QUIZ 3 Flashcards

1
Q

Qui suis-je?

Un tête à tête entre deux personnes dont une transmet des informations à l’autre. Ce n’est PAS une discussion libre, car l’accent est mis sur un sujet donné.

A

Entrevue de recherche

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2
Q

Pourquoi utiliser l’entrevue de recherche?

A
  • Importance d’entrer en contact direct avec des sujets.
  • Plus pertinent de s’adresser aux individus eux-mêmes que d’observer leurs conduites et leur rendement à certaines tâches ou d’obtenir une auto-évaluation à l’aide de divers questionnaires.
  • Privilégier le médium de la relation interpersonnelle.
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3
Q

Nommez les 2 objectifs de l’entrevue de recherche.

A
  • Recherche d’information.

* Induction d’un changement (cognitif, émotionnel, comportemental ou relationnel).

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4
Q

Complétez.

Le dialogue est ______________ pour obtenir de l’information.

A

l’instrument

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5
Q

Vrai ou Faux

L’intervieweur.euse a le monopole de l’interprétation.

A

Vrai

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6
Q

Nommez les 6 types de savoir/matériel provenant d’un entretien.

A
  1. Conversationnel : Script conversationnel, structure de dialogue.
  2. Contextuel : Contexte a un impact: lieu, temps de la journée, etc.
  3. Socialement produit : s’inscrit dans un contexte social et culturel donné.
  4. Narratif : Différence entre une histoire et un évènement.
  5. Linguistique : Médium, entretien au téléphone, en direct, etc. influence l’entrevue.
  6. Intersubjectif : Différence entre ce qui est dit et ce qui est pensé.
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7
Q

Il y a 3 concepts pour définir la notion d’entrevue. Nommez-les.

A
  1. Le degré de liberté :
    − Présence ou non de questions formulées à l’avance.
    − La forme donnée à ces questions.
  2. Le niveau de profondeur :
    − Exprime la richesse et la complexité des réponses qui peuvent être exprimées.
  3. La directivité :
    − Responsabilité donnée au participant ou à l’intervieweur.
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8
Q

Quels sont les 3 types d’entrevue?

A
  1. Non-structurée.
  2. Semi-structurée.
  3. Structurée.
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9
Q

Définir l’entrevue non-structurée.

A

• Vise à atteindre la signification
− Le thème de l’entretien est présenté puis l’intervieweur cherche à faciliter la production verbale en l’influençant le moins possible.
− Entrevue en profondeur.
− Dans sa forme, elle comprend un ensemble de questions posées dans le même ordre, dans les mêmes mots, selon une technique identique.
• Aider et faciliter la parole sans orienter le discours
− Les interventions de l’intervieweur se limitent généralement à des encouragements à parler, des signes d’écoute.
• Fait appel à une approche humaniste
− Attention positive inconditionnelle (sans jugement) pour faciliter la parole et développer une meilleure alliance.
− Écoute empathique pour se centrer sur l’expérience de l’interviewé.e.

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10
Q

Nommez des avantages de l’entrevue non-structurée

A
  • Oriente peu le discours de l’interviewé.e.
  • Un plus grand rôle est donné à l’interviewé.e.
  • Amène à explorer davantage les représentations en fonction des catégories et associations personnelles de l’interviewé.e.
  • Discours de l’interviewé.e plus spontané.
  • Permet de faire des découvertes.
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11
Q

Nommez des désavantages de l’entrevue non-structurée

A
  • Tend à produire des réponses plus longues, mais moins structurées.
  • Permet peu la comparaison des discours / réponses entre les interviewé.e.s.
  • Ne permet pas de confirmer des hypothèses.
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12
Q

Définir l’entrevue semi-structurée.

A

L’intervieweur développe un guide de sous-thèmes à aborder pour faire suite à une consigne générale non-directive.
• Degré de liberté important mais plus limitée que l’entrevue en profondeur, puisque l’ensemble des thèmes devant être abordés sont déterminés à l’avance.
• Permet d’aller chercher des thèmes plus précis reliés à des hypothèses préalables du chercheur, mais sans imposer du contenu.
• Les connaissances issues de l’entrevue semi-structurée sont une co-construction entre chercheur et interviewé.

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13
Q

Nommez des avantages de l’entrevue semi-structurée

A
  • Assure que les thèmes importants soient abordés.
  • Permet de pallier aux lacunes identifiées à même les écrits scientifiques.
  • Rend l’entretien non-directif plus comparable.
  • Très utile dans la phase de développement d’un questionnaire ou d’un protocole d’entretien directif pour faire sortir les thèmes importants.
  • Forces principales: comprendre un phénomène en profondeur à partir du point de vue des acteurs, donne un accès direct aux expériences des gens, produit des données riches et détaillées.
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14
Q

Nommez des désavantages de l’entrevue semi-structurée

A
  • Peut diminuer la fluidité du discours et casser le rythme.
  • Ne permet pas d’évaluer, de préciser ou de quantifier aussi bien qu’un entretien structuré.
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15
Q

Définir l’entrevue structurée.

A

• Entretien fait à partir de questions fermées.
• Protocole standardisé.
• L’intervieweur dirige l’entretien en posant des questions selon un plan prédéfini.
− Peu de place à l’expression des idées (cadre défini).
• Se rapporte davantage aux études quantitatives.
• Est utilisée pour amasser les propos spontanés des sujets
• Les interviewés répondent librement ou selon les modalités proposées. Ils sont encouragés à développer en fonction des besoins (donc le discours est orienté)
• L’intervieweur intervient pour relancer les individus, demander des précisions ou recadrer/réorienter lorsque nécessaire.

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16
Q

Nommez des avantages de l’entrevue structurée

A
  • Impose un cadre plus strict à l’entretien.
  • Assure que les questions de l’intervieweur soient répondues de façon exhaustive.
  • Oriente fortement le discours de l’interviewé.
  • Amène à explorer les représentations de l’interviewé en fonction du cadre et des catégories de l’intervieweur.
  • Facilite la comparabilité des contenus et l’utilisation d’une grille d’analyse.
  • Permet de préciser et quantifier les expériences et thèmes abordés.
  • Permet de confirmer des hypothèses.
  • Facilite la pensée orientée vers un but.
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17
Q

Nommez des désavantages de l’entrevue structurée

A
  • La planification des questions est cruciale.
  • Nécessite une bonne connaissance du thème abordé.
  • Tend à produire des réponses plus courtes.
  • Laisse peu de place aux découvertes.
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18
Q

Exemples. Quel type d’entrevue suis-je?

  • Entretien pour fins diagnostiques.
  • Entretien d’évaluation.
  • Entretien d’accueil.
  • Enquêtes populationnelles.
A

Entrevue structurée

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19
Q

Exemples. Quel type d’entrevue suis-je?

  • Entretiens exploratoires.
  • Lorsqu’un thème de recherche est moins bien connu, plus récent ou moins documenté.
  • Entretiens psychanalytiques classiques.
A

Entrevue non-structurée

20
Q

Quelle est la différence entre le canevas d’entrevue non dirigée et semi-dirigée?

A

Entrevue non dirigée
• 1 question ouverte et générale.
Entrevue semi-structurée
• Débute avec 1 question ouverte et générale.
• Ajout de questions secondaires visant à aborder des thèmes déterminés à l’avance.

21
Q

Qu’en est-il des questions du canevas dans une entrevue semi-structurée?

A

• Diversification des questions : Varier le genre de questions.
• Répétition : Poser la même question dans d’autres mots.
• Contexte culturel : Questions posées selon la culture de la personne.
• Questions neutres.
• Questions courtes : Un seul sens.
• Éviter les “pourquoi? “.
− Place le participant dans la situation de devoir justifier son opinion.
• Éviter les mots à double sens.
− Amène de la confusion. Ex. : liqueur (alcool, boisson gazeuse?)
• Éviter les questions multiples.

22
Q

Quelles sont les 4 considérations à prendre pour la préparation de l’entrevue de recherche?

A
1. Conceptuelle
− Planification du guide d'entretien (schéma d’entrevue).
2. Relationnelle
− Premiers contacts.
− S'entendre sur le lieu et le moment.
3. Matérielle
− Environnement, aménagement du lieu, disposition des acteurs impliqués.
4. Temps
23
Q

Nommez 4 éléments dans le matériel à considérer pour la préparation de l’entrevue de recherche?

A
  • L’aménagement.
  • L’éclairage et l’aération.
  • L’accessibilité et le caractère privé du lieu.
  • Les positions respectives des individus.
24
Q

Au niveau du déroulement de l’entrevue de recherche, que doit-on faire avant l’entrevue?

A

Consentement éclairé: informer et assurer le bien-être.
• Exposer l’objet d’étude.
• Énoncer les mesures prises pour le respect de l’anonymat et de la confidentialité.
• Démontrer l’importance de la participation.
• Énoncer les mesures de conservation (endroit, durée, etc.) et de destruction des enregistrements.
• Lecture et signature du formulaire de consentement (libre et éclairé).

25
Q

Au niveau du déroulement de l’entrevue de recherche, que doit-on faire pendant l’entrevue?

A

• Poser les questions lentement / clairement.
• Donner l’information réclamée par le participant.
• Noter des informations.
− Notes descriptives sur les aspects non verbaux (apparence, personnalité, relation).
− Notes descriptives peuvent inclure la documentation du milieu ou toute information pouvant aider à mieux comprendre le contexte de l’entrevue ou du milieu.

26
Q

Au niveau du déroulement de l’entrevue de recherche, que doit-on faire à la fin de l’entrevue?

A
  • Annoncer la fin de l’entrevue.
  • Faire un résumé pour valider.
  • Faire un rapport de l’entrevue, chez soi, pour récolter les premières impressions et les significations interprétées.
27
Q

Qui suis-je?

− Du général au particulier.
− Du simple/facile au complexe/difficile/intime/sensible.
− Puis retour vers le général.

A

La structure en sablier.

28
Q

Comment est-il possible de faire la structure en sablier, 2 choses?

A

− Un sablier par thème.

− Transition entre les thèmes.

29
Q

Quelle est la distinction entre la question de recherche et les questions d’entretien?

A

• Votre question de recherche :
− Ce que vous souhaitez savoir/connaitre, le sujet sur lequel vous travaillez (votre objet de recherche).
− Votre question de recherche est en lien direct avec votre objet.

Vos questions d’entretien.
− Elles génèrent les données dont vous avez besoin pour répondre à votre question de recherche.

30
Q

Que comprend une bonne question d’entretien?

A
  • Langage familier, accessible. (niveau de 6e année)
  • Questions courtes, directement mémorisables.
  • Une idée par question.
  • Éviter les formulations négatives et les doubles négatifs.
  • Ciblée sur un objectif.
31
Q

Complétez.

Une bonne question est _____________.

A

• Pertinente.
• Stimulante, facilitant l’expression.
• Opportune et posée au bon moment.
• Recevable dans le système de valeurs de la personne.
• …. diminue les biais de réponse.
− Formulation neutre
− Évitement des jugements moraux, des termes relatifs.
− Sensibilité aux messages implicites de nos questions.
− Normalisation des comportements atypiques / tabous.
− Centration sur des réalités concrètes et observables pour réduire les effets de contexte.
− Ex. Que lisez-vous VS lisez-vous beaucoup.

32
Q

Pour l’élaboration d’une réponse, de quoi dépend le contenu d’une réponse, 4 choses?

A
  • Du niveau de traitement de l’information.
  • Du contexte cognitif.
  • De la formulation de la question.
  • De l’accessibilité du matériel.
33
Q

Quant est-il du niveau de traitement de l’information

A

Le traitement de l’information est soit superficiel ou systématique
− Superficiel : automatique, rapide, peu complexe, ce qui sort plus spontanément = niveau de base, plus facile à obtenir, moins d’effort.
− Systématique : plus réfléchi, prend un certain temps de réflexion.
− Selon la capacité cognitive/attentionnelle et la motivation de l’interviewé.e.

34
Q

Quelles sont les conséquences pour le niveau de traitement superficiel ET celui systématique?

A

• Conséquences du traitement superficiel
− Réponse rapide, simple, non-réfléchie, polarisée/stéréotypée, associée à un script, plus affectée par le contexte.
• Conséquences du traitement systématique
− Réponse plus complexe et élaborée, permet la réflexion, moins affectée par le contexte, prend plus de temps.

35
Q

Quels sont les facteurs affectant la capacité cognitive ET ceux affectant la motivation?

A

• Facteurs affectant la capacité cognitive = pouvoir
− Distractions, interférences, fatigue, amorçage, émotions, complexité du langage ou de la formulation
• Facteurs affectant la motivation = vouloir
− Pertinence personnelle, utilité et nécessité perçues, conséquences anticipées

36
Q

Quelles sont les 3 compétences essentielles de l’intervieweur?

A

• Authenticité
− Être soi-même, donner ce que l’on est, ce qui facilite l’ouverture du participant.

• Attention positive inconditionnelle
− Porter attention à l’autre sans attendre de gratification en retour.

• Empathie
− Percevoir l’autre à partir de son point de vue, comprendre ce que l’interviewé ressent, sentir son monde intérieur comme si c’était le nôtre tout en gardant en tête que c’est le monde de l’autre.

37
Q

Sympathie VS empathie. Pourquoi faut-il faire attention de rester dans l’empathie en entrevue de recherche?

A

Ne pas être dans un état ou on se perd avec eux dans la souffrance, garder une certaine distance en étant accueillant.

38
Q

Nommer les compétences affectives, professionnelles et techniques que l’intervieweur doit avoir.

A

1) Affectives
• Établir climat de confiance et d’ouverture.
• Écoute active.
• Attitude empathique.
• Sensibilité.
2) Professionnelles
• Habiletés à structurer, guider et mener l’entretien.
• Poser des questions appropriées et en lien avec l’objet d’étude.
• Capacité à faire des liens, s’adapter au contexte.
3) Techniques
• Habiletés de communication, techniques d’écoute, prise de notes.
• Techniques de reformulation, de reflet, de sonde, de rétroaction, de synthèse.

39
Q

Nommez 4 pièges à éviter au niveau de l’établissement de relation avec la personne interviewée.

A

L’établissement d’une relation amicale
• Éviter les faux rapprochements, rester ancré dans les buts de l’entretien.

L’établissement d’une relation thérapeutique
• On n’occulte pas l’écoute et le soutien qu’elle peut procurer, mais le but n’est pas l’induction de changement, mais bien la recherche d’informations.

L’établissement d’une relation pédagogique
• L’intervieweur est le chercheur qui souhaite obtenir des réponses à ses questions (à son objet de recherche).
• Le but n’est pas de transmettre un savoir ou de se positionner en spécialiste du domaine, c’est l’interviewé qui détient les réponses.

L’établissement d’une relation inquisitrice
• Utiliser la confrontation, dépasser le cadre de la recherche (enquête). (On ne va pas confronter ou accuser la personne, on veut du vécu).

40
Q

Dans les formes d’intervention en entrevue, quelles sont les 2 règles?

A
  1. Minimaliser le rôle du chercheur pour ne pas amener le sujet à répondre selon les attentes du chercheur.
  2. Chaque question doit rester unique en son temps et ouverte sans autre intervention du chercheur.
41
Q

Que peut faire le chercheur lors de l’entrevue pour optimiser la rencontre?

A

− Faire des relances pour favoriser la discussion.
− Faire des bilans réguliers pour stimuler la réflexion.
− Faire des reflets et des reformulations.
− Faire des retours en arrière sur une idée émise plus tôt.
− Développer les idées émises par le sujet, mais éviter d’imposer ses propres idées.

42
Q

Vrai ou Faux

Il est bien de mentionner les questions secondaires au début afin de bien guider le sujet à répondre ce que le chercheur souhaite.

A

FAUX! Éviter d’imposer ses propres idées, d’où le fait de ne pas bombarder de questions secondaires au début.

43
Q

Nommez 5 formes d’intervention pouvant être faite par l’intervieweur.

A
  1. La question
  2. La demande d’explication
  3. La reformulation
  4. L’évaluation
  5. La provocation
44
Q

Nommez 3 écueils à éviter en entrevue.

A

• Ne pas passer de jugements de valeur ou donner son avis.
• Éviter de parler plutôt que d’écouter.
− Le silence peut être un outil intéressant, car il permet au participant de réfléchir aux questions et de réfléchir à sa propre histoire.
• Éviter de s’obstiner plutôt que de stimuler l’argumentation.

45
Q

Vrai ou Faux

Lors d’un silence, il est conseillé de compter jusqu’à 12 et maintenir le regard au niveau de la bouche du sujet.

A

Vrai

46
Q

Éviter les attitudes négatives, telles que la réponse évaluative : désapprobation ou approbation par un jugement de valeur porté en fonction du cadre de référence de l’intervieweur ET la réponse clé : propose une idée.

Donnez un exemple pour chacune des attitudes négatives.

A

EXEMPLE dialogue de réponse évaluative :
− Vous savez si mon.ma partenaire le pouvait, elle me quitterait définitivement.
− Vous n’exagérez pas un peu?

EXEMPLE dialogue de réponse clé.
− Je me demande si je dois continuer mes études en sexologie à l’UQAM ou s’il serait préférable que j’évalue d’autres possibilités.
− Vous auriez avantage à examiner attentivement les programmes qui vous sont offerts pour faire un choix.