Questions MORRIER Flashcards
Antibioprophylaxie : objectifs et indications (8 points)
OBJECTIF : neutraliser les germes au moment de la bactériémie afin de prévenir l’infection secondaire à distance (focale)
INDICATIONS / population générale :
● Avulsion DDS mandibulaire incluse
● Avulsion de dent incluse (hors DDS mandibulaire), dent en désinclusion, germectomie
● Chirurgies pré-orthodontiques des dents incluses ou enclavées
● Autotransplantation
● Chirurgie osseuse
● Chirurgie pré-implantaire (sinus lift, greffe osseuse en onlay, membrane ou matériau de comblement)
INDICATIONS / immunodéprimés : ● Anesthésie intraligamentaire ● Soins endodontiques ● Chirurgie périapicale ● Actes et soins parodontaux ● Chirurgie parodontale ● Avulsions ● Autotransplantation ● Chirurgie des tissus durs ou mous ● Chirurgie pré-implantaire, implantaire ou des péri-implantites ● Soins prothétiques et orthodontiques à risque de saignement
INDICATIONS / haut risque d’EI (porteur de prothèse valvulaire ; cardiopathie congénitale cyanogène opérée ou non ; ATCD d’EI)
● Tous les actes autorisés (sauf anesthésies locales ou locorégionales dans un tissu non infecté) :
◦ Mise en place d’une digue
◦ Traitement endo des dents à pulpe vivante (en 1 séance, avec champ opératoire)
◦ Actes et soins parodontaux
◦ Avulsions
◦ Chirurgie des tissus durs ou mous
◦ Soins prothétiques et orthodontiques à risque de saignement
RAPPEL DES ACTES CONTRE-INDIQUÉS :
● Anesthésie intraligamentaire
● Traitement endo des dents à pulpe vivante en plusieurs séances ou sans champ opératoire
● Traitement endo des dents à pulpe nécrosée, RTE
● Chirurgie périapicale
● Chirurgie parodontale
● Amputation radiculaire
● Chirurgie pré-orthodontique des dents incluses ou enclavées
● Autotransplantation
● Chirurgie pré-implantaire, implantaire ou des péri-implantites
Jamais d’antibioprophylaxie pour les actes non invasifs quel que soit le sujet
Indications des antalgiques chez l’enfant (6 points)
Traitement de la douleur et de l’inflammation :
● Douleurs post-opératoires (extractions, germectomie, soins endo, soins orthodontiques)
● Douleurs d’origine infectieuse
● Douleurs post-traumatiques
● Douleurs liées à l’éruption dentaire
● Douleurs liées à des lésions des muqueuses (stomatites)
Indiqués à partir d’un certain seuil de douleur, déterminé par des moyens d’auto ou d’hétéro-évaluation
Paracétamol chez l’enfant : indications, règles de posologie (8 points)
INDICATIONS :
● TTT de choix et 1ère intention pour prévenir ou traiter la douleur d’intensité légère à modérée + fièvre :
◦ Douleurs post-opératoires (extractions, germectomie, soins endo, soins orthodontiques)
◦ Douleurs d’origine infectieuse
◦ Douleurs post-traumatiques
◦ Douleurs liées à l’éruption dentaire
◦ Douleurs liées à des lésions des muqueuses (stomatites)
● Danger = risque d’intoxication (>150 mg/kg en une seule prise ou 250mg/kg/24h)
POSOLOGIE (adaptée en fonction du poids de l’enfant) :
● USUELLE : 15 mg/kg par prise toutes les 6h ou 10mg/kg toutes les 4h
● DOSE MAX. : 60 à 80 mg/kg par 24h
● DOSE TOXIQUE : >150mg/kg en une prise ou l’équivalent de 250mg/kg/24h
Indications de l’antibiothérapie chez l’enfant (4 points)
ANTIBIOTHÉRAPIE DE COUVERTURE : à déconseiller formellement.
ANTIBIOTHÉRAPIE CURATIVE : en complément du traitement local (débridement, drainage, chirurgie). L’AMOXICILLINE est prescrit en 1ère intention.
ANTIBIOTHÉRAPIE PROPHYLACTIQUE : pour neutraliser les germes au moment de la bactériémie afin de prévenir l’infection secondaire à distance (focale). Maj. AMOXICILLINE (beta-lactamine) ou CLINDAMYCINE en cas d’allergie.
INDICATIONS DE L’ANTIBIOTHÉRAPIE CURATIVE / population générale :
● Traitement d’une infection bactérienne (durée non inférieure à 7 jours)
● Cellulites, ostéites, alvéolite suppurée
● Péricoronarites
● Réimplantation d’une dent luxée
● Communication bucco-sinusienne
● Sinusites, infections des glandes salivaires
● Stomatites bactériennes, parodontites, maladies parodontales nécrosantes
Amoxicilline chez l’enfant : indications, règles de posologie (10 points)
INDICATIONS :
● Antibiothérapie curative :
◦ En complément du traitement local (débridement, drainage, chirurgie…)
◦ Donné en 1ère intention pour traiter une infection bactérienne
◦ Associé avec l’Acide Clavulanique en 2ème intention (AUGMENTIN®)
● Antibiothérapie prophylactique
RÈGLES DE POSOLOGIE :
● Enfant - de 30 mois : 50 à 100 mg/kg/jour en 3 prises espacées de 8h
● Enfant + de 30 mois : 25 à 50 mg/kg/jour en 2 ou mieux 3 prises sans dépasser 3 g/jour (préférer 2 prises si l’enfant mange à la cantine ; en cas de sous-dosage, risque de résistance)
CLAMOXYL® :
● Poudre pour suspension buvable en sachets à 125 mg, 250 mg et 1g
● Poudre pour suspension buvable pour flacon de 60 mL de sirop reconstitué dosé à 125 mg, 250 mg et 500 mg (= dose pour 1 cuillère-mesure de 5 mL)
● Gélules dosées à 250 mg et 500 mg ; comprimés dosés à 1g
AUGMENTIN® [Amoxicilline & Ac. Clavulanique] : [40 & 5] à [80 & 10] mg/kg/jour (sans dépasser [3000 & 375] mg par jour) en 3 prises, espacées d’au moins 6h, sous forme de seringue doseuse
Quels sont les moyens d’évaluation de la douleur de l’enfant ? (4 points)
● AUTO-ÉVALUATION : par l’enfant lui-même (mots, chiffres, dessin) ; à privilégier
● HÉTÉRO-ÉVALUATION : réalisée par quelqu’un d’autre que l’enfant (professionnel de santé, parents) en se basant sur l’observation du comportement de l’enfant
● Entre 0 et 4 ans : « échelle comportementale »
● Entre 4 et 6 ans : « auto-évaluation simplifiée » : échelle des visages, jetons, échelle verbale simple
● Au delà de 6 ans : « auto-évaluation » : Échelle Visuelle Simple (EVS), Échelle Visuelle Analogique (EVA), Échelle des visages
Le syndrome du septum : définition, signes subjectifs, cliniques et radiologiques (10 points)
DÉFINITION : complication des caries évolutives touchant les faces proximales des molaires temporaires.
SIGNES SUBJECTIFS :
● Douleur vive après les repas
● Douleurs localisée à 2 deux dents voir une hémi-arcade s’il ne sait pas précisément
● Douleur brève qui ne constitue pas un motif de consultation (compression et irritation de la papille inter-dentaire)
● Diminution de la douleur après la prise d’antalgique
SIGNES CLINIQUES :
● Caries proximales
● Papille enflammée, congestionnée, hémorragique
● Douleur à la palpation de la papille
● Extension possible au desmodonte (épaissi sur la radio) si le syndrome du septum est ancien ; réponse à la percussion inconstante (si atteinte parodontale)
SIGNES RADIOLOGIQUES :
● Destruction coronaire proximale
● Épaississement ligamentaire éventuel
● Atteinte éventuelle des structures alvéolaires (disparition/décapitation des septa)
Les caries évolutives de la molaire temporaire : définition, description, traitement (10 points)
DÉFINITION : carie peu étendue avec progression rapide vers la pulpe, souvent détectée au stade de nécrose pulpaire (son évolution et l’atteinte pulpaire sont asymptomatiques) par découvert radio fortuite.
DESCRIPTION :
● Atteinte maj. des faces proximales des molaires
● Association à syndrome du septum par compression de la papille dès que la crête marginale des molaires atteintes est effondrée (permet la consultation donc le diagnostic)
● Évolution asymptomatique
● Peu étendues
● Progression rapide vers la pulpe car l’épaisseur d’émail et de la dentine est plus faible
● Risque de nécrose pulpaire sans douleur avant la consultation
● Dépistage via radiographie
TRAITEMENT :
● Carie de faible étendue : TTT restaurateur (couronne préformée en postérieur / composite en antérieur)
● Atteinte pulpaire lors de l’éviction carieuse : pulpotomie + TTT restaurateur (idem)
● Nécrose pulpaire : extraction + mainteneur d’espace suivant le stade de l’éruption
Les caries précoces de l’enfant (12 points)
DÉFINITION : présence d’au moins 1 dent cariée (lésion cavitaire ou non), absente (suite à une lésion carieuse) ou restaurée chez un enfant âgé de moins de 71 mois. Les dents venant de faire leur éruption n’ont pas encore subi leur minéralisation secondaire.
DESCRIPTION :
● Souvent par des caries rampantes, en nappe, conduisant à la destruction en surface de la dent (carie du biberon)
ÉTIOLOGIE MULTIFACTORIELLE :
● Maj. : consommation d’hydrates de carbone (en fréquence et quantité importantes)
● Infection par les S. Mutans, S. Sobrinus, etc. (transmission verticale par la mère)
● Persistance du biberon de lait et/ou au miel à l’endormissement
● Persistance de l’allaitement maternel au sein après l’éruption
● Facteurs salivaires
● Défauts de l’émail (hypoplasie…)
● Facteurs psychologiques et comportementaux
● Catégorie socio-professionnelle, minorité ethnique
FORMATION DES LÉSIONS EN 3 ÉTAPES :
- Colonisation par S. Mutans
- Multiplication
- Déminéralisation
DÉVELOPPEMENT EN 4 STADES :
STADE 1 : initial
◦ Atteintes autour de 10/20 mois
◦ Lésions réversibles
◦ Diagnostic difficile (sur dent sèche)
STADE 2 : dentinaire
◦ Atteintes autour de 16/24 mois
◦ Lésions jaunes/brunes des dents antérieures maxillaires
◦ Sensibilité au froid
◦ Apparition de lésions initiales (STADE 1) cervicales et proximales des m1
STADE 3 : profond
◦ Atteintes autour de 20/36 mois
◦ Lésions surtout au niveau des dents maxillaires (maj. incisives)
◦ m1 maxillaire au STADE 2 / m2, m mand., c max. au STADE 1
◦ Douleurs provoquées par mastication, boissons, brossage voire douleurs spontanées ; alimentation difficile
STADE 4 : traumatique
◦ Atteintes autour de 30/48 mois
◦ Dents antérieures fracturées au niveau coronaire et nécrosées (± cellulite)
◦ m1 maxillaire au STADE 3 et m2 max., c max., m1 mand. au STADE 2
RÉPERCUSSIONS :
● Sur l’enfant : douleur et infection ; difficulté à mastiquer, dormir et parler ; malnutrition
● Sur son développement : croissance générale lente, sous-poids ; croissance faciale anormale : problèmes ODF, prononciation et alimentation ; impact psychologique (moqueries des camarades)
● Sur la santé publique = TTT ambulatoires impossibles à cet âge (=> TTT en AG lourds et coûteux)
TRAITEMENT :
● Conseils d’hygiène alimentaire et bucco-dentaires ; applications d’agents antimicrobiens avant et après les traitements restaurateurs
● STADE 1 : sealants, applications professionnelles de fluor
● STADES 2, 3 & 4 :
◦ Dents antérieures sans atteinte pulpaire : CVI/CVIMAR, composites/compomères ou strip crowns, couronne préformée
◦ Dents postérieures sans atteinte pulpaire : CVI/CVIMAR (site 1), CVI + composite (site 2), couronne préformée
◦ Atteinte pulpaire : pulpotomie/pulpectomie + couronne préformée ; si HBD insuffisante ou habitudes nocives persistantes : extraction + mainteneur d’espace/PAP (prothèse adjointe partielle)
Les différentes formes de la carie en denture temporaire (14 points)
● Carie à progression lente
◦ La dent à le temps de former une dentine réactionnelle de couleur brun clair à noir, dure et totalement insensible à la sonde
◦ Maj. sur les faces occlusales des molaires et faces vestibulaires et proximales des incisives et des canines
◦ Restauration complexe car le collage ne suffit pas : couronnes préformées ou strip crowns sur molaires ; composite/compomère en antérieur
● Carie évolutive
◦ Carie peu étendue avec progression rapide vers la pulpe, souvent détectée au stade de nécrose pulpaire (son évolution et l’atteinte pulpaire sont asymptomatiques) par découvert radio fortuite.
● Carie précoce de l’enfant
◦ Présence d’au moins 1 dent cariée (lésion cavitaire ou non), absente (suite à une lésion carieuse) ou restaurée chez un enfant âgé de moins de 71 mois. Les dents venant de faire leur éruption n’ont pas encore subi leur minéralisation secondaire.
Pathologies carieuses en denture temporaire : intérêts de l’examen radiologique (8 points)
● Dépistage de la carie et appréciation de son volume
● Proximité pulpaire
● Relation de la dent avec le germe sous-jacent
● État du plancher pulpaire (proximité entre plafond et plancher pulpaire)
● Pathologie intra-pulpaire (calcifications, résorptions)
● Configuration radiculaire, différents stades physiologiques ou pathologiques de résorption de la racine
● Structures alvéolaires
● Obturation débordante
Forme aiguë de la nécrose pulpaire avec pathologie parodontale : définition, signes subjectifs, signes cliniques et radiologiques (10 points)
DÉFINITION : forme la plus complexe engendrant des situations cliniques préoccupantes et endommageant la formation et l’évolution du germe dentaire sous-jacent.
SIGNES SUBJECTIFS :
● Douleurs spontanées vives et lancinantes
● Douleurs provoquées à la pression
SIGNES CLINIQUES :
● Mobilité, palpation douloureuse
● Abcès vestibulaire et/ou cellulite ± circonscrite
● Présence d’une lésion carieuse sur la dent causale et modification de la couleur de la muqueuse
● Signes généraux tel que fièvre et/ou perte d’appétit (via l’anamnèse)
SIGNES RADIOLOGIQUES :
● Lyse osseuse dont la sévérité est non dépendante des signes cliniques
Pulpotomie sur molaires temporaires : protocole opératoire (12 points)
DÉFINITION : la pulpotomie est l’amputation de la pulpe coronaire affectée ou infectée, préservant la vitalité et la fonction de tout ou partie de la pulpe radiculaire résiduelle. Il s’agit d’une ablation de la pulpe coronaire et la mise en place d’un matériau de comblement.
PROTOCOLE OPÉRATOIRE :
1) 1er temps :
● BdB antiseptique sans alcool (PAROEX®), si l’enfant arrive à cracher
● Cliché radiographique
● Anesthésie de contact (topiques : gel/spray Lidocaïne ; gel Benzocaïne = TOPEX®)
● Anesthésie locale para-apicale puis intraligamentaire ; cacher l’aiguille dans un coton salivaire qui absorbera le surplus d’anesthésique
● Excision de la dentine cariée et préparation de la cavité
● Isolement de la dent
2) Ouverture de chambre :
● Effondrement du plafond pulpaire : rechercher la corne/canal le plus large & les modifications du volume pulpaire
● Ablation de la pulpe camérale (fraise boule diamantée/turbine ; ou tungstène/CA ; ou excavateur)
● Section des filets radiculaires à la fraise boule de diamètre supérieur à l’entrée du canal
● Hémostase en compressant une boulette de coton imbibée de sérum physiologique ou de solution antiseptique pendant 3 à 5 minutes
3) Mise en place du matériau de coiffage :
● Soit sans fixation du parenchyme pulpaire : avec du ciment ZOE à prise rapide (attention pas de Ca(OH)2).
● Soit après fixation du parenchyme pulpaire (pas utilisé en France car cancérigène) : formaldéhyde + coton pendant 5 min ou glutaraldéhyde + coton pendant 5 min ; puis ciment ZOE
4) Radiographie de contrôle : matériau au contact des surfaces radiculaires
5) Reconstitution coronaire : CVI, composite, compomère, couronne préformée
Indications et contre-indications de la pulpotomie en denture temporaire (6 points)
INDICATIONS :
● Thérapeutique : caries profondes et exposition pulpaire accidentelle
● Préventive : haut risque carieux et couronnes préformées pour éviter la nécrose
● Mécanique : recherche d’ancrage quand pas assez de hauteur pour le matériau de restauration (le phénomène de rhizalyse empêche l’utilisation de tenons)
CONTRE-INDICATIONS :
● Ordre général : aggravation de l’état général et risque infectieux
● Ordre local :
◦ Clinique : pathologies pulpaires antérieures (douleur spontanée, sensibilité à la percussion, mobilité, nécrose)
◦ Radiographique : zone radioclaire (apex, furcation), calcification, résorption interne/externe
◦ Thérapeutique : dent non restaurable durablement
◦ Per-opératoire : absence de saignement, ou hémorragie pulpaire prolongée après hémostase de 3-5 min
CVI : avantages, inconvénients, indications chez l’enfant (6 points)
AVANTAGES :
● Libération de fluor pendant au moins 5 ans
● Captage de fluor dans les dentifrices, BdB, applications topiques : rôle de réservoir de fluor
● Bonne liaison chimique à l’émail et à la dentine
● Rétention intéressante (due à la liaison chimique)
● Bonne propriétés thermiques : coefficient d’expansion thermique environ égal à celui de la dentine (- de percolation)
● Sensibilité à l’humidité inférieure à celle du composite
● Biocompatible
● Utilisable en attendant de mettre un composite ou une résine
INCONVÉNIENTS :
● Respect du dosage lors du mélange (poudre + liquide) pour obtenir les bonnes propriétés (maintenant : capsules pré-dosées)
● Propriétés physiques inférieures à celle du composite (dureté, résistance à l’usure, aux forces de cisaillement)
● Protection nécessaire au vernis G-COAT pour éviter le phénomène de dessiccation
● Temps de prise long
● Finition différée (sauf CVIMAR)
● Esthétique médiocre (sauf CVIMAR)
INDICATIONS :
● Agent de scellement (couronnes préformées, bagues ODF, mainteneur d’espace)
● Fond de cavité
● Dents temporaires :
◦ Restauration temporaire (site 1 et 2)
◦ Restauration de site 3 si isolation difficile
◦ Substitut dentinaire après pulpotomie/pulpectomie
● Dents permanentes :
◦ Sealant sur dent en évolution ou enfant difficile (en temporisation)
◦ Substitut dentinaire
◦ Ciment temporaire après endo ou traumatisme (scelle les tubulis) avant restauration définitive au composite
◦ Restauration de site 2 et 3 chez des patients à haut risque carieux ou si isolation difficile
◦ Obturation à rétro sur dent immature (échec apexification)