Questions du module 3.1 Flashcards
Au Canada au tournant des années 1990, les revenus totaux générés par le secteur de la vente de musique en feuille était d’environ:
a) 1 million de dollars
b) 10 millions de dollars
c) 100 millions de dollars
d) 575 millions de dollars
b) 10 millions de dollars
Parmi les énoncés suivants, lequel décrit le mieux ce qu’est un éditeur de jeux vidéo?
a) Comme son nom l’indique, un éditeur de jeux vidéo est responsable de la conception et la réalisation de jeux. Ce sera ensuite au développeur de « développer » le marché pour ce jeu.
b) Comme dans le cas d’un éditeur de musique, le rôle d’un éditeur de jeux vidéo consiste en la promotion de la musique figurant dans un jeux vidéo.
c) Le rôle d’un éditeur de jeux vidéo est analogue à celui d’un producteur de film ou de disques.
d) Le rôle d’un éditeur de jeux vidéo consiste principalement en la production et la distribution de versions imprimées des histoires présentées dans le jeu.
c) Le rôle d’un éditeur de jeux vidéo est analogue à celui d’un producteur de film ou de disques.
Vrai ou faux? En musique de jeux vidéo, un passage préparatoire permet de préparer le joueur à passer d’une séquence du jeu à une autre de façon relativement fluide, alors que la transition annonce l’action ou l’émotion à venir.
Faux. C’est plutôt l’inverse.
Un producteur de film désire collaborer avec un compositeur pour la musique originale de son prochain film. Parmi les énoncés suivants, lesquels décrivent le mieux le type d’entente que les deux acteurs signeront ensemble?
a) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique et de la réalisation de la bande maîtresse, avec tous les frais que ces activités impliquent (musiciens de studio, prise de son, mixage, etc.). Il pourra par ailleurs recevoir des redevances provenant de l’exécution ou de la reproduction de sa musique.
b) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique et de la réalisation de la bande maîtresse, avec tous les frais que ces activités impliquent (musiciens de studio, prise de son, mixage, etc.). En plus de ce cachet, le producteur devra se procurer une licence de synchronisation auprès de la SODRAC ou de la CMRRA, de même qu’une licence d’utilisation de l’enregistrement.
c) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique et de la réalisation de la bande maîtresse, avec tous les frais que ces activités impliquent (musiciens de studio, prise de son, mixage, etc.). Le compositeur concédera du même coup au producteur une licence de synchronisation de la musique, de même qu’une licence d’utilisation de l’enregistrement.
d) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique. Quant à la production de la banda maîtresse, c’est le producteur qui en sera responsable et devra donc en défrayer les coûts en sus du cachet.
a) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique et de la réalisation de la bande maîtresse, avec tous les frais que ces activités impliquent (musiciens de studio, prise de son, mixage, etc.). Il pourra par ailleurs recevoir des redevances provenant de l’exécution ou de la reproduction de sa musique.
c) En échange d’une rémunération sous forme d’un cachet de commande, le compositeur sera responsable de la composition de la musique et de la réalisation de la bande maîtresse, avec tous les frais que ces activités impliquent (musiciens de studio, prise de son, mixage, etc.). Le compositeur concédera du même coup au producteur une licence de synchronisation de la musique, de même qu’une licence d’utilisation de l’enregistrement.
Parmi les organismes suivants, lesquels proposent aux auteurs-compositeurs ou paroliers des tarifs de base pour les cachets de composition de musique ou de chansons destinées à accompagner des émissions de télévision, par exemple à TVA ou Radio-Canada?
a) SPACQ
b) UNEQ
c) SOCAN
d) SACEM
e) SDE
a) SPACQ
b) UNEQ
Lequel des énoncés suivants est faux?
a) Tout type de musique de production permet à l’auteur-compositeur de recevoir des redevances provenant de l’exécution de leurs œuvres.
b) Les ritournelles d’identification ne sont pas des thèmes d’émissions.
c) Il est possible qu’un producteur de ritournelles publicitaires ait à payer des droits de synchronisation.
d) L’activité principale d’un sonothèque consiste en la vente de licences d’utilisation de pièces enregistrées pour lesquelles elles détiennent les droits.
a) Tout type de musique de production permet à l’auteur-compositeur de recevoir des redevances provenant de l’exécution de leurs œuvres.
Nommez quatre activités potentiellement effectuées par l’éditeur de musique en feuille.
Transcription Arrangement Gravure Graphisme Impression Distribution
Parmi les cas suivants, lequel ne correspond pas à la définition que nous nous sommes donnée de la musique de commande?
a) Céline Dion « commande » une chanson à un auteur-compositeur.
b) L’Orchestre symphonique de Québec « commande » une œuvre à Éric Morin.
c) Steven Spielberg « commande » une musique de film à John Williams.
d) TVA « commande » une musique à une sonothèque.
e) Tous ces cas satisfont à la définition de musique de commande.
a) Céline Dion « commande » une chanson à un auteur-compositeur.
Bien qu’elle puisse demander à Luc Plamondon de lui composer une chanson, il ne s’agit pas d’une commande au sens où nous l’avons défini ici, puisque M. Plamondon ne recevra pas de cachet de commande pour cette composition: il recevra éventuellement et exclusivement des redevances provenant de l’exécution, de la reproduction mécanique, de la synchronisation, etc. de son œuvre.
Au Québec, quel est le pourcentage des revenus d’édition provenant de la vente de musique en feuille?
1%
Le contrat d’édition prévoit habituellement la façon dont sera rémunéré l’auteur-compositeur si des revenus proviennent de la vente de musique en feuille. Quelle phrase décrit le mieux les modes de rémunération possibles?
a) Peu importe si l’éditeur est responsable de la production des partitions ou s’il délègue le travail à un éditeur de musique en feuille, l’auteur-compositeur recevra toujours 50% des profits réalisés par son éditeur.
b) Si l’éditeur est lui-même responsable de la production et de la commercialisation de la musique imprimée, il offrira environ 10% du prix de vente à l’auteur-compositeur; par contre, si l’éditeur fait appel à un éditeur de musique en feuille, il donnera à l’auteur-compositeur au moins 50% des revenus versés à l’éditeur.
c) Si l’éditeur est lui-même responsable de la production et de la commercialisation de la musique imprimée, il offrira environ 50% du prix de vente à l’auteur-compositeur; par contre, si l’éditeur fait appel à un éditeur de musique en feuille, il donnera à l’auteur-compositeur de 10% à 20% des revenus versés à l’éditeur.
d) Si l’éditeur est lui-même responsable de la production et de la commercialisation de la musique imprimée, il offrira environ 10% du prix de vente à l’auteur-compositeur; par contre, si l’éditeur fait appel à un éditeur de musique en feuille, il donnera à l’auteur-compositeur de 10% à 20% des revenus versés à l’éditeur.
d) Si l’éditeur est lui-même responsable de la production et de la commercialisation de la musique imprimée, il offrira environ 10% du prix de vente à l’auteur-compositeur; par contre, si l’éditeur fait appel à un éditeur de musique en feuille, il donnera à l’auteur-compositeur de 10% à 20% des revenus versés à l’éditeur.