santé sexuelle Flashcards

1
Q

Que veut dire l’acronyme HEEADSSS

A
  • Home
  • Education/Emploi
  • Eating
  • Activities
  • Drugs
  • Security
  • Sexuality
  • Suicide
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Q

Quelles sont les 2 façons d’intervenir lors de problème en santé sexuelle?

A

BETTER et PLISSIT

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3
Q

Que veut dire l’acronyme PLISSIT ?

A

P : Permission giving
LI : Limited informations
SS : Specific suggestions
IT : Intensive therapy

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4
Q

Que veut dire l’acronyme BETTER ?

A

BRING up - Aborder sujet
EXPLAIN - Préoccupations qualité de vie , dont sexualité
TELL - Normalisation et ressources appropriées
TIMING - Demande d’information en tout temps
EDUCATE - Effets secondaires de leurs traitements
RECORD - Évaluation/interventions dans dossiers

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5
Q

pourquoi ce n’est pas bien d’être trop gênée lorsqu’on aborde un problème sexuel avec un patient?

A

il peut y avoir une perte d’information vitale

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6
Q

l’approche doit toujours être fait sans ______
de façon ________
et _________

A

sans jugement
de facon rassurante
et bienveillante

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7
Q

à quoi sert le PLISSIT

A

à aborder les préoccupations liées à la sexualité

fournir des informations pertinentes à l’équipe de soins

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8
Q

à quoi ressemble les interventions PLISSIT

A

3 à 5 séances de 12 à 30 min

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9
Q

décrit le Permission giving

A

réassurance/normaliser (lui dire que c’est normal, que ca arrive à tout le monde)
discussions des préoccupations (légitimiser)

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10
Q

à quoi faut-il faire attention pendant le Permission giving

A
  • ne pas TOUT normaliser
  • ni briser la relation s’il s’agit d’une paraphilie
  • conflits de culture
  • on n’est pas expert de tout
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11
Q

décrit le Limited Information

A
  • renseignements, mythes, vulgarisation

- factuel, spécifique, pertinent, simple

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12
Q

décrit le Specific Suggestions

A

conseils précis liés au problème

options de traitement

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13
Q

décrit le Intensive Therapy

A

dépasse la pratique infirmière (spécialité infirmière, autre professionnel)

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14
Q

sur papier, qu’est-ce qui est plus important, une ordonnance collective ou le droit de prescrire?

A

droit de prescrire

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15
Q

counseling pré-test ITS

A
  1. Permettre à la personne de fournir un consentement libre et éclairé à l’intervention
  2. Évaluer les risques/préoccupations associés aux ITSS et le désir de dépistage
    – Rechercher les facteurs pouvant favoriser l’intervention ou en limiter la portée
  3. Offrir un counseling préventif en fonction des risques identifiés
    – Assister la personne dans sa prise de décision (adoption/maintien comportements sécuritaires)
  4. Proposer, si pertinent, l’immunisation contre l’hépatite A, B ou le VPH
    – Suivre les indications de prévention des ITSS du Protocole d’immunisation du Québec
  5. Proposer un dépistage aux personnes qui présentent des facteurs de risque
    – Expliquer la nature des tests ainsi que les avantages/inconvénients du dépistage
  6. Convenir du mode de communication des résultats
  7. Favoriser la présence à la visite de suivi (pour la communication des résultats)
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16
Q

counseling post-test ITS

A
  1. Faire un retour sur la visite antérieure
  2. Donner de l’information sur la signification d’un résultat d’analyse (+ ou -)
    – Dans le cas d’un résultat +,
    • donner de l’information sur l’infection qui a été détectée
    • conseiller des mesures préventives
    – Dans le cas d’un résultat -,
    • donner de l’information sur les limites du dépistage
    • évaluer la possibilité d’un résultat faussement -
  3. Assister la personne dans prise de décision (adoption/maintien comportements plus sécuritaires)
    – Dans le cas d’un résultat +,
    • discuter de l’intervention préventive a effectuer auprès des partenaires (IPPAP)
    • planifier les démarches pour le suivi médical
    • conseiller sur les mesures préventives pour limiter la transmission parentérale du VIH et des
    hépatites virales
    – Dans le cas d’un résultat -,
    • Évaluer la persistance du risque et la pertinence d’un dépistage périodique
    • Procéder a un rappel du counseling préventif en fonction des risques décelés
  4. Évaluer le besoin de visite(s) de suivi et/ou de référence
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17
Q

que doit-on faire si le parent est présent lors de l’exam psychosocial?

A
  1. Se présenter d’abord à l’adolescent (précise que l’adolescent est le patient)
  2. Demander ensuite à l’adolescent de présenter les autres personnes présentes
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18
Q

quoi doit-on faire avant de demander aux parents de partir

A
  1. Demander s’ils ont des préoccupations
  2. Assurer une interaction plus poussée une fois l’entrevue terminée.
  3. Assurer l’explication du but
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19
Q

quel genre de question sont à prioriser pour HOME?

A

– Où vis-tu? Quelles sont les personnes qui vivent avec toi?
– Comment sont les relations à la maison?
– À qui peux-tu te confier à la maison?
– Y a-t-il une ou des nouvelles personnes à la maison?
– Y a-t-il eu un ou des départs récemment?

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20
Q

quel genre de question sont à prioriser pour EDUCATION ET EMPLOI

A

– Parle-moi de l’école.
– Vois-tu ton école comme un endroit sécuritaire? Pourquoi?
– As-tu déjà été victime d’intimidation?
– Quels sont tes liens avec l’école?
– As-tu l’impression que tu appartiens à ce milieu?
– À l’école, y a-t-il des adultes avec qui tu pourrais discuter de sujets importants?
• Qui sont ces personnes?
– Quels sont tes résultats à l’école?
– Ces résultats ont-ils changé récemment?
– Quelle sorte d’études voudrais-tu faire dans l’avenir?
– Quels sont tes plans et objectifs d’emploi?
– As-tu un emploi en ce moment? Où?
– Combien d’heures travailles-tu par semaine?

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21
Q

quel genre de question sont à prioriser pour EATING ?

A

– Es-tu inquiet au sujet de ton poids?
– As-tu remarqué un changement récent dans ton poids?
– As-tu suivi un régime durant la dernière année?
– Quelle sorte de régime était-ce?
– Combien de fois ou pendant combien de temps l’as-tu suivi?

22
Q

quel genre de question sont à prioriser pour ACTIVITÉS

A

– Que faites-vous, tes amis et toi, pour avoir du plaisir? Avec qui? Où? Quand?
– Que faites-vous, ta famille et toi, pour avoir du plaisir? Avec qui? Où? Quand?
– Certains adolescents disent qu’ils passent beaucoup de temps en ligne.
• À quelles fins utilises-tu internet?
– Combien d’heures par jour passes-tu devant un écran?
• Ordinateur? Television? Tablette? Téléphone cellulaire?
– Souhaiterais-tu parfois y passer moins de temps?

23
Q

quel genre de question sont à prioriser pour DROGUES

A

– Dans ta famille, est-ce que quelqu’un fume, prend de l’alcool ou consomme des drogues?
– Quel usage fais-tu du tabac, de la cigarette électronique, de l’alcool ou des drogues?
– Prends-tu des boissons énergisantes, des stéroïdes ou des médicaments (avec ou sans
ordonnance)?

24
Q

quel genre de question sont à prioriser pour SEXUALITÉ

A

As-tu déjà vécu une relation amoureuse? Parle-moi des personnes avec qui tu es sorti.
– Certaines des relations que tu as vécues ont-elles inclus des relations sexuelles?
– Es-tu attiré par quelqu’un en ce moment?
– Parle-moi de ta vie sexuelle.
– Qui t’intéresse le plus: les garçons, les filles ou les personnes des deux sexes?
– « As-tu déjà fait l’amour ? »
– « Tu m’as dit que tu sortais avec quelqu’un depuis 3 mois.
Votre relation est-elle devenue sexuelle ? »
– « Es-tu attiré par quelqu’un en ce moment ? »

25
Q

quels sont les mythes par rapport au suicide

A
  1. Les jeunes pensent rarement à se suicider.
  2. Parler du suicide pourrait donner l’idée à un jeune de considérer le suicide comme une solution à ses problèmes.
  3. Le suicide est subit et imprévisible.
  4. Les jeunes qui sont suicidaires ne veulent qu’attirer l’attention ou essayer de manipuler les autres.
  5. Les personnes suicidaires sont résolues à mourir.
  6. Une personne suicidaire sera toujours vulnérable.
26
Q

qu’est-ce que l’insécurité alimentaire

A

avoir besoin de manger, sans nourriture sous la dent

27
Q

quoi faire si la personne nous ment ou nous dit pas tout

A

pas de quête de la vérité

28
Q

pourquoi les parents ne doivent pas être présents lors de l’entretion HEADSSS

A

– Limiter la quantité d’informations sensibles que le patient va fournir
– Rendre plus difficile son exclusion lors des visites subséquentes

29
Q

l’approche HEEADSSS est fondée sur quoi?

A

sur les forces au lieu des facteurs de risque

30
Q

lorsqu’une approche est fondé sur les facteurs de risque, cela peut susciter quels genre de sentiments?

A

de honte et découragement

31
Q

idéalement, comment l’adolescent devrait se sentir lors de l’examen psychosocial?

A

lorsqu’il va bien

32
Q

VRAI OU FAUX

Évaluez votre aisance à discuter de sexualité avec divers profils de patients et identifiez les préjugés

A

VRAI

33
Q

VRAI OU FAUX

Mettez l’autre à l’aise et établissez un rapport avant de poser des questions délicates.

A

Vrai

34
Q

VRAI OU FAUX

Utilisez des termes neutres et inclusifs et posez questions sans jugement

A

vrai

35
Q

VRAI OU FAUX

Vous pouvez supposer âge, apparence, état civil, etc, du patient si c’est nécessaire

A

Faux

il faut éviter de faire des suppositions

36
Q

VRAI OU FAUX

Éviter de réagir ouvertement (verbalement ou non), même en cas de malaise/gêne

A

VRAI

37
Q

VRAI OU FAUX

Demandez les pronoms ou la terminologie préférée aux patient(e)s transgenre(s) peut être gênant, donc il est préférable de ne pas le faire

A

Faux

38
Q

VRAI OU FAUX

Reformulez les questions ou expliquez pourquoi vous posez une question délicate

A

vrai

39
Q

VRAI OU FAUX

Utilisez des énoncés généraux pour normaliser les sujets dont vous discutez

A

vrai

40
Q

VRAI OU FAUX

Assurez-vous que les termes utilisés sont bien compris afin d’éviter toute confusion

A

vrai

41
Q

quelle approche faut-il prendre lorsqu’un patient est suicidaire?

A

ne JAMAIS le laisser seul

42
Q

qu’est-ce qu’une ordonnance collective?

A

Médecin/groupe de médecins établit activités pouvant être exécutées par professionnels habilités
– sans avoir à attendre une ordonnance individuelle
– sans que le/la patient(e) ait été vu par le médecin préalablement

43
Q

qu’est-ce que l’ordonnance collective doit préciser?

A

– ce qui doit être fait (geste à poser),
– qui peut le faire (quels professionnels, de quels services),
– quelles sont les personnes visées (patients),
– les situations cliniques précises où l’ordonnance s’applique

44
Q

qu’est-ce que l’infirmière à le droit de prescrire selon la loi sur la santé publique?

A

– contraception hormonale, stérilet et contraception hormonale d’urgence
– médicament pour infection gonococcique et chlamydia trachomatis chez asymptomatique ayant eu un résultat d’analyse + au dépistage
– et partenaire sexuel(le) asymptomatique d’un cas positif
– prescrire les tests de contrôle pour ces infections

45
Q

quel application faut-il faire lorsqu’une femme est suceptible d’être enceinte?

A

– Vérifier si planification de grossesse dans la prochaine année
Si non: vérifier utilisation adéquate méthode contraceptive
Si non ou erreur d’utilisation: vérifier possibilité de grossesse et indication contraception orale d’urgence (COU)
Si oui: initier selon ordonnance collective ou diriger la femme vers un pharmacien communautaire
– Vérifier les connaissances de la personne sur la contraception et donner de l’information au besoin
– Diriger les femmes vers les ressources appropriées si : Grossesse actuelle, Pose d’un stérilet d’urgence en cuivre, Souhait d’utiliser subséquemment ligature tubaire

46
Q

que doit-on faire par rapport à un Homme dont la partenaire sexuelle est susceptible de devenir enceinte

A
  • Vérifier si souhait de paternité dans un avenir immédiat
  • Si non: vérifier utilisation adéquate méthode contraceptive
  • Donner de l’information à ce sujet, au besoin
47
Q

par rapport au ITS, dans quel situation l’infirmière a le droit de faire un dépistage?

A

chez une personne ASYMPTOMATIQUE

48
Q

quels sont les ensembles d’actions entourant le dépistage que l’infirmière doit faire?

A
  • évaluation du risque d’ITSS
  • counseling (incluant IPPAP)
  • vaccination (pratiques cliniques préventives)
49
Q

nomme toutes les ITSS qui peuvent être dépister par l’infirmière

A
– Chlamydia trachomatis
– Infection gonococcique
– Syphilis
– Hépatites B et C
– Infection par le VIH
50
Q

si la personne avec une ITSS est symptomatique, qu’est-ce que l’infirmière peut et doit faire?

A
  • peut demander des analyses SI ORDONNANCE COLLECTIVE

- doit orienter vers un médecin SI PAS D’ORDONNANCE COLLECTIVE

51
Q

si le résultat d’un test d’ITSS est positif chez une personne asymptomatique, qu’est-ce que l’infirmière peut et doit faire?

A
  • peut amorcer le traitement SI ORDONNANCE COLLECTIVE
  • si chlamydia ou gonorrhée et droit de prescrire, peut prescrire des traitements
  • orienter vers le médecin si pas d’ordonnance collective ni de droit de prescrire