Psychopatho cours 2 Flashcards

1
Q

On va penser la clinique des psychoses en termes ________ (ne pas penser sur mais dans le monde des patients). S’interroger sur les effets de notre intervention dans le monde de l’autre.

A

d’écologie

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2
Q

La construction de la réalité :
Texte sur la question de la réalité dans la pensée de Lacan. Amène à comprendre que la psychanalyse s’intéresse à la ________en en produisant une théorie. Ces constructions-là peuvent évoluer. Dans ce texte, l’auteur scinde 2 temps chez Lacan lorsqu’il aborde la construction de la réalité. Permet de comprendre que l’opposition entre fiction et réalité n’a pas lieu d’être dans la ______ Toute réalité est déjà une fiction

A

réalité
clinique.

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3
Q

Réalité psychique de Freud
Distingue réalité psychique et réalité physique => pose un premier problème , pourquoi?

A

Laisse penser qu’il y aurait une réalité matérielle fiable, objectivée vs réalité non observable par les sens, qui serait l’objet des interventions du psy. Au psychologue la réalité psychique et aux autres (AS, infirmiers, médecins…) la réalité. Ça nous fait tomber dans un champ dichotomique qui sépare un dedans d’un dehors, comme si elles étaient opposées. Cette opposition (dedans/dehors) qui parait aller de soi est loin d’être la seule conception de l’espace. On entend aussi la logique d’exclusion, de ségrégation

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4
Q

Réalité psychique de Freud
Distingue réalité psychique et réalité physique => pose un deuxième problème , pourquoi?

A

Le deuxième problème avec cette conception, cette logique de séparativité, on peut rencontrer des personnes qui penses l’intervention clinique au nom du principe de réalité. Principe de réalité utilisé au sens « il faut le ramener à la réalité quand même ».

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5
Q

V ou F
Il n’y a pas d’opposition entre réalité physique et réalité psychique, ni de séparation

A

vrai

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6
Q

V ou F
Le principe de réalité est en continuité du principe de plaisir et y est absolument opposé

A

vrai est en continuité avec le principe de plaisir mais faux , n’y est pas absoluement opposée

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7
Q

V ou F
La réalité psychique et la réalité psychique ne sont pas opposées.

A

vrai

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8
Q

Ce qui pose soucis, c’est tout notre rapport à quoi?

A

à la réalité

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9
Q

Réalité =

A

construction

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10
Q

La réalité inclue la perception donc on est bien dans une _______________. Si tout notre rapport à la réalité (physique et psychique) est construction cela ne veut pas dire que le ____n’existe pas qu’il est hors construction, il ek-siste (= se tient hors de).

A

construction
réel

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11
Q

Cette réalité ____ se tient en dehors de nos constructions (inatteignable hors des filtres par lesquels nous vivons et pensons, par lesquels nous percevons et désirons.) C’est ce que Lacan appellera d’abord la « réalité ___ » (2ème séminaire) puis le réel. amène l’idée d’une réalité _________ (y compris dans sa dimension physique, sensorielle)

A

brute
brute
construite

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12
Q

Les points communs partagés (communes à toutes les réalités construites) sont dus au fait que l’on construit de … Les points communs résident dans les _____________. Par exemple les éléments linguistiques que nous partageons nous font voir des choses en commun.

A

la même manière.
filtres eux-mêmes

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13
Q

V ou F
Au-delà de la dimension linguistique, il y a le langage, c’est-à-dire ce qui fait coupure (loi symbolique), par lequel chacun se positionne

A

vrai
??

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14
Q

Autre élément commun à ces filtres c’est le rapport au ?

A

manque

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15
Q

Langage selon Lacan =

A

manifestation de soi, expression qui va « mettre l’autre à distance » au sens où on va voir qu’il est séparé de nous : c’est là où le sujet se divise, il se divise d’avec l’autre

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16
Q

Pour Lacan, la réalité est construite de deux éléments … soient :

A
  1. symboliques
  2. imaginaires
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17
Q

Symbolique et imaginaire manque à nous satisfaire entièrement, quelque chose _________

A

manque

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18
Q

Symbolique =

A

système d’organisation d’éléments discontinus.

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19
Q

V ou F
En fait le symbolique va organiser la discontinuité faite par l’homme (découpage).

A

vrai

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20
Q

N’importe quelle construction est faite en organisant des éléments ____________

A

discontinus

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21
Q

Symbolique : « C’est l’assemblage de pierres qui va former la ________ »

A

maison

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22
Q

Quand les discontinuités ont une forme que l’on peut reconnaitre on appelle ça une ______.

A

image

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23
Q

V ou F
Le symbolique permet de reconnaitre la chose dont il s’agit

A

vrai

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24
Q

Image + symbolique sont essentiels pour quoi ?

A

essentiels pour construire notre réalité (éléments discontinus, traits, coupures et images).

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25
Q

V ou F
On va pouvoir nommer ce que l’on voit grâce à l’image et au symbolique

A

vrai

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26
Q

Nicolas Bremo :
« La réalité est structurée comme ____________.
La notion de réalité suppose cette trame, cette nervure des signifiants ». Même idée que les filtres.

A

signifiante

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27
Q

Notre réalité est construite à partir du moment où elle est prise dans certaines _____________

A

coupures, nervures.

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28
Q

Cette trame, nervure des signifiants nous vient d’une fonction particulière : _____

A

l’Autre

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29
Q

______ c’est cette instance qui me parle, qui m’a parlé bien avant que je ne puisse parler moi-même, qui m’a introduit à ce système de découpe du monde

A

L’Autre

30
Q

« Le système ____________, à quelques points (n’importe lequel) que vous le saisissiez n’aboutit jamais à un index directement dirigé sur un point de la réalité, c’est toute la réalité (brute) qui est recouverte par l’ensemble du réseau du langage » Lacan séminaire 3 p 42.

A

du langage

31
Q

V ou F
On ne sort pas de nos filtres donc il n’y a pas de correspondance entre la trame du langage et le réel

A

vrai

32
Q

V ou F
Ça ne veut pas dire non plus que tout est langage, tout ne se résume pas à ça

A

vrai

33
Q

V ou F
Les mots recouvrent l’intégralité de l’expérience humaine

A

faux

34
Q

Qu’est-ce qui est recouvert par le réseau du langage?

A

La réalité brute

35
Q

Pourquoi le système d’organisation ne peut pas tout dire de l’expérience ?

A

pcq il dit il dit quelque chose de la réalité de l’expérience mais il y a quelque chose qui sort de la réalité (c’est justement la réalité du réel).

36
Q

Les dimension symboliques et imaginaires vont permettre de quoi?

A

de construire la réalité

37
Q

V ou F
Les dimensions symboliques et imaginaires manquent à nous satisfaire entièrement

A

vrai

38
Q

Pourquoi les dimensions symboliques et imaginaires manquent à nous satisfiare entièrement ?

A

Car le désir n’est pas pris dans cette réalité

39
Q

Le cadrillage représente quoi?

A

le réseau de langage ( et on voit qu’il y a des manques, qu’il ne recouvre pas totalement le réel)

40
Q

Dans le réseau du langage ( y’a des manque) , ce sont ces manques qui vont nous faire …

A

cette réalité et qui vont nous faire chercher cette réalité qui nous manque.

41
Q

« Toute appréhension humaine de la réalité est soumise à cette appréhension primordiale : le sujet est à la recherche de son désir mais rien ne l’y conduit, il ne le retrouve jamais et c’est précisément en cela que constitue le principe de réalité »
juste lis

A
42
Q

Ce qui fonde le désir c’est quoi?

A

le manque de l’objet .. et c’est précisément en cela que consiste le principe de réalité… donc il y a un lien entre le désir et le principe de réalité.

43
Q

V ou F
La réalité est sous-tendue par le désir

A

vrai
c’est le fait que je désir qui fait que je vais bouger sur ces filtres, images dans ma propre réalité

44
Q

Cette trame de symbolique et d’imaginaire est la fiction qui nous constitue.
La réalité en tant que construit est une __________ (ce que l’on se raconte sur nous même, sur les membres de notre famille, sur la société…).

A

fiction

45
Q

Pourquoi on parle d’écologie ?

A

c’est leur monde comme il est conçu

46
Q

V ou F
Plusieurs types de combinaison possible à partir de mêmes éléments, dans la perversion, l’objet a nous manque et nous pousse à le chercher.

A

vrai

47
Q

Quand on parle de structure il ne s’agit pas d’en faire un équivalent ____________, on essaie de repérer des éléments et voir comment ils s’agencent et en fonction de ceci on peut en déduire une structure, car on a pas de structure normale et anormale on retrouve toujours les mêmes éléments mais combiné de façon différentes

A

psychiatrique

48
Q

On a diffèrent éléments, objet/homme/objet a et plus tard on aura l’image du corps (stade du miroir). Qui fait partie d’un vocabulaire important pour les psychoses qu’on appelle les ________________

A

phénomènes élémentaires

49
Q

Définition phénomènes élémentaires =

A

phénomènes variés dans la clinique des psychoses (il va mettre un texte dessus)

50
Q

lis
Phénomène élémentaire : il faut entendre le mot élément comme un élément dans une structure mais une manifestation qui ne doit pas être pensée de façon isolée mais en lien avec d’autres éléments, devrait être articulé

A
51
Q

Classiquement on repère le phénomène élémentaire en 2 temps
1er temps:

A

1er temps : on ne sait pas quand ça va arriver quand le sujet rencontre un élément signifiant, il entend ou il lui arrive quelque chose qui va requière chez lui pour pouvoir l’assimiler quelque chose dont qu’il manque ( appui) et le sujet se retrouve confronter à un certain vide de la pensée, les patients en témoignes très très bien, il est arrivé quelque chose dans leur vie et il n’arrive plus à en penser quoi que ce soit : suspension de pensée, phénomène de perplexité cad que la le patient est mis dans une situation ou il n’a plus de jugement à mettre dessus. Le crépuscule de la réalité (le phénomène du monde qui s’écoule) : le patient dit que c’est comme si dans ce moment la réalité disparaissait. Le sujet est mis dedans sans savoir réagir : décrochage verbal, plus en capacité de s’en définir, c’est son être même qui vit un moment de disparition  c’est la que la psychose se déclenche.

52
Q

Classiquement on repère le phénomène élémentaire en 2 temps
2e temps:

A

Ce n’est pas ce temps de vide, trou que le sujet est confronté mais c’est aussi le deuxième temps : le sujet va remplir ce vide avec des phénomènes positifs. Et donc le sujet va faire appel à du symbolique et signifiant pour remplir ce vide

53
Q

Hallucination :

A

ll y a un trou et je rempli avec une hallucination avec l’objet voix, ou qu’on me regarde paranoïa (les camera

54
Q

Phénomène élémentaire retient le sujet au niveau du discours lequel menace de lui manquer et de disparaitre. Hallucination permet de______________________________ –> la seule façon de retrouver/reconstruire/s’accrocher à l’humanisation qu’il tant à perdre : de ne plus pouvoir se définir.

A

reconstruire un sens la ou le sujet a un hors sens  la

55
Q

Donc ce qu’on peut percevoir comme un signe pathologique c’est déjà une réponse du sujet à un manque qu’il ne pouvait pas __________.

A

symboliser

56
Q

La signification personnelle =

A

quelque chose qui fait signe pour le sujet, une auto rouge qui passe dans la rue se n’est pas pour rien c’est un signe qui m’est adressé : ce n’est pas pour rien mais il ne sait pas encore pourquoi, il sait que ça le vise : tout le travail du délire de créer une signification qui vise le sujet mais il sait que ça lui est adressé. Au lieu de chercher le regard dans l’autre c’est le regard qui surgit dans l’autre (les cameras me films h24).

57
Q

Si les voix disparaissaient ils n’ont plus rien pour ____________. Parfois la disparition de l’autre entraine une douleur psychique intolérante : déchirement interne

A

se définir.

58
Q

Paranoïa : un des points moteurs de la clinique de la paranoïa : l’image du corps et tout à fait __________ ce qui la différencie de la schizophrénie, le paranoïa a une représentation de lui-même qui ne supporte pas le manque. Signaler le type de paranoïa c’est le fait de la systématisé avec une cohérence c’est un système théorique (il est même capable de nous faire croire en son délire) pour faire entendre sa cause il faut s’adresser à l’autre.

A

stabilisé

59
Q

Types de délires paranoïaques :
Passionnelle

A

délire en secteurs cad on est en train de parler avec quelqu’un et d’un coup on parle d’un sujet (secteur) et ça commence à être bizarre, tonalité très persécutive. Délire qui se construisent sur une thématique particulière. Victime d’un préjudice qui le suit sans cesse pas seulement en train de se plaindre mais combatif sur un point (alors que jusqu’à présent tout aller bien)

60
Q

3 types de délires passionnels (en secteur, agressif) :

A

délires de jalousie
délire de revendication
délire d’interprétation

61
Q

la certitude qu’un autre est amoureux de vous, l’autre jouit de moi dans l’espace de l’amour=

A

erotamanie
Phase d’espoir (m’envoie des signaux) comme on est dans un environnement délirant tout va être interprété de la façon du délire.
Dépits : ce n’est pas une déception mais un ressentiment, j’en peux plus, pas désespoir, pourquoi il fait mine de m’ignorer
Rancune : tu m’as fait du mal, tu te joues de moi, je t’attaque (passage à l’acte) menace

62
Q

Délire de jalousie

A

la suspicion devient certitude, que rien ne peut remettre en cause, dans la construction du délirant jaloux, toutes les coïncidences deviennent des preuves d’une seule chose : que l’autre trompe, source de passage à l’acte meurtrier

63
Q

Délire de revendication :

A

un sujet qui se construit sur un préjudice dont il a été victime et donc le délire de revendication est très intéressant le sujet est en position de voir la vérité soit rétablit, il faut punir les coupables : purulence : certitude d’être mal traité, mal jugé, l’autre est un autre injuste.

64
Q

Sensitive Kretchmer : plainte régulière, tristesse permanente souvent motivé par « il lui est arrivé quelque chose, on lui a fait quelque chois » quoi qu’il arrive il m’est arrivé ça. Le sujet est toujours dans une ____________________, je pourrais faire des choses extraordinaires mais il m’est arrivé quelque chose qui m’empêche de vivre ce que j’aurais dû avoir. J’ai toutes les capacités. Position centrale « il m’est arrivé quelque chose » le sujet se vit comme une exception. Alimenté donc harceler, rejeter mais tout en se plaignant on a cet arrière-fond de je suis exceptionnelle.

A

surestimation de lui-même

65
Q

Délire d’interprétation : ils ne sont pas forcément en secteurs mais plutôt tendance à petit à petit gagner une partie de la vie. Le réseau malveillant se développe et s’intensifie, démarre d’une perception endogène une sensation corporelle, un malaise, quelque chose dans le corps à l’intérieur, je ressens quelque chose dans mon corps et je vais croire que ça vient d’une source extérieure qui me veut du mal. Qui vont être interpréter toujours dans un même sens. Pourquoi tu me veux du mal, je dois avoir quelque chose qui les ___________. Au fur et à mesure le sujet devient un point de mire d’un réseau malveillant pour retomber sur le même message. On le voit dans quelque chose qu’on appelle dans les évènements classiques, __________________

A

intéresse
syndromes de Fregoli :

66
Q

Syndrome de Fregoli :

A

Le sujet identifie dans sa réalité un même objet persécuteur au travers de différentes personnes. Il y a différentes images, pourtant le sujet va être convaincu sous ces 3 images il y a une même entité qui le vise.

67
Q

Délire de persécution/ fregoli
Si le FBI s’intéresse à moi, je suis exceptionnelle, il possède quelque chose qui fait que l’autre s’intéresse à lui. Au moins un qui pourrait au moins faire 1 avec l’autre. Le sujet pense être aimé avec l’autre donc toi et moi on fait un. Au moins un qui ferait entendre la vérité et ça sera moi, je serais le juste des justes
Ce qui implique de si le sujet se construit son délire sur sa position d’exception décliné de façon que dès qu’on va lui accorder une quelque conque idée déception on incarne cet autre qui lui veut du mal qui incarne l’autre. Cad il faut lui éviter la position d’exception de toute façon il y est déjà, à cause de l’autre qui lui veut du mal dans l’incertitude ls sujet sait que l’autre sait quelque chose sur lui. Donc on peut créer un petit ilot sur l’autre, le clinicien ne doit rien savoir pour que le sujet ne se sente pas viser par un autre qui aurait accès à lui

A
68
Q

Délire d’interprétation/ fregoli
En tant que clinicien de crée notre propre _______, notre propre manque et surtout pas le manque du côté du patient (l’autre qui est malveillant, qui rate, qui est incapable), le sujet ne peut pas supporter de manquer, toujours l’autre qui est __________ de la malveillance

A

limite/ responsable

69
Q

Délire d’interprétation/ frégoli

Dans la relation c’est à nous de nous faire plus petit possible et de ne pas _______ Citation : « à défaut de douter du moins le paranoïaque peut-il apprécier qu’on sache ne pas en savoir trop » il ne peut pas douter de son délire mais par contre que le clinicien n’en sache pas trop. Le paranoïaque essaie toujours de créer, de chercher un autre qui ne sait pas trop (c’est notre travail de ne pas en savoir trop avec le patient paranoïaque)

A

savoir.

70
Q

Énergie pour faire triompher la vérité du sujet, c’est vraiment un outil précieux car il est à la recherche d’éléments théoriques de savoir qui lui permet de défendre son discours sa vérité et don il y a un effort de nomination chez le sujet délirant du cote de l’interprétation et parfois dans certains discours ils découvrent une certaine ______________ (ca peut être psychologique ou politique) ce qui devient partagé comme un système philosophique et permet de nous représenter au près des autres. Et donc parfois quand on est clinicien on est amenée à s’intéresser aux _________des patients (interprétatifs des patients) pas dans une solution ou l’on va mesurer leur degré de folie mais d’être à ses cotes et construire son propre ________________ parce qu’après tout, ils ont leur propre cohérence parfois même leur propre methode de recherche de la vérité et sa lui donne un cadre,

A

cohérence
théories
système theorique