psycho examen 2 Flashcards

1
Q

Expliquer le conditionnement classique.

A

1) stimulus non conditionné
2) stimulus conditionné
3) réponse conditionnée

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2
Q

Expliquer le conditionnement opérant.

A

Renforcement +: Donne qqch agréable
Renforcement -: Enlève qqch désagréable
Punition +: Donner qqch désagréable
Punition -: Enlève qqch agréable

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3
Q

Distinguer conditionnement classique et opérant.

A

Classique=organisme réagit
Opérant=organisme agit

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4
Q

Expliquer et critiquer comment les principes du conditionnement classique et opérant peuvent s’appliquer au comportement criminel.

A

Dans l’optique plus classique, le comportement déviant se répète en présence de certain stimuli/environnements ce qui fait ensuite en sorte que la présence de ces stimuli/environnements enchaîne l’occurrence des comportements déviant. Par contre, le soutien empirique de cette optique est limité.
Un insertion du conditionnement opérant dans le conditionnement classique pourrait expliquer pourquoi une personne devient ou ne devient pas criminelle:
Une personne ne devient pas criminelle si elle est adéquatement conditionnée…
1)stimulus non conditionné: punition->peur/anxiété
2)stimulus conditionné: mauvais comportement->punition->peur/anxiété
3)réponse conditionné: mauvais comportement->peur/anxiété
Puis une personne criminelle aurait fait l’objet d’un mauvais conditionnement…
-Les comportements antisociaux n’ont pas assez été associés à la punition et donc à la peur.
-Les comportements criminels ont été renforcer positivement par le gain de pouvoir et renforcer négativement par la perte de tension.
-Les comportements persistent tant que le renforcement surpassera la punition.

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5
Q

Nommer et expliquer comment on peut mieux comprendre certains échecs du système de justice en regard du conditionnement.

A

Tout commence avec l’idéologie que la cause de la délinquance vient du fait que les punitions ne surpassent pas les renforcements.
1)La sévérité augmente donc graduellement ce qui fait en sorte que la sanction était moins sévère à la première accusation.
2)Le délai entre la punition(sanction) et l’arrestation est trop long ce qui réduit l’association et augmente les opportunité de renforcements.
3) La punition n’est pas constante, la personne peut ne pas se faire arrêter ou ne pas être sanctionné et ainsi elle n’apprend pas de son erreur et a plus tendance à récidiver.
4) Les comportements criminels ne sont pas remplacés par des comportements prosociaux. Cette approche répressive ne renforce donc pas les bon comportements.

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6
Q

Expliquer l’apprentissage par observation.

A

L’enfant apprend et reproduit les comportements antisociaux de modèles(parentaux ou non)

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7
Q

Interpréter les effets potentiels de l’exposition à la violence dans les médias.

A

Une exposition prolongée pourrait avoir un impact sur les cognitions et sur les croyances des normes sociales donc elle pourrait avoir une influence sur les comportements.

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8
Q

Quels sont les constats des études sur l’expositions à la violence dans les médias?

A

L’association de l’exposition à la télévision aux comportements agressifs est faible et d’autres facteurs plus important sont associés aux comportements agressifs et criminels. De plus, les effets varient selon la présentation faite de la violence et les caractéristiques du visionneur.
L’association des jeux vidéo aux comportements agressifs connait des résultats similaires à celle pour la télé même si l’activité est plus active.

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9
Q

Expliquer la théorie de l’association différentielle et du renforcement .

A

Le comportement criminel serait le résultat de l’apprentissage social. Tout les comportements s’apprennent dans un cadre d’interactions sociales donc si on respect la loi dépend des personnes (prosocial ou antisocial) avec qui on interagit. Le comportement varie en fonction des différences dans nos interactions sociales (association différentielles).

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10
Q

Nommer et interpréter les modalités d’association de la théorie de l’association différentielle et du renforcement.

A

Ces modalités affectent l’influence relative des interactions sur l’apprentissage des comportements criminels:
1) intensité: à quel point l’interaction est significative.
2) priorité: le moment ou le timing de l’interaction
3)fréquence: plus les interactions sont fréquente, plus elles ont de l’influences
4) DURÉ: plus la relation dure longtemps, plus elle influence (il faut en tenir compte en proportion)

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11
Q

Expliquer les définitions.

A

Les interactions sociales exposent les personnes à des définitions: valeurs, attitudes, normes et croyances sur ce qui est bien ou mal.
Les personnes sont socialisés de façon plus ou moins prosocial/antisociale selon les définitions:
Définition - :en défaveur de briser la loi (prosocial)
Définition + :en faveur de briser la loi (antisocial)
Elles indiquent à la personne si ses comportements sont susceptibles d’être renforcés ou punis en déterminant les comportements moralement et socialement acceptables. De cette façon les définitions augmente ou diminue les risques qu’une personne ait des comportement criminels.

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12
Q

Identifier les étapes par lesquelles le comportement criminel devient une habitude selon cette théorie.

A

1) Il y a les premières expériences de socialisation (antisociales)
2) La personne est exposée à des définition + et à des modèles antisociaux.
3) Ces modèles/associés antisociaux offrent un renforcement qui incite la personne à répéter et maintenir ses comportements criminels.
Puis le cycle se répète un peu…
4) Il y a maintien ou développement de nouvelles relations sociales qui appuient et renforcent les comportements criminels.
5) Il y a augmentation ou renforcement des définition + et des modèles antisociaux
6) Les comportements criminels deviennent des habitudes.

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13
Q

Expliquer l’approche cognitive.

A

Selon l’approche cognitive, l’interprétation des évènements affecte aussi les comportements.
En effet, les personnes développent une compréhension des évènements qui les affectent et leur interprétation affecte comment elles se sentent et se comportent.
Les problèmes psychologiques se développent lorsque les croyances/interprétations sont irréalistes ou dysfonctionnelles.

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14
Q

Expliquer et nommer les éléments du modèle de Ellis.

A

Ça commence avec l’évènement qui contribue à la formation d’une croyance qui détermine la conséquence/réponse émotionnelle et comportementale.
ex: une personne me frappe alors je croit que les gens me veulent du mal alors je me frustre et je l’envoie chier.

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15
Q

Expliquer et nommer les éléments du modèle de Beck.

A

1) schémas/croyances fondamentales(lunette)
influence
2) croyances intermédiaires(propre à la personne)
influence
3) processus cognitif(biais cognitifs)
influence
4) discours intérieure (pensées)
influence
5) émotions, comportements et sensations

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16
Q

Nommer des biais cognitifs et des exemples de pensées associées.

A

1)penser tout ou rien: ex, si ça, ÇA
2)conclusion hâtive: conclure trop vite/parano
3)surgénéralisation: présumer à partir d’un seul cas
4)abstraction sélective: focus/ignore certains éléments.
5)dramatisation ou minimisation: disproportion/escalade
6)personnalisation: toutes les raisons sont contre moi

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17
Q

Expliquer l’approche cognitivo- comportementale.

A

C’est l’interaction entre les pensées, les comportements et les sensations/émotions: Chacune de ces composantes s’inter influencent.
Ex: insulter quelqu’un influence ma pensée qu’il veut me nuire qui me met en colère qui fait que je l’insulte qui fait que je suis en colère qui fait que je pense qu’il veut me nuire qui fait que je l’insulte…

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18
Q

Nommer et expliquer les apports, les limites et critiques des approches cognitive comportementales

A

Apports:
1)on peut modifier les pensés et les comportements.
2) les comportements sont mesurables et il y a un soutien empirique.
3) les approche sont à la base de nombreuses interventions jugées efficaces.
Limites:
1) Il y a une emphase important sur l’apprentissage qui fait qu’on délaisse d’autre facteurs important comme les cognitions, la personnalité et la place des expériences passées.
2) Les approches sont développer à partir de modèle animaux.
3) Ça l’explique peu le processus plus complexe interne.

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19
Q

*Expliquer l’approche phénoménologique existentielle

A

Philosophie: décrire plutôt qu’expliquer(la pensée criminelle)
La méthode phénoménologique est un corolaire méthodologique c’est-à-dire qu’il résulte de propositions déjà démontrée.
Cette approche met l’emphase sur l’expérience subjective de la personne(on demande de décrire son mode de pensé) car celle-ci ne peut être comprise qu’en se plaçant dans son cadre de référence interne.
Cette approche rejette les explications causales et le déterministe, il faut s’abstenir de toute hypothèses explicatives et de tout jugements.
Cette approche demande une rigueur et une neutralité élevée.

Cette approche est soutenu par 15 ans de travaux dans un hôpital psychiatrique sécurisé pendant lesquelles 240 entrevues avec des personnes déviantes ainsi qu’avec leurs proche ont été concoctés. L’objectif était d’avoir accès à l’entièreté du mode de penser criminel, sans contrainte, afin d’examiner les processus mentaux sans biais, interprétations ou jugements.

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20
Q

Nommer les constats généraux issus des travaux de Yochelson et Samenow

A

Les personnes qui commettent des crimes pensent différemment des autres, il y a donc bel et bien un mode de pensé criminel.
De ses travaux il a pu identifier des caractéristiques du mode vie criminel qui sont associés à leur mode de pensé ainsi que des erreurs de pensées qui se donnent avant, pendant et après le crime (de l’idéation à l’exécution).

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21
Q

Expliquer, de façon générale, les erreurs de pensée selon Yochelson et Samenow

A

Les erreurs de pensée font parties des processus cognitifs requis pour avoir un mode de vie criminel.
Les personnes criminelles les présente donc à différents degrés.
Les erreur de pensées se chevauche en partie, mais présentent chacune des éléments uniques comme une constellation d’erreurs de pensées interreliées.

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22
Q

Nommer les trois catégories d’erreur de pensée selon yochelson et samenow

A

Il y a trois catégorie d’erreurs de pensées:
1)Schémas cognitifs
2)Pensées automatiques
3) Erreurs de pensées associées à l’exécution

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23
Q

Nommer six erreurs de pensées

A

Shémas cognitif:
1)État zéro
2)Recherche sentiment pouvoir
3)Pensées concrète
Pensées automatiques:
4) Fermeture
5) Difficulté perspective temporelle
6)Échec effort pour tolérer adversité

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24
Q

Identifier à quelle erreur de pensée correspond un exemple

A
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25
Q

Identifier les forces, limites et critiques des travaux de Yochelson et Samenow

A

1) Ces travaux reconnaissent le rôle des processus cognitifs.
2) L’approche phénoménologique n’explique pas (elle décrit simplement).
3) Le groupe cible peut entrainer une généralisation des résultats.
4) Opérationnalisation difficile à des fins de réplicabilité et de validation
5) La distinctions entre erreurs de pensées et leur catégorie n’est pas claire.

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26
Q

Expliquer, de façon générale, la criminologie développementale

A

C’est l’étude de la stabilité et des changements dans la conduite déviante/criminelle tout au long de la vie. Elle intègre la carrière criminelle mais va au-delà en considérant l’ensemble de la conduite déviante.
Syndrome général de la déviance:
Explique l’apparition, le développement et l’extinction de la conduite déviante.

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27
Q

Démontrer que la conduite déviante est hétérotypique

A

La conduite déviante varie en fonction de l’âge, de la période de développement et des phases…
1) à l’enfance: conduite rebelle et agression physique
2) à l’ado: aggravation des troubles de comportements et apparition de la conduite délinquante.
3) adulte: Extinction, remplacement et apparition de nouvelles conduites.

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28
Q

Nommer les constats des études longitudinales en criminologie développementale

A

1) Les comportements antisociaux et criminels sont stables.
2) Les comportements antisociaux et criminels varient en fonction de l’âge, la période de développement et les phases de vie.
3) La précocité prédit la duré et la gravité de la conduite criminelle (le plus tôt, le plus grave).
4) Une petite proportion de personnes représentent une grande proportion des infractions.
5) Les comportements antisociaux et criminels augmentent à l’adolescence et diminue à l’âge adulte.(courbe âge-crime)

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29
Q

Expliquer la courbe âge-crime et nommer les âges auxquels il y a apparition, pic et désistement

A

La courbe représente la variation de l’activité criminelle selon les âge.
On remarque que:
De 8-14 ans, c’est l’apparition
De 15-19 ans, c’est le pic! (la prévalence augmente 10 fois plus à l’adolescence)
De 20-29 ans, c’est le désistement

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30
Q

Expliquer la taxonomie développementale de Moffitt

A

La courbe âge-crime s’explique par 2 sous groupes:

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31
Q

Nommer et distinguer les deux trajectoires identifiées par Moffit

A

1) Les life-course persistent qui sont plus rare et qui représente la stabilité de la courbe. (Délinquance long terme)
2) Les adolescence-limited qui sont plus commun et qui explique la variation entre 13 et 17 ans. (Délinquance temporaire)

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32
Q

Expliquer la typologie de carrière de Leblanc

A

Ça représente l’endroit où se situe la personne dans sa carrière criminelle

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33
Q

Nommer les 4 dimensions auxquelles elle renvoie

A

1) moment d’apparition
2)Quantité
3)Gravité
4)Persistance

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34
Q

Nommer et distinguer les trois trajectoires de conduite de Leblanc

A

1) Conduite délinquante d’occasion ou délinquance commune (adolescence, peu d’infraction pour un grand nombre de jeune)
2) Conduite délinquante de transition (adolescence, augmentation de la gravité/duré/volume/diversité)
3) Conduite de condition (persistance/aggravation des délits, début précoce, acte nombreux et hétérogènes)

35
Q

Expliquer la théorie du contrôle social informel en fonction de l’âge de Sampson et Laub

A

Il s’agit de l’attachement à une famille ou à des pairs prosociaux, le travail, l’engagement à l’école…
Ce contrôle social informel augmente ou diminue les risques de comportements antisociaux.
Ça l’explique la stabilité du mode de vie criminel (jeune rencontre défis à l’école, peu engagé, moins à perdre) et le changement (évènement significatif, points tournants, réintroduisent importance des contrôle sociaux informels, doit être vu comme + et important à la personne pour avoir une influence)

36
Q

Lister des points tournants de cette théorie

A

1)mariage
2)nouvel emploi
3)expérience religieuse
4)parentalité

37
Q

Expliquer les deux façons selon lesquelles le désistement peut se produire selon cette théorie

A

Suite au point tournant…
1)Directement: attachement et engagement envers valeurs et normes sociales et décision consciente de la personne de changer son mode de vie.
2)Accroissement des responsabilités et investissement de temps affectent les relations avec l’entourage criminel et ainsi réduit les opportunités de commettre des crimes. C’est un processus qui se fait plus naturellement, sans effort conscient.

38
Q

Nommer et expliquer les limites des études longitudinales en criminologie développementale

A

1)Il y a moins de consensus sur la déviance/délinquance chez les filles car les échantillons sont plus composés de garçons.
2) Il y a des facteurs de risques plus important chez les filles qui sont différents de ceux chez les garçons et certain sont même propre aux filles (santé mentale et relation intimes)

39
Q

Nommer et expliquer des directions futures pour les études longitudinales en criminologie développementale

A

1) Inclure des mesures de la délinquance auto rapportée et officielle.
2) Suivre les participants à des âge plus avancés.
3) Investiguer les facteurs de protection (peuvent contre balancer les facteurs de risques et guider dans des interventions) .
4) Investiguer les facteurs biologiques et de la communauté.
5) Considérer la diversité: Communauté ethnoculturelles et pays.

40
Q

*Définir qu’est-ce que la personnalité

A

C’est une manière stable et distinctive d’être, de penser, de se sentir et d’agir.

41
Q

Expliquer la perspective des traits de la personnalité, de façon générale

A

La personnalité serait une combinaison unique de TRAITS (attribue stables qui prédispose à agir d’une certaine manière à travers le temps et les situations)
La combinaison se définie par:
1) une différence qualitative(présence ou absence d’un trait donné)
2) une différence quantitative(degré ou intensité d’un trait donné)
3) une organisation hiérarchique(la prépondérance des traits)

Par observation on peut déduire que la personne à le trait car elle a le comportement comme si c’était le comportement qui attribuait le trait. (ex: elle a fréquemment des comportements agressifs donc elle est agressive)
!!!->Mais l’autre direction fait plus de sens: Le trait prédispose la personne au comportement et le comportement ne se produit pas toujours. (ex: Elle est agressive donc elle a des comportement agressifs).

42
Q

Identifier et expliquer des traits d’intérêt (uniques) pour la déviance et la délinquance

A

1) manque d’altruisme: n’a pas tendance à se sacrifier pour aider les autres.
2) manque d’empathie: Capacité faible à comprendre et à partager l’état émotionnel de l’autre.
3) Recherche de sensation: Prends des risques physiques, sociaux, légaux et financier pour des expérience complexes/intenses/nouvelles/variées.
4) impulsivité: Agit et initie des comportement en anticipant le court terme plutôt que le long terme.

43
Q

Retenir ce que montrent les recherches sur ces traits et la criminalité

A

Altruisme: Résultats mixtes quant à l’association avec les comportements antisociaux, il n’y a pas de consensus.

Empathie: Corrélation modérée avec le fait de commettre un ou des délits, corrélation plus forte pour les crimes violents et sexuels et pour les plus jeunes, corrélation expliquée en partie par d’autres facteurs.

Recherche de sensation: Association avec la délinquance auto rapportée, l’utilisation de la drogue et de l’alcool, la conduite dangereuse et le jeu mais aussi! des activité plus prosociales comme les sport en plein air.

Impulsivité: Associé à la recherche de sensations mais avec une emphase sur la capacité de la personne à s’arrêter et se contrôler(toléré (délais avant gratification) et associé à la criminalité de la façon la plus constante!

44
Q

Nommer les 3 dimensions de la théorie de la personnalité d’Eysenck et les expliquer

A
45
Q

Retenir ce que montrent les recherches sur les liens entre les dimensions de la théorie de la personnalité d’Eysenck et les comportements antisociaux et criminels.

A
46
Q

Nommer et expliquer les deux typologies proposées par Eysenck

A
47
Q

Expliquer qu’est-ce qu’un trouble de la personnalité

A
48
Q

Résumer la personnalité antisociale

A
49
Q

Expliquer les liens entre personnalité antisociale et criminalité

A
50
Q

Discuter des limites et critiques associées aux approches de la personnalité et aux troubles de la personnalité, tels que définis dans le DMS-5

A
51
Q

Définir la psychopathie

A
52
Q

Retenir la prévalence estimée de la psychopathie

A
53
Q

Distinguer la psychopathie de la personnalité antisociale

A
54
Q

Différencier criminalité et psychopathie

A
55
Q

Nommer et expliquer les symptômes et caractéristiques de la psychopathie

A
56
Q

Identifier à quel symptôme ou caractéristique de la psychopathie correspond un exemple

A
57
Q

Expliquer la fréquence et la versatilité des délits criminels chez les personnes psychopathes

A
58
Q

Expliquer la nature de la violence chez les personnes psychopathes

A
59
Q

Expliquer les liens entre meurtres et psychopathie

A
60
Q

Retenir les risques de récidives chez les personnes psychopathes

A
61
Q

Nommer et expliquer des théories et hypothèses explicatives sur les origines de la psychopathie

A
62
Q

Discuter des limites de ces théories et du concept de psychopathie plus largement

A
63
Q

*Définir les expériences d’adversité à l’enfance

A
64
Q

Nommer des expériences d’adversité à l’enfance

A
65
Q

Nommer les principaux constats de l’étude ACEs

A
66
Q

Mémoriser la prévalence des expériences d’adversité à l’enfance chez les canadien(nes)

A
67
Q

Expliquer l’effet ACE (dose-réponse)

A
68
Q

Dire ce qu’est un trauma

A
69
Q

Mémoriser la prévalence des traumas chez les jeunes impliqués dans le système de justice

A
70
Q

Mémoriser les principaux constats quant aux ACEs chez les prisonniers

A
71
Q

Expliquer la relation d’attachement

A
72
Q

Nommer et expliquer les déterminants de l’attachement

A
73
Q

Distinguer les 4 styles d’attachement à l’enfance et à l’âge adulte

A
74
Q

Distinguer les styles d’attachement chez les enfants victimes de maltraitance et ceux de populations normatives

A
75
Q

Retenir les caractéristiques associées à des attachements sécurisant et insécurisant

A
76
Q

Expliquer les effets indirects des ACEs et des traumas sur la délinquance

A
77
Q

Expliquer le trauma coping model

A
78
Q

Expliquer le posttraumatic risk-seeking

A
79
Q

Critiquer les approches basées sur l’obéissance

A
80
Q

Distinguer approches spécifiques et sensibles au trauma

A
81
Q

Expliquer les approches sensibles au trauma

A
82
Q

Discuter de la pertinence des approches sensibles au trauma pour les personnes ayant commis des infractions

A
83
Q

Nommer et expliquer les 4 critères des organisations sensibles au trauma (les 4 R )

A
84
Q

Discuter des limites et critiques associées aux théories de l’attachement et axées sur le trauma

A