Psychophysique

Question 1

Qu’est-ce que la psychophysique. Appuie ta réponse par un exemple

Answer 1

• champ de la psychologie
• étudie le passage des éléments physiques à une réalité psychologique

Par exemple: le son n’est que vibration sur le plan psychologique, mais sur le plan psychologique nous sommes capable de percevoir et d’interpréter ces vibrations, donnant ainsi lieu à la perception de musique ou encore de paroles

Question 2

Qu’est-ce qui marque le début de la psychophysique en tant que champ de la science
A) Weber et sa création de la loi sur le seuil différentiel
B) la publication en 1860 du livre éléments de psychophysique, par Gustav Fechner
C) l’émergence de la théorie du lieu de résonance (Helmholtz)
D) la création du district 9 de l’APA

Answer 2

B

Question 3

A) Qui est considéré comme le fondateur de la psychophysique
B) nommé l’un de ses précurseurs

Answer 3

A) Gustav Fechner
B) Weber

Question 4

«Jusqu’à quelle distance un humain peut-il voir de façon claire?» ou «quelles fréquences peut-on entendre?» sont des exemples de questions sur lesquelles se penche la psychophysique. Ces questions sont liées à quel objectif de la psychophysique?

Answer 4

Décrire de façon quantitative les capacités des modalités sensorielles

Question 5

L’objectif de la psychophysique est donc de décrire de façon quantitative les capacités des modalités sensorielles.

La psychophysique répond toutefois à un autre objectif. Lequel?

Answer 5

Tester des hypothèses sur les mécanismes qui sous-tendent l’expérience sensorielle

Question 6

En bref, la psychophysique s’intéresse à la relation entre la réalité physique et la réalité psychologique (entre le monde externe et le monde interne), mais plus précisément à 4 types de capacité. Lesquelles? Donne un exemple d’en quoi consiste chaque capacité

Answer 6

1. Détection des stimuli
   Ex: peut-on ou non détecter une bougie à 25 m de nous dans une pièce sombre
   (Détection de stimuli Implique de travailler le seuil)
2. Identification des stimuli
   Ex: reconnaître des notes
3. Discrimination des stimuli
   Ex: classer des couleurs du plus pâle au plus foncé
4. Échelonnage des stimuli
   Ex: attribuer une note sur 10 à sa douleur (estimation de stimuli rentre dans échelonnage)

Question 7

Quel est l’objet d’étude de la psychophysique?

Answer 7

Les stimuli à travers les systèmes sensoriels

Question 8

A) La théorie de la détection de signal (TDS) se base sur 2 paramètres afin de décrire une performance. Quels sont ces deux critères?

B) vrai ou faux ces deux critères sont indépendants

Answer 8

A)
1. La sensibilité de l’individu
2. Le critère décisionnel de l’individu

B) faux, les deux s’interinfluencent

Question 9

La TDS implique de comprendre deux concepts de base que sont le SIGNAL et le BRUIT. Définis chacun de ces concepts

Answer 9

1. Le signal est le stimulus d’intérêt. Il a des caractéristiques précises et stables dans le temps
2. Le bruit est la toile de fond. Il correspond à tout sauf le signal d’intérêt

Question 10

Le «signal», le «bruit» ou encore le «signal+bruit» suivent tous des distributions normales où l’axe des y correspond à/au/aux _____________________ (titre de l’axe) et l’axe des x correspond à/au/aux ____________________ (titre de l’axe)

Answer 10

Axe y: la densité de probabilité
(Donc la probabilité que la personne perçoive)

Axe x: l’intensité des stimuli

Question 11

Vrai ou faux
Lorsqu’une courbe «bruit» se trouve rapprochée d’une courbe «signal+bruit» il est plus facile de discriminer le signal du bruit que si les deux courbes étaient éloignées

Answer 11

Faux, l’«overlap » des deux courbes rend la discrimination des stimuli plus difficile

Question 12

Vrai ou faux
Un critère décisionnel «parfait» se situera exactement entre les deux courbes (courbe «bruit» et courbe «signal + bruit»)

Answer 12

Vrai

Question 13

A) si une personne a un critère décisionnel audacieux, va t’elle dire plus souvent «oui je perçois» ou «non je ne perçois pas»

B) sur le graphique des distributions (où l’on retrouve la courbe «bruit» et la courbe «signal+bruit» se chevauchant légèrement) où se situe la ligne du critère décisionnel de la personne audacieuse (plus à gauche, plus à droite ou au centre)?

C) si une personne a un critère décisionnel conservateur, va t’elle dire plus souvent «oui je perçois» ou «non je ne perçois pas»

D) sur le graphique des distributions (où l’on retrouve la courbe «bruit» et la courbe «signal+bruit» se chevauchant légèrement) où se situe la ligne du critère décisionnel de la personne conservatrice (plus à gauche, plus à droite ou au centre)?

Answer 13

A) oui je perçois
B) à gauche
C) non je ne perçois pas
D) plus à droite

Question 14

Lorsqu’on se trouve devant une courbe «bruit» et une courbe «bruit+signal» s’entrechevauchant on se trouve devant 4 possibilités
• 1️⃣ DÉTECTION CORRECTE (le signal est présent et on le perçoit)
• 2️⃣ OMISSION (on ne perçoit que du bruit alors qu’il y a un signal)
• 3️⃣ FAUSSE ALARME (on perçoit un signal alors qu’il n’y a que du bruit)
• 4️⃣ REJET CORRECT (on ne perçoit que du bruit alors qu’il a effectivement que du bruit)

A) Lorsqu’on a un critère décisionnel audacieux, quel type d’erreur sommes nous plus enclin d’émettre?

B) lorsqu’on a un critère décisionnel conservateur, quel type d’erreur sommes nous plus enclin d’émettre?

Answer 14

A) fausse alarme
B) l’omission

Question 15

Le d’ (d prime) est une unité de mesure utilisée dans la TDS et qui mesure statistiquement
A) le critère décisionnel
B) l’intensité du stimuli
C) la sensibilité
D) la probabilité de détecter le stimuli

Answer 15

C

Question 16

Le d’ est une unité de mesure de la TDS qui mesure plus particulièrement la sensibilité (la quantifie).

A) Quelle formule sert à calculer le d’

B) vrai ou faux, le d’ est influencé par le critère décisionnel

C) on peut définir d’ comme la différence entre les [1] des distributions B et S+B divisé par l’[2] de la distribution B

Answer 16

A) d’= Z (détection correcte) - Z (fausse alarme)

• à l’examen il suffirait de soustraire le score Z associé à la fausse alarme du score Z associé à la détection correcte (pas besoin de trouver les scores Z)

B) faux

C) 1. Moyennes
2. Écart-type

Question 17

A) quelle unité de mesure de la TDS sert à mesurer le critère décisionnel?

B) vrai ou faux, le critère décisionnel se mesure en divisant l’ordonnée de la distribution S+B par l’ordonnée de la distribution B

Answer 17

A) β (bêta)
B) vrai

Question 18

Le A’ est une unité de mesure de la TDS qui, comme pour le d’, mesure la sensibilité. En quoi cette unité a diffère du d’

Answer 18

L’hypothèse de la normalité des distributions n’a pas à être émise afin d’utiliser A’

Question 19

Qu’est-ce que
A) le seuil absolu (détection de stimuli)
B) le seuil différentiel (discrimination de stimuli)

Answer 19

A) amplitude minimale qui peut être détectée par un système sensoriel (en dB, grammes, etc). Le sensation n’est pas possible en dessous de ce seuil

B) différence minimale d’intensité nécessaire pour que l’on puisse faire la différence entre deux stimuli

Question 20

Vrai ou faux
«Différence juste perceptible» (DJP) est un synonyme de «seuil absolu»

Answer 20

Faux, c’est un synonyme de seuil différentiel

Question 21

Vrai ou faux
Un seuil différentiel plus petit veut dire une plus forte différence d’intensité entre les stimuli

Answer 21

Faux, un seuil différentiel plus petit veut dire une plus FAIBLE différence d’intensité entre les stimuli

Question 22

Vrai ou faux
Un seuil différentiel plus petit veut dire que le participant a une meilleure sensibilité

Answer 22

Vrai

Question 23

Complète ce texte troué sur la méthodologie utilisée dans l’étude des stimuli constants (méthode des stimuli constants)
1. Avant de commencer l’expérimentation, il faut avoir une idée générale de ce que pourrait être le [1]

2. On retient de [2] stimuli situés dans les environs de la région déterminée au point précédent
3. On présente tous les stimuli plusieurs fois au participant. Un stimuli à la fois et de façon [3]
4. La personne doit indiquer si elle [4] ou non le stimulus, ce qui permet de trouver le [1] de la personne

Answer 23

1. Seuil
2. Cinq à neuf
3. Aléatoire
4. Perçoit

Question 24

Voici un petit rappel de la méthodologie de l’étude des stimuli constants:

En gros il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en choisissant une région pour laquelle il n’a presque jamais de perception et une région pour laquelle il y a presque toujours perception. On retient alors généralement de cinq à neuf stimuli situé entre ces régions, stimuli ensuite présenté plusieurs fois dans un ordre aléatoire. À chaque présentation, un observateur indique si oui ou non il détecte le stimulus. On obtient une distribution discrète de fréquences où est rapporté le nombre de fois qu’est détecté chaque stimulus. On doit transformer ces fréquences en probabilités et c’est sur la base de celles-ci que la valeur du seuil sera éventuellement estimée. Après avoir calculer la probabilité pour chaque stimulus, on peut la rapporter sur une figure.

Sur l’axe des y on retrouve le/la/l’ _________________________ (titre de l’axe)

Sur l’axe des x on retrouve le/la/l’
_________________________ (titre de l’axe)

Answer 24

Axe y: probabilité de répondre «oui je perçois»

Axe x: magnitude des stimuli

Question 25

Dans la méthode des stimuli constants, le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de [1]% des essais

Answer 25

50%

Question 26

Quelle est la faiblesse de la méthode des stimuli constants

Answer 26

Elle veut mesurer la sensibilité (trouver le seuil d’une personne), mais le critère décisionnel peut influencer les résultats

Question 27

Complète ce texte troué sur la MÉTHODE DES STIMULI CONSTANTS lorsqu’on cherche à déterminer un SEUIL DIFFÉRENTIEL

exemple pour le poids (p. ex. Seuil différentiel en grammes)

1. On décide d’un [1]
2. On décide d’une série de stimuli de [2]. On en prend 7 à 9 autour du [1]
3. On présente le [1] en même temps que l’un des stimuli de [2] (ou successivement, selon les besoins du contexte). La personne indique si le stimulus de [2] est plus [3] ou plus [4] que le [1]

Answer 27

1. Standard
2. Comparaison
3. Grand
4. Petit

Question 28

Petit rappel de la méthode des stimuli constants pour un seuil différentiel

1. On décide d’un standard
2. On décide d’une série de stimuli de comparaison. On en prend 7 à 9 autour du standard
3. On présente le standard en même temps que l’un des stimuli de comparaison (ou successivement, selon les besoins du contexte). La personne indique si le stimulus de comparaison est plus grand ou plus petit que le standard
4. On trace une fonction psychométriques avec les données recueillies. (Axe des y= probabilité de répondre que Co > St et axe des x= magnitude des stimuli de comparaison)

À partir de ce moment il est possible d’identifier deux variables différentes: quelles sont-elles?

Answer 28

Le point d’égalité subjective (PES) et le seuil différentiel

Question 29

A) Qu’est ce que le point d’égalité subjective?
B) Comment le calcule t’on?
C) Qu’est-ce que l’erreur constante?

Answer 29

A) c’est le point où la probabilité de répondre C > S est égale à la probabilité de répondre C < S (donc c’est le point sur l’axe des X qui correspond à 50% sur l’axe des Y)

B) Pour le calculer, on calcule le point sur l’axe des X qui correspond à 50% sur l’axe des Y

C) c’est la différence entre le PES et le standard (PES - St)
Donc si on a un standard de 40g et un PES de 47g, l’erreur constante est de 7 g

Question 30

Qu’est-ce qui peut faire varier le PES?

Answer 30

L’état de la personne (fatigue, stress) et l’habituation

Question 31

Comment calcule t’on le seuil différentiel selon la méthode des stimuli constants? (3 étapes)

Answer 31

1. On trouve le point sur l’axe des X qui correspond à 75 % sur l’axe des Y et on n’en soustrais le point sur l’axe des X qui correspond à 50 % sur l’axe des Y. On obtient alors le seuil différentiel supérieur
2. On trouve le point sur l’axe des X qui correspond à 50 % sur l’axe des Y et on n’en soustrait le point sur l’axe des X qui correspond à 25 % sur l’axe des Y. On obtient alors le seuil différentiel inférieur
3. On fait la moyenne des deux seuils pour obtenir le seuil différentiel

Question 32

Pour le seuil différentiel, la méthode des stimuli constants peut occasionner deux sortes d’erreur: l’erreur spatiale et l’erreur d’ordre temporel. Distingue ces deux types d’erreur et précise comment éviter chacune d’entre elles

Answer 32

L’ERREUR SPATIALE peut survenir lorsqu’on présente les deux stimuli EN MÊME TEMPS, car il se peut que l’un des deux côtés (gauche ou droite) soit préféré (ex: poids). Pour éviter ce type d’erreur, il faut VARIER DE MANIÈRE ALÉATOIRE L’ENDROIT DE PRÉSENTATION des stimuli (gauche ou droite)

L’ERREUR D’ORDRE TEMPOREL, quant à elle, peut survenir si on présente les stimuli UN À LA FOIS. La trace en mémoire du premier stimulus peut-être appeler à s’estomper au moment de rendre le jugement, donnant lieu la plupart du temps à une sous-estimation du premier stimulus. VARIER L’ORDRE DE PRÉSENTATION

Question 33

A) Vrai ou faux
le postulat de la loi de Weber est que le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité du stimuli à l’étude et ce de façon proportionnelle

B) quel lettre sert de constante représentant la fraction de Weber

Answer 33

A) Vrai
* exemple: un poids de 250g a un seuil différentiel de 25 g
Donc le poids de 500g devrait avoir un seuil différentiel de 50g

B) K

Question 34

A) La loi de Weber tient seulement pour une partie du continuum d’intensité des stimuli. Expliquez

B) quel élément a été ajouté à la formule de Weber pour corriger cette lacune

Answer 34

A) La fraction de Weber (K) est plus élevée pour des valeurs très basses ou très élevées
B) la constante «a» (interprétée comme le résultat d’un bruit sensoriel)

Question 35

Décris la MÉTHODE DES LIMITES parfois utilisée dans l’étude des seuils absolu (énonce son mode de fonctionnement général + les étapes méthodologiques)

Answer 35

Dans cette méthode on présente des séries ascendantes et descendantes de stimuli
Prenons l’exemple de l’intensité sonore (en dB)

1. On présente une série ascendante, en décibels, jusqu’à ce que la personne détecte le signal
2. On présente une série descendante, en décibels, jusqu’à ce que la personne ne détecte plus le signal
3. On continue à alterner entre séries ascendantes et séries descendantes, mais en changeant l’endroit où la série commence pour ne pas qu’il y ait habituation
4. Il devrait y avoir des points de transition où le participant passera de «Oui je perçois» à «Non je ne perçois pas» (ou l’inverse). Au final, on fait la moyenne des points de transition et c’est notre seuil.
   

Question 36

Complète ce texte troué expliquant comment on calcule le seuil différentiel avec la méthode des limites

1. On détermine un [1] et on choisir une série de stimuli de [2]
2. On présente le [1] avec les stimuli de [2] (les uns à la suite des autres). On fait une série ascendante, puis une série descendante et on continue en [3]. On varie l’endroit de départ du premier stimulus de comparaison pour éviter l’[4]
3. Le participant doit dire si le comparateur est plus [5], plus [6] ou égal au stimulus [1] (avec cette méthode, le choix n’est pas forcé, la personne peut répondre que c’est égal)
4. On dresse un tableau avec les réponses du participant. On peut alors trouver:
   • la [8] en faisant la moyenne des points où l’intensité du comparateur passe de plus grand à égal (au standard)
   • la limite inférieure en faisant la moyenne des point où l’intensité du comparateur passe de plus petit à égal

Answer 36

1. Standard
2. Comparaison
3. Alternant
4. Habituation
5. Grand
6. Petit
7. Égal
8. Limite supérieure.

Question 37

Dans la méthode des limites, comment obtenons/calculons nous:
A) l’intervalle d’incertitude
B) le seuil différentiel
C) le PES

Answer 37

A) moyenne des limites supérieures moins la moyenne des limites inférieures

B) intervalle d’incertitude divisé par 2

C) (moyenne des limites inférieures + moyenne des limites supérieures) / 2

Question 38

Il existe deux types d’erreurs dans la méthode des limites:
• L’erreur d’habituation
• l’erreur d’anticipation
Décris chacune d’entre elles (quand surviennent-elles?)

Answer 38

• L’erreur d’habituation survient lorsque le participant s’habitue à toujours répondre la même chose. Exemple : répondre «non» dans une série ascendante ou «oui» dans une série descendante.

• l’erreur d’anticipation apparaît lorsque le participant, sachant qu’un point de transition s’en vient, passe trop rapidement à «oui je perçois» ou à «non je ne perçois pas»

Question 39

Indique si chacun des énoncés mènera à une surestimation ou à une sous-estimation du seuil

A) répondre un «non» de trop dans une série ascendante

B) répondre un oui de trop dans une série descendante

C) passage de «oui» à « non» trop rapidement dans une série descendante

D) passage de «non» à «oui» trop rapidement dans une série ascendante

Answer 39

A) surestimation
B) sous-estimation
C) surestimation
D) sous-estimation

Question 40

Décris la méthode d’ajustement
Pour l’étude des seuils absolus

Answer 40

On utilise un gradateur. On le met à un extrême et à un autre en alternance et on demande au participant d’ajuster jusqu’au seuil tout juste perceptible

• le seuil se calcule alors en faisant la moyenne des points de transition entre ce qui est perceptible et ce qui ne le est pas

Question 41

Décris la méthode d’ajustement pour l’étude des seuils différentiels (comment procède t’on?)

Answer 41

Le participant ajuste un stimulus de comparaison pour qu’il soit égal au standard

Question 42

Vrai ou faux
Dans la méthode d’ajustement, le seuil différentiel correspond à l’écart-type

Answer 42

Vrai

Question 43

Comment obtient on le PES dans la méthode d’ajustement?

Answer 43

En faisant la moyenne des points de transition

Question 44

En psychophysique, les lois servent à ________________ le lien entre physique et psychologique
A) quantifier
B) qualifier
C) prouver
D) transcender

Answer 44

A

Question 45

Fechner s’intéressait à la relation entre la magnitude physique réelle d’un stimuli et la magnitude perçue.
Selon la loi de Fechner, le lien entre les unités réelles et les unités mentales seraient
A) linéaire
B) logarithmique
C) circulaire
D) exponentielle

Answer 45

B

Question 46

Pour que la loi de Fechner tienne, il faut faire 2 suppositions
1. Que la loi de [1] est valide
2. Que l’impression subjective, quand on compare deux stimuli séparés par exactement 1 unité de [2] est exactement la même, peu importe l’intensité du stimulus

Answer 46

1. Weber
2. DJP

Question 47

Vrai ou faux
La loi de Fechner se base sur la loi de Stevens

Answer 47

Faux, elle se base sur la loi de Weber

Question 48

Quelle est la formule de la loi de Fechner

Answer 48

S= k • logI

S= sensation
K= constante de Weber
I= intensité du stimulus

Question 49

Quel est le log de 100 en base 10?

Answer 49

2

Question 50

LOI DE PUISSANCE DE STEVENS
• La loi de puissance de Stevens relie le continuum physique au continuum psychologique

• la loi de [1] ne s’applique pas à toutes les situations

• développement de méthodes [2]

• un exemple: la méthode de l’estimation de la magnitude
On présente un standard (aussi appelé le [3] ) à un participant et on lui indique que ce stimulus a une valeur, par exemple, de 20 (valeur arbitraire)
On présente un autre stimulus au participant et on lui demande quelle est la valeur de celui-ci étant donné la valeur du premier. Le participant doit faire son estimation sur la base de la valeur assignée au [3]

Answer 50

1. Fechner
2. Directes
3. Modulus

Question 51

Quel constat amène la loi de Puissance de Stevens?

Answer 51

La relation entre le continuum physique et le continuum psychologique n’est pas tjs logarithmique. Cela dépend de la modalité sensorielle

Question 52

Voici la formule de la loi de Stevens
S= kI^b
Que veut dire un exposant «b»
A) plus grand que 1
B) égal à 1
C) plus petit que 1

Answer 52

A) relation exponentielle
B) relation linéaire
C) relation logarithmique