CM mémoire Flashcards

1
Q

Comment on peut organiser la mémoire?

A

Par leur temporalités - MCT vs MLT
Par leurs états de conscience d’évaluation - Memoire episodique vs sémantique
Par le souvenir du contraste d’acquisition - Mémoire explicite vs implicite
Par leur état de conscience de l’éducation - mémoire déclarative vs procédural
Par des modéles généraux - SPI/ Mnésis

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2
Q

Comment on peut dissocier les mémoires

A

Expérimentalement - double dissociation
Par neuro-imagerie
Par des cas pathologiques et traumatique
Développementalement

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3
Q

Quel sont les différentes componsantes du modele de Baddeley de 2011

A

Le calepin visuo-spatial, la boucle phonologique, le buffer episodique et le centre exécutif

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4
Q

Ques-ce que le calpin visuo-spatial

A

Un peu comme une ardoise magique que l’on secourait tout le temps…
On peut faire apparaitre une image encore et encore, mais elle demande un effort conscient pour la maintenir
On doit la réactiver/ la réimprimer encore et encore

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5
Q

Quesce que la boucle phonologique?

A

On a la capacité de faire de la répétition
On a la capacité de remettre les éléments au début du tapis roulant
2 «sous-composantes»
Une sous-partie pour le stockage (Phonological store)
Un mécanisme «articulatoire» (Articulatoire loop)

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6
Q

Quel est la fonction du buffer épisodique

A

Permet de fusionner les éléments. (Le biding)
On lier les éléments verbals et visuel.

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7
Q

Quel est la fonction du centre exécutif?

A
  • Coordonne les informations des autres systèmes «esclaves»
  • Pour la combinaison notamment.
  • Permet la sélection et l’utilisation de l’information à traiter.
  • Lien avec les mécanismes attentionnelles (attention sélective notamment)…
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8
Q

Dans la courbe de position sérielle quesceque l’effet de primauté et de quel type de mémoire fait elle appel ?

A

Dans l’effet de primauté, on a un meilleur rappel en début de la liste. Elle fait appel à la MLT car ce sont les mots les plus répétés.

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9
Q

Dans la courbe de position sérielle, c’est quoi l’effet de récence et de quel type de mémoire fait elle appel ?

A

Dans l’effet de récence, on a un meilleur rappel en fin de liste. Elle fait appel à la MCT car elles sont les informations les plus récent (moins répété) et sont les informations les plus affecter par un long delai et des interférences.

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10
Q

Quel dissociation expérimentales affecte la MCT

A

Les interférences perturbe la MCT

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11
Q

Quel dissociation expérimentales affecte la MLT ?

A

Le manque de répétitions perturbe la MLT

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12
Q

Décrire vite fait l’objectif de l’expérience de Murdok et son dérouler?

A

Objectif était de tester l’effet de la fréquence de présentation sur l’apprentissage de listes. Dans l’expérience on présente une liste de mots. L’expérimentateur manipule le temps de présentation : 1 ou 2 s/ item. Puis les participants doivent faire un rappel par écrit. On observe une différence dans l’effet de primauté.

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13
Q

Décrire vite fait l’expérience de Glanser & Cunitz (1966) sur l’effet de la fréquence de présentation et son dérouler?

A

Dans l’expérience on présente une liste de mots. L’expérimentateur manipule le temps de présentation : 3, 6 ou 9 s/ item. Puis les participants doivent faire un rappel par écrit. On observe une différence dans l’effet de primauté.

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14
Q

Décrire vite fait l’objectif de l’expérience de Postman & Phillips (1965) et son dérouler?

A

L’objectif etait de tester l’effet du délai avant restitution sur l’apprentissage de listes. Dans l’expérience, on présentait une liste de mots. Les expérimentateurs manipulé le délai (avec interférences) entre présentation et réponse : 0, 15 ou 30s. Puis les participants devaient faire un rappel par écrit. On observe une différence sur l’effets de récence.

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15
Q

Décrire vite fait l’expérience de Glanser & Cunitz (1966) sur l’effet du délai avant restitution sur l’apprentissage et son dérouler?

A

Dans l’expérience, on présentait une liste de mots. Les expérimentateurs manipulé le délai (avec interférences) entre présentation et réponse : 0, 10 ou 30s. Puis les participants devaient faire un rappel par écrit. On observe une différence sur l’effets de récence.

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16
Q

Dans la théorie sous-jacente de Tulving (1985). C’est quoi la la mémoire autonoétique, noétique, anoétique?

A
  • La mémoire épisodique est autonoétique : elle est la reviviscence d’un événement en contexte. On arrive à revivre les événements en contexte. Connaissance sur soi, capacité de revivre
  • La mémoire sémantique est « Noétique » : conscience de savoir, catalogue, j’ai ça en mémoire
  • Mémoire procédurale est anoétique : il n’y a pas de prise de conscience des savoirs.
17
Q

Decrit les étapes du protocol de reconnaissance dans le paradigme RK

A
  1. Liste de mots présentées à des participants. (liste n°1)
  2. Etape primordiale : étape d’attente, délai, pendant lequel les participants font autre chose (tâche rébarbative, activité différente…)􏰀 tâche d’interférence (2 à 10 minutes)
    On recherche uniquement les traces mnésiques dans la MLT
  3. Représentation de la liste 1 mélangée à une autre liste (mots qui sont des leurres) : on demande aux participants si le mot était dans la liste 1

Si oui : trois choix possibles
Arrives-tu à revivre le moment où tu l’as entendu dans la première liste : remember
Sais-tu juste que c’est dans la liste sans revivre le moment : know
Je ne suis pas sûr, je crois que c’était dans la liste : guess

18
Q

Comment on peut dissocier la mémoire épisodique de la mémoire sémantique?

A

La mémoire épisodique a besoin de contexte, pour manipuler le contexte on utilise soit l’attention, soit le contexte

19
Q

Décrire l’expérience de Gardiner & Parkin, 1990

A

N= 18, méthode = paradigme RK
1er groupe : paradigme RK, groupe contrôle, pas de distraction pendant l’encodage de la première liste
2ème groupe : tâche interférente pendant l’encodage de la première liste (son aigu, medium ou grave) et les participants devaient décrire le son lorsqu’ils l’entendaient, tout en essayant d’apprendre la liste de mots.
Résultats :
- Par rapport au groupe contrôle, le fait d’avoir eu une distraction à l’encodage baisse les réponses remember mais aucune influence sur les réponses know.
Le fait d’enlever de l’attention au moment de l’encodage diminue les capacités en mémoire épisodique mais pas en mémoire sémantique

20
Q

Décrire l’expérience de Mäntylä & Raudsepp (1996)

A

Expérience avec 24 participants + manipulation de l’attention/ Un seul groupe de paritcipants

Présentation de la 1ère liste : 48 items
Immédiatement après (pendant la phase censée être distraction), présentation de 24 mots de la première liste + 24 mots distracteurs. Ex : 4 – RADIO – 5 : présentation pendant 110 ms et les participants devaient quel chiffre était le plus grand
Manipulation de l’attention juste après l’encodage (suppression fovéale : à partir du moment où les gens se concentrent sur le chiffre, le mot apparait à la vision sans être au centre de la vision, permettant d’encoder le mot sans ajouter de contexte).

Après 10 minutes = reconnaissance de la liste 1 sur 96 items

Résultats : pas de différence significative sur remember (sur aucun des mots), en
revanche, augmentation des réponses know (augmentation significative dans le cadre de la suppression fovéale).

21
Q

Decrire l’expérience de Gregg & Gardiner (1994) sur la profondeur du traitement

A

N=32, paradigme RK
Pendant l’encodage les participants devaient donner des informations structurale (entendu distinctement).
Un autre groupe devait donner des informations sémantiques (animal à 4 pattes ?)
Résultats : pas de différence sur les réponses know, en revanche, augmentation du traitement sémantique = augmentation des réponses remember, donc augmentation de la mémoire épisodique

22
Q

Décrire l’expérience de Conway & Dewhurst (1995) sur un traitement semantique positif ou négatif

A

N = 12 / groupes
Pendant l’encodage, dire si chaque mot est :

Sémantique : positif ou négatif

Major : le terme peut-il être attribué à John Major (homme politique anglais)

Soi : référence à soi pour chacun des mots (essayer de trouver dans nos souvenirs une référence avec ce mot).

Résultats : les réponses remember sont plus conséquentes avec le traitement sémantique qu’avec le traitement John Major (pas de connaissance du contexte car on ne connait pas la personne), le self (référence à soi) amène énormément de contexte, augmentation significative des réponses remember.
Quand on manipule la référence à soi, donc la profondeur de traitement, cela influence les réponses remember.

23
Q

Définition de la mémoire explicite

A

Fait appel à la conscience, récupération consciente et/ou volontaire, test de rappel libre, indicé, reconnaissance. Une tâche explicite est une tâche qui demande un effort

24
Q

Définition de la mémoire implicite

A

L’information nous vient en tête sans que l’on s’en rende compte (ex de la publicité). Influence d’une expérience préalable, influence inconsciente (ou non volontaire), phénomène d’amorçage sans prise de conscience.

25
Q

quelle est l’influence de la profondeut de traitement dans la mémoire explicite ?

A

Si un traitement est explicite, le contexte va être également encodé. Si on ajoute en profondeur de traitement on augmente les chances d’augmenter la mémoire explicite.
Quel que soit la profondeur de traitement, la mémoire implicite (non consciente) ne devrait pas être influencée.

26
Q

Quelle est l’infleunce de facteurs externes comme le stress sur la mémoire explicite?

A

Changer le contexte, le stress provoquant une perte de contrôle qui affecte la volonté de rappel. Pas d’effet du stress sur des éléments NON CONSCIEMMENT APPRIS (ex : conduire une voiture). En revanche, le stress affecte la mémoire explicite (ex : rappel de connaissances).

27
Q

Décrire l’expérience de Jacoby & Dallas (1981) sur la memoire explicite et la profondeur de traitement

A

N= 48 (deux groupes expérimentaux de 24) + 1 groupe contrôle
Répondre à une question parmi 3 sur chaque mot d’une liste
Graphique : lettre L présente ?
Phonémique : rime avec train ?
Sémantique : meuble ? animal ?

Présentation de 80 mots (dont 20 nouveaux)

Réponse explicite : Dans un groupe on fait le lien avec la tâche, réponse explicite de connaissance (2 seconde par mot) et question sur : mot déjà présenté ?

Réponse implicite : Pour l’autre groupe, mots présentés par flash (image subliminale). Si le mot est déjà dans notre mémoire implicite, il y a amorçage, et cela permettra de lire quand même le mot.

Resultat :
Mémoire explicite : augmentation de la mémoire selon la profondeur de traitement à l’encodage
Mémoire implicite : aucune différence selon la profondeur de traitement à l’encodage.

28
Q

Décrire l’expérience de Master (1922) Putts

A

N=8 (par groupe), novices en golf et apprentissage d’un putt (4 sessions de 100 putts) dans trois conditions différentes

Contrôle : normal

Implicite : + tâche concourante en même temps qu’ils apprennent à faire des putts (production de lettre en même temps qu’ils font des putts). Tache en mémoire implicite

Explicite : pas moniteur, mais texte d’explication précis sur comment faire.

Puis 5ème session de 100 putts pour tous les groupes, mais deux conditions dans chaque groupe :
soit NS (non stressés),
soit S (stressé) car prix décerné ou pseudo-recrutement.

Résultats du groupe contrôle, augmentation des performances si NS ou baisse des performances si S

Résultats explicite : niveau 4ème session = similaire à groupe contrôle, stress affecte les performances.

Résultats implicite : S ou NS les participants montrent tous une progression entre 4ème et 5ème session, augmentation dans les mêmes proportions.

Le stress affecte spécifiquement en mémoire explicite mais pas en mémoire implicite. Ce que l’on fait sans conscience n’est pas affecté par des facteurs externes.

29
Q

Définition de la mémoire déclarative

A

Mémoire que l’on peut verbaliser (mémoire où l’on peut répondre avec
des mots), représentation de faits ou événements accessibles à la conscience,
mémoire des « knowledges » (tant en connaissance que de souvenirs).

30
Q

Définition de la mémoire non déclarative

A

Représentations d’aptitudes cognitives et motrices. La mémoire
procédurale fait partie de la non déclarative. Les représentations sont difficilement verbalisables et dont l’évocation se fait de manière non consciente.

31
Q

Comment on dissocie la mémoire déclarative de la mémoire non-déclarative?

A

Dissociation par cas cliniques : si destruction de certaines parties du cerveau, cela peut impacter les mémoires déclarative et non déclarative. La double dissociation se fait par l’étude de cas cliniques de trauma crâniens.

32
Q

Exemple d’une expérience clinique pour dissocier la mémoire déclarative de la mémoire non-déclarative

A

Mémoire déclarative et non déclarative non font pas appel aux mêmes zones du cerveau (déclarative = hippocampe, non-déclarative = amygdale).
Bechara & al., 1995 : 3 cas cliniques + 1 contrôle

SM : destruction bilatérale des amugdales
WC : destruction bilatérale des hippocampes
RH : destruction bilatérale des 2

Tâches de conditionnement Pavlovien
Tache de rappel déclarative : quelle couleur est la diapo

Baisse des capacités en conditionnement pour SM, baisse des capacités en déclarative pour WC, baisse des capacités dans les deux cas pour RH.