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SEX2210 - Méthodologie qualitative > QUIZ 1 > Flashcards

QUIZ 1 Flashcards

1
Q

Vrai ou Faux

En qualitatif, on parle de variables.

A

Faux

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Q

Quel paradigme suis-je?

Subjectivisme : réalité construite socialement. Signification des expériences individuelles. Construite à partir des perceptions humaines. Vise la compréhension. Ne peut être observé directement. Le chercheur n’est pas totalement neutre.

A

Paradigme interprétatif / constructivisme

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3
Q

Qui suis-je?

Compréhension de la réalité, de l’être humain, vision du monde (mettre en perspective le particulier de chaque personne pour en faire une mesure).

A

Ontologie

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4
Q

Qui suis-je?

  • Investigation systématique
  • Fondements pratiques
A

Méthodologie

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5
Q

Qui suis-je?

  • Processus de la pensée abstraite
  • Compréhension des gens, création de modèles et explication du monde empirique
  • Fondements théoriques
  • Philosophie de la connaissance
A

Épistémologie

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6
Q

À quoi sert un paradigme?

A

Sert à établir la perspective/théorie du chercheur.

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7
Q

Vrai ou Faux

La paradigme positiviste est en lien avec la méthodologie qualitative.

A

Faux, quantitative.

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8
Q

Vrai ou Faux

La paradigme interprétatif/constructiviste est en lien avec la méthodologie qualitative.

A

Vrai

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9
Q

Quel paradigme suis-je?

• La réalité est autonome et possède une existence incontestable et objective.
• Présume l’existence d’une réalité observable.
• Vise la recherche de lois qui gouvernent les phénomènes.
• Est gouverné par des critères précis et rigoureux d’objectivité et de quantification.
• Le fait est une réalité observable et mesurable en lui-même.
• Présuppose la neutralité du chercheur et la distance par rapport à l’objet.
• Préconise la méthode causale.
• Des méthodes tirées des sciences «exactes», donc quantitatives et statistiques.
• Du complexe au simple.
− En se dotant d’indicateurs mesurables.
− Et des liens et influences entre ces derniers (variables dépendantes et indépendantes).
− N’est valide que ce qui est soumis aux tests statistiques.
• Teste des modèles préétablis (démarche déductive).

A

Paradigme positiviste

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10
Q

Quel paradigme suis-je?

• La réalité et le sens des choses ne sont pas découverts, mais bien construits, les individus construisent la réalité de manière différente, même lorsqu’ils sont en présence d’un même phénomène.
• Subjectivisme : réalité construite socialement.
• Il n’y a pas de réalité objective.
• Cette réalité
− Est subjective.
− Ne peut être observée directement.
− L’observation et l’analyse s’attardent à la signification des expériences individuelles.
− Est construite à partir des perceptions humaines qui peuvent varier et qui subissent des influences sociales.
• Dans ce contexte :
− Le chercheur n’est pas totalement neutre, mais participe aux processus observés.
− On vise la compréhension et non l’explication.
− On développe une théorie à partir des données et non à partir d’un modèle préétabli (démarche inductive).

A

Paradigme interprétatif/constructiviste

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11
Q

Vrai ou Faux

La méthodologie qualitative sert à aller chercher les détails que le quantitatif n’arrive pas à déterminer.

A

Vrai

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12
Q

Vrai ou Faux

En qualitatif, on ne se pose pas les mêmes questions qu’en quantitatif.

A

Vrai

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13
Q

Nommer le paradigme méthodologique.

• Exploration des motivations à adopter des pratiques sexuelles sécuritaires chez les prostitués (ées) de rue mineurs (eures) du centre-sud de Montréal.

A

Paradigme interprétatif / constructiviste (quali)

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14
Q

Nommer le paradigme méthodologique.

• Lien entre prévalence des ITSS et le port du condom chez les prostitués (ées) de rue mineurs (eures) du centre-sud de Montréal.

A

Paradigme positiviste (quanti)

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15
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

  • Une seule réalité.
  • De multiples réalités.
A
  • Une seule réalité : Quantitative.

- De multiples réalités : Qualitative.

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16
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

  • Un univers contrôlé; généralisation (contrôler les variables).
  • Cherche le contexte d’origine (contact avec le milieu pour saisir l’expérience).
A
  • Un univers contrôlé; généralisation (contrôler les variables) : Quantitative.
  • Cherche le contexte d’origine (contact avec le milieu pour saisir l’expérience) : Qualitative.
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17
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Une réalité objective : tous les individus ayant la même conception du réel.

A

Quantitative.

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18
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Les individus ne ressentent pas et ne comprennent pas de façon uniforme les mêmes éléments d’une situation.

A

Qualitative.

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19
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Cherche à explorer l’objet d’étude dans contexte d’origine.

A

Qualitative.

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20
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Le chercheur entre en contact avec le milieu où le phénomène est présent.

A

Qualitative.

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21
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Vise la généralisation des similarités par l’établissement d’une distance entre le contexte et le chercheur.

A

Quantitative.

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22
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

Logique déductive.

A

Quantitative.

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23
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

Logique inductive.

A

Qualitative.

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24
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Chercheurs n’ont d’autre choix que d’utiliser l’humain comme instrument.

A

Qualitative.

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25
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− La structure de l’étude est préalablement déterminée.

A

Quantitative.

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26
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Les données émergent des expériences personnelles : impossible de prévoir les résultats obtenus.

A

Qualitative.

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27
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− Évalue la présence de relations entre des phénomènes.

A

Quantitative.

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28
Q

MÉTHODOLOGIE QUANTITATIVE VS QUALITATIVE

− S’attarde au sens et à la signification d’un phénomène.

A

Qualitative.

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29
Q

Qui suis-je?

Je suis une approche privilégiée qui sert à aller chercher le symbole que la personne donne à son expérience.

A

Interactionnisme symbolique.

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30
Q

Vrai ou Faux

La méthodologie quantitative est le désir d’accéder « à ce que les acteurs font, disent et pensent ».

A

Faux, qualitative.

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31
Q

Vrai ou Faux

En méthodologie qualitative, les documents personnels et biographiques : journaux intimes, correspondances (lettres manuscrites), histoires de vie; entretiens plus ou moins informels; observation in situ peuvent parfois être utilisés comme moyens d’analyse des sujets.

A

Vrai

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32
Q

En méthodologie qualitative, à quoi faut-il faire attention lorsqu’on met en place des méthodes d’analyse?

A

Il faut que TOUT soit bien écrit dans la méthode de la recherche pour avoir une liberté en qualitatif.

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33
Q

Quelles sont les 6 qualités du chercheur qualitatif?

A

1) A l’intention de comprendre la réalité des sujets.
2) Interpellé par l’expérience subjective de la personne.
3) Est sensible à la construction symbolique de la réalité des acteurs.
4) Concerné par la recherche empirique (données) de terrain et le contact avec le milieu.
5) Voit l’importance de partir de données empiriques pour théoriser.
6) Est conscient de la question complexe de l’interprétation dans la recherche.

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34
Q

À quoi servent les questions de recherche en méthode quali?

A

Explorer, décrire, comprendre, expliquer.

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35
Q

Quelles sont les données empiriques (brutes)?

A

Elles proviennent de la perspective des participants, les mots des participants traduits en verbatim.

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36
Q

Où est le milieu de recherche?

A

Dans leur milieu naturel.

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37
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • Décrire, observer, documenter et analyser les styles de vie ou les tendances.
  • Observer sur le TERRAIN.
  • Devient un PARTICIPANT ACTIF.
  • Propre à l’ANTHROPOLOGIE.
  • Expliquer les dynamiques à l’intérieur d’un GROUPE.
  • Comprendre les croyances, les façons de vivre, les adaptations aux changements.
  • Distinguer les normes, les idéaux.
  • Données : entrevues, récits de vie, documents.
  • Observations participantes.
  • Analyse : on demande aux participants de VALIDER LES ANALYSES, impliquer jusqu’à la fin.
A

Ethnographie (celle qui décrit le mieux la méthodologie qualitative).

38
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • Vise à CONSTRUIRE DES THÉORIES à partir des observations.
  • Objectif : Dépasser la seule description des données empiriques afin de construire une théorie empiriquement fondée à partir de PHÉNOMÈNES SOCIAUX à propos desquels peu d’analyses ont été articulées.
  • Elle vise donc la DÉCOUVERTE d’une théorie par la méthode empirico-inductive.
  • AUCUN cadre théorique à priori :
  • Ce sont uniquement les données empiriques qui guident la conceptualisation théorique.
  • Traitement du matériel indépendant des théories existantes. Aucune autre théorie n’est prise en compte. • On part à ZÉRO (0).
  • La théorie émerge du MATÉRIEL.
  • Données : entrevues et observations participantes.
  • Analyse : FORMULER UNE THÉORIE pour expliquer les phénomènes sociaux.
A

Théorisation ancrée (Glaser et Strauss).

39
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

• Décrire l’EXPÉRIENCE PERSONNELLE des individus (univers intérieur ; l’interprétation de la personne).
• COMPRENDRE un phénomène.
− Saisir l’essence du phénomène du POINT DE VUE DES PARTICIPANTS impliqués dans l’expérience.
• S’intéresse aux significations, au SENS des expériences des participants.
• Une perspective PHILOSOPHIQUE.
− La situation est contextuelle, la personne dans SON environnement.
− Données : entrevues.
− L’analyse va porter sur une DESCRIPTION du phénomène.

A

Phénoménologie.

40
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

• Construction de la RÉALITÉ en INTERACTION entre les acteurs sociaux.
• Margaret MEAD, anthropologue.
• Les interactionnistes symboliques centrent leur attention sur le CONTEXTE IMMÉDIAT dans lequel s’inscrit le COMPORTEMENT des individus, objet de leur étude.
• Les chercheurs OBSERVENT les SITUATIONS dans lesquelles les phénomènes sociaux peuvent advenir.
• Les phénomènes relèvent de l’interprétation de ceux qui INTERVIENNENT dans leur déroulement.
− Données : Observations.

A

Interactionnismes symboliques.

41
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • ÉVALUER la conceptualisation, le protocole, l’implantation et l’utilité des PROGRAMMES sociaux d’intervention.
  • Elle vise à porter un JUGEMENT sur les différentes composantes d’un programme, et ce, à partir de CRITÈRES OBJECTIFS.
  • On évalue quoi? Interventions! Programmes! Politiques!
A

Recherche évaluative.

42
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • Prend en considération le POINT DE VUE des participants/utilisateurs des connaissances à TOUTES LES ÉTAPES de la recherche.
  • Ils sont impliqués DÈS LA DÉFINITION du problème de recherche : le projet de recherche répond à un besoin clairement énoncé.
  • Les participants peuvent être des organisations, des citoyens, des collectivités.
  • Valorise le point de vue des participants et DIMINUE LA DISTANCIATION entre chercheurs-participants :
  • Faire de la recherche AVEC des participants. NON pas SUR/À PROPOS des participants.
  • Le niveau de participation peut varier.
  • Une collaboration ponctuelle (quelques rencontres pendant le déroulement de la recherche).
  • Une collaboration très ENGAGÉE (discuter à toutes les semaines de l’évolution de la recherche).
  • Défis de la recherche participative :
  • La CULTURE des chercheurs et la culture des participants est à arrimer (ex : langage utilisé peut être différent, attentes envers l’utilisation des résultats, etc.).
  • CHALLENGE : le TEMPS (occupé; travail) !
  • Riche en INFORMATION.
  • Elle répond à des questions d’ACTUALITÉ qui sont partagées par plusieurs personnes (et non seulement par un chercheur isolé).
  • Les étapes du recrutement sont (généralement) facilitées.
  • Les RÉSULTATS sont UTILES et transforment la société.
A

Recherche participative.

43
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

• On étudie le cas d’UNE personne ou d’UN évènement de plusieurs personnes.
• « …Étudie un phénomène contemporain dans son contexte RÉEL, en particulier lorsque les frontières entre le phénomène et le contexte ne sont pas évidentes ».
• Utiliser UN CAS PRÉCIS comme exemple pour COMPRENDRE UN PHÉNOMÈNE.
• Un cas peut être un événement, une personne, une famille, une organisation / un service, une intervention / un programme.
• Trois principaux types d’étude de cas (Yin, 1994) :
− A) EXPLORATOIRE : étudier un phénomène peu connu théoriquement et empiriquement.
− B) DESCRIPTIVE : dresser un portrait de situation en idenifiant et classant ses composantes.
− C) EXPLICATIVE : vérifier ou développer une explication de la situation actuelle en identifiant des liens dynamiques entre les composantes.

A

Étude de cas (Yin).

44
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • La démarche est entreprise en vue de PRODUIRE DE NOUVELLES CONNAISSANCES, indépendamment des perspectives d’application immédiate sur le terrain.
  • Élargir le savoir.
  • Inclut la recherche théorique.
A

Recherche fondamentale et recherche appliquée.

45
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • Démarche qui consiste à trouver des SOLUTIONS à des problèmes pratiques.
  • Connaissance orientée sur l’action et la PRISE DE DÉCISION.
  • Objet de recherche plus CONCRET et plus précis.
A

Recherche appliquée.

46
Q

Quelle approche qualitative suis-je?

  • Démarche systématique d’ACQUISITION de connaissances qui repose sur la COLLECTE DE DONNÉES EMPIRIQUES en vue de décrire, d’expliquer, de prédire ou de contrôler des phénomènes.
  • Générer et FAVORISER de NOUVELLES connaissances.
  • Valider des connaissances déjà acquises.
  • Adresse une question de recherche de façon systématique en :
  • Justifiant la base théorique.
  • Spécifiant le DÉTAIL méthodologique.
  • Proposant des conclusions conformes aux informations obtenues.
  • TRIANGULATION (accord interjuge) : échange de nos données pour valider la compréhension.
  • Lire tout ce qui existe sur le sujet en recension, mais elle bouge après avoir discuté avec les participants. RETOURNER rechercher dans la littérature d’autres écrits avec ce qui s’ajoutent comme données.
A

Démarche scientifique.

47
Q

Quelles sont les cinq phases

A
  1. Phase conceptuelle
  2. Phase méthodologique
  3. Phase empirique
  4. Phase analytique
  5. Phase de diffusion
48
Q

Quelle logique suis-je?

Objectif de recherche qualitatif
• Comme la recherche qualitative NE VISE PAS la manipulation de variables (pas de a priori).
• Elle ne s’appuie pas sur des HYPOTHÈSES MESURABLE…
• Elle vise la COMPRÉHENSION DU PHÉNOMÈNE par une approche inductive.
• Qui se précise au fur et à mesure de la recherche sans idée préconçue.

A

Logique de démarche inductive.

49
Q

Quelle phase suis-je dans la démarche scientifique?

• Collecte de données.
− Phase de réalisation de la recherche.
• Organisation des données.
− En vue de l’analyse.

A
  1. Phase empirique
50
Q

Quelle phase suis-je dans la démarche scientifique?

• Choix du sujet de recherche et énoncé de la question préliminaire de recherche.
− Question préliminaire associée au sujet et qui sera précisée en cours d’intégration des écrits scientifiques sur le sujet.
• Recension des écrits et lecture critique.
− Déterminer le niveau actuel de connaissances sur le sujet.
• Élaboration du cadre théorique.
− Assises conceptuelles et théoriques qui guident la recherche et l’analyse éventuelle des résultats.
• Formulation du problème.
− Situer le sujet de recherche dans son contexte.
• Énoncé du but, des questions de recherche.

A
  1. Phase conceptuelle
51
Q

Quelle phase suis-je dans la démarche scientifique?

• Prise en compte des enjeux éthiques.
• Choix d’un devis. (approche, canevas, méthodologie ; démontrer notre encadrement, combien de personnes je veux interviewer. Comment on prévoit faire notre projet de recherche.)
− Plan déterminé par le chercheur pour déterminer la façon de procéder pour atteindre les objectifs.
• Échantillonnage.
− Population auprès de laquelle seront recueillies les informations et comment ces personnes seront rejointes.
• Méthode de collecte de données.

A
  1. Phase méthodologique
52
Q

Quelle phase suis-je dans la démarche scientifique?

  • Analyse des données.
  • Interprétation des données.
A
  1. Phase analytique
53
Q

Quelle phase suis-je dans la démarche scientifique?

• Communication des résultats.
− Le but de la recherche est de partager les connaissances acquises.
− Il faut choisir le médium le plus approprié.
• Intégration des données dans la pratique professionnelle.

A
  1. Phase de diffusion et transfert
54
Q

Expliquer le processus de recherche inductif.

A
  1. Lectures;
  2. Définition des objectifs de recherche de départ;
  3. Cadre théorique de départ - qui demeure souple et possible de redéfinir au fur et à mesure de la collecte des données;
  4. Élaboration d’une grille d’entrevue, qui deviendra mature au fur et à mesure que les données seront collectées et analysées (des entrevues « pilotes » souvent nécessaires);
  5. L’échantillon est sélectionné à partir de critères d’inclusion. Le nombre de participants varie et est surtout déterminé par la saturation des données. La taille de l’échantillon est plus petite qu’en quantitatif mais les analyses vont davantage en profondeur. Il n’y a pas d’hypothèses formelles préétablies. Les données recueillies sur le terrain doivent prédominer;
  6. Recherche sur le terrain - la collecte de données se fait en parallèle à la construction du cadre théorique et le raffinement de la grille de codification (ex : canevas d’entrevues);
  7. Vise l’élaboration d’un modèle théorique ou la description d’un phénomène (et non le test d’hypothèses).

INDUCTIF : On ne sait pas à l’avance ce qui émergera des données.

55
Q

Que vise la logique de démarche inductive?

A

Elle vise la compréhension d’un phénomène par une approche inductive. Qui se précise au fur et à mesure de la recherche sans idée préconçue.

56
Q

Comment arrivons-nous à définir une problématique de recherche?

A

Le projet doit naître d’une question de recherche, de l’identification d’un problème.

57
Q

Comment juger de la pertinence de notre question de recherche? 3 aspects.

A
  1. L’avancement des connaissances
  2. Le respect de l’éthique
  3. Faisabilité du projet
58
Q

Quelles sont les 2 questions à se poser pour présenter sa problématique de recherche?

A
  1. Pourquoi avons-nous besoin de réaliser cette recherche?

2. En quoi les résultats obtenus sont-ils indispensables?

59
Q

Quels sont les 4 objectifs de présenter sa problématique de recherche?

A
  1. Circonscrire le problème à étudier.
  2. Énoncer le sujet sur lequel porte la recherche.
  3. Présenter les grands thèmes.
  4. Situer le sujet de recherche dans le contexte des connaissances actuelles.
60
Q

Quelles sont les 4 composantes de présenter sa problématique de recherche?

A
  1. Thème général de la recherche
  2. Importance du thème
  3. Formulation du problème
  4. Pertinence
61
Q

Nommer les 3 pertinences de la problématique de recherche.

A

− Pertinence sociale : les apports possibles de cette recherche au niveau social.
• pour répondre à des enjeux ou des préoccupations d’acteurs de la société (décideurs ou intervenants).
• pour répondre à l’apparition d’un nouveau phénomène social.
− Pertinence scientifique :
• pour répondre à des enjeux théoriques ou conceptuels, besoin de développement de connaissances pour améliorer la compréhension d’un phénomène.
− Pertinence sexologique :
• pour répondre à des enjeux cliniques ou en recherche. Question de recherche en lien avec la sexologie.

62
Q

Qui suis-je?

Étape fondamentale, car elle permet au chercheur de définir :
− Le cadre conceptuel de sa recherche.
− L’état de la recherche actuelle sur la problématique choisie.
− Des hypothèses et/ou des questions de recherche.
− Vise à répondre à la question : que sait-on actuellement sur cette problématique? Question de recherche en lien avec la sexologie; on ne parle PAS d’hypothèse en qualitatif (seulement en quantitatif).
− Bon indicateur de la qualité de la réflexion du chercheur :
• La profondeur de sa réflexion et le niveau de maîtrise de son sujet.

A

Effectuer une recension des écrits.

63
Q

Vrai ou Faux

La recension des écrits se fait du spécifique au général.

A

Faux, du général au spécifique.

64
Q

Lorsqu’on fait une synthèse critique de l’état actuel de la recherche sur le sujet lors de la recension, à quoi cela sert? 3 aspects.

A

− Comparer les informations trouvées (points de vue convergents et divergents).
− Évaluer les méthodes utilisées pour décrire l’objet d’étude (forces et les faiblesses de chacune).
− Repérer les « trous » dans les connaissances (montrer comment votre étude résout les questions laissées en suspens par les autres travaux).

65
Q

Vrai ou Faux

La recension des écrits est un résumé et vise à aligner une suite d’informations pertinentes.

A

Faux, il s’agit d’une synthèse critique. Il doit y avoir une suite logique dans la façon de présenter sa recension.

66
Q

Vrai ou Faux

L’objectif de la synthèse n’est pas de faire du name-dropping d’auteurs.

A

Vrai

67
Q

Quelle est la différence entre synthèse VS résumé?

A

• Définition d’une synthèse (Larousse) :
− Opération intellectuelle par laquelle on réunit en un tout cohérent, structuré et homogène divers éléments de connaissance concernant un domaine particulier.
− Suppose de mettre des idées EN RELATION.

• Définition d’un résumé (Larousse) :
− Forme ABRÉGÉE du contenu d’un texte, d’un document, d’un film.

68
Q

Quelles sont les 6 étapes d’une démarche de recherche documentaire?

A
  1. Cerner le sujet d’étude et repérer les sources secondaires.
  2. Choisir les bases de données appropriées (et les mots-clés).
  3. Repérer les sources primaires.
  4. Lire et évaluer la pertinence et la qualité des sources.
  5. Analyser et synthétiser l’information.
  6. Organiser et rédiger une recension des écrits.
69
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques des travaux à considérer pour faire sa recension?

A

Ceux qui abordent des :
• Problèmes similaires à celui de votre projet.
• Mêmes variables sans nécessairement être directement liés à votre sujet.
• Concepts ou théories qui permettent de mettre en perspective votre sujet de recherche.
• Méthodologies pertinentes pour votre recherche.

70
Q

Vrai ou Faux

Questions de recherche propres à la méthodologie qualitative.

Questions ouvertes, éviter oui ou non. On veut la SIGNIFICATION de la personne, son sens à ELLE, pas la société.

A

Vrai

71
Q

Nommer quelques sujets auxquels s’intéressent une question de recherche en méthodologie qualitative.

A

S’intéresse aux :
• Perceptions :
− Comment percevez-vous…? Quelle est votre perception de …?
• Significations :
− Que signifie pour vous…?
• Sens donné à… :
− Que veut dire pour vous…? Qu’est-ce que vous voulez dire par…?
• Représentations (signification + interprétation) :
− Que représente pour vous…?
• Attitudes :
− Comment avez-vous réagi lorsque…?
• Sentiments :
− Comment vous sentez-vous lorsque…? Comment vous êtes-vous senti lorsque…?
• Idées :
− Que pensez-vous de…?
• Processus :
− Comment en êtes-vous arrivé à…?
• Points de vue :
− Comment vous situez-vous par rapport…?
• Opinions :
− Quelle est votre position face à…?
• Croyances :
− Quelle est votre croyance, conception, conviction face à…?
• Valeurs :
− Quelle importance accordez-vous à…?
• Motivations :
− Qu’est-ce qui vous pousse à…? Pour quelle raison faites-vous…?
• Dynamiques :
− Comment qualifierez-vous les rapports que vous entretenez avec…?
• Expériences vécues :
− Quelle est votre expérience par rapport à…?
• Interactions :
− Comment interagissez-vous avec les autres dans tel contexte…?

72
Q

Vrai ou Faux

Caractéristiques d’une bonne question de recherche :
On oublie LES CAUSES ET LE POURQUOI (quanti).

Laisser plutôt ÉMERGER la position des acteurs/sujets/PARTICIPANTS face à notre question.

A

Vrai, exemple : parlez-moi de votre ressenti face à…

Écouter le vécu. Posée en termes d’analyse et non en termes de jugement ou de morale. Favorise davantage la compréhension que la description.

73
Q

Vrai ou Faux

Le jugement de valeur du chercheur doit être respecté comme suit :

Parlez-moi d’à quel point l’avortement est horrible.

A

Faux!

74
Q

Nommer les 5 méthodes d’analyses propres aux approches qualitatives.

A
  1. L’analyse phénoménologique :
    − A) Centrée sur le sens du phénomène.
    − B) Centrée sur l’essence du phénomène.
    − C) Résumer par des expressions/mots du participant et décrire chaque aspect de l’expérience/phénomène.
  2. L’analyse ethnographique :
    − Une description détaillée et exhaustive d’un groupe partageant la même culture.
  3. L’analyse de théorisation enracinée :
    − Découverte des catégories émergeantes et élaboration de théories.
  4. L’analyse qualitative de l’étude de cas :
    − Description détaillée du cas et de son contexte.
  5. L’analyse qualitative de l’étude descriptive :
    − Processus d’analyse thématique: produire des catégories de façon systématique, avant/pendant l’analyse.
75
Q

Quels sont les 3 critères de rigueur scientifique pour l’analyse qualitative?

A
  1. Documentation et justification des choix méthodologiques
    • Description détaillées des choix méthodologiques (processus, démarches, réalisation).
  2. Ancrage empirique
    • Expliciter ses référents théoriques et sa position épistémologique de départ.
  3. Impératif d’exhaustivité et de complétude
    • Analyser l’ensemble du matériel.
76
Q

Critères de scientificité -
Validation des analyses des données

Dans un cadre scientifique, il faut garantir que la codification des données soit ________________.

A

…stable, homogène et la plus objective possible…

stabilité, validité et fidélité des catégories choisies

77
Q

Quelle est la différence entre validité et fidélité?

A
  • Validité : mesure ce qui doit être mesuré (opérationnalisation, quantitatif). (ex. : rendre un questionnaire PRÉCIS sur la satisfaction sexuelle, alors qu’avant c’était flou et donnait plein de résultats vagues)
  • Fidélité : les mêmes participants dans les mêmes conditions doivent répondre les mêmes réponses dans le temps. (ex. : Exemples : test-retest, formes parallèles et accord inter-juges, expertise).
78
Q

Nommer les quatre critères de scientificité pour l’analyse qualitative.

A
  1. Crédibilité
  2. Transférabilité
  3. Fiabilité
  4. Confirmabilité
79
Q

Vrai ou Faux

La validité et la fidélité font partie des critères de rigueur.

A

Faux, des critères de scientificité.

80
Q

Qui suis-je?

• Validité interne en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• Exactitude de la description du phénomène vécu par les participant.e.s.
− Les analyses qui découlent de l’interprétation sont crédibles du point de vue des participants.
− Les analyses sont représentatives de l’expérience telle que vécue par les acteurs.
• Plusieurs techniques peuvent être appliquées pour mieux comprendre et pour améliorer la crédibilité de l’analyse : (techniques pour démontrer la crédibilité des chercheurs, mis dans leur texte pour appuyer)
− Engagement prolongé sur le terrain : renforcer le climat de confiance, plus de temps pour comprendre et ajouter des précisions.
− Observation soutenues : éviter des conclusions prématurées.
− Contrexplications : chercher des explications divergentes.
− Triangulation : comparer plusieurs méthodes de collecte et d’interprétation des données à propos du phénomène étudié.
− Debriefing : débreffage, avoir des échanges avec des experts/chercheurs et/ou les participant.e.s sur la crédibilité des interprétations des données.

A

Crédibilité

81
Q

Qui suis-je?

• L’objectivité dans les données et interprétations.
• Neutralité, vraisemblance, certitude des données.
− Même si on privilégie l’aspect humain.
• Les résultats reflètent bien les données plutôt que la perspective du chercheur.
Une technique :
• La triangulation : vérification par d’autres chercheurs.
• Être le plus neutre et objectif possible en étant conscient qu’on est subjectif.

A

Confirmabilité

82
Q

Qui suis-je?

• Fidélité en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• Stabilité/Constance des données dans le temps et dans les conditions. (ex. : répéter dans le temps le même sujet. Comment te sens-tu en date du 19 mars ?….3 mois plus tard : Comment te sentais-tu le 19 mars ? Toujours garder la même question pour voir si le vécu est le même, fiable).
• Il importe de rendre le plus explicite possible le processus d’analyse par lequel le chercheur traite l’information : notes réflexives, clarifier les schémas de codes et le processus d’analyse.
• Trois principales techniques :
− Illustrer l’ensemble des catégories conceptuelles à l’aide d’extraits de verbatims.
− Permet de s’assurer que les catégories conceptuelles créées tiennent le coup et représentent bien les informations recueillies sans exagération.
− Triangulation : Il faut réaliser une vérification de la catégorisation conceptuelle par d’autres chercheurs (accord intersubjectif).
− Plusieurs chercheurs regardent le matériel des entrevues afin de passer à l’épreuve de la discussion.
− L’emphase n’est pas mise sur l’objectivité des investigateurs mais plutôt sur la subjectivité de ces derniers. (assumer qu’on est subjectif mais démontrer qu’on veut être le plus objectif possible)
− Rendre le plus explicite possible le processus d’analyse par lequel le chercheur traite l’information : notes réflexives, clarifier les schémas de codes et le processus d’analyse.

A

Fiabilité (avec les mêmes personnes)

83
Q

Qui suis-je?

• Validité externe en quantitatif. (même chose, mais appelé différemment)
• « Capacité d’une recherche (et de ses conclusions) de faire sens ailleurs ». (dans un autre contexte)
• Possibilité d’étendre les conclusions à d’autres contextes.
• « Le chercheur doit démontrer que les résultats valent pour d’autres situations ».
À ne pas confondre avec la notion de généralisation en recherche quantitative : => Transférabilité analytique des résultats.
Une technique :
• Description dense et détaillée du contexte : (BEAUCOUP d’informations à détailler)
− Permet un jugement par rapport à l’application des résultats à d’autres contextes.
− Ex. dans la description de la méthode de recrutement pour bien comprendre le contexte; dans les notes réflexives.

A

Transférabilité

84
Q

Vrai ou Faux

Le debriefing avec les particpant.e.s est la technique la plus valide pour optimiser la crédibilité des données.

A

Vrai

85
Q

Nommer les 7 types de triangulation.

A
  1. Triangulation temporelle.
  2. Triangulation spatiale (sites).
  3. Triangulation par combinaison de niveaux.
  4. Triangulation des observateurs.
  5. Triangulation des méthodes et techniques.
  6. Triangulation des sources (données).
  7. Triangulation des informations.
86
Q

Qui suis-je?

Développement d’une théorie à partir des données et des cas semblables dans la littérature; une description du cas; ou des comparaisons à d’autres cas.

A

Étude de cas

87
Q

Qui suis-je?

Analyse du contenu, « …tenant compte de l’analyse des thèmes et modèles (patterns) qui émergent du contenu narratif ».

A

Études descriptives

88
Q

Vrai ou Faux

D’être détaillé et dense; équivaut au 0,01 ou 0,05 en quantitatif pour prouver la validité.

A

Vrai

89
Q

Dans la section discussion pour l’interprétation des données qualitatives, que retrouve-t-on?

A

− La signification des données qualitatives.
− Les conclusions qu’il faut en tirer.
− Les implications pour la pratique.
− La crédibilité des données.

90
Q

Vrai ou Faux

La discussion est une vue d’ensemble des résultats noir sur blanc avec notre couleur sexologique.

A

Vrai

91
Q

Concrètement qu’écrivons-nous dans le section discussion?

A
    1. Un résumé de l’étude (rappeler le contexte).
    1. La synthèse des données qualitatives.
    1. L’interprétation des catégories conceptuelles provenant de la section des résultats/analyses.
    1. La présentation de leurs significations.
    1. Une description textuelle sur les résultats les plus fréquents ou prégnants.
    1. L’explication de l’issue des données qualitatives.
    1. La mise en évidence des nouveaux résultats obtenus dans cette étude…
    1. L’intégration de l’interprétation académique/professionnelle, spécialisée.
    1. La comparaison aux résultats des études antérieures et aux modèles théoriques.
    1. L’élaboration de conclusions.
    1. L’interprétation des données qualitatives en lien avec les objectifs et le problème de recherche.
    1. L’établissement de liens avec des considérations cliniques.
    1. La reconnaissance des limites de l’étude.
    1. Des recommandations pour les recherches futures et concernant la pratique clinique. (avoir plus d’entrevues pour prouver la pertinence)
    1. Les points à retenir de cette étude ou des résultats.

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