psycho adult Flashcards

1
Q

qu’elle son les perte chez les personne âgée?

A
  • perte de l’apparence physique
    – perte de capacités physiques et cognitives (pertes
    fonctionnelles)
    – perte d’autonomie (en lien avec les pertes fonctionnelles)
    – perte de revenus
    – perte d’êtres chers (conjoint-e, ami-e-s, etc.)
    – perte du domicile
    – perte de statuts et rôles sociaux
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2
Q

les perspective classique du deuil?
les perspective contemporain du deuil?

A

classique
travaux de Freud
* travaux de Bowlby
* travaux de Kübler- Ross
* travaux de Worden
* travaux de
Lindemann et Volkan
contemporain
* travaux de Stroebe et Schut
* travaux de Bonanno

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3
Q

qui a proposer Dual Process Model of Coping with Bereavement et de quoi il est sujet?

A

Stroebe et Schut

– a été conçue à l’origine pour l’expérience de conjoints endeuillés – s’est depuis élargie aux proches en général
– met de l’avant la négociation entre les divers modes d’adaptation
– reliés à la perte de la personne en soi (orientation vers la perte)
– et ceux reliés aux changements encourus dans les différentes sphères de la vie, également appelés « deuils secondaires » (orientation vers la restauration)

Dans l’expérience du deuil, l’attention, le temps, comme l’énergie psychique, émotionnelle et cognitive des personnes ne sont pas en permanence mobilisés par leur deuil
– la vie continue et les moments d’épreuve sont intermittents – les personnes traversent par alternance des temps de répit,
d’évitement et même de créativité
– car la vie les sollicite en permanence tant elles sont appelées à s’adapter à leur nouvelle réalité

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4
Q

comment
Stroebe et Schut des étape du deuil

A

ils parlent d’oscillation pour désigner une manière d’habiter les processus de
deuil

Les endeuillés tentent de négocier en alternance
– les deux types d’impacts (orientation vers la perte / orientation vers la restauration) qui sont afférents au décès de leur proche
– dans un dosage qui fluctue selon leurs variables personnelles et culturelles L’oscillation est constante
– s’adapter aux stresseurs reliés à la perte de l’être aimé en tant que telle (orientation vers la perte) (loss-oriented)
– négocier les changements périphériques que ce décès a engendrés dans les différentes sphères de leur vie (orientation vers la restoration) (restoration- oriented)

marqué par des allers-retours ou des oscillations entrecoupées de moments de répit entre les deux sphères adaptatives

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5
Q

que suppose L’orientation vers la perte (loss-oriented) ?

A

il ne s’agira pas de s’en défaire
– mais plutôt de redéfinir l’attachement et la nature de la relation que les endeuillés
continuent d’entretenir avec la personne défunte
– ces formes de reliance (se relier) (ex: spirituelles ou symboliques) demeurent
essentielles au processus de deuil lui-même (relation à un objet interne, internalisé) Plus tard, les personnes endeuillées ne pourront faire autrement que de commencer à
gérer les conséquences du décès dans les diXérents secteurs de leur vie
– l’autre versant de l’adaptation, l’orientation vers la restoration (restoration-
oriented) a été négligé par les théories plus traditionnelles
– il est clair que lorsqu’une personne décède, les endeuillés qui lui survivent ont beaucoup plus à négocier que la perte d’un être cher en soi

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6
Q

de quoi parle Bonanno face au deuil?

A

–sur l’aspect mobile des émotions
– sur les transformations engendrées par la tristesse
– sur l’inévitable équilibre entre les mouvements de confrontation et d’évitement (des émotions) que sous-tend l’adaptation à un deuil
– sur la présence d’émotions positives, tout autant que négatives
– sur les conséquences positives (constructives) du travail de deuil

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7
Q

comment vivre le chagrin selon Bonanno?

A

la peine est tolérable dans la seule mesure où elle va et vient dans une
sorte de mouvement oscillatoire
– on bascule constamment d’une émotion à l’autre
– par moments, on focalise son attention sur la douleur, ses conséquences, sa signification
L’esprit retourne ensuite au monde réel, aux personnes et à ce qui se passe dans le moment présent
– on se détend un peu avec ceux qui nous entourent
– on replonge ensuite dans la peine pour poursuivre le processus de deuil
23

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8
Q

La tristesse saisit la personne et l’immerge dans une expérience intense selon bonanno?

A

– en plus d’être éprouvée, elle semble s’observer, se représenter hors de soi et se
partager pour réfléchir sur soi-même de manière plus juste, profonde et eBcace
– elle a le pouvoir de transformer, non seulement les personnes, mais les contextes et
les dynamiques relationnelles
– elle a comme impact d’obliger les personnes endeuillées à faire des prises de conscience déterminantes, certains constats que la vie désormais bouleversée rend plus propices
Ces mutations (identitaires, relationnelles, familiales et contextuelles) entrainent une vaste gamme d’états d’âme chez la personne endeuillée
– sentiments d’angoisse, d’impasse, de désarroi, tristesse, colère, culpabilité ou peur
– mais aussi des émotions positives: joie, dépassement, créativité, et parfois même fierté

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9
Q

qu’elle son les meilleur moment du deuil selon bonanno?

A

– on peut se sentir digne du lien qui unit au défunt
– voire d’honorer le meilleur de sa personne qui nous a été légué comme un héritage précieux
Les travaux de ce chercheur tendent à démontrer que les individus ont les ressources nécessaires pour faire face à la perte d’un être cher
– une telle expérience peut amener à mettre au jour un nouveau sens à l’existence
– les personnes sortent grandies de leur épreuve

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10
Q

qu’est que bonanno met de l’avant la capacité de maintenir un équilibre entre

A

d’une part, le stress et les di:cultés à surmonter
– d’autre part, la volonté de faire face à la situation, de trouver de nouveaux horizons de sens
Ce sont les mouvements de balancier entre
– la tristesse, la nostalgie, la présence des personnes soutenantes
– et le fait d’adhérer à la philosophie du moment présent qui permettront d’équiper la traversée
Même si le deuil est une épreuve extrêmement di:cile, il y a concomitance d’aspects constructifs
– le cheminement personnel, la maturité, la confiance en soi, un regard renouvelé par rapport à la vie, des changements d’habitudes, de nouvelles vocations, etc.

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11
Q

qu’elle sont les trois profit face au deuil selon Dumont?

A

(1) des endeuillés qui manifestent une reprise rapide à la suite de la mort d’un être cher
(2) d’autres chez qui la reprise se fait plus progressive
(3) d’autres encore qui basculent dans un chagrin chronique

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12
Q

combien de mois est le trouble du deuil prolonger selon le DSM5?

A

A: Décès survenu au moins 12 mois plus tôt, d’une personne qui était proche de la personne endeuillée (pour les enfants et les adolescents, au moins 6 moins auparavant).

B: Depuis le décès, apparition d’une réaction de deuil persistante caractérisée par un ou plusieurs des symptômes suivants, qui ont été présents presque tous les jours à un degré cliniquement significatif. En outre le(s) symptôme(s) est (sont) apparu(s) presque tous les jours au cours du dernier mois
1. Désir/nostalgie intense de la personne décédée.
2. Préoccupation avec des pensées ou des souvenirs de la personne décédée (chez les enfants et les adolescents, la préoccupation peut porter sur les circonstances du décès).
C: Depuis le décès, au moins trois des symptômes suivants ont été présents presque tous les jours à un degré cliniquement significatif. De plus, les symptômes sont apparus presque tous les jours pendant au moins le dernier mois.
1. Perturbation de l’identité (par exemple, sentiment qu’une partie de soi est morte) depuis le décès.
2. Sentiment marqué d’incrédulité face au décès.
3. Évitement de tout ce qui rappelle que la personne est décédée (chez les enfants et les adolescents, peut être caractérisé par des efforts pour éviter les souvenirs).
4. Douleur émotionnelle intense (par exemple, colère, amertume, chagrin) liée au décès.
5. DiNculté à réintégrer ses relations et ses activités après le décès (p. ex. diNculté à s’engager avec des amis, à poursuivre des intérêts ou à planifier l’avenir).
6. Engourdissement émotionnel (absence ou réduction marquée de l’expérience émotionnelle) à la suite du décès.
7. Sentiment que la vie n’a pas de sens à la suite du décès. 8. Solitude intense à la suite du décès.
D. La perturbation entraine une détresse ou une altération cliniquement significative du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants.
E. La durée et la sévérité de la réaction de deuil dépasse clairement les normes sociales, culturelles ou religieuses attendues dans la culture et le contexte de l’individu.
F. Les symptômes ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, tel qu’un trouble dépressif caractérisé ou un trouble de stress post-traumatique, et ne sont pas attribuables aux eSets physiologiques d’une substance (par exemple, un médicament, l’alcool) ou un autre problème médical.
37

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13
Q

qu’elle son les caractéristiques du trouble dépressif selon le DSM5

A

Au moins cinq des symptômes suivants sont présents pendant une même période d’une durée de 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonctionnement antérieur; au moins un des symptômes est soit (1) une humeur dépressive, soit (2) une perte d’intérêt ou de plaisir.

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14
Q

qu’elle son les 8 symptômes du trouble dépressif selon le dsm5?

A
  1. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours, signalée par la personne (p. ex. se sent triste, vide, sans espoir) ou observée par les autres (p. ex. pleure). (N.B.: Éventuellement irritabilité chez l’enfant et chez l’adolescent.)
  2. Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
  3. Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex. modification du poids corporel excédant 5% en un mois) ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours. (N.B.: Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
  4. Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
  5. Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement).
  6. Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
  7. Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirante) presque tous les jours (pas seulement se reprocher ou se sentir coupable d’être malade).
  8. Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours (signalée par la personne ou observée par les autres).
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15
Q

comment la depression se présente diférament chez les aines?

A

– ils n’expriment pas nécessairement leur ressenti dépressif et leur humeur triste
– ils expriment parfois davantage des plaintes somatiques – des douleurs accrues et inexpliquées par leur état physique
– des difficultés de la mémoire peuvent pousser la famille à penser à un début d’une maladie démentielle (trouble cognitif), alors qu’il peut s’agir de symptômes dépressifs
– ils peuvent devenir très irritables, parfois même agressifs
– ils peuvent avoir une perte d’intérêt pour soi ou pour les activités de la vie quotidienne (démotivation)
– désinvestir la vie quotidienne et ses activités et rituels courants – ex.: ne plus cuisiner, ne plus s’occuper de ses plantes, etc.
– désinvestir la vie familiale, relationnelle, sociale, etc.
– il peut y avoir de l’anorexie (de la baisse d’appétit, au refus de s’alimenter)
– entraîne la dénutrition
– ex.: manger une «toast» (rôtie) comme repas (pas de protéines, pas de vitamines et minéraux)

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16
Q

example d’élément qui peut apporter a la dépression gériatrique

A

– l’effet d’un événement n’est pas le même pour tous
– un événement - en apparence banal pour d’autres personnes- entraîne une grande souffrance pour un individu en particulier
– ex.: un déménagement (ex.: quitter sa maison pour un appartement / condo) – ex.: la perte d’un chat
L’impact de l’entrée en institution (ex.: RPA, CHSLD au Québec) est différent selon les aînés
– pour certains, cette transition (perte) entraîne un état dépressif
– pour d’autres, cela préserve contre la dépression (augmentation de la socialisation, prévention d’un risque suicidaire), agissant comme un facteur de protection

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17
Q

c’est quoi le symptôme de glissement

A

Il ne s’agit pas d’un diagnostic officiel que l’on retrouverait dans des classifications reconnues
– une conception gériatrique originaire de la France, utilisée pour la première fois en 1956
– le phénomène est quand même assez bien défini (un certain consensus) et repérable, pour que l’expression soit utilisée en clinique, par les professionnels de la santé
– un renoncement prématuré aux efforts qui permettent la poursuite de la vie (suicide «passif», «équivalent suicidaire»)
– une démotivation aiguë, sur un terrain somatique précaire
On peut se représenter un continuum
– désir permanent de vivre —————————–» recherche active de la mort (tentative de suicide)
Il ne s’agit pas d’un diagnostic officiel que l’on retrouverait dans des classifications reconnues
– une conception gériatrique originaire de la France, utilisée pour la première fois en 1956
– le phénomène est quand même assez bien défini (un certain consensus) et repérable, pour que l’expression soit utilisée en clinique, par les professionnels de la santé
– un renoncement prématuré aux efforts qui permettent la poursuite de la vie (suicide «passif», «équivalent suicidaire»)
– une démotivation aiguë, sur un terrain somatique précaire
On peut se représenter un continuum
– désir permanent de vivre —————————–» recherche active de la mort (tentative de suicide)

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18
Q

comment identifier le syndrome du glissement

A

Dans le syndrome de glissement, la personne apparait désinvestir sa personne, les
relations, la réalité extérieure
– la personne rompt toute relation interpersonnelle
– elle se replie sur elle-même
– elle ne s’alimente plus
– elle ne se lave plus
– elle ne se lève plus
– elle semble avoir perdu tout désir de vie
L’évolution est très rapide
– la mort survient lors des complications d’un état grabataire (être alité)

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19
Q

qu’elle son les symptômes physique du syndrome de glissement

A

– une déshydratation rapide, avec un refus de boire
– une perte de la sensation de soif (adipsie)
– une anorexie, soit une perte d’appétit avec refus de manger – des troubles sphinctériens, au niveau anal/urinaire
– les muscles cessent de répondre aux stimuli (atonie)

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20
Q

qu’elle son les symptômes psychique du syndrome de glissement

A

– un repli sur soi
– un refus de communiquer avec l’entourage et avec le personnel soignant, voire un mutisme complet
– un refus des soins, des médicaments
– un refus de se lever (clinophilie)
– une indifférence à l’environnement
– une perte de motivation et d’intérêt pour les activités habituellement appréciées (apathie)
– une volonté d’être «tranquille»
– des phases d’irritabilité et/ou d’agitation (surtout lorsqu’on force la personne à se lever ou à bouger)

21
Q

le suicide chez les personne âgée

A

Les hommes de 65 ans et plus affichent des taux très élevés de suicide
Les hommes de 90 ans et plus ont les taux les plus élevés à 33,8 sur 100 000
Les hommes plus âgés décèdent par suicide plus souvent que
n’importe quel autre groupe en raison des moyens plus radicaux qu’ils utilisent

22
Q

les peur vécu par les personne âgée qui les apporte a vivre de l’anxiété

A

Le contenu des inquiétudes des aînés dibère de celui des plus adultes plus jeunes – la peur de devenir dépendant
– la peur de tomber malade et d’être hospitalisé
– la peur de perdre la mémoire et de développer la MA
– la peur de mourir seul ou de se faire abandonner par ses enfants – La peur de perdre la vue et de devenir sourd
– la peur de chuter
– la peur d’être victime d’acte criminel
– la peur de l’eau ou des animaux – la peur de l’isolement social

23
Q

anxiété vs dépression chez les personne âgée

A

Pour diSérencier la dépression de l’anxiété
– évaluer l’orientation et le contenu des ruminations
– les ruminations concernant le passé sont caractéristiques de la dépression
– les ruminations concernant le futur sont caractéristiques de l’anxiété
Il importe aussi de diSérencier les pertes de mémoire (trouble neurocognitif) des diNcultés de concentration liées à l’anxiété
– les aînés se plaignent de «trous de mémoire»
– il peut s’agir de diNcultés de concentration liés à la dépression ou à l’anxiété,
ou encore de problèmes de mémoire liés à un trouble neurocognitif

24
Q

benzodiazipine son utiliser pour quoi

A

Les benzodiazépines sont utilisées comme
– tranquillisants, sédatifs, hypnotiques (anxiolytiques)
Ce sont les psychotropes les plus prescrits dans le monde
– leur utilisation devient problématique si elle s’étire dans le temps (dépendance physique et psychologique, tolérance, abus)
Exemples de marques de commerce et noms génériques
– TMRivotril (clonazépam), TMXanax (alprazolam), TMAtivan (lorazépram) sont les plus souvent prescrits
– TMImovane (zopiclone) est souvent prescrit pour l’insomnie (risque légèrement moindre de dépendance, mais tout de même possible)
– TMValium (diazépam), TMLibrium (chlordiazépoxide), TMSerax (oxazépram), TMLectopam (bromazépam), TMTranxene (clorazépate), TMSerax (oxazépam)
Sources:

25
Q

neuroleptique/ antipsycotique utiliser pour quoi

A

Des antipsychotiques sont parfois utilisés
– pour le traitement de l’anxiété sévère
– pour calmer l’agitation intérieure et induire le sommeil
Des exemples de marques de commerce et noms génériques
– TMRisperdal (rispéridone)
– TMZyprexa (olanzapine)
– TMSeroquel (quetiapine)
– TMZeldox (ziprasidone) Source: psychomédia
La prescription des neuroleptiques (antipsychotiques de seconde génération, dits «atypiques») pour la dépression, l’anxiété, le TDAH, etc. est trop banalisée, selon Prescrire.org

26
Q

antidépresseur

A

Les antidépresseurs sont aussi utilisés pour le traitement de l’anxiété – un effet plus lent, à moyen terme
– la nécessité d’une prise prolongée (au moins 6 mois)
Exemples de marques de commerce et noms génériques
– famille des ISRS (Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine): TMPaxil (paroxétine), TMProzac (fluozétine), TMCelexa (citalopram), TMCipralex (escitalopram)
– famille des IRSN (Inhibiteurs de la Recapture de la Sérotonine et de la Noradrénaline): TMEffexor (Venlafaxine), TMCymbalta (duloxétine)

27
Q

antidépresseur vs psychotherapy

A

Il y a longtemps que l’efficacité des antidépresseurs est remise en question – on a aussi alerté sur leur dangerosité à long terme
Une grande étude de la FDA (Food and Drug Administration, USA) en 2020, publiée dans le British Medical Journal
– ils ne sont pas plus efficaces qu’un placebo, dans 85% des cas Source: Psychomedia
– https://www.psychomedia.qc.ca/depression/2022-09-10/efficacite-des-antidepresseurs-comparativement-aux-placebos
En 2010, le psychologue Jonathan Shedler a publié un article majeur à ce sujet
– il a démontré l’inefficacité des médicaments psychotropes (pour la dépression, l’anxiété)
– il a démontré l’efficacité de la psychothérapie psychodynamique (pour les troubles psychiques)
– au Québec, dans les services de santé et de services sociaux publics, on entend presqu’exclusivement parler des psychothérapies cognitivo-comportementales (TCC) comme étant efficaces, mais il y a d’autres types de psychothérapies dont l’efficacité a été démontrée

28
Q

offre de service bénéfique pour les personne âgée

A

La relation d’aide ou la psychothérapie est très peu offerte aux aînés du Québec
– pourtant, elle a démontré son efficacité supérieure à la médication
– la prescription d’une médication est rapide, généralisée et banalisée pour la clientèle des personnes âgées
Nombre d’autres interventions sont possibles (en plus de la relation d’aide / psychothérapie)
– des interventions occupationnelles / récréatives / sociales
– visites de la famille et des autres personnes significatives (!!!)
– contacts avec des animaux
– programmes de pairage avec des élèves (primaire, secondaire, etc.) – activités physiques et contact avec la nature
– ateliers de méditation
– etc.

29
Q

Quelle est le premier stade de alzeimer?

A

Oublie des fet récent

30
Q

Les 4 A de la maladie alzheimer

A

Amnésie
Aphasie
Apraxie
Agnosie

31
Q

Les 3 dsm5 et 7 edg stade de la maladie alzheimer?

A

Dsm5. Edg
Léger. 2 et 3
Modérer 4,5,6
Avancé 7

32
Q

Stade 1 edg symptômes

A

Rien

33
Q

Quelle stade est normalement mi le diagnostic de l’alzeimer?

A

Stade 4

34
Q

Les symptômes comportement et psychologique et de la demance acronyme

A

Scpd

35
Q

les symotome du trouble cognitif

A

Le terme troubles neurocognitifs décrit
◦ un ensemble de symptômes provoqués par ce qui est le plus souvent une perte progressive de
la fonction et de la structure du cerveau au fil du temps
Les symptômes peuvent comprendre (sans s’y limiter)
◦ la perte de mémoire, les difficultés d’élocution, l’altération du jugement, les changements d’humeur ou de comportement, les changements dans la personnalité, une diminution de la capacité à effectuer des activités de tous les jours, des désorientations, des problèmes avec la pensée abstraite
Certaines formes de troubles neurocognitifs peuvent affecter d’autres aspects du fonctionnement ◦ la vision et le mouvement

36
Q

le trouble cognitif selon le dsm5

A

(1) Les états confusionnels (delirium)
◦ état confusionnel
◦ dû à une intoxication à une substance, ◦ dû au sevrage d’une substance
◦ induit par un médicament,
◦ autre état confusionnel spécifié ◦ état confusionnel non spécifié ◦ état confusionnel non spécifié
(2) Les troubles neurocognitifs majeurs et légers
◦ trouble neurocognitif majeur
◦ avec perturbation du comportement, sans
perturbation du comportement ◦ sévérité: léger, moyen, grave
◦ trouble neurocognitif léger
◦ avec perturbation du comportement, sans perturbation du comportement

37
Q

le trouble cognitif majeur vs léger

A

majeur
B. Les déficits cognitifs interfèrent avec l’autonomie dans les actes du quotidien (c.-à-dire tout au moins une aide nécessaire dans les activités instrumentales complexes de la vie quotidienne comme payer ses factures ou gérer la prise de médicaments)
léger
B. Les déficits cognitifs n’interfèrent pas avec les capacités d’autonomie dans les actes quotidiens (c.-à-d. que les activités instrumentales complexes de la vie quotidienne comme payer ses factures ou gérer la prise de médicaments sont préservées mais un plus grand effort, des stratégies compensatoires ou un aménagement peuvent être nécessaires)

38
Q

les facteur de risque de la maladie d’alzeimer

A

On ne comprend pas encore entièrement les mécanismes qui provoquent les troubles neurocognitifs
◦ on a toutefois identifié plusieurs facteurs de risque qui peuvent augmenter les probabilités d’en développer un
◦ il y a les facteurs de risque modifiables et les facteurs de risque non modifiables
◦ il y a des déterminants sociaux de la santé qui influent sur la possibilité de modifier les facteurs de
risque (diapo no 22)
Les facteurs de risques non modifiables
◦ l’âge
◦ le sexe à la naissance (61,3% sont des femmes, 2020 - les raisons ne sont pas encore entièrement connues et pourraient comprendre des différences en matière de longévité, d’hormones sexuelles, de styles de vie et de génétique)
◦ la génétique

39
Q

les facteur risque sur le quel on a le contrôle pour la maladie de l’alzeimer

A

12 facteurs de risque modifiables seraient à l’origine de ces cas
faible niveau d’éducation hypertension
consommation élevée d’alcool obésité
perte des facultés auditives lésions cérébrales traumatiques
Source: Société Alzheimer (Canada)
dépression
isolement social inactivité physique pollution atmosphérique diabète

40
Q

comment garder son cerveau en santé

A

(1) Soyez physiquement actif tous les jours
◦ Soyez moins sédentaire et bougez davantage. Cela peut inclure tous les types d’activités physiques, y compris la marche, la course, l’haltérophilie, le jardinage, le yoga, le tai-chi, la natation, la danse, le vélo, les sports d’équipe et l’entretien extérieur
(2) Protégez votre cœur
◦ Surveillez de près votre tension artérielle, votre cholestérol et votre diabète. Ce qui est bon pour le
cœur l’est aussi pour le cerveau
(3) Restez socialement actif
◦ Assurez-vous de contacter vos proches. Entretenez votre réseau social!
(4) Gérer vos problèmes médicaux
◦ Prenez le contrôle de votre état de santé général. Celui-ci est directement lié à la santé cérébrale et à votre capacité à éviter les troubles neurocognitifs en vieillissant

(5) La réflexion à l’épreuve (soyez intellectuellement actif)
◦ Pratiquez les « loisirs cérébraux » que vous aimez. Il n’y a pas d’âge pour apprendre de nouvelles
choses
(6) Dormez bien chaque nuit
◦ Essayez de dormir 6 à 8 heures chaque nuit pour préserver la santé de votre cerveau
(7) La dépression, ça se traite!
◦ Rappelez-vous que la dépression est plus qu’un simple sentiment de déprime. Demandez de l’aide pour améliorer le fonctionnement de votre cerveau
(8) Évitez la consommation excessive d’alcool
◦ Limitez votre consommation de vin, de bière et d’autres boissons alcoolisées
9) Entretenez votre ouïe
◦ Utilisez une aide auditive si nécessaire. Protégez votre ouïe contre les bruits forts. Faites tester votre
audition
(10) Trouvez un but à la vie
◦ Trouvez une raison de sortir du lit chaque jour. Ceci est associé à une meilleure santé cérébrale et à
une réduction du risque de trouble neurocognitif
(11) Évitez tout type de traumatisme crânien
◦ Évitez les activités où vous pourriez mettre votre cerveau en danger (12) Adoptez des comportements sains
◦ Faites des choix alimentaires sains, réduisez le stress évitable, arrêtez ou réduisez votre consommation de tabac et faites des bilans de santé réguliers avec votre médecin. Toutes ces actions auront un effet positif sur la santé de votre cerveau

41
Q

stade 2 edg symptôme

A

Stade 2: d’imperceptibles défaillances de mémoire
◦ Quasi indécelables, des troubles de la mémoire se manifestent de temps à autre : tantôt la personne peine parfois à trouver ses mots, tantôt elle confond les noms ou oublie où elle a posé ses clés… Pas de quoi altérer ses performances professionnelles ni ses relations sociales ! Il s’agit seulement d’un très léger déclin cognitif.

42
Q

stade 3edg

A

Stade 3: les troubles cognitifs perturbent le quotidien
◦ Les troubles cognitifs commencent à retenir l’attention de l’entourage, car ils ont tendance à se répéter et s’intensifier : la personne se perd, égare ses objets, peine à se concentrer et à s’organiser, elle se répète et éprouve des difficultés à nommer les gens. Ses aptitudes au travail en pâtissent. Elle en prend elle-même conscience, ce qui engendre anxiété ou déni, selon les cas. Ce déclin cognitif léger précède la démence, mais n’en est pas. Des années peuvent s’écouler ainsi.

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Q

stade 4 deg

A

Stade 4: le diagnostic de la maladie d’Alzheimer est posé
◦ À partir de ce stade, la personne est considérée comme un malade Alzheimer. Tous les éléments sont réunis pour qu’un diagnostic puisse être posé, même s’il s’agit seulement de la phase précoce de la pathologie. De plus en plus fréquents, les troubles cognitifs prennent des formes variées : la personne a du mal à exécuter les tâches complexes ou résoudre des calculs mentaux, elle oublie les événements récents, des éléments de son propre passé lui échappent… Ces difficultés génèrent facilement des sautes d’humeur. La personne reste néanmoins capable de s’occuper d’elle, de s’orienter dans le temps, dans les espaces connus et de reconnaître les visages familiers.

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Q

stade 5 deg

A

Stade 5: le début de la dépendance
◦ La personne ne parvient plus à exécuter seule certaines tâches quotidiennes (préparer des repas, choisir ses habits). Même si elle gère encore ses besoins élémentaires (manger, aller aux toilettes), elle ne peut plus être considérée comme autonome et ses proches doivent réorganiser sa vie pour qu’elle bénéficie d’une aide à domicile. Contrairement aux informations de la vie courante (ses coordonnées, la date…), les éléments de son passé (faits majeurs de sa vie, noms de ses proches…) résistent.

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Q

stade 6 deg

A

Stade 6: l’apparition des troubles du comportement
◦ La plupart des activités quotidiennes (s’habiller, se laver, aller aux toilettes, manger) requièrent maintenant une assistance. La question de l’entrée en institution se pose de façon d’autant plus pressante qu’aux troubles de mémoire aggravés, se mêlent souvent des troubles du comportement, qui compliquent fortement la vie à domicile : agitation, errance, hallucinations, défiance, agressivité, symptômes obsessionnels…

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Q

stade 7 deg

A

Stade 7: la fin des interactions
◦ Progressivement s’installe une tension musculaire rendant la personne incapable de se déplacer ou d’interagir (parler, sourire). Une assistance devient indispensable pour l’ensemble de ses besoins. Cette phase finale de la maladie peut durer un à trois ans aboutissant au coma mais le patient est souvent victime d’une complication : embolie, « fausse-route », infection ».

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Q

manifestation de spcd

A

On peut classer les différentes manifestations des SCPD ◦ comportements d’agitation physique non agressifs
◦ comportements d’agitation physique agressifs
◦ comportements d’agitation verbale non agressifs
◦ comportements d’agitation verbale agressifs ◦ symptômes psychologiques
◦ syndrome crépusculaire

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Q
A
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Q

Les deux idee de Stroebe et Schut

A

Orientation vers la perte
Orientation vers la restoration