PSY COGNITIVE Flashcards

0
Q

Afférence

A

Afférence : arrivée (projection) d’un neurone (ou d’un ensemble de neurones) sur une structure donnée (les k de l’amygdale : les neurones qui projettent sur l’amygdale).

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1
Q

Achromatopsie

A

Achromatopsie : perte de la perception des couleurs ; la lésion concerne les gyrus lingual et fusiforme ; si la lésion est unilatérale, le trouble ne concerne que la moitié du champ visuel (hémiachromatopsie). Ce trouble est à distinguer de l’anomie des couleurs qui est l’incapacité à nommer les couleurs ou à les associer à leur nom : l’anomie des couleurs est un trouble du langage.

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2
Q

Agnosie

A

Agnosie (gr. agesia, ignorance) : trouble d’identification perceptive, causé par une lésion cérébrale spécifique, propre à un canal sensoriel donné et fonctionnellement préservé ; on parle ainsi d’agnosie visuelle, d’agnosie auditive, d’agnosie tactile…

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3
Q

Agrammatisme

A

Agrammatisme : forme rare de discours observée dans le contexte d’une aphasie de Broca*. L’énoncé montre une réduction des procédés morphologico-syntaxiques. Seules des structures syntaxiques simples sont utilisées. Les morphèmes grammaticaux libres ou liés sont souvent omis (absence de pronoms ou de prépositions, verbes employés à l’infinitif). Dans sa forme la plus sévère, le langage, constitué d’une juxtaposition de mots, est qualifié de « style télégraphique ». Le discours agrammatique reste néanmoins informatif.

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4
Q

Aires primaires

A

Aires primaires : aires du néorcortex qui reçoivent les informations sensorielles issues des voies sensorielles primaires (V1, aire visuelle primaire ; A1, aire auditive primaire ; S1, aire somesthésique primaire).

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5
Q

Akinétopsie

A

Akinétopsie : déficit de perception du mouvement d’un objet visuel, suite à une lésion bilatérale du gyrus temporal moyen.

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6
Q

Alexie

A

Alexie : trouble du langage écrit consistant en une incapacité (ou des difficultés) de lire alors que l’écriture est possible et que le patient n’a pas de troubles perceptifs ou moteurs (cas de l’alexie pure).

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7
Q

Amygdale

A

Amygdale : petite structure composée d’un ensemble de noyaux (somas de neurones), en forme d’amande, dans le lobe temporal antérieur, en prolongement de l’hippocampe, impliquée dans les émotions, mais aussi dans les processus d’apprentissage et de mémorisation.

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8
Q

Analyse de discours

A

Analyse de discours : concerne l’analyse des composants langagiers et regroupe, d’une part, les analyses linguistiques qui étudient les structures formelles du langage, et, d’autre part, les analyses de contenu qui étudient le sens du discours, afin de mettre au jour les représentations véhiculées par ces discours.

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9
Q

Analyse multidimensionnelle

A

Analyse multidimensionnelle (ou MultiDimensional scaling, mps) : vise à rechercher une configuration de points représentant les objets dans un espace (ou espace géométrique de perception) qui respecte au mieux les distances perceptives exprimées par une matrice de similarité. Pour construire une matrice de similarité, on calcule la fréquence de regroupement de toutes les paires d’objets, c’est-à-dire le nombre de fois où deux objets sont classés dans la même catégorie. On construit alors un tableau de similarité de x colonnes sur x lignes (x étant le nombre d’objets) et, pour chaque paire d’objets, on indique la fréquence d’apparition de cette paire dans les classes. Cette fréquence de regroupement peut être considérée comme la mesure de proximité entre les objets.

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10
Q

Anamnèse

A

Anamnèse : ensemble des informations sur le passé du patient nécessaires au praticien pour établir son évaluation. Ces renseignements sont fournis par le patient lui-même ou son entourage et concernent le début de la maladie jusqu’à l’instant correspondant à l’observation du praticien. Les circonstances qui ont précédé la maladie font également partie de l’anamnèse.

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11
Q

Aphasie

A

Aphasie (gr. aphasia, impuissance à parler) : perte partielle ou totale de la faculté de s’exprimer et/ou de comprendre le langage oral et/ou écrit consécutive à une lésion cérébrale, ceci malgré l’intégrité anatomique et fonctionnelle des organes de la phonation (langue, larynx) et indépendamment de toute atteinte d’origine sensorielle (sans difficultés d’audition ou de vue).

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12
Q

Aphasie de conduction

A

Aphasie de conduction : l’aphasie se traduit par des paraphasies, transformations et omissions de mots, difficultés de nomination des mots, mais ne porte ni sur la fluente verbale ni sur la compréhension du langage ; son origine est une lésion du faisceau arqué alors que les aires de Broca et de Wernicke sont intactes.

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13
Q

Apraxie

A

Apraxie (gr. praxis, action) : trouble acquis de l’exécution intentionnelle d’un comportement moteur finalisé, consécutif à une lésion cérébrale focale. Le trouble ne peut être rapporté ni à un trouble du système moteur, ni à un désordre intellectuel ou attentionnel, ni à un défaut de reconnaissance des objets. Il existe plusieurs variétés d’apraxie, les plus connues étant l’apraxie constructive (incapacité à dessiner ou assembler différents éléments pour former une structure unitaire), l’apraxie idéatoire (perte de la représentation interne du geste) et idéomotrice (perte de la représentation motrice du geste), et l’apraxie de l’habillage (difficulté à se vêtir).

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14
Q

Autisme

A

Autisme (gr. autos, soi-même) : pathologie psychiatrique (trouble envahissant du développement) caractérisée par le développement exagéré de la vie intérieure avec une perte de tout contact avec la réalité (pauvreté des échanges relationnels). Le terme d’ « autisme », emprunté au psychiatre suisse Eugen Bleuler, caractérise la non-communication avec le monde extérieur se traduisant notamment par un évitement du regard. L’autisme infantile, dont il existe des formes modérées, est également appelé syndrome de Kanner (pour la forme typique). Le terme « autistique » qualifie un individu ayant un comportement de repli sur son monde intérieur. L’autisme est un handicap d’apprentissage à l’origine de problèmes de comportement entraînant un décalage et un manque de compréhension de l’environnement associé à une difficulté à communiquer correctement.

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15
Q

Aversion

A

Aversion : attitude d’évitement, réaction hédonique négative, répulsion face à un stimulus.

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16
Q

Brodmann (aires de)

A

Brodmann (aires de) : classification et numérotation des aires corticales en fonction de caractéristiques anatomiques et fonctionnelles réalisées par Brodmann au début du XXe siècle.

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17
Q

Cartographie des préférences

A

Cartographie des préférences : ensemble de méthodes qui permettent d’obtenir une représentation graphique des appréciations hédoniques d’objets (évaluées par des consommateurs) sur une carte résumant la description sensorielle de ces mêmes objets (évaluée par des sujets experts, entraînés ou initiés).

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18
Q

Cellule de type « of »

A

Cellule de type « of » : cellule de la rétine qui se dépolarise dans l’obscurité.

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19
Q

Cellule de type « on »

A

Cellule de type « on » : cellule de la rétine qui se dépolarise à la lumière.

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20
Q

Cognitif

A

Cognitif : l’adjectif « cognitif » qualifie ce qui permet de connaître ou ce qui concerne la connaissance, c’est-à-dire les processus par lesquels les informations sur l’environnement sont acquises et utilisées. La cognition est l’ensemble des activités intellectuelles et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise.

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21
Q

Controlatéral

A

Controlatéral : du côté opposé par rapport au plan médian (exemple : l’hémisphère controlatéral de l’hémichamp visuel ou de l’hémicorps).

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22
Q

Décussation

A

Décussation : croisement du plan médian des voies qui fait correspondre la moitié du corps à l’hémisphère cérébral opposé (controlatéral).

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23
Q

Démence

A

Démence (lat. denzerts, de mens, mentis, esprit) : syndrome se caractérisant par une diminution progressive et irréversible des facultés intellectuelles ou mentales (fonctions cognitives). Il s’agit plus précisément d’une démence organique, résultat du déclin progressif ou permanent des capacités cognitives (mémoire, attention, capacité de raisonner…), cela à la suite de lésions cérébrales. La démence ne doit pas être confondue avec les états confusionnels (délire aigu), qui sont réversibles. Les démences ne sont pas toutes irréversibles, certaines sont curables. Le plus fréquent des processus démentiels est la maladie d’Alzheimer qui correspond à environ 70 % de l’ensemble des démences en France. Il est devenu usuel de distinguer les démences « corticales » (maladie d’Alzheimer, démence fronto-temporale…) des démences « sous-corticales » (maladie de Parkinson, chorée de Huntington, paralysie supranucléaire progressive…) provoquées par les lésions de noyaux gris centraux épargnant largement le cortex cérébral. Elles sont souvent accompagnées de désordres moteurs.

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24
Q

Dépression

A

Dépression (lat. depressio, enfoncement) : humeur triste et douloureuse à la fois, associée à une diminution de l’activité psychique et motrice. La forme extrême de dépression est la mélancolie. Pour le grand public, la dépression recouvre des états très divers, pouvant aller de la simple déprime ( « passage à vide » ), à des troubles psychiatriques parfois sévères.

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25
Q

Dyslexie

A

Dyslexie : difficulté propre à l’acquisition de la lecture, la dyslexie se traduit par la fréquence et la persistance d’hésitations, d’incompréhensions, d’erreurs, d’inversions de syllabes, de confusions de lettres, de mutilations de mots, de fautes portant sur le langage écrit qui persisteront souvent jusque dans l’apprentissage de l’orthographe, tout cela malgré un niveau
intellectuel normal. Dans la littérature anglo-saxonne, le terme de dyslexia est utilisé aussi bien pour les troubles développementaux que pour les troubles acquis. En langue française, « alexie » renvoie aux troubles acquis.

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26
Q

Écholocation (ou sonar)

A

Écholocation (ou sonar) : système de localisation des objets s’appuyant sur l’émission et la récupération de sons de fréquences variables ; la position de l’objet est évaluée à partir des fréquences sonores qui reviennent en écho et de la durée mise pour ce retour sonore ; ce système, qui peut être fabriqué artificiellement, est naturellement utilisé par certains animaux (chauve-souris, dauphins…)

27
Q

Efférentes (voies efférentes)

A

Efférentes (voies efférentes) : neurone quittant une structure donnée (les efférentes de l’aire primaire : les neurones quittant l’aire primaire en direction d’autres régions).

28
Q

Empathie

A

Empathie (gr. pathos, passion, souffrance) : consiste à saisir les références internes et les composantes émotionnelles d’une autre personne et à les comprendre comme si on était cette autre personne.

29
Q

Endogène

A

Endogène : se rapporte à un phénomène généré par le corps (ou le cerveau) lui-même (par opposition à « exogène ») ; une onde endogène du potentiel évoqué traduit l’activité céré-
brale liée aux processus cognitifs (après le traitement sensoriel de la stimulation) ; l’orientation endogène de l’attention résulte d’un processus cognitif non provoqué par une stimulation externe.

30
Q

Étiologie

A

Étiologie (gr. aitia, cause, et logos, science) : causes d’une maladie ou d’une anomalie.

31
Q

Exogène

A

Exogène : se rapporte à un phénomène provoqué par l’ « extérieur » du corps (ou du cerveau) ; une onde exogène du potentiel évoqué marque l’activité cérébrale induite par le traitement sensoriel de la stimulation ; l’orientation exogène de l’attention est provoquée par une stimulation extérieure.

32
Q

Extension

A

Extension : ensemble des objets (concrets ou abstraits) auxquels s’applique un concept ou une proposition.

33
Q

Flaveur

A

Flaveur : ensemble complexe des sensations olfactives, gustatives et trigéminales perçues en cours de dégustation.

34
Q

Glide

A

Glide : phonème caractérisé par le fait qu’il n’est ni vocalique, ni consonantique, comme dans « maillot » [majo].

35
Q

Hémianopsie

A

Hémianopsie : perte de la vision de la moitié du champ visuel de chaque oeil. L’altération affecte le plus souvent la moitié latérale (hémianopsie latérale), chaque oeil perdant la moitié temporale (du côté de la tempe) ou nasale (du côté du nez) de sa vision. Les lésions des voies visuelles peuvent être causées par un traumatisme crânien, une compression par une tumeur ou un accident vasculaire cérébral.

36
Q

Hémicorps droit ou gauche

A

Hémicorps droit ou gauche : moitié du corps droite ou gauche.
Hertz (abréviation Hz) : désigne l’unité de fréquence (nombre de cycles par seconde).

37
Q

Ischémie

A

Ischémie : diminution de la vascularisation artérielle, donc de l’apport sanguin, au niveau d’une zone plus ou moins étendue d’un tissu ou d’un organe. Dans le cerveau, la diminution d’apport en sang et consécutivement en oxygène est à l’origine d’une altération du métabolisme (fonctionnement normal de l’organisme). Une ischémie prolongée provoque une destruction des tissus cérébraux (ou infarctus cérébral).

38
Q

Ipsilatéral

A

Ipsilatéral : du même côté par rapport au plan médian.

39
Q

Lemnisque médian

A

Lemnisque médian : faisceau de fibres ascendantes de la voie primaire de la somesthésie traversant le pont et le mésencéphale et se dirigeant vers le noyau ventral postérieur latéral du thalamus.

40
Q

Lésion focale

A

Lésion focale : lésion localisée sur une zone cérébrale peu étendue.

41
Q

Lexème

A

Lexème : représentation cognitive d’un mot. Un lexème contient des informations sur la forme orthographique et phonologique du mot, sur son sens et sur ses propriétés grammaticales.

42
Q

Modularité

A

Modularité : la théorie de la modularité défendue par Fodor (1986) suppose que le système cognitif est composé de sous-systèmes autonomes spécialisés dans le traitement de certaines informations (langage, visages).

43
Q

Néophobie

A

Néophobie : attitude d’évitement envers un stimulus nouveau. La néophobie alimentaire désigne la réticence ou le refus de goûter un aliment nouveau, généralement accompagné d’une émotion négative.

44
Q

Nosographie

A

Nosographie : classification dans laquelle les maladies sont regroupées par classes, ordres, genres et espèces.

45
Q

Organoleptique

A

Organoleptique : qui agit sur la perception sensorielle. Qualifie les caractères sensoriels perceptibles par les organes des sens.

46
Q

Pathologie dégénérative

A

Pathologie dégénérative : maladie se caractérisant par la perte progressive de la structure et de la fonction spécifique des neurones pouvant aboutir à leur disparition.

47
Q

Plasticité cérébrale

A

Plasticité cérébrale : voir potentialisation à long terme.

48
Q

Potentialisation à long terme (PLT)

A

Potentialisation à long terme (PLT) : phénomène physico-chimique par lequel, suite à des stimulations particulières, l’efficacité de la transmission synaptique est durablement renforcée.

49
Q

Proprioception

A

Proprioception : sensibilité des muscles et des tendons.

50
Q

Prosopagnosie

A

Prosopagnosie : une des formes d’agnosies visuelles qui ne concerne que la reconnaissance des visages familiers (y compris la reconnaissance de son propre visage par le patient). La lésion est généralement bilatérale au niveau du gyrus fusiforme.

51
Q

Récepteurs phasico-toniques

A

Récepteurs phasico-toniques : récepteurs sensoriels répondant à la fois à l’établissement de la stimulation et tout au long de celle-ci.

52
Q

Récepteurs phasiques

A

Récepteurs phasiques : récepteurs sensoriels qui répondent rapidement à l’établissement de la stimulation.

53
Q

Récepteurs toniques

A

Récepteurs toniques : récepteurs sensoriels répondant pendant tout le temps que dure la stimulation.

54
Q

Rétinotopie

A

Rétinotopie : organisation topographique des voies visuelles qui fait correspondre des cellules voisines de la rétine à des cellules voisines des structures cibles, notamment au niveau de l’aire primaire visuelle V1.

55
Q

Schizophrénie

A

Schizophrénie : psychose, c’est-à-dire maladie mentale dont le malade n’est pas conscient (contrairement à la névrose), caractérisée par la perte du contact avec la réalité et par des troubles plus ou moins graves de la personnalité. Le terme de « schizophrénie » a été créé par Eugen Bleuler et a remplacé l’expression « démence précoce ». La schizophrénie touche le plus souvent l’adolescent ou l’adulte avant l’âge de 40 ans environ. Elle se caractérise par des hallucinations visuelles ou auditives (la personne a l’intime conviction que ce qu’elle perçoit correspond à la réalité, alors que rien ne justifie sa sensation), un délire (perception erronée de la réalité), une désorganisation de la pensée et du comportement, la catatonie (se caractérise par une inertie, s’accompagnant d’une absence d’activité et de pensée).

56
Q

Sémiologie

A

Sémiologie : partie de la médecine qui étudie les signes des maladies (symptomatologie).

57
Q

Somatotopie

A

Somatotopie : organisation topographique de la peau, de la voie des colonnes dorsales et du lemnisque médian et de l’aire primaire somesthésique S1 faisant correspondre une portion de la peau à une portion de S1.

58
Q

Syndrome

A

Syndrome : ensemble de symptômes (signes) sans cause spécifique, que le malade est susceptible d’avoir en même temps lors de certaines maladies. Autrement dit, un syndrome est l’ensemble des signes et des symptômes qui caractérisent une maladie, mais la maladie ne doit pas être confondue avec le syndrome.

59
Q

Thalamus

A

Thalamus : structure du diencéphale, comportant des noyaux situés sur les voies sensorielles en relation avec le néocortex cérébral.

60
Q

Théorie de l’esprit

A

Théorie de l’esprit : aptitude à expliquer et prédire ses propres actions et celles d’autrui en termes intentionnels. Cette aptitude implique de faire appel à un raisonnement basé sur des états mentaux inobservables comme le désir ou la croyance, au sens de ce qui est tenu pour vrai.

61
Q

Théorie de la détection du signal

A

Théorie de la détection du signal : modèle de fonctionnement du sujet qui intègre les processus de décision aux mécanismes sensoriels. Selon ce modèle, lors d’un test discriminant, la prise d’information du sujet est probabiliste (un stimulus donné produit des perceptions différentes), alors que la prise de décision est déterministe (chaque fois qu’il évalue un produit, le sujet suit une règle de décision qui le conduit à donner la même réponse).

62
Q

Tonotopie

A

Tonotopie : organisation topographique de la membrane basilaire et des structures auditives fondées sur la fréquence du son, chaque fréquence sonore excitant une portion spécifique de la membrane basilaire, étant véhiculée par un groupe d’axones spécifique et excitant une portion spécifique de l’aire auditive primaire A1.

63
Q

Voie dorsale

A

Voie dorsale : faisceau de fibres empruntant un trajet dorsal (supérieur) pour relier deux structures du cerveau ; dans le système visuel, la voie dorsale (ou faisceau longitudinal supérieur) part du cortex occipital et se dirige vers le lobe pariétal ; cette voie traite de la position de l’objet visuel et de son mouvement ; c’est la voie du « où ».

64
Q

Voie ventrale

A

Voie ventrale : faisceau de fibres empruntant un trajet ventral (inférieur) pour relier deux structures du cerveau ; dans le système visuel, la voie ventrale (ou faisceau longitudinal inférieur) part du cortex occipital et se dirige vers le lobe temporal ; cette voie traite de l’identité de l’objet visuel ; c’est la voie du « quoi ».