QUIZ 4 Flashcards

1
Q

” Le défi de l’analyse qualitative consiste à donner une signification à la masse de données recueillies. ‘’

Cela suppose : (4 aspects)

A
  • de réduire le volume de renseignements bruts.
  • d’éliminer les données changeantes.
  • de déceler les tendances significatives.
  • de construire un cadre de référence qui permet de communiquer l’essence de ce que les données révèlent.
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2
Q

Qu’est-ce que l’analyse en qualitatif?

A
  • Représente les efforts du chercheur pour découvrir les liens à travers les faits accumulés.
  • Vise à dégager la façon dont la personne voit son rapport au monde.
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3
Q

Qu’est-ce que l’analyse en qualitatif implique? (5 aspects)

A
  • Des mots, des sens.
  • Une démarche discursive.
  • Une méthodologie scientifique et une capacité artistique.
  • L’expérientiel.
  • Expérience professionnelle et sensibilité pour le nouveau.
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4
Q

Quelle est l’utilité des mots en méthode qualitative?

A

• l’outil de travail.
• l’outil d’approche.
• l’outil d’examen rigoureux.
− C’est à partir de cette démarche discursive* que le chercheur sera en mesure de reformuler, d’expliciter et de théoriser un témoignage, une expérience ou un phénomène.
− Le chercheur qualitatif travaille toujours à partir d’un texte.

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5
Q

Le chercheur qualitatif tente, à partir de son analyse, de _________________________ de ce qui lui est donné d’entendre ou d’observer.

A

…comprendre, de mettre en lien et de révéler le le sens…

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6
Q

L’interprétation de l’analyste suscite la notion expérientielle qui rend compte de l’expérience du chercheur et de sa sensibilité en tant qu’acteur social. De quoi découle-t-elle?

A

− Découle des habiletés professionnelles du chercheur.

− Découle des qualités d’approche de la réalité humaine et sociale.

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7
Q

Quels types de sens et phrases doivent-être analysés?

A
  • État, statut. (je suis…)
  • Expérience, vécu. (j’ai fait, j’ai été…)
  • Représentation. (je pense que, je crois que, à mon avis…)
  • Stéréotype. (on dit que, les autres pensent que, les gens font…)
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8
Q

Vrai ou Faux

Le temps de l’analyse se fait au fur et à mesure que la recherche avance.

A

Vrai

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9
Q

Qu’est-ce que le processus itératif?

A

Mouvement entre la collecte de données sur le terrain, le retour sur la conception du problème et l’analyse des données.

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10
Q

Vrai ou Faux

La prise de notes lors de la collecte de données est déjà une amorce de réflexion sur les données.

A

Vrai

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11
Q

Vrai ou Faux

L’analyse proprement dite se fait lorsque le chercheur a concentré son attention sur un sujet particulier.

A

Vrai

Analyser le matériel en profondeur, faire des liens entre les données, en dégager une vision globale.

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12
Q

Vrai ou Faux

Dans un verbatim, il est possible d’enlever les parasites dans le texte (tsé, euh, etc.) et on peut remplacer un mot par un autre.

A

Faux

Il ne faut jamais remplacer un mot par un autre, c’est un critère de rigueur important

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13
Q

À quoi sert une transcription synthétique (résumé)?

A

Perte considérable d’information, mais dans certains cas, cela peut accélérer le processus d’analyse.

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14
Q

Transcription d’une entrevue sans enregistrement.

Que doit-on faire s’il y a un refus d’enregistrement de la part d’un participant?

A

Il faut transcrire de mémoire l’entrevue le plus rapidement possible pour limiter les pertes et les interprétations.

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15
Q

Nommer les 5 grandes balises encadrant la procédure d’analyse des données.

A
  1. Relier les symboles et les interactions
    − En montrant comment la signification émerge du comportement.
  2. Partir du point de vue des acteurs
    − En étudiant leur conception de la vie quotidienne.
  3. Étudier les caractéristiques des interactions
    − En recueillant des données sur les situations qui se développent naturellement.
  4. Étudier le changement aussi bien que la stabilité
    − En examinant la variation des symboles et des comportements dans le temps
  5. Élargir les descriptions en théories
    − Par l’établissement d’hypothèse à portée universelle
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16
Q

À quoi sert la lecture, relecture et rerelecture des notes comme outil d’analyse?

A

Déconstruire, se laisser imprégner et reconstruire.

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17
Q

Qui suis-je?

  • Idées ou réflexions suscitées par l’entrevue ou par les mots dans les entrevues.
  • Se font habituellement sur une feuille où le chercheur inscrit toutes les idées qui lui viennent en tête… cela va aider dans l’organisation conceptuelle.
  • C’est un élément important à effectuer et trop souvent négligé par les chercheurs.
A

Mémos d’analyse

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18
Q

Quelles sont les 2 grandes étapes pour l’analyse des données?

A
  1. Déconstruction des données
    − codification
  2. Reconstruction des données
    − catégorisation conceptuelle
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19
Q

Que se passe-t-il dans la phase 1 de déconstruction des données?

A

− Étape consistant :
…à découper le texte.
…de façon à décontextualiser les propos.
…enlever le contexte qui donne un sens particulier aux propos.
− On cherche à analyser les données.
…selon la signification qui leur est propre.
…plutôt qu’en fonction du contexte où elles se trouvent.
− Découper et réduire les informations en petites unités comparables, en noyau de sens pouvant être rassemblés.
− Noyaux de sens.
…Constitués d’expressions, de syntagmes ou de phrases.
…Exprimant une même idée, représentation ou opinion sur un thème donné.
…Rester près du langage du participant ou encadrer dans une grille de codification théorique.
− Le chercheur commence à les ordonner de façon approximative.
…Cette première classification permet d’interpréter sommairement les données et de s’y retrouver.

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20
Q

Que se passe-t-il dans la phase 2 de reconstruction des données?

A

− Recontextualisation des informations dans le but de donner un sens au discours recueilli.
…Émerge par le biais d’une comparaison constante entre les segments de texte codifiés.
…Le but est de maximiser les différences, raffiner, nuancer et subdiviser les catégories.
− Et de tester les catégories elles-mêmes.
….envisager leur fusion avec d’autres ou leur division.
• Catégorie conceptuelle
− Description analytique succincte qui désigne le plus fidèlement possible l’orientation générale d’un ensemble de noyaux de sens et de sous-catégories.
…Regroupement de noyaux de sens pour leur donner une orientation générale, en un thème et des sous-thèmes.
• Catégories conceptuelle, émergeante ou mixte.
− Catégories correspondent à une information :
…Déjà publiée : conceptuelle.
…Nouvelle : émergeante.
…Déjà publiée avec une nouvelle nuance : mixte.

21
Q

Catégories conceptuelle, émergeante ou mixte, quelle est la différence de ces 3 catégories?

A

Catégories correspondent à une information :
…Déjà publiée : conceptuelle.
…Nouvelle : émergeante.
…Déjà publiée avec une nouvelle nuance : mixte.

22
Q

EXAMEN

Quelles sont les 5 règles d’élaboration des catégories conceptuelles?

A
  1. L’exclusivité
  2. L’exhaustivité
  3. La pertinence
  4. L’univocité
  5. L’homogénéité
23
Q

Définir la règle # 1 d’élaboration des catégories conceptuelles : l’exclusivité.

A

Les catégories doivent être mutuellement exclusives, c’est-à-dire indépendantes les unes des autres.

24
Q

Définir la règle # 2 d’élaboration des catégories conceptuelles : l’exhaustivité.

A

L’ensemble du texte de chaque entrevue doit être codifié et contenu dans les catégories.

25
Q

Définir la règle # 3 d’élaboration des catégories conceptuelles : la pertinence.

A

Les catégories identifiées doivent être cohérentes avec le sujet de l’étude et non référer à des aspects éloignés et sans intérêt.

26
Q

Définir la règle # 4 d’élaboration des catégories conceptuelles : l’univocité.

A

L’appellation des catégories identifiées doit avoir le même sens pour tous ceux qui s’y réfèrent et non requérir une certaine interprétation (paradoxe acceptable (ex. : j’étais bien encadrée, alors je me sentais libre)).

27
Q

Définir la règle # 5 d’élaboration des catégories conceptuelles : l’homogénéité.

A

Réfère au fait que l’ensemble des catégories doivent donner lieu à un tout homogène qui permet de développer un modèle théorique d’ensemble (paradoxe acceptable).

28
Q

Strauss et Corbin proposent d’utiliser les repères suivants pour la création des sous-catégories des catégories conceptuelles :

A
− Quel ? (quels détails, etc)
− Quand ?
− Où ?
− Comment ? (processus)
− Pourquoi ? (analyse)
− Quelles conséquences ?
29
Q

Nommer 4 écueils à éviter.

A
  1. Imposition d’un schéma trop rigide
  2. Élaborer un schéma trop superficiel
  3. Choisir des catégories trop détaillées et trop nombreuses
  4. Choisir des catégories trop grossières
30
Q

Nommer les 3 types de modèles d’analyse des catégories.

A
  1. Modèle ouvert : ce qui sort de l’entrevue.
  2. Modèle fermé : catégories créées à l’avance.
  3. Modèle mixte.
31
Q

Nommer les 5 méthodes d’analyses propres aux approches qualitatives.

A
  1. L’analyse phénoménologique :
    − A) Centrée sur le sens du phénomène.
    − B) Centrée sur l’essence du phénomène.
    − C) Résumer par des expressions/mots du participant et décrire chaque aspect de l’expérience/phénomène.
  2. L’analyse ethnographique :
    − Une description détaillée et exhaustive d’un groupe partageant la même culture.
  3. L’analyse de théorisation enracinée :
    − Découverte des catégories émergeantes et élaboration de théories.
  4. L’analyse qualitative de l’étude de cas :
    − Description détaillée du cas et de son contexte.
  5. L’analyse qualitative de l’étude descriptive :
    − Processus d’analyse thématique: produire des catégories de façon systématique, avant/pendant l’analyse.
32
Q

Quels sont les 3 critères de rigueur scientifique pour l’analyse qualitative?

A
  1. Documentation et justification des choix méthodologiques
    • Description détaillées des choix méthodologiques (processus, démarches, réalisation).
  2. Ancrage empirique
    • Expliciter ses référents théoriques et sa position épistémologique de départ.
  3. Impératif d’exhaustivité et de complétude
    • Analyser l’ensemble du matériel.
33
Q

Critères de scientificité -
Validation des analyses des données

Dans un cadre scientifique, il faut garantir que la codification des données soit ________________.

A

…stable, homogène et la plus objective possible…

stabilité, validité et fidélité des catégories choisies

34
Q

Quelle est la différence entre validité et fidélité?

A
  • Validité : mesure ce qui doit être mesuré (opérationnalisation, quantitatif). (ex. : rendre un questionnaire PRÉCIS sur la satisfaction sexuelle, alors qu’avant c’était flou et donnait plein de résultats vagues)
  • Fidélité : les mêmes participants dans les mêmes conditions doivent répondre les mêmes réponses dans le temps. (ex. : Exemples : test-retest, formes parallèles et accord inter-juges, expertise).
35
Q

Nommer les quatre critères de scientificité pour l’analyse qualitative.

A
  1. Crédibilité
  2. Transférabilité
  3. Fiabilité
  4. Confirmabilité
36
Q

Vrai ou Faux

La validité et la fidélité font partie des critères de rigueur.

A

Faux, des critères de scientificité.

37
Q

Qui suis-je?

• Validité interne en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• Exactitude de la description du phénomène vécu par les participant.e.s.
− Les analyses qui découlent de l’interprétation sont crédibles du point de vue des participants.
− Les analyses sont représentatives de l’expérience telle que vécue par les acteurs.
• Plusieurs techniques peuvent être appliquées pour mieux comprendre et pour améliorer la crédibilité de l’analyse : (techniques pour démontrer la crédibilité des chercheurs, mis dans leur texte pour appuyer)
− Engagement prolongé sur le terrain : renforcer le climat de confiance, plus de temps pour comprendre et ajouter des précisions.
− Observation soutenues : éviter des conclusions prématurées.
− Contrexplications : chercher des explications divergentes.
− Triangulation : comparer plusieurs méthodes de collecte et d’interprétation des données à propos du phénomène étudié.
− Debriefing : débreffage, avoir des échanges avec des experts/chercheurs et/ou les participant.e.s sur la crédibilité des interprétations des données.

A

Crédibilité

38
Q

Qui suis-je?

• L’objectivité dans les données et interprétations.
• Neutralité, vraisemblance, certitude des données.
− Même si on privilégie l’aspect humain.
• Les résultats reflètent bien les données plutôt que la perspective du chercheur.
Une technique :
• La triangulation : vérification par d’autres chercheurs.
• Être le plus neutre et objectif possible en étant conscient qu’on est subjectif.

A

Confirmabilité

39
Q

Qui suis-je?

• Fidélité en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• Stabilité/Constance des données dans le temps et dans les conditions. (ex. : répéter dans le temps le même sujet. Comment te sens-tu en date du 19 mars ?….3 mois plus tard : Comment te sentais-tu le 19 mars ? Toujours garder la même question pour voir si le vécu est le même, fiable).
• Il importe de rendre le plus explicite possible le processus d’analyse par lequel le chercheur traite l’information : notes réflexives, clarifier les schémas de codes et le processus d’analyse.
• Trois principales techniques :
− Illustrer l’ensemble des catégories conceptuelles à l’aide d’extraits de verbatims.
− Permet de s’assurer que les catégories conceptuelles créées tiennent le coup et représentent bien les informations recueillies sans exagération.
− Triangulation : Il faut réaliser une vérification de la catégorisation conceptuelle par d’autres chercheurs (accord intersubjectif).
− Plusieurs chercheurs regardent le matériel des entrevues afin de passer à l’épreuve de la discussion.
− L’emphase n’est pas mise sur l’objectivité des investigateurs mais plutôt sur la subjectivité de ces derniers. (assumer qu’on est subjectif mais démontrer qu’on veut être le plus objectif possible)
− Rendre le plus explicite possible le processus d’analyse par lequel le chercheur traite l’information : notes réflexives, clarifier les schémas de codes et le processus d’analyse.

A

Fiabilité (avec les mêmes personnes)

40
Q

Qui suis-je?

• Validité externe en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• « Capacité d’une recherche (et de ses conclusions) de faire sens ailleurs ». (dans un autre contexte)
• Possibilité d’étendre les conclusions à d’autres contextes.
• « Le chercheur doit démontrer que les résultats valent pour d’autres situations ».
À ne pas confondre avec la notion de généralisation en recherche quantitative : => Transférabilité analytique des résultats.
Une technique :
• Description dense et détaillée du contexte : (BEAUCOUP d’informations à détailler)
− Permet un jugement par rapport à l’application des résultats à d’autres contextes.
− Ex. dans la description de la méthode de recrutement pour bien comprendre le contexte; dans les notes réflexives.

A

Transférabilité

41
Q

Vrai ou Faux

Le debriefing avec les particpant.e.s est la technique la plus valide pour optimiser la crédibilité des données.

A

Vrai

42
Q

Nommer les 7 types de triangulation.

A
  1. Triangulation temporelle.
  2. Triangulation spatiale (sites).
  3. Triangulation par combinaison de niveaux.
  4. Triangulation des observateurs.
  5. Triangulation des méthodes et techniques.
  6. Triangulation des sources (données).
  7. Triangulation des informations.
43
Q

Qui suis-je?

Développement d’une théorie à partir des données et des cas semblables dans la littérature; une description du cas; ou des comparaisons à d’autres cas.

A

Étude de cas

44
Q

Qui suis-je?

Analyse du contenu, « …tenant compte de l’analyse des thèmes et modèles (patterns) qui émergent du contenu narratif ».

A

Études descriptives

45
Q

Vrai ou Faux

D’être détaillé et dense; équivaut au 0,01 ou 0,05 en quantitatif pour prouver la validité.

A

Vrai

46
Q

Dans la section discussion pour l’interprétation des données qualitatives, que retrouve-t-on?

A

− La signification des données qualitatives.
− Les conclusions qu’il faut en tirer.
− Les implications pour la pratique.
− La crédibilité des données.

47
Q

Vrai ou Faux

La discussion est une vue d’ensemble des résultats noir sur blanc avec notre couleur sexologique.

A

Vrai

48
Q

Concrètement qu’écrivons-nous dans le section discussion?

A
    1. Un résumé de l’étude (rappeler le contexte).
    1. La synthèse des données qualitatives.
    1. L’interprétation des catégories conceptuelles provenant de la section des résultats/analyses.
    1. La présentation de leurs significations.
    1. Une description textuelle sur les résultats les plus fréquents ou prégnants.
    1. L’explication de l’issue des données qualitatives.
    1. La mise en évidence des nouveaux résultats obtenus dans cette étude…
    1. L’intégration de l’interprétation académique/professionnelle, spécialisée.
    1. La comparaison aux résultats des études antérieures et aux modèles théoriques.
    1. L’élaboration de conclusions.
    1. L’interprétation des données qualitatives en lien avec les objectifs et le problème de recherche.
    1. L’établissement de liens avec des considérations cliniques.
    1. La reconnaissance des limites de l’étude.
    1. Des recommandations pour les recherches futures et concernant la pratique clinique. (avoir plus d’entrevues pour prouver la pertinence)
    1. Les points à retenir de cette étude ou des résultats.