Psychologie du langage Flashcards

1
Q

Pourquoi la reconnaissance des mots écrits est l’un des domains de la linguistique la plus recherchés ?

A
  • Parceque l’humain parle depuis 800 000 ans, voire deux millions d’années, il a le bon appereil pour parler.
  • L’humain écrit depuis environ 7000 ans…
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2
Q

Décrit l’automatisme de la lecture.

A

On n’a pas de structure cérébrale dédiée pour la lecture et l’écriture, mais pourtant lorsqu’on apprend à lire cela devient un automatisme.

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3
Q

Pourquoi peut on lire plus rapidement un mot que de dénommer une image?

A

Cette différence temporelle repose sur le fait que la lecture devient un automatisme : quand nos yeux se portent sur un mot on ne peut pas faire autrement que le lire.

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4
Q

Pourquoi l’automatisme de la lecture sucite autant d’intérêt?

A

Car c’est une activité qui n’a pas de structure cérébrale spécifique et qui pourtant lorsqu’elle est maitrisée devient une activité incontournable et qu’on ne peut pas oublier.

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5
Q

définition de la représentation

A

Entité interne , correspondant cognitif individuel des réalités externes expérimentées par un sujet.

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6
Q

Quels sont les deux états dans la représentation?

A

Etat de disponibilité : existence d’une connaissance en mémoire à long terme (ex : encyclopédie : on connait la forme du mot, son orthographe, on sait ce que ça veut dire).
Etat d’actualité : lorsque sous l’effet de processus activateurs cette connaissance disponible passe à un état activé, avant de repasser en mémoire à long terme. (modification de la connaissance du mot encyclopédique lorsqu’on réactualise les connaissances).

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7
Q

Avant le langage écrit, la signification était représentée par le dessin, si le dessin représente bien, pourquoi passer par le langage écrit?

A

Si on ne partage pas le même système de représentation (ex: la même culture), on ne peut pas comprendre le contenu du message.
En outre il n’y a pas une seule manière unique d’oraliser un message: avec le langage écrit on n’a pas le choix, on est obligé de lire tel que le message est écrit.

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8
Q

Quand est-ce que l’on sait que l’on se situe dans le langage écrit ?

A

C’est quand il n’y a qu’une seule manière de lire ou oraliser le message. Sinon on parle de représentation de signification.

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9
Q

Quelle est la relation entre le sens et le langage ?

A

le langage est vue comme un véhicule pour exprimer une signification.

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10
Q

Quand peut on dire qu’une véritable écriture est née ?

A

Quand il existe qu’un symbol unique pour un mot unique.

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11
Q

Quels sont les 3 grands système d’écriture?

A

Logographiques -> Symbole connecté à un mot entier.
Syllabaire -> mot découpé en syllabe, geste ariculatoire unitaire.
Alphabet -> La lettre renvoie à une aux phonèmes.

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12
Q

Quel est la différence entre langage oral et écrit en terme de phylogénèse ?

A

Ils n’ont pas la même place dans l’histoire de l’humanité.

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13
Q

Quel est la différence entre langage oral et écrit en terme d’ontogénèse ?

A

La personne doit savoir parler avant d’apprendre à parler.

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14
Q

Quel est la différence entre langage orale et écrit en terme de région cérébrales

A

On a des région dédiés pour l’oral mais pas de régions dédiées pour l’écrit.

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15
Q

Dans l’architecture fonctionnelle, quel sont les différentes formes d’organisations des codages d’informations

A
  • Traitement sériel
  • Traitement interactif
  • Traitement en cascade
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16
Q

Qu’est ce que le traitement sériel

A

On suppose que les mécanismes agissent les uns après les autres: A -> B -> C -> D
En réalité on n’attend pas la fin de l’intégration de toutes les informations avant de fonder la représentation et l’interprétation.

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17
Q

Qu’est ce que le traitement interactif

A

Les processus interagissent les uns avec les autres, tout est dans tout et inversement: pose une difficulté pour la construction d’un savoir scientifique.
Modèle qui a sa place en programmation informatique notamment, concernant la phase d’assimilation

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18
Q

Qu’est ce que le traitement en cascade

A

Modèle qui est un peu l’intermédiaire entre les deux autres: ordre dans les traitements avec un faible niveau d’interactivité, limité aux niveaux de traitement adjacents.
La présence d’un mot ne peut pas totalement être prédite par le contexte. La valeur de l’information est liée à sa faible prédictibilité.

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19
Q

Quels sont les différents paradigmes expérimentaux ?

A
  • Méthode comportementale
  • Etudes des lésions cérébrale/ neuropsychologie cognitive
  • Imagerie cérébrale
  • Approche computationnelle
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20
Q

Décrire rapidement l’approche computationnelle

A

Métaphore de la manipulation de symbole, qui cherche à faire un programme stimulant le comportement à l’étude : s’obliger à avoir une analyse des processus beaucoup plus fine

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21
Q

Décrire l’enregistrement des mouvements oculaires et comment l’oeil extrait le sens des mots.

A

Lors de la lecture d’un texte facile, l’œil se pose partout: ce qui justifie la notion de reconnaissance de mots, l’œil allant chercher l’information partout pour reconnaitre le mot en même temps qu’il en reconstruit le sens.
On peut reconnaitre un mot très rapidement (50ms), pourtant l’œil est posé 200ms sur chaque mot: l’œil fait plus que reconnaitre le mot et fait le calcul du sens de la phrase.
Les premières données relatives aux mouvements oculaires montrent que l’œil se pose très souvent sur chaque mot, et fait de brefs sauts pour extraire l’information lexicale.

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22
Q

Décrit la méthode comportementale du traitement du mot isolé.

A

En traitement du mot isolé on fait de l’identification perceptive
Phénomène rémanence rétinienne: on garde parfois l’image du mot, la rétine garde l’image de ce qu’elle vient de voir.

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23
Q

Decrit la situation d’amorçage

A

Dans une situation d’amorçage, un point de fixation est présenté. L’amorçage a pour but de préactiver certaines caractéristiques de l’amorce, lesquelles sont partagées par la cible, entraînant ainsi une préactivation de la cible elle-même.

24
Q

Quel est le role du masque dans l’amorçage ?

A

Réduire la visibilité de l’amorce, celle-ci peut être perçue consciemment ou de manière subconsciente. L’objectif est de modifier la durée de présentation de l’amorce afin d’observer quelles informations sont prises en compte en fonction de cette durée. Nous expérimentons à la fois en modifiant la nature de la relation entre la cible et l’amorce, et en ajustant la durée de présentation de l’amorce pour déterminer quelles informations sont prises en considération.

25
Q

Dans une situation d’amorçage quelles sont les effets que l’on compare et peut tu donner des exemples ?

A

On compare toujours les effets reliés et non reliés. Des exemples seraient comparaison par lien visuel, orthographique, phonologique, morphologique et sémantique.

26
Q

Quel est le but de l’expérience d’amorçage ?

A
  1. Savoir quelle information est activée en premier.
  2. Combien de temps ça prend pour activer l’information.
  3. Technique très utilisée pour comprendre comment on reconnait les mots.
27
Q

Pourquoi on doit s’intéresser aux aspects perceptifs et visuels de la lecture ?

A

Lire est le processus d’extraire des informations visuelles à partir d’un texte dans le but de le comprendre.

28
Q

Pourquoi on déplace notre regard quand on lis ?

A

Lorsque nous interprétons ce que la vision nous montre, nos champs de vision sont soumis à des limitations. Bien que l’on ait l’impression de voir l’ensemble d’un texte de manière nette, en réalité, lorsque l’on fixe un point à l’intérieur du texte, seule une petite zone autour de ce point est vue avec netteté, en raison des caractéristiques de la zone fovéale.

29
Q

Quelles sont les trois zones autour de la fovea ?

A

Fovea
Zone parafovéale
Périfovéale

30
Q

Quels sont les différents types de movements visuels?

A

Les saccades: retour en arrière, fixation

31
Q

Quels sont les différents types de régression?

A
  • Régression à l’intérieur du mot ou intra-mot - oeil a mal atterri (endroit pas très informatif) donc besoin d’aller ailleurs sur le mot.
  • Régression entre les mots ou inter-mots - souvent liée à un problème de compréhension, notre oeil se rappelle parfaitement de l’endroit où il y avait une ambiguïté.
  • Retour à la ligne : ne génère pas beaucoup d’erreurs.
32
Q

Comment on enregistre le mouvement oculaire ?

A

On le fait avec un oculomètre. L’enregistrement avec une caméra souvent en lumière infrarouge, pour calculer la direction du regard du sujet et savoir où le regard se trouve et à quel moment.

33
Q

Peut tu décrire le paradigme de la fenêtre mobile (Mc Conky & Rayner, 1975)

A
  • On change le display (fenêtre présentée au participant): dès que le rayon infrarouge détecte un mouvement de l’œil, le display (qui rend la portion du texte visible) se déplace et le participant n’a pas conscience de cela.
    · On couple l’enregistrement du mouvement des yeux avec l’affichage du texte: pour être dans des conditions plus ou moins naturelles, c’est l’œil qui décide lorsqu’il a fini de fixer et lorsqu’il passe au mot suivant.
    · Variation de la taille du texte dévoilé: ex dévoilement de 4 lettres à droite du plan de fixation, puis 4 lettres à gauche et 6 lettres à droite, on peut aller jusqu’à 18 lettres à droite du point de fixation.
    · On observe si les raccourcissement ou augmentation de la fenêtre de visibilité impactent le comportement (ou vitesse) de lecture:
  • Rien ne change: si 3-4 lettre à gauche et 14-15 lettres à droite. Les participants ne sont pas conscients de la manipulation et la vitesse de lecture n’est pas modifiée.
  • Au-delà des 3-4 lettres à gauche et 14-15 lettres à droite, l’information n’est pas utile pour la lecture.
  • En revanche, si on présente moins de 14-15 caractères sur la droite, cela ralentit la vitesse de lecture.
    Attention: durée de fixation variable aussi en fonction de la difficulté du texte.
34
Q

Quels sont les différents empans perceptifs ?

A

Empan de la longeur des mots, Empan de la forme des lettres. Empan de l’identité des lettres.

35
Q

Quel est le nombre de caratères pour l’empan de la longeur des mots ?

A

Jusqu’à 14-15 caractères: au-delà on peut brouiller l’information sans que ça gêne la lecture, mais en dessous cela ralentit la vitesse de lecture.

36
Q

Comment on fait l’expérience pour l’empan de la longeur des mots ?

A

L’œil doit savoir à peu près la longueur du mot suivant pour savoir où il va devoir atterrir: on remplace tous les mots et espace en dehors de la zone déterminée par la fenêtre, par des X.
Dès que la fenêtre a une taille inférieure à 14-15 caractères à droite du point de fixation, la vitesse de lecture diminue. Identification de la longueur du mot: on bouche les espaces par des X donc le lecteur ne peut pas savoir où sont les délimitations du mot.

37
Q

Quel est le nombre de caractères pour l’empan de la forme des lettres ?

A

Jusqu’à 11-12 caractères à droite du point de fixation: jusqu’à 11-12 caractères à droite du point de fixation on extrait la forme des lettres.

38
Q

Comment on fait l’expérience pour l’empan de la forme des lettres ?

A

Mesure: on remplace en dehors de la fenêtre toutes les lettres par des lettres visuellement dissimilaires en conservant les espaces entre les mots, puis on déplace la fenêtre mobile au gré du regard du participant, et les X sont remplacés par des lettres qui ne se ressemblent pas.
On regarde à partir de quand la lecture est réduite: lorsqu’on réduit la taille de la fenêtre la vitesse n’est pas réduite, cela signifie que le participant n’a pas extrait la forme des lettres. En revanche si la vitesse est réduite cela signifie que la forme des lettres est un empan.

39
Q

Quel est le nombre de caractères pour l’empan de l’identité des lettres ?

A

Jusqu’à 9 caractère à droite du point de fixation, au-delà on peut modifier les lettres sans qu’il n’y ait d’impact pour la lecture.

40
Q

Comment on fait l’expérience pour l’empan de l’identité des lettres ?

A

On remplace en dehors de la fenêtre mobile toutes les lettres par des lettres visuellement similaires en conservant les espaces entre les mots.

41
Q

Comment on peut faire une recherche sur l’optimal viewing position (OVP).

A

On présente un point de fixation et ensuite on présente un mot (20 ou 30 ms: pour éviter l’effet plafond) dont la place va varier en fonction du point de fixation déterminé préalablement.
Résultats: on observe que c’est lorsque l’œil se pose au centre du mot que la reconnaissance est la plus optimale. En outre, la perte d’acuité n’est pas symétrique à droite et à gauche: lorsque l’œil se pose à gauche (donc début du mot) il reconnait mieux le mot que lorsqu’il se pose à droite.
En revanche, des études faites sur la langue arabe, montre que l’asymétrie prend une autre orientation (lecture de droite à gauche), ce qui suggère une influence attentionnelle.

42
Q

Comment on mesure la perceptibilité pour les lettres insérées dans les mots (Regan & Jacobs, 1991)

A

kkkkckkkk vs kkkkkkkkk et recherche de l’endroit où se poser l’œil.
Par ailleurs, on fait varier la place de la lettre intruse.
Les résultats montrent une double fonction linéaire (y = ax +b):
Pour le champ visuel droit: on observe une chute de la reconnaissance de la lettre c au fur et à mesure de son éloignement du point de fixation. Cette droite de régression indique un coefficient de pente négatif (perte de 6% dans l’identification de la lettre), perte de 11% pour le champ visuel gauche.
On retrouve bien l’asymétrie évoquée auparavant: ça chute beaucoup plus fortement à droite (car lettre positionnée à gauche)

43
Q

Quel est l’influence du nombre de lettre sur le temps de lecture?

A

les mots entre 5 et 9 lettres sont reconnu à peu près dans le même temps et si on laisse le même temps aux participants.
Le temps de reconnaissance est plus long pour les mots de trois/ quatre lettres (problèmes de voisinage: bcp de mots se ressemblent) et pour les mots de plus de 10 lettres (besoin de plus de temps de fixation et peut être de régression intra-mot).

44
Q

Quel sont les trois positions théoriques pour le codage phonologique?

A

-Théorie de l’accès direct - lecture = activité visuelle, donc on ne coderait pas la phonologie (donner une valeur phonologique aux lettres).
- Théorie de la mediation phonologique : dit l’inverse, les lettres n’ont de raison d’être que parce qu’elles portent les valeurs sonores des phonèmes. On apprend les lettres parce que porteuse du son, des lors qu’on voit la lettre le son est activé
- Position intermédiares : Ces deux positions sont assez extrêmes et ensuite on observe l’apparition de positions plus intermédiaires, comme dans la théorie à double voie de Coltheart

45
Q

C’est quoi le modele a double voie

A

dit que les deux premières voies sont possibles : la subvocalisation est présente pour nous aider a comprendre des textes complexes. De plus, lorsqu’il apprend a lire, l’enfant a d’abord les représentations phonologiques (et pas orthographique).

46
Q

Décrit l’expérience sur l’effet pseudohomophones

A

Les auteurs leur propose une décision lexicale
Deux catégories de pseudo mots :
Les pseudomophones SNJE, PLENTE
Pseudomots contrôles : SENGE, PLANDE
Les pseudomophones sont rejeter plus lentement
Quand le participant a vue les lettre, il a été ralenti
C’etait largement critique et ce n’était pas vue comme une preuve.
Il s’appuie sur des pseudomot qui n’existe pas dans le lexique donc il faut le décoder

47
Q

Décrire une expérience sur l’effet de régularité

A

On oppose des mots réguliers à des mots irréguliers
Mots réguliers : route, table, pomme
Mots irréguliers : femme, oignon, monsieur
Mors réguliers mieux lus (précision, vitesse) que les mots irréguliers.

48
Q

Décrire une expérience sur l’effet homophone

A

tester la decision lexicale
Sur des mots avec et sans homophones.
Aile vs Cage
Aile a un homophone mais Cage n’en a pas.
On reconnait plus facilement Cage comme un mot.

49
Q

Expérience pour tester si le codage phonologique est obligatoire ou optionnelle?

A

Ferrand
A fait lire des mots bisyllabique et Trisyllabique
Il a eu des résultats en décision lexicale :
Il a eu un effet de la fréquence
Plus le mot est vue, plus il est accessible
Il y’a un effet d’interaction entre la fréquence et la longueur
Donc l’effet de la longueur n’est pas le même selon la fréquence
Pour les mots de haute fréquence, il y’a pas un effet de longueur mais pour les mots de basse fréquence, il y’a un effet de longueur.
Si y’a un effet de longueur, il y’a un effet phonologique
De ce fait le codage phonologique est optionnelle et concerne plus les mots de basse fréquence.

50
Q

Décrire l’expérience sur l’effet de supériorité de mots dans le codage orthographique

A

Les différentes conditions
Condition mots
On a un point de fixation
On a un stimulus (mot)
Puis un masque
Et on a un choix entre deux lettre «t ou k»
Condition lettre
Le stimulus lettre
La lettre d est mieux reconnu quand elle est présenter dans un mot que seul.
L’activation lexicale (orthographique) est très rapide. La réponse est reconnue plus vite dans un mot que seule.
Cela démontre que le codage orthographique est extrêmement puissant.

51
Q

Quel est l’effet de voisinage dans le codage orthographique

A

Voisin - mots qui partage toutes les lettres sauf une
Ex : Chou/ Clou
Voisinage denses (beaucoup de voisins)
Ex «foin» : coin, loin…
Voisinage épars (peu de voisins)
Ex : Jupe: Juge
Bref (ermite); Zéro
Explorer pour étudier le codage orthographique

On observe que les mots épars sont reconnus plus rapidement, que les mots qui ont un voisinage dense.
Cela montre certains éléments du décodage orthographique

52
Q

Décrire l’effet d’amorçage dans le décodage orthographique

A

Condition non reliée et condition reliée
Le mot est reconnue plus rapidement lorsqu’il est précédée de lui-même dans des conditions non perceptibles -> représentation orthographique très rapide (même en dessous du seuil de conscience).

53
Q

Décrire l’effet d’amorçage dans l’effet de voisinage quand il s’agit de l’encodage orthographique

A

Pour l’effet d’amorçage
l’effet d’amorçage
Dans la condition reliée le mot CHAR est amorce par un voisin CHAT
On part dans l’idée qu’on va pré-activer le mot CHAT, et que potentiellement il pourrait gêner la reconnaissance du mot cible.
Effet inhibiteur du voisinage : Segui & Grainger, 1990
On mesure la différence entre la condition relie et non-relier
La présentation de bouche a gêner la présentation de Douche
Pour arbre et chêne, la différence n’est pas significatif
Le voisinage gêne l’encodage.

54
Q

Décrire le modèle d’activation interactive (McClelland & Rumelhart)

A
  • Extraction des traits visuelles puis les Traits Visuelles sont envoyer un signal excitateur aux lettres en position donnée qui vont ensuite envoyer un signal excitateur aux mots.
  • Les mots ont des liens entre eux mais ce sont des liens inhibiteurs
  • Entre les lettres et les mots se sont des liens excitateurs
    A chaque fois qu’un mot reçoit de l’activation, il va envoyer de l’inhibition a ses voisins (plus activations = plus d’inhibitions)
  • Vue que le mot FOIN a eu le plus d’activation, ce mot va envoyer plus d’inhibition.
  • Ce modele explique l’effet de supériorité des mots
    Une lettre dans un mot a une double activation. Au niveau des traits et au niveau des lettres.
55
Q

Décrire la procédure d’amorçage masqué

A

on fait une expérience pour suivre la découpe temporelle de l’information phonologique ou orthographique
On met un mot cible
On le fait précède par trois types d’amorce - orthographique, phonologique, non reliée
Calcul de l’effet net d’amorçage :
Amorçage ortho : Tnr - Tortho
Amorçage phono : T orto - T phono
Presente differente durée d’amorçage
Activation ortho est maximale entre 30 - 50 ms
Activation phonologique est plus tardive avec un Peak a 70 ms.

56
Q

Décrire le modèle consensual : modèle à double voie :

A

Analyse visuel précoce (prise en charge par le système visuel généralité) -> activation des représentation des lettres qui activent le lexique orthographique ou sont codées phonologiquement.