Psychologie Cognitive 2 Flashcards
MCT ?
Mémoire à court terme : Petite capacité : stocke les infos le temps qu’elles passent en MLT. immédiat
MLT ?
Mémoire à long terme : Stocke les infos : plus lente. Peut capter + d’infos et sur le long terme
Qu’est ce que encoder?
(Mémoire) Prendre l’information : Façon dont on traite les informations → Déterminante pour les apprentissages
Concepts de mémoire visuelle et auditive
Concepts selon lesquels nous mémorisons les infos de manière préférentielle (visuelle ou auditive)
Le sens a t’il un impact sur la mémorisation?
Oui : on mémorise mieux ce qui a un sens pour nous
Encodage spécifique
Information que l’on connait mais il faut se souvenir que nous la connaissons déjà. Indice aide à la récupération
Qui a découvert le conditionnement classique ?
Ivan Pavlov, aves l’apprentissage de l’animal (fin 19, début 20e)
RI ?
Réaction inconditionnelle : réponse déterminée par le milieu, suscitée de manière absolue avec les bons stimuli (ex salivation)
SI ?
Stimulus inconditionnel : Evènement du milieu déclenchant la RI : Sans condition (ex viande)
SN ?
Stimulus neutre : Evènement du milieu ne provoquant pas la RI (ex cloche avant conditionnement)
SC ?
Stimulus conditionnel : Même évènement que SN mais après conditionnement : il déclenche désormais la réaction (ex cloche qui déclenche mtn salivation)
RC ?
Réaction conditionnelle : Même réaction que la RI mais est maintenant produite par un SC (ex salivation déclenchée par cloche)
Différentes phases du conditionnement
1) SN ne fait rien et SI = RI
2) phase de conditionnement : séquence répétée :
SN puis SI puis RI
3) Présentation de SN voir s’il déclenche RI
Si : SN = RI alors SN devient SC et RI devient RC
→ Conditionnement
Notion d’extinction
Mis en avant par Pavlov : Absence de présentation de SI provoque peu a peu de la RC.
Inhibition?
Si le SC ne produit plus la RC après longtemps c’est parce qu’elle est bloquée : inhibition
Contre conditionnement
Pavlov : pour éteindre une RC on peut associer le SC à un deuxième SI qui produit une RC différente.
Si la nouvelle réaction est incompatible avec l’ancienne + la nouvelle association est développée et + l’ancienne RC va disparaitre (ex métronome nourriture devient métronome choc eléctrique)
Conditionnement de second ordre
Un SC peut être utilisé pour créer un nouveau SC
Ex : Métronome = nourriture; carré noir = métronome → Carré noir = nourriture
→ Chaines d’association
Conditionnement opérant
Décrit par Thorndike et développé par Skinner ( c’est + Skinner qui y est associé)
Boite de Skinner. Part de hasard. RC instrumentale. la RC se produit avant le SI
Boite de Skinner
Rat affamé + levier qui donne à manger ; le rat appuie par hasard sur le levier : découvre nourriture ; plus le temps passe et plus le rat ne va faire qu’appuyer sur le levier.
Différence conditionnement classique/opérant pour Skinner
Classique = répondant : La réaction arrive en réponse du stimulus Opérant = instrumental : L'activité est émise plutôt que déclenchée par un stimulus (quand instrument oriente l'organisme vers un résultat, un but)
Le béhaviorisme explique
Le comportement animal et humain, le langage.
→ Mémoire = association : rien d’autre que l’apprentissage
Associationnisme
Association avec systèmes + ou - complexes pouvant se résumer par le couple S-R. Evènements s’associent en série
Cognitivisme
S’intéresse à la connaissance, au sens de l’information.
Traitement de l’info (Shannon & Weaver, 1949)
Explique comment une source est transmise à la à la destination.
Différents éléments de transmission
Source → Transmetteur → Canal (avec bruit) → Récepteur → Destination
Citer les mesures explicite de la mémoire (4)
Rappel libre
Rappel sériel
Rappel associatif/indicé
Reconnaissance
Citer des mesures implicite de la mémoire (2)
Décision lexicale ( mesure du temps pour décider si c’est un mot ou pas=
Epreuve de complément de souches de mots
Distinction mesures explicites/implicites de la mémoire
Explicite : Interroger le souvenir conscient
Implicite : Influencés par des évènements de l’histoire perso
Que permet la technique de Brown Peterson ?
De mettre en évidence la mémoire à court terme
De quoi s’aperçoit-on avec la technique des effets sériels ?
Qu’il existe des effets de primauté et de récence.
Durée de rappel des mémoires (iconique, MCT, MLT)
Sensorielle (durée spécifique à chaque sens) : iconique = 250 ms
MCT : 15 à 30 secondes
MLT : Théoriquement illimitée
Mémoire de travail
Idée qu’il existe un espace de travail qui sert en fonction des activités à manipuler des infos et/ou mémoriser
Présence de sous-systèmes
Système du premier modèle de la MDT
Boucle phonologique
Administrateur central
Calepin visuo-spatial
Administrateur central
Système qui alloue les ressources attentionnelles limitée de la MDT tout en gérant les 2 système esclaves. Fonctionnement s’appuie sur le SAS
Boucle phonologique
Responsable d la manipulation et du stockage des infos phonologique en provenance du langage
Calepin visuo-spatial
Stockage et maintenance des infos visuelles et spatiales des images.
Effets attribués à la boucle phonologique
Effets de similarité phonologique
Effet de l’écoute inattentive
Effet de longueur des mots
Suppression articulatoire
Effets de similarité phonologique
Unité de stockage utilise un code phonologique : éléments semblables = codes semblables
Effet de l’écoute inattentive
Se produit généralement pendant la phase d’apprentissage. Ecoute d’un bruit environnant surcharge le stockage phonologique
Effets de longueur des mots
Augmentation des syllabes = Diminution de rappel.
Durée de répétition influence le rappel : mot + long = plus long à répéter = moins de répétition car empan limité.
Suppression articulatoire
Articuler élément sans signification diminue les performances (lalala) suppression de subvocalisation = perturbation de l’utilisation de la boucle phono
Stockage phonologique
Système passif qui stocke automatiquement l’info en la codant phonologiquement. Info disparait en 2 sec si elle n’est pas rafraichie.
Boucle de subvocalisation
Rafraichit les infos en permanence dans le stockage phono pour éviter la disparition.
SAS
Système attentionnel superviseur
Nouvelles situations peuvent être résolues par l’expérience passée
Les 4 capacités de l’administrateur central pour Baddeley (1996)
Focaliser l’attention
Diviser son attention
Contrôler les automatismes
Récupérer et manipuler les infos en MLT
Que peut on dire du rappel de l’image
On retient mieux sous forme de films, dessin ou photos que en mots ou phrases
Durée de traitement de l’image
La supériorité du rappel imagé nécessite du temps pour coder l’info.
Le sens et l’image
Le stockage des images nécessite de comprendre leur signification : Lieury, 2005 : Mémoire n’est pas une photographie de la réalité
Le double codage ? Auteur et principe ?
Paivio en 1971
Il y a 2 codages : imagé et verbal. 2 codes : sémantique et lexical
Db Codage : Le code sémantique
Comprendre ce que l’on voit avant de dénommer (100ms en +)
Db Codage : Le code lexical
Permet de dire le mot
Mémoire déclarative
Infos accessibles à la conscience sous forme verbale ou imagée : Réflexion et élaboration
Mémoire procédurale
Mémoire du “comment” : savoir faire et non accessible à la conscience
Quels sont les deux grands types de mémoire (Cohen, Squire)
Déclarative et Procédurale
Résumer la programmation articulatoire
Rappel exige programmation de réponse vocale = temps. Le principe de traitement de l’info s’applique à nos réponses
Résumer la mémoire de l’action
Réalisation de l’action présentée permet un meilleur rappel de son image
Triple codage de l’info : verbal + imagé + moteur
Définir le transfert d’apprentissage
Transférer connaissances déjà acquises préalablement : mécanismes implicites
3 types de transfert
Bilatéral : Ce qui est appris avec une main peut être fait avec l’autre
Apprendre à apprendre : + on apprend des tâches d’un même type et plus vite on les apprend
Négatif : un apprentissage empêche un autre
Mémoire sémantique : Deux mécanismes de l’organisation
Groupement (=Chunk : Miller)
Codage de ces groupements
Sur quoi se base le plus notre traitement ?
Sur un traitement sémantique
Trois types de traitement (Craik et Tulving)
Traitement de structure
Traitement phonétique
Traitement sémantique
Codage sémantique
Nombreuses possibilités d’organisation : + puissant que les autres systèmes de codage
3 types d’organisation
Des idées
Verbale
Imagée
2 grands principes de la mémoire sémantique
Hiérarchie catégorielle
Economie cognitive
Hiérarchie cognitive
Concepts classés de façon hiérarchique
Economie cognitive
Seules les propriétés (ou traits sémantiques) sont classés
Quels sont les limites du premier modèle de la mémoire sémantique (Craik et Lockart)
Effet d’inversion
Effet de typicalité
Nouveau modèle de la mémoire sémantique
Collins & Loftus, 1975 : propagation de l’activation en mémoire sémantique
2 concepts clés du modèle de Collins & Loftus de 75
Distance sémantique
Liens de multiples natures
Diffusion
Concept activé = se diffuse dans le réseaux sémantique de façon décroissante
Activation
Signal dont la force diminue avec el chemin parcouru : parallèle et se diffuse à tous les nœuds. = Amorçage sémantique
Que fait une amorce?
Elle active le traitement sémantique = possibilité de répondre + vite.
2 modes de compréhension pour Lieury
Accès direct : info stockée en mémoire
Par inférence : à partir du réseau de connaissance de la mém sém
Courbe de l’oubli
Oubli pas linéaire avec le temps : décroit. Lié aux interférences
Interférence proactive
+ on apprend et + les perf baissent + vite (intrusions)
Oubli induit par 1 ou pls apprentissage précédents
Interférence retroactive
Oubli provoqué par apprentissages ultérieurs (après)
A quoi est lié l’oubli?
A un problème de récupération (et pas déstockage) = manque d’indices
Mémoire épisodique
Mémorisation d’évènements et d’épisodes datés + relation spatio-temporelle qu’ils entretiennent entre eux. Aide a la reconnaissance via les traces d’encodage pendant l’apprentissage
Modèle SPI
encodage Sériel, stockage Parallèle, et récupération Indépendante
Stockage parallèle
Info stockée en même temps en sémantique et épisodique
Système perceptif : mem sémantique avant encodage en épisodique
Que propose Baddeley en 98 et Lieury en 2010?
L’emboitement de la mémoire épisodique dans la mémoire sémantique