individuelle 1 Flashcards

1
Q

qu’est que le travail social

A

Le travail social est une pratique professionnelle et une discipline. Il promeut le changement et le développement social, la cohésion sociale, le développement du pouvoir d’agir et la libération des personnes. Les principes de justice sociale, de droit de la personne, de responsabilités sociale collective et de respect des diversités sont au cœur du travail social. Étayé par les théories du travail social, les sciences sociales, les sciences humaines et des connaissances autochtones, le travail social encourage les personnes et les structures à relever les défis de la vie et agit pour améliorer le bien-être de tous.
« (Les TS) aident à clarifier les besoins des personnes qui les consultent, à découvrir la source de leur problèmes, à trouver des solutions adéquates et, au besoin, à les orienter vers les ressources appropriées. Ils offrent généralement des entrevues individuelles »

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2
Q

quest que l’intervention individuelle?

A

Depuis son origine, le propre du travail social a été d’intervenir sur les problèmes sociaux tels que vécus principalement par les individus et les familles démunies de notre société. Malheureusement, cet objet d’étude s’est la plupart du temps traduit par une individualisation des effets de ces problèmes sociaux. Dans une telle perspective, la personne est vue comme un problème à traiter et l’intervention sociale, comme une série d’opérations mécaniques visant presque uniquement à changer les individus concernés » (Bourgon et Gusew, 2007, p.121)

« Or l’intervention individuelle en travail social ne peut s’inscrire dans une telle vision reductionniste des buts qu’elle doit poursuivre. (…) (L’intervention individuelle) cherche davantage à resituer et à comprendre la personne-cliente en rapport avec le monde qui l’entoure et à poser avec elle les jalons d’une démarche qui pourra lui permettre de se voir en sujet actif plutôt qu’en objet passif, soumis à une procedure d’intervention» (Bourgon et Gusew, 2007, p.121, nous soulignons)

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3
Q

de quelle facons le ts répond au problème?

A

L’objet du travail social n’est ni l’individu ni l’environnement (famille, école, quartier, communauté, société, etc.) mais bien les interactions dynamiques entre les deux. »

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4
Q

le processus d’intervention 5 étape

A

La prise de contact;
 L’évaluation de la situation;
 L’élaboration du plan d’action;  L’exécution du plan;
 La fin du processus.

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5
Q

est ce que le processus en 5 étape est linéaire

A

non « Il est possible, et même essentiel, de retourner aux étapes précédentes ou subséquentes aussi souvent que nécessaire pour rendre la démarche la plus flexible et l’ajuster aux besoins et aux faits nouveaux qui surviennent dans la vie des personnes accompagnées » (p.128)

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6
Q

habiliter essentielle pour amorcer une relation

A

L’empathie
 Comme attitude d’accueil
 Comme posture anti-oppressive
 La conscience de soi  L’authenticité
 L’assurance

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7
Q

les 3 temp du prosessuce d’intervention

A
  1. Décentration
    « Le premier temps, celui de la décentration, équivaut à la prise de conscience, par l’intervenantE, de son propre cadre de référence. (…) ce cadre amène l’intervenantE à jeter un regard particulier sur l’autre et sur les réalités qui l’entourent. Cette décentration lui fait voir qu’il existe d’autres visions du monde tout aussi valables que la sienne puisqu’elles s’inscrivent dans une histoire et un contexte particulier » (p.151)
  2. Compréhension du système de l’autre
    « Ce deuxième temps est celui où l’intervenant perçoit et comprend le cadre de référence de l’autre (…), lui aussi constitué de variables personnelles, familiales et culturelles qui amènent (cette personne) à regarder d’une façon particulière tout ce qui l’entoure, y compris l’intervenant. Pour percevoir et pour comprendre ce cadre de référence, l’intervenant doit compter sur son client, qui est évidemment le meilleur informateur sur « son monde » (…). Dans ce deuxième temps, l’intervenant doit s’intéresser à l’autre de multiples manières: en observant, en se laissant impressionner, en ressentant les choses sans interpréter, ni juger, ni classer. Il doit accepter le « différent » et être attentif à l’insolite, à l’unique et à l’original, l’objectif étant pour lui d’en arriver à « voir avec les yeux de l’autre » (Elkaïm, 1995) »
    3 Négociation/médiation
    Ce troisième et dernier temps « est un espace de compromis et de résolution de conflits où on cherche à trouver un terrain d’entente (par exemple, le bien de l’enfant) et à parvenir à un accord. Pour ce faire, on a recours à des échanges ou à des conciliations de points de vue qui respectent à la fois l’intégrité de (la personne) et de ses valeurs fondamentales, le mandat institutionnel et professionnel de l’intervenant ainsi que les postulats non négociables de la société (…) »
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8
Q

les 5 habiliter essentielle a la cominication?

A

 La communication non verbale  Le reflet
 La reformulation
 La clarification
 La focalisation  Le silence

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9
Q

l’empathie comme posture anti oppressive

A

 va au-delà du simple accueil de l’émotion exprimée par la personne  Empathie envers sa position sociale et ses conditions de vie
 Analyse les situations des personnes sous l’angle des inégalités et des facteurs d’oppression qui affectent leur existence (ex: oppression liée au genre, à la classe, à l’âge, etc.)
 Invite à reconnaitre la pression que peuvent exercer les rapports sociaux inégaux sur la relation entre l’intervenantE et la personne
 Engage l’intervenantE à mettre en question ses privilèges et facteurs d’oppression
 Conscience de son propre rapport à l’oppression : comme oppresseur ou opprim

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10
Q

la conscience de sois

A

Permet de se voir agir avec la personne aidée
 La conscience de soi est la « capacité de l’intervenant de reconnaitre ses propres sentiments, ses attitudes, des valeurs, ses mythes, ses préjugés, ses biais… et de saisir leur influence sur son intervention » (Beaudry et Trottier, 2001, p.15)

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11
Q

en quoi consiste la prise de contacte

A

« La prise de contact consiste essentiellement à :
- Établir une relation de confiance entre l’aidant et l’aidé;
- Analyser sommairement la situation présentée et, au terme de cette exploration
- Décider si la situation nécessite de donner de l’information ou de procéder à une orientation, une référence ou une prise en charge. » (Fontaine et Turcotte, 2017, p.58)

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12
Q

reflet ou reformulation

A

Traduction dans les mots de l’aidant du sentiment de l’aidé (reflet) ou de ses propos (reformulation).

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13
Q

focalisation

A

Intervention invitant l’aidé à explorer avec plus de précision un aspect de son vécu ou de son problème.

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14
Q

confrontation

A

Intervention visant à amener l’aidé à remettre en question une de ses façons de voir ou de faire.

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15
Q

question fermer

A

Question à laquelle l’aidé peut répondre par un oui ou un non, ou par une brève information objective.

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16
Q

interprétation

A

Intervention par laquelle l’aidant propose à l’aidé une signification possible d’un sentiment, d’une motivation ou d’un comportement.

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17
Q

recherche de solution

A

Intervention par laquelle l’aidant explore avec l’aidé des façons de résoudre son problème.

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18
Q

soutien

A

Intervention visant à rassurer l’aidé ou à entretenir son espoir.

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19
Q

implication

A

Intervention lors de laquelle l’aidant fait référence à son propre vécu pour stimuler l’aidé dans son exploration ou lui apporter du soutien

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20
Q

silence

A

Intervention par laquelle l’aidant, en s’abstenant de parler, permet à l’aidé de cheminer à son rythme dans l’exploration de son problème.

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21
Q

controle

A

Intervention par laquelle l’aidant tente d’influencer directement le comportement de l’aidé ou le déroulement de l’entretien.

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22
Q

qu’est que le jugement professionnelle

A

Le jugement professionnel est la « capacité de démontrer de la logique et du discernement dans la prise de décision, notamment dans l’application de procédures ou de règlements en place » (OTSTCFQ, 2006, p.23 cité dans CRAIP, 2017)

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23
Q

concept crée au jugement professionnelle

A

La morale
La morale c’est « l’ensemble des règles qui guident les êtres humains dans leur appréhension du bien et du mal et qui régissent leurs conduites individuelles et collectives » (Fortin, 1995, p.28)

 La déontologie
La déontologie permet d’assurer au public un service rigoureux et de qualité, puisque les professionnels doivent se soumettre au code de conduites et aux règles sous peine de sanctions. C’est « l’ensemble des exigences, règles et devoirs attachés à l’exercice d’une profession ». (Lamoureux, 2007, p.92 cité dans CRAIP, 2017).
 L’éthique
L’éthique c’est « la réflexion – l’analyse et la critique – sur les règles et les fins qui guident l’action humaine, c’est-à-dire les jugements d’appréciation sur les actes qualifiés de bon ou de mauvais dans un contexte particulier. Une décision éthique concerne un cas de figure concret, dans toute sa complexité. Elle peut donc être considérée comme la recherche d’un art du bien-vivre qui fait appel à la créativité et à la responsabilité au-delà des exigences de la morale. » (Fortin, 1995, p.38).
 Le professionnalisme  L’intuition

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24
Q

les trois type de consentement

A
  1. Le consentement à transmettre des renseignements à un tiers 2. Leconsentementàdonneraccèsàsondossier
  2. Leconsentementàrecevoirdessoinsoudesservices
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25
Q

exception au consentement

A

pour prévenir un acte de violence notamment un suicide, s’il juge qu’il y a un danger imminent de mort ou de blessures graves à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes identifiable;
 sur l’ordre d’un tribunal ou d’un coroner dans l’exercice de ses fonctions;
 pour signaler un enfant au Directeur de la protection de la jeunesse, s’il a un motif de croire que la sécurité ou le développement de cet enfant est ou peut être compromis

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26
Q

quelle est objectif du processus d’évaluation

A

L’objet du processus d’évaluation en intervention concerne une personne en particulier tout en la considérant en interaction avec son environnement

27
Q

la place de la personne dans le processus d’évaluation

A

Une photographie d’une personne ne peut être prise sans son consentement, mais dans le cas d’une évaluation, il est souhaitable d’aller au-delà du consentement et d’obtenir la collaboration de la personne pour arriver à cerner la situation selon son point de vue (Pillari, 2002; Wilson et coll., 2008) » (Boily et Bourque, 2017, p.66, nous soulignons)

28
Q

évaluation du fonctionnement social

A

Le travailleur social évalue le fonctionnement social dans une perspective d’interaction entre la personne et son environnement, en intégrant une réflexion critique des aspects sociaux qui influencent les situations et les problèmes vécus par la personne
L’évaluation est une activité incontournable dans la pratique professionnelle du travailleur social. Elle vise à produire une compréhension de la situation d’une personne à un moment
précis, avec sa participation, pour ensuite émettre des hypothèses cliniques, formuler une opinion professionnelle et dégager des recommandations qui servent de base pour l’action, en s’appuyant sur les savoirs issus de la pratique, les connaissances scientifiques et les assises théoriques.
 L’évaluation reflète les forces et les ressources de la personne ainsi que celles de son milieu, tout en analysant ses conditions de vie, avec une attention particulière aux questions d’oppression, de discrimination, d’exclusion, de stigmatisation ainsi qu’aux inégalités sociales et économiques (De Robertis, 2007; Gambrill, 2006; Johnson et Yanca, 2010; OPTSQ, 2006; Sheafor et Horejsi, 2006; Timberlake et coll., 2008).
Le fonctionnement social renvoie aux interactions et aux interinfluences entre les moyens et les aspirations d’une personne pour assurer son bien- être, réaliser ses activités quotidiennes et ses rôles sociaux pour satisfaire ses besoins avec les attentes, les ressources, les opportunités et les obstacles de son environnement (Barker, 2003; Sheafor et Horejsi, 2006).
 Les interactions entre les caractéristiques de la personne et celles de son environnement influencent son fonctionnement social.

29
Q

les 6 dimension du fonctionnement social

A
  1. Demandeetcontextedel’évaluation
  2. Caractéristiquesdelapersonne
  3. Caractéristiquesdel’environnement
  4. Analyse et synthèse
  5. Opinionetrecommandations
  6. Les interventions réalisées, le cas échéant
30
Q

qu’est que un approche

A

 (…) loupe avec laquelle l’intervenant observe, analyse, comprend une situation dans le but de planifier une intervention;
 reflète le mode d’explication, le schème d’intelligibilité, des problèmes;
 fournit un cadre de référence à l’intervenante sociale pour comprendre une situation (…)
et formuler ainsi des hypothèses explicatives;
 correspond à l’ensemble des concepts et des principes sur lesquels l’intervenant s’appuie pour observer, étudier, percevoir, comprendre, conceptualiser et évaluer une situation;
 permet de se faire une représentation explicative et logique d’une situation ou d’un phénomène;

31
Q

les différente approche

A

 Systémique;
 Bioécologique;
 Structurelle;
…
 Cognitivo-comportemental;  Interculturelle;
 Féministe;
 Narrative;

32
Q

approche systémique

A

met l’accent sur les dynamiques relationnelles à l’intérieur du système de
l’individu et de son environnement immédiat

33
Q

approche bioécologique

A

s’appuie sur l’interaction entre l’individu et les différents sous-systèmes et
l’interaction entre les sous-systèmes

34
Q

approche structurelle

A

 met l’accent sur les structures sociales, institutionnel et politique qui favorisent les conditions de vie entraînant la situation-problème

 « Il appartient à chaque intervenant social, selon son expérience, son histoire personnelle, sa sensibilité, son mandat, son appartenance organisationnelle, de privilégier une approche qui convient aux besoins et aux préoccupations de l’individu, de la famille, du groupe ou de la communauté à qui s’adressent les services (Massa, 2002) » (Carignan, 2017, p.198, nous soulignons)

35
Q

qu’est que le concept de besoin

A

Le mot besoin peut référer « à un état de privation (manque), à un désir (aspiration) (Giasson, 2004, p.19 cité dans Van de Sande et al, 2018, p.3)
 Un besoin humain « est une condition ou une exigence nécessaire du développement humain qui, si elle n’est pas satisfaite, ce traduira par de graves problèmes physiques, psychologiques ou sociaux » (Chappel, 2010, p.5 cité dans Van de Sande et al, 2018, p.3)

36
Q

qu’est que un ressource

A

 La réponse aux besoins dépend essentiellement des ressources disponibles dans une société donnée;
 Les ressources renvoient aux moyens;
 Différents types:
 Ressources humaines (capacités, savoirs, gènes, etc.)  Ressources matérielles (outils, bâtiments, routes, etc.)  Financières;
 Alimentaires;
 Énergétiques et environnementales (eau, air, terre, minéraux, forêt, etc.)
 La répartition des ressources varie selon les individus, les familles, les communautés, etc.

37
Q

ressource personelle et environnemental

A

Les ressources personnelles sont celles qui appartiennent en propre à une personne (capacités, connaissances, compétences, avoirs et revenus);
 leur développement dépend toutefois des interactions avec l’environnement;
 Un environnement qui assure un accès équitable à des ressources en quantité suffisante, et ce, de façon stable facilite le fonctionnement social.

38
Q

facilitateur et obstacle

A

 Les facilitateurs et les obstacles correspondent aux facteurs environnementaux qui influencent le fonctionnement social
 Les facilitateurs sont des éléments de l’environnement avec lesquels le système-client interagit et qui favorisent un fonctionnement social optimal alors que les obstacles le neutralisent, voir contribue à sa dégradation.
 En travail social, une attention particulière est accordée aux facilitateurs et et aux obstacles présents dans l’ensemble de l’écosystème.

39
Q

fair spécifier les besoin pour…

A

 Pour arriver à avoir une idée claire du problème vécu il faut amener la personne à préciser:
 les événements rapportés;  les opinions émises;
 les perceptions et
 les sentiments exprimés.
 Pour ce faire, on peut poser des questions (Qui ? Quoi? Où ? Comment ?)
 Attention avec la question « Pourquoi ? » qui peut amener la personne à ce justifier. Elle peut alors adopter une position défensive et se sentir jugée

40
Q

posé les question au bon moment

A

Pour obtenir des informations plus précises, il faut poser des questions. Elles doivent avoir pour but de mieux cerner un problème.
 Il est difficile de déterminer quel est le meilleur moment pour poser une question. Quelques indications:
1. Respecter le rythme de la personne;
2. respecter les moments de silence;
3. poser des questions fermées pour obtenir des précisions sur le sujet abordé;
4. poser des questions ouvertes pour faire en sorte que la personne développe davantage et ainsi obtenir plus d’informations;
5. évitez de poser de trop nombreuses questions.
Les questions posées doivent avoir pour but d’amener la personne aidée à voir plus clair en elle-même et non pas de satisfaire votre curiosité.

41
Q

approche basé sur les force

A

Met de l’avant l’idée que les compétences de la personne et les ressources de son milieu sont à la base du changement;
 L’intervention y est considérée comme une action qui vise à soutenir la personne, considérée comme l’experte de sa situation, dans la construction de solutions à ses problèmes;
 L’accent est placé sur l’établissement d’objectifs précis, la stimulation de l’espoir et le développement d’une relation de collaboration entre l’intervenant et le client;
 Faire grandir l’espoir et les raisons de vivre (amener la personne à se positionner à l’extérieur de la boîte)
 Au cœur de la démarche d’intervention: identification des forces individuelles, familiales et environnementales du client.

42
Q

les caractéristique de l’approche basé sur les force

A

Orientée vers un résultat;
2. S’appuie sur une évaluation des forces : éviter d’être attentifs seulement aux problèmes,
déficits ou pathologies;
3. Mise sur les richesses de l’environnement;
4. Moyens mobilisant les forces de la personne et les ressources de l’environnement: ce qui existe déjà et les exceptions;
5. La relation intervenant-client vise à alimenter l’espoir. Ce qui nécessite, entre autres, l’empathie
 Comme attitude d’accueil;
 Comme posture anti-oppressive: quel est notre regard sur cette personne et ce qu’elle vit?
6. L’intervenant doit s’efforcer d’élargir les choix qui s’offrent à la personne (faire grandir
l’espoir) et la soutenir dans les prises de décision:
 La personne comme experte et mieux placée pour faire les bons choix.

43
Q

Techniques de la thérapie/communication orientée vers les solutions (TOS)/(COS)

A
  1. Laquestion-miracle
  2. Laquestion-exception 3. Laquestion-échelle
44
Q

quest que la question miracle

A

Plusieurs façons de la poser : miracle durant la nuit, fée, baguette magique, … (voir livre p.261 et diapo suivante pour des exemples)
 Le but et le résultat de cette question sont de projeter la personne en difficulté dans l’avenir où elle commence à voir, à entendre et à sentir ce qu’elle désire vivre au lieu de résister à ce qu’elle ne veut pas (Peacock, 2020, p.40)

45
Q

question exception

A

Le but de cette question : identifier les moments d’exception
 Aucun problème n’est présent de façon constante. Il y a des exceptions, c’est- à-dire des situations où le problème aurait pu survenir, mais où il ne s’est pas produit, qui peuvent être utilisés pour construire des solutions.
 Une fois les mots clés découverts, on peut passer à la question-exception:  Est-ce qu’il y a déjà des moments (des exceptions) où:
 vous êtes un peu plus détendu à la maison (le but du père) ?
 vous acceptez davantage la situation de votre enfant (le but de la mère)?
 Il y a déjà des moments où ça va mieux… ou un petit peu moins mal
 Cas clinique « Est-ce que vous pensez que je pourrai redevenir comme avant ?»

46
Q

question échelle

A

 Peut être utilisée pour évaluer l’état actuel et/ou désiré
 Q: Sur une échelle de 1 à 10 - 1 étant le niveau le plus bas et 10 étant l’état
désiré (dans les mots clés de la personne), où vous situez-vous ?  R: Ah ! Je suis seulement à 2. Ça va mal ! Ça va très mal !
 Q: Qu’est-ce que ça prendrait pour aller de 2 à 3 ?
 Aide aussi à identifier les exceptions

47
Q

comment susciter l’espoir

A

 Identifier les moments d’exception;
 « Parlez-moi d’une fois où cela s’est mieux passé ? »
 Utiliser la question à échelle pour situer le niveau d’espoir et convenir d’un seuil atteignable pour la personne;
 « sur une échelle de 1 à 10, ou aimeriez-vous vous situer lorsque la situation se sera améliorée ? »
 Identifier le plus petit pas possible pour atteindre le changement souhaité;  « Comment allez-vous réussir à… »
 Faire parler la personne de ce qui demeure positif, de ses petits plaisirs, de ses raisons de vivre (personnes, valeurs, croyances, activités, passions, etc.)
 « Parlez-moi de cette croyance que vous avez, que vous êtes une personne forte… »

48
Q

Approche narrative et constructivisme social

A

Ce rapporte aux approches contemporaines qui envisagent la réalité sociale comme une construction sociale permanente c’est-à-dire que:
 La réalité sociale se construit et se reconstruit chaque jour au fur et à mesure des interactions individuelles;
 les faits sociaux sont soumis à l’interprétation qu’en donnent les acteurs;  (…)

 accorde une importance centrale au sujet dans l’élaboration de la connaissance, laquelle est constituée, en quelque sorte, des représentations internes du monde de la personne;
 considère que c’est le sujet qui donne un sens à la réalité et que, ce faisant, il influence la manière dont il la conçoit, l’anticipe et y répond;
 véhicule l’idée que l’expérience construit les connaissances et la réalité de la personne.

49
Q

Approche narrative et postmodernisme

A

Critique des promesses non tenues de la modernité;
 Rejette l’idée de l’existence de vérités universelles et de la primauté
absolue de la raison;
 Propose plutôt la présence de réalités multiples issues de la subjectivité des acteurs et des contextes culturels et sociaux en présence
 En intervention: au moins deux acteurs en présence…  …et plusieurs narratifs…

50
Q

Narratifs sociaux

A

Narratifs sociaux en présence dans l’univers des personnes (voir p.247):
- narratifs culturels;
- narratifs institutionnels;
- narratifs organisationnels;
- narratifs personnels identitaires;
Ces divers narratifs sont interreliés et participent à la construction et l’identité de la personne

51
Q

La syntonisation ou identification des narratifs en
présence

A

La syntonisation contribue à développer et maintenir un rapport de collaboration avec la personne et à augmenter la conscience de soi de l’intervenant social (Turcotte, 2011b). Elle le place dans une posture d’ouverture et d’écoute des expériences de l’autre (Morgan, 2010). La syntonisation consiste à rendre conscient les narratifs liés à des problèmes spécifiques. Ainsi, il s’agit pour l’intervenant social de rechercher ses expériences, sentiments, valeurs, préjugés, en lien avec le problème présenté par la personne; d’anticiper son point de vue sur la nécessité ou l’obligation de consulter, et aussi sur ses conditions matérielles, ses expériences, etc.; d’apprécier la définition du problème et la réponse de l’organisme où se fait l’intervention; ainsi que de refléter les valeurs, normes, idéaux et croyances qui circulent dans la société. Cette recherche des diverses perspectives en présence peut se faire mentalement, mais de préférence par écrit.

52
Q

Pouvoir-savoir

A

 « Dans l’intervention, le travailleur social doit mettre à contribution les savoirs populaires des usagers puisqu’ils sentent une source d’information sur leurs rêves, leurs espoirs, leurs croyances, leurs valeurs, etc. (White, 2009 dans Gusew, 2017, p.234)
 Justice cognitive/épistémique et décolonisation des savoirs : illustration à partir de la recherche de Taïbi (2021)
 (re)connaitre les savoirs de la personne;  Faire circuler de nouveaux narratifs.

53
Q

le plans d’intervention doit

A
  1. s’inscrire dans le mandat confié à la TS, respecter les droits de la personne et le code de déontologie;
  2. être individualisé;
  3. être réalisé avec et pour la personne concernée;
  4. être rédigé dans un langage clair et accessible;
  5. miser sur les forces de la personne et les ressources dans son environnement;
  6. se réaliser dans un esprit de collaboration franche et efficace, centrée sur la personne;
  7. porter sur les finalités désirées par la personne
    * ex. formulation: « que Madame/Monsieur obtienne un logement qui lui convienne »
54
Q

structure du plans d’intervention

A

Selon la Loi sur les services de santé et les services sociaux (LSSSS), le plan doit permettre d’identifier et préciser:
* les besoins;
* les objectifs poursuivis;
* les moyens à utiliser;
* la durée prévisible pendant laquelle des services devront être fournis.
Il doit aussi contenir un échéancier quant à son évaluation, ou sa réévaluation et sa révision.

55
Q

concepte du besoin dans un pi

A

 Élément de départ du PI. Tout ce qui est planifié doit servir à répondre à ce besoin et donc à réduire l’écart entre la situation actuelle de la personne et la situation souhaitée (Arbour, 2021, p.20)
 Un besoin humain « est une condition ou une exigence nécessaire du développement humain qui, si elle n’est pas satisfaite, se traduira par de graves problèmes physiques, psychologiques ou sociaux » (Chappel, 2010, p.5 cité dans Van de Sande et al, 2018, p.3)
 Le besoin renvoie au problème identifié et aux ressources du système-client (Tremblay, 2017, p.96)
 Besoin non comblé peut être considéré comme un écart entre les ressources disponibles et la situation
souhaitée (ibid)

56
Q

le but et les objectif dans un pi

A
  • Le but (ou l’objectif général) de l’intervention : c’est en quelque sorte l’inverse de la situation problématique, soit la situation à laquelle on désire en arriver à la fin de l’intervention (Tremblay, 2017, p.97);
  • la finalité ultime de l’intervention (Van de Sande et al, 2018, p.137);
  • souvent défini en termes généraux et larges (ibid);
  • Les objectifs : représentent des intentions qui décrivent ce qui est attendu à la suite des diverses actions qui seront
    posées (Tremblay, 2017, p.98);
  • sont en quelque sorte des étapes qui permettant d’atteindre le but (Van de Sande et al, 2018, p.137);
  • doivent être formulés le plus précisément possible (ibid);
  • doivent entrainer un résultat mesurable d’une façon ou d’une autre (ibid);
  • 2M et 2R : Mesurables, Motivants, Réalistes (peuvent être atteints) et Réalisables (moyens accessibles et conditions nécessaires)
  • Méthode CSMART: Conjoints, Spécifiques, Mesurables, Ajustés (aux capacités de la personnes), Réalistes (atteignables par des moyens accessibles), Temporel (délai raisonnable)
57
Q

règle de rédaction pour des objectif

A

Habituellement, un objectif doit:
* Être formulé pour la personne;
* Opérationnaliser le comportement par un verbe d’action;
* Être formulé objectivement en ne laissant place à aucune interprétation;
* Être formulé positivement;
* Décrire un seul comportement ou habileté à la fois.
Exemples:
* Doris développe une relation significative avec son entourage (en contexte d’exclusion sociale)
* Jean augmentera son estime personnelle en regard de ses compétences parentales (en contexte de monoparentalité);
* Martin développera son autonomie à la vie résidentielle (en contexte d’intégration en appartement);
* Jacqueline maintient son autonomie fonctionnelle au niveau des soins d’hygiène (en contexte de perte d’autonomie).

58
Q

le moyen dans un pi

A
  • Les moyens: toutes les activités (outils, instruments, actions, exercices, etc.) qui seront mises en place pour atteindre un objectif (Tremblay, 2017, p.99)
  • Diverses questions peuvent être adressées à la personne et à son réseau (Arbour, 2021, p.63):
  • Que comptes-tu faire pour atteindre ton objectif ?
  • Qu’est-ce qui te permettrait d’atteindre ce but ?
  • Qu’est-ce que je pourrais faire concrètement pour t’aider ?
  • Qu’est-ce que tes parents, ton conjoint (etc.) pourraient faire pour t’aider à atteindre ton but ? Exemple (Tremblay, 2017, p.99) :
  • Objectif : « Que j’aie du soutien pour maintenir ma sobriété »
  • Moyen: « Participation trois fois la semaine aux rencontres des AA »
    Certains moyens seront mis en action par la personne, d’autres par la TS, un proche, etc.
59
Q

élaboration du pi

A

Rôles possibles du TS:
* Courtier;
* Défenseur des intérêts et des droits (advocacy);
* Enseignant ou instructeur;
* Mobilisateur;
* Organisateur communautaire;
* Etc.

60
Q

Contexte relationnel et affectif de la fin de l’intervention

A

« bien que toute fin d’une relation soit perçue et ressentie comme une séparation, un abandon, une rupture et une mort, toute fin est aussi, et en même temps, quelque chose qui a été achevé, atteint, quelque chose de l’ordre de la création et de la renaissance, une porte ouverte vers des chemins nouveaux et des expériences différentes. L’arrêt de l’intervention signifie aussi bien l’éloignement et la séparation, que la reconnaissance effective du chemin parcouru et du franchissement d’une étape. » (de Robertis, 2007, p,364)

61
Q

Contexte relationnel et affectif de la fin de l’intervention pour le ts

A

La fin de l’intervention soulève chez les TS une très forte ambivalence: aux sentiments de perte et de séparation se mêle la satisfaction du travail accompli. À la certitude que la fin de l’intervention est nécessaire et justifiée, semel l’incertitude face à l’avenir, la frustration « de ne plus savoir » ce que deviendra ensuite la personne;
* Fréquent aussi que les TS ressentent une certaine culpabilité vers la fin et s’interroge sur l’efficacité de leur intervention, sur la qualité des services rendus sur leurs compétences et sur leur investissement. La question « Est-ce que j’aurais pu faire davantage, où faire mieux ? » semble se poser souvent ;
* Les TS sont parfois tentés de terminer leur intervention sur une note positive et rassurante, ils veulent à tout prix que la personne soit contente, et cherchent aussi à être gratifiés par la reconnaissance et les remerciements des personnes. Les sentiments de culpabilité sont d’autant plus accentués qu’il est rare qu’ils obtiennent la gratification tant attendue;

  • Le conflit intérieur peut être intense, d’autant plus lorsque la fin de l’intervention est perçue comme un échec et non comme une réussite, si les buts n’ont pas été atteints ou les espoirs du départ ont été déçus. Dans ces cas la culpabilité peut être déplacée soit sur l’organisme employeur (qui ne donne pas les moyens nécessaires), soit sur la personne, avec manifestation de sentiments hostiles et agressifs à leur égard;
  • La fin de l’intervention nécessite de la part du TS une perception la plus claire possible de ses propres sentiments. Elle ne peut que le renvoyer également à ses motivations: désir de réparation, désir de « sauver » les autres, désir de pouvoir. Mettre un terme à sa relation avec l’autre implique un certain renoncement, il peut être facilité, dans une certaine mesure, lorsque la personne est considérée, dès le départ, comme responsable de sa vie et de ses choix, et lorsque le TS n’entretient pas - au-delà de la limite nécessaire - sa dépendance
62
Q

Contexte relationnel et affectif de la fin de l’intervention pour la personne

A

La même ambivalence des sentiments existent aussi chez la personne: au plaisir provoqué par l’acception et plus complète de l’autonomie, par le chemin parcouru, par les changements atteints, ce mal la crainte et l’incertitude de l’avenir l’insécurité et les sentiments de perte et d’abandon. Marre et renaissance sont présents; désir d’affirmation et d’autonomie et, en même temps, désirs de garder une dépendance rassurante;
* la fin de l’intervention est souvent appréciée comme la confirmation de ses capacités et des changements dans sa situation, perçu donc avec plaisir elle n’est que très rarement exempt de craintes et d’insécurité. Le conflit intérieur de la personne se traduit par une série de comportements que l’on retrouve fréquemment lors de cette étape:
* Négation;
* Nouvelles demandes;
* Régression;
* Hostilité; *…
* Fuite.

  • Négation: la personne nie l’approche de la fin, le TCS lui en a parlé, elle n’entend pas, elle ne se souvient plus, change de sujet, refuse de l’aborder ou s’étonne. Elle oublie « oublie »;
  • Nouvelles demandes:

lorsqu’on entame la phase finale la personne peut réagir en formulant de nouvelles demandes, en proposant d’autres axes et objectifs de travail. Ces demandes peuvent s’exprimer verbalement mais souvent elles le sont de façon détournée: des plaintes, nouveaux soucis, difficulté à s’organiser, conflits relationnels, etc.;

  • Régression: le retour en arrière vers des formes de comportement préexistantes peut être une autre forme de réaction de la personne. Se retrouver par exemple face à une personne qui se montre soudainement incapable de faire les démarches que, depuis un certain temps elle exécutait sans problème. Ce retour en arrière est significatif de sa peur face à l’avenir, de son désir de garder une relation sécurisante. Elle dit par son comportement « vous voyez bien que je ne peux pas me passer de vous »;

L’hostilité: l’usager confronté à l’imminence de la séparation peut manifester son mécontentement. Il est mécontent de réaliser que la relation avec la TS est importante pour lui, et que sûrement il va la regretter; il peut aussi se rendre compte combien ça dépendance est grande et qu’il va s’ennuyer de leur rencontre. L’hostilité et le mécontentement peuvent être exprimées ouvertement ou de façon voilée. (…) En fait, l’hostilité de mécontentement vis-à-vis de la TS peuvent lui faciliter la séparation et diminuer ou détourner l’insécurité et la tristesse. Ils peuvent surtout déplacer les sentiments d’abandon, la personne n’est plus délaissée par la TS, c’est elle qui prend l’initiative de la rupture, c’est elle qui la quitte;

  • Fuite: la personne précipite la fin de l’intervention, ne vient plus aux rencontres, ne répond plus aux visites à domicile, etc. Lorsque la fuite s’accompagne d’un investissement ailleurs, elle s’avère positive et lui facilite beaucoup la fin de l’intervention. Exemple: Madame M n’ouvre plus la porte et ne répond plus aux appels de la TS pour faire une évaluation finale. Par sa collègue, la TS apprend que Mme participe très activement depuispeu,àungroupedefemmesduquartier etqu’elles’avèreunemembredynamique.
63
Q

comment préparer le maintien des acquis

A

 Aider la personne à transposer dans différentes sphères de sa vie les apprentissages faits pendant l’intervention
 Mettre en évidence les compétences et les ressources sur lesquelles la personne a pu miser pour améliorer sa situation, de façon à ce qu’elle puisse s’y référer par la suite;
 Planifier l’avenir
 Repérer les ressources sur lesquelles la personne pourra miser dorénavant;
 Reconnaître les zones de vulnérabilité qui sont toujours présentes tout en orientant les échanges sur les éléments positifs de la réalité de la personne;
 Identifier des situations susceptibles de se présenter et les moyens pour y faire face;
 Faire une distinction entre les facteurs individuels et les facteurs environnementaux qui ont
une influence sur la situation de la personne;
 Préparer à faire face à des réactions (positives/négatives) de l’entourage;

64
Q

qu’est l’individualisation de problèmes sociaux?

A

L’individualisation des problèmes sociaux se réfère à une tendance où les problèmes sociaux sont perçus comme des défis personnels ou individuels plutôt que des questions systémiques ou structurelles. Cela signifie que les problèmes tels que la pauvreté, le chômage, la santé mentale, etc., sont souvent interprétés comme étant le résultat des choix individuels ou des caractéristiques personnelles, plutôt que des facteurs liés à des structures sociales plus larges, comme les politiques publiques, l’économie, ou les inégalités sociales.

Cette tendance peut avoir des implications importantes dans la manière dont nous comprenons et traitons les problèmes sociaux. Par exemple, si l’on individualise la pauvreté en la considérant comme un choix ou une responsabilité individuelle, cela peut conduire à des politiques ou des interventions qui mettent l’accent sur la responsabilisation des individus plutôt que sur la transformation des structures sociales qui contribuent à la pauvreté.

En résumé, l’individualisation des problèmes sociaux se réfère à la tendance à attribuer les problèmes sociaux aux choix ou aux caractéristiques individuels, plutôt qu’à des facteurs sociaux, politiques ou économiques plus larges.