consommateurs afin de satisfaire leurs besoins.
Comprend ses caractéristiques, la qualité et la marque.
Devrait inclure la garantie, la gestion des retours et le service après-vente.

La politique de prix
Le prix est au cœur du positionnement et l’élément clé de la communication.
Fixer le prix d’un produit en fonction du coût de production, les tarifs pratiqués par la concurrence et l’intensité de la demande.
Devrait inclure les rabais promotionnels.

La politique promotion
Il s’agit de la stratégie publicitaire visant à faire connaître votre e-commerce et à le mettre en valeur pour inciter les consommateurs à acheter et surtout à racheter.
Devrait inclure les campagnes publipostage électronique et les relations publiques avec une présence active sur les réseaux sociaux.

La politique de place (distribution)

La distribution et le choix de son canal (sous ses canaux) conditionne la visibilité et l’accessibilité du produit.
C’est-à-dire de savoir où vont être distribués vos produits à partir de sa boutique en ligne ou d’une place de marché ou autres points de vente.
Devrait inclure les moyens de transport et la politique des frais de transport, l’emballage, la gestion des stocks et l’entreposage.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Séance 1 - Diapositive 35, 36, 37
Le modèle des 4C tient compte de mutations/révolutions (3), quelles sont-elles?
Quels sont les 4C ? Expliquer.

Créé par Robert Lauteborn, 1990
4C = centré client

A

Mutations/Révolutions

  1. TECHNOLOGIQUE : digitalisation de la société (développement de l’e-commerce, de la mobilité etc.).
  2. DES MÉDIAS : émergence des réseaux sociaux et développement du social media. L’information n’est plus uniquement descendante de la marque vers le consommateur.
  3. DES CONSOMMATEURS : les clients qui sont de mieux en mieux informés deviennent plus matures, moins captifs et plus volatiles.

Les 4C
La politique des besoins du client (Customer need)
Le consommateur et ses attentes se retrouve au centre de la stratégie d’une marque. L’offre se définit désormais en fonction des besoins auxquels elle répond : le bénéfice produit est mis en avant.
Proposition de solutions aux consommateurs afin de satisfaire leurs besoins car le consommateur à un problème à résoudre.
Caractéristiques du besoin. (important, urgent)

La politique du coût (Cost to satisfy)
C’est le prix que le client est prêt à payer pour un produit ou un service. Le prix n’est qu’un élément de la valeur d’un produit. Un prix compétitif n’est plus un élément différenciant.
Va dépendre de la marque, de la qualité, coûts indirects tels la formation et les déplacements.

La politique du parcours client (Convenience of buying)
Le consommateur n’a plus besoin de se déplacer pour acheter. Son parcours se modifie et est essentiellement cross-canal.
Doit répondre à ce que le client désire comme parcours d’achat.
Il s’agit d’une politique fondamentale de l’expérience client.

La politique de la communication
Il s’agit sélection de la bonne information et du bon canal à délivrer tout au long du cycle d’achat (avant, pendant et après l’achat).
C’est un ensemble de messages que l’on veut adresser aux clients par différents moyens. (médias sociaux, courriels, etc.)
Il ne s’agit plus d’une communication de masse mais d’une communication individuelle (personnalisée).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Séance 1 - Diapo 40, 41, 42

Quels sont les 4E?

*Marketing sensoriel et émotif

A

La politique l’émotion
C’est l’émotion qui crée la connivence entre la marque et les consommateurs. Il est devenu essentiel pour de créer du lien dans le but de déclencher l’acte d’achat.
Il faut donc raconter une histoire et mettre de l’émotion. (techniques de storytelling)
Les consommateurs sont sensibles aux messages transmis par la marque, aux bénéfices que le produit peut avoir sur eux et à l’image que l’achat d’un tel ou tel produit peut transmettre.

La politique de l’expérience
Elle est au cœur de la relation consommateur/marque. C’est elle qui détermine sa satisfaction, sa fidélité et qui va le transformer en « ambassadeur » de la marque.
L’expérience client est très importante aujourd’hui car elle détermine sa fidélité à une marque.
Le parcours d’achat est cœur même d’une expérience satisfaisante.

La politique de l’exclusivité
Le consommateur du 21e siècle souhaite être unique et avoir l’impression que la marque s’adresse uniquement à lui. Il ne s’agit plus d’une communication de masse comme par le passé.
La consommation est donc individuelle et passe par le personnalisation des produits (couleur, forme, taille, etc.).

La politique de l’engagement
Les consommateurs demandent aux marque de s’engager concrètement en fonction de leurs valeurs pour en retour interagir avec elle (réseaux sociaux, forums etc.) Cet engagement réciproque témoigne de la confiance mutuelle.
L’engagement des clients va les pousser à promouvoir et un être un ambassadeur de la marque.
Permettre un engagement des consommateurs et faire évoluer la communication de la marque.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Séance 1 - Diapo 45
Quels sont les différentes stratégies de canal? (4 stratégies)

*Info: Consommateur a fait évoluer «anytime, anywhere», any device»

A

Monocanal : La stratégie Monocanal caractérise l’expérience d’un client qui utilise un seul canal mis à la disposition par l’entreprise pour effectuer ses achats. (Aliexpress, La Bricolerie)

Multicanal: Caractérise l’expérience d’un client qui utilise plusieurs canaux de distribution indépendants mis à sa disposition par l’entreprise pour effectuer son parcours d’achat. Les supports sont le magasin, le catalogue, le site Web, le téléphone mobile, la tablette, la télévision connectée, le courriel, le centre d’appels, etc.

Cross-Canal: (Permet aux différents aux canaux de distribution d’une entreprise (magasin physique, catalogue, site web, etc.) de fonctionner ensemble ou de manière complémentaire plutôt que de se concurrencer. Vise à intégrer tous les différents canaux dans le parcours du consommateur pour fluidifier au maximum l’expérience du consommateur. Bureau en gros, Rona, Canadian Tire

Omnicanal (C’est le « nec plus ultra » de la relation client. Le terme Omnicanal vise à décrire l’utilisation simultanée plusieurs canaux. Tous les canaux sont à la disposition du consommateur et sont tous interconnectés)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Séance 1 - Diapo 51,52,53

Qu’est-ce le commerce unifié ?

A

Le commerce unifié relève maintenant plus des TI, pour ne créer plus qu’une seule réalité pour le consommateur qui doit être « au centre de l’univers » précise le BRP avec l’adjonction d’une couche logicielle et du Cloud pour synchroniser en temps réel toutes les applications déjà déployées par le distributeur, jusque-là en silos. Le commerce unifié se traduit également pour les entreprises par des évolutions organisationnelles internes : Disney Retail en est un exemple, il coordonne maintenant toutes les activités offline et online de la marque.

Des solutions technologiques, sous forme de plateformes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly