Psy Differentielle Flashcards

0
Q

Quel est le point de vue de Descartes ? Et de quel autre point de vue s’oppose t’il ?

A

Pour descartes les idées sont innées, alors que pour Hobbes la sensation est à l’origine des connaissances.

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1
Q

Quand est apparue la psychologie moderne dite scientifique ?

A

Dans la seconde moitié du 19 eme siècle

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2
Q

Quelle est la psychologie empirique à cette époque ?

A

Cette psychologie est nommée expérimentale, elle s’est développée à la fin du 17eme siècle jusqu’au début du 19ème siècle par J. Loke, D Hume, Mill, Étienne Bonnot de Condillac.
Cette psychologie donne naissance à l’associationnisme.

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3
Q

Quel autre point de vue apparaît avec les découvertes physiologiques ?

A

Avec les découvertes physiologiques au long du 19ème siècle, un nouveau point de vue matérialiste émerge, qui affirme que les bases des fonctions psychologiques de trouvent dans le cerveau. La phrénologie de Franz est une manifestation de ce courant (localisation des fonctions cérébrales).
Ce courant s’oppose à la psychologie spiritualiste.

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4
Q

Qui inspire la psychologie spiritualiste ? Et qu’est ce qu’elle postule ?

A

La psychologie spiritualiste est véhiculée par Victor Cousin qui postule que la méthode idéale du psychologue est l’introspection des ses propres états de conscience et leur analyse grâce aux inductions et déductions.
Cette méthode doit permettre d’atteindre une connaissance psychologique et des vérités métaphysiques.

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5
Q

La psychologie ——- s’inspire des ——- de la ——–.

A

La psychologie objective s’inspire des méthodes de la physiologie.

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6
Q

Quel est le contexte scientifique à la fin du 19ème siècle ?

A

Le contexte scientifique à la fin du 19ème siècle est le courant associationnisme.
Auguste Comte à formulé la critique radicale de l’introspection. Les psychologues du courant associationnisme utilisent des méthodes proches de celle des sciences scientifiques.
L’associationnisme est le prolongement direct de la philosophie empiriste anglaise : Spencer, Bain. Ribot et Taine en France.
L.associationnisme considère que la psychologie à pour objet des états de conscience élémentaires : la sensation, les images et les idées, accessibles à la mesure.
Ces états de conscience s’associent entre eux de façon mécanique , sans contrôle du sujet.
Toute connaissance vient des expériences sensorielles.
L’associationnisme repose sur un paradigme de 3 principes fondamentaux :
1/ L’empirisme = la connaissance provient de l’experience sensorielle
2/ Le réductionnisme = les phénomènes psychologiques complexes sont réductibles à des phénomènes élémentaires ( Spencer, Mill, Taine)
3/ le mécanisme = le processus associationnisme est déterminé de l’exterieur. Il dépend des éléments qui vont s’associer et uniquement de cela.
Le sujet est donc passif et n’a aucune capacité de contrôle ou d’initiative.

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7
Q

Quel est le contexte social à la fin du 19ème siècle ?

A

La révolution industrielle qui entraîne le problème de formation et de recrutement dû aux nouveaux métiers qui apparaissent, avec comme conséquence une sélection professionnelle.
La fin de la filiation professionnelle, ce qui entraîne des nouvelles orientations à mettre en place.
Une condition misérable des ouvriers.
On envisage un enseignement spécial car les écoliers abandonnent l’école, et un besoin d’enseignement spécialisé se ressent dû à certains retards mentaux.
Il y a donc nécessite de diagnostiquer des caractéristiques individuelles, mais la demande n’est pas initialement sociale, c’est une demande qui émane des psychologues à laquelle l’Etat est hostile. Le souci de cette implication jouera un rôle important.
Binet et Simon pensent que la psychologie différentielle peut contribuer à la paix sociale ( orientation…).
La demande sociale n’apparaît qu’après le 1 ère mais surtout la 2ème guerre mondiale.

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8
Q

Qui est le fondateur de la psy différentielle en Allemagne ?

A

C’est Wundt qui est le fondateur de la psychologie expérimentale, et considère comme pionnier de la psychométrie. Il crée le premier laboratoire de psychologie expérimentale à Leipzig en 1879.
Wundt postule que les problèmes psychologiques, les phénomènes élémentaires, peuvent être résolus par les sensations. Il cherche à découvrir des lois générales sans s’intéresser aux différences individuelles.
La variabilité interindividuelle est considérée comme une erreur de mesure.
Wundt étudie les différences entre deux stimuli et les temps de réaction associé.
Stern : invente l’expression : “psychologie différentielle” en 1900.
Pour lui la psychologie différentielle s’intéresse aux différences entre individus et entre groupes.
Ses principales méthodes sont :
L’introspection, les mesures objectives, les données historiques et culturelles.
C’est Stern qui invente le quotient intellectuel en 1911, qui est le rapport âge mental par rapport à l’âge chronologique.

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9
Q

Qui est le fondateur de la psy diff en Angleterre ?

A

C’est Galton qui s’inspire de la théorie de la sélection naturelle.
La psychologie différentielle de Galton qui est le cousin de Darwin, est l’application de la théorie de l’évolution de Darwin. Pour lui, la variabilité interindividuelle est d’origine héréditaire.
Darwin considère que la variabilité interindividuelle est héréditaire et le milieu exerce une sélection : seuls les caractères favorables à l’adaptation perdurent au détriment de. Eux qui le sont moins et c’est ainsi que l’espèce humaine évolue.
Galton est à l’origine des étalonnages normalisés. Il est aussi l’inventeur du coefficient ce Bravais-Pearson et est le précurseur des analyses factorielles.
Galton utilise plusieurs méthodes : l’étude des jumeaux, les relations entre caractères ascendants et descendants, les arbres généalogiques.
Il décrit la variabilité individuelle d’un point de vue anthropométrique (étude des caractères psychologiques à partir de mesures corporelles) et associationnisme (étude des phénomènes élémentaires).
Galton propose le terme “eugenics” mais il n’est pas l’inventeur de l’eugénisme. Il cherche à lui donner des bases scientifiques en le reliant à la théorie de l’évolution. Il fonde le premier laboratoire de l’eugénisme.

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10
Q

Qui est Cattel ? Expliquer son point de vue

A

Cattel est le 1er assistant de Wundt, spécialiste du temps de réaction. Gros échec qui lui fait quitter la psychologie en 1890, il a étudié les différences individuelles en proposant une série de 10 mini-tests d’intelligence (mental test) faisant appel aux processus élémentaires pour étudier la relation entre l’hérédité et le milieu.
Cattel est l’auteur qui a le plus contribué à l’institutionnalisation de la psychologie (créations de revues, d’associations professionnelles …).
Cattel à

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11
Q

Qui est Spearman ? Et quel est son point de vue ?

A

Spearman à travaille chez Wundt et il a été initié aux statistiques de Galton qu’il a développé.
Il conteste un des postulats de l’associationnisme ( la passivité du sujet) mais reste attaché à l’elementarisme. Il relie l’étude des processus élémentaires à des appréciations plus globales de l’intelligence.
Spearman s’intéresse aux différences interindividuelles et à la mesure des corrélations en reprenant l’idée de Galton selon la corrélation entre deux variables qui provient d’une cause commune.
Spearman est convaincu que les corrélations entre processus élémentaires et globaux lorsqu’elles sont bien mesurées et corrigées, doivent être élevées.
Il jette les bases de l’analyse factorielle et de le théorie bi factorielle => Facteur général (g) et facteur spécifique (s) : toutes les branches de l’activité mentale ont en commun une fonction fondamentale et les éléments spécifiques de l’activité sont différentes les uns des autres.

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12
Q

Qui est le fondateur de la psychologie différentielle en France ?

A

C’est Binet qui est le fondateur de la psychologie différentielle en France.
Pour lui la psychologie différentielle est dans une impasse à cause de l’élémentarisme de l’associationnisme.
Chez Binet la psychologie individuelle correspond à la psychologie différentielle. Cette psychologie à pour but l’étude de la variabilité interindividuelle d’une fonction/dimension et l’organisation des diverses fonctions chez un même individu.
Ceci passe par l’étude des processus intellectuels pris en compte dans les tests d’intelligence.
=> Binet refuse d’étudier les sensations car non pertinent, faible variabilité interindividuelle.
Binet et Henri (1895) proposent 10 variables pour construire les tests d’intelligence, qui sont les psychologiques supérieurs :
La mémoire
L’imagination
Les images mentaux
L’attention
La suggestibilité
Le sentiment esthétique
Sentiments moral
La faculté de comprendre
La force musculaire et la force de la volonté
L’habilité et le coup d’oeil.
=> Binet dépasse l’associationnisme en postulant que la psychologie doit étudier l’activité du sujet et non ses états de conscience. Il propose une théorie de l’intelligence qi met l’accent sur la régulation de l’action et qui ignore les lois de l’association.
=> Binet en collaboration avec Simon à donné naissance à l’échelle métrique de l’intelligence : Test Binet-Simon, 3 versions.
1905 détection des débiles mentaux
1908 classement de la population scolaire
1911 proche de 1908, sans Simon
Test 100% psychologiques, uniquement basés sur les fonctions supérieures, établis par tranche d’âges (d’abord pour les débiles mentaux puis pour toute la population scolaire et âgés mentaux).

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13
Q

Quels sont les domaines d’applications de la psychologie différentielle de 1920 à 1960 ?

A

Entre 1920-1960, la psychologie différentielle est d’abord une psychologie appliquée au moyen des tests psychométriques.
Édouard Toulouse est le pionnier des applications, il crée beaucoup d’associations et veut que la politique s’inspire des résultats scientifiques.
Les différents modèles d’applications sont :
=>L’éducation, avec les méthodes de Binet appliquée à grande échelle aux USA pour détecter les surdoués, les “débiles” et pour une individualisation de l’enseignement pour tous les élèves.
Orientation scolaire et sélection universitaire (Scholastic Aptitude Test).
=>La psychopathologie, qui a une portée limitée car la psychologie est centrée sur les phénomènes élémentaires (associationnisme) et aussi parce que la psychiatrie commence seulement à différencier les troubles mentaux.
=>L’orientation professionnelle, en 1928, il y a la création de l’INOP dirigée par Pieron et Laugier, des disciples de Toulouse.
L’enseignement est une conception de l’orientation basée sur la psychologie différentielle
=>la sélection professionnelle, avec comme objectif, les tests d’aptitudes professionnelles.
=>diversification, à partir des années 70, les applications de la différentielle commencent à devenir des applications “comme les autres”.

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14
Q

Énumérer les différents tests et les différencier en précisant leur spécificité.

A

Les conduites intelligentes supposent des Processus Mentaux Complexes comme le raisonnement, la décision, la représentation, la résolution de problème.
Les tests furent élaborés et utilisés dans plusieurs domaines de la psychologie.

1/ les test individuels,
L’échelle métrique d’intelligence créé par Binet en 1905 fut une des 1 ère à être utilisé afin de repérer les insuffisances intellectuelles chez les écoliers de mettre en place des enseignements spécialisés.
Binet considérait que l’intelligence devait être appréhendée à travers des processus supérieurs et de ce fait rompe avec le courant associationnisme.
En choisissant des épreuves représentatives pour chaque tranche d’âge il met en évidence la notion d’Age Mental.
Les épreuves de son échelle évaluait : les Aptitudes Verbales, le Raisonnement, Mathématiques.
Dans la continuité Stern s’en inspira pour calculer le Quotient Intellectuel des individus (rapport âge mental et âge réel /100) Par la suite Terman en 1915 amélioral’echelle métrique qui devient Le Test du Terman-Stanford, avec + d’items et permet le calcul du QI.
En 1939 Weschler à élaboré l’échelle d’intelligence pour adultes, le WAIS-R et pour enfants, le WISC. Ici le quotient intellectuel n’est plus qu’un quotient et il indique seulement le rang qui permet de situer le sujet dans une population de référence.

2/ La notion d’Aptitude Primaire fut également étudiée à parti d’une part des tests de Spearman qui evoqua le Facteur g. Il observa que les tests les + saturés étaient ceux qui évaluaient la Raisonnement Inductif, càd, lorsqu’un individu devait découvrir des règles de transformation sur un matériel non figuratif ; d’autre part des tests de Cattell qui évalue les aptitudes primaires selon 5 facteurs : l’intelligence fluide (raisonnement inductif), l’intelligence cristallisée (test verbal), la visualisation, la mémoire et la vitesse cognitive.
3/ Les tests collectifs, qui sont créés afin de repérer les difficultés intellectuelles chez les individus. C’est Yerkes qui développa le Test Verbal de l’Army Alpha.
Particularité : les individus ne sont plus évalués selon leur âge mental mais selon un score obtenu à partir des réponses correctes au test. Les items sont présentés sous forme de QCM.

4/ Les tests de personnalité, Woodworth à élaboré le 1 er questionnaire de personnalité. Il vise à situer les sujets par rapport à des troubles psycho pathologiques (MMPI).

5/ Les tests projectifs, Galton, Jung, et Rorschach ( planches avec interprétation des tâches d’encre)
TAT met en évidence les traits de personnalités de l’individu.

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15
Q

Quels sont les thèmes de recherche entre 1920 et 1960 ?

A

1/L’organisation des conduites, Spearman à jeté les bases de la méthode d’analyse de l’organisation des conduites-l’analyse factorielle- et d’une théorie de l’intelligence -la théorie bi factorielle. Facteur général (g) la note générale, & facteur spécifique (s) la note d’une tâche.
La théorie est dite bi factorielle car il interprète les facteurs g = énergie générale.
Thurstone : la méthode se dissocie de la théorie. Il recherche la structure factorielle d’une matrice de corrélation sans préjuger de l’existence d’un facteur général. Il met en évidence 6 à 8 facteurs appelés “aptitudes des facteurs spécifiques “.
Burt et Cattel : modèles hiérarchiques de l’intelligence, au sommet de la hiérarchie un facteur g, au niveau des facteurs de groupe larges et des facteurs de groupes restreints, à la base des facteurs spécifiques.
2/Hérédité et milieu : Galton, pour lui la variabilité individuelle est d’origine héréditaire.
La plupart de psychologues sont convaincus de la forte influence héréditaire avec les lois de Mendel.
Diversification des études dans les années 1920/1930 (jumeaux, enfants adoptés …)
Le point de vue dominant est celui de l’interactionnisme, mais l’hérédité garde le poids + grand que l’environnement.

16
Q

Développer le rapprochement de la psychologie différentielle avec celle de la psychologie générale de 1960 à 2010.

A

Le divorce : la psychologie différentielle était tournée plus vers les applications (psychométrie & phénomènes psychologiques supérieurs), un désintérêt pour les problèmes théoriques et les recherches (“psychologie des tests”).
Parallèlement, psychologie générale sous l’influence béhavioriste traitait les processus élémentaires sans s’intéresser à la variabilité interindividuelle.

Interaction, aptitude, traitement : L’approche interaction site de Cronbach, pour lui toute caractéristique stable est une aptitude et toute intervention visant à modifier les sujets est un traitement.
Par contre pour la psychologie scientifique, on considère que la population est fixée et l’on cherche de traitement efficace.
Dans l’approche différentielle, on considère que c’est le traitement qui est fixé et l’on recherche les caracteristues individuelles qui sont les plus favorables à l’efficacité recherchée.

La cohérence des conduites : dans les années 1960/1970, avec le développement sociocognitives de l’apprentissage, une controverse à oppose “personnologistes” qui considèrent que les conduites sont déterminées par des situations internes et les “situationnistes” qui considèrent que les conduites sont la conséquence d’apprentissages dans des situations ayant une forte spécificité.
L’analyse des corrélations entre la situation et les traits de personnalité : l’interaction sujet X Situation à le plus de poids => variabilité interindividuelle des conduites. La situation est le traitement et le trait de personnalité est l’aptitude.
L’intégration : la psychologie cognitive à un intérêt pour les processus psychologiques supérieurs. C’est aussi la psychologie de traitement de l’information et accorde un intérêt pour les tests d’intelligence et la variabilité interindividuelle.
Les 3 recherches dans le domaine psychologie différentielle/cognitive se sont déroulées en 3 temps :
-1/ Approche corrélationnelle : corrélation en l’efficience dans le test et l’efficience dans certains processus elementaires
-2/ Approche composantielle : c’est un modèle constitue de séries de modèles de résolution d’items
-3/ Modélisation de la dynamique de traitement de l’information : observer la conduite des sujets en temps réel.
Reuchlin à initié un mouvement d’intégration de la psychologie générale et différentielle à donné naissance l’école française de psychologie différentielle. Selon lui, les différences individuelles ne peuvent être expliquées que par des lois générales et ces lois ne peuvent être qualifiées de générales que si elles permettent d’expliquer les différences.
Processus vicariants : selon Reuchlin, il n’y a pas de processus unique d’élaboration de la réponse mais plusieurs processus qui peuvent se substituer l’un à l’autre et qui remplissent la même fonction, chaque sujet dispose d’un répertoire de processus vicariants lui permettant de s’adapter aux situations, ces processus ne sont pas disponibles et il y a une hiérarchie d’evocabilite qui n’est pas la même chez tous les individus.
Lautery a proposé le modèle multidimensionnel du développement cognitif à 2 traitements propositionnels (opérations logico-mathématiques) & analogique (opérations infra logiques).