Principales théories Flashcards

1
Q

Qu’est ce qu’une croyance?

A

Conviction relative à un objet psychologique.

CROP

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2
Q

Nommez les trois besoins humains.

A

Psychologique, matériel, social.

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3
Q

Quel est l’objectif des besoins humains?

A

D’avoir un rapport utilitaire avec l’information qui l’entoure.

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4
Q

Nommez un mécanisme psychologique qui englobe la construction de l’identité et expliquez-le.

A

Dissonance cognitive qui se définit comme la tendance de l’esprit à vouloir simplifier les choses et cristalliser les croyances.

DC - Simplification / Cristallisation

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5
Q

Distinguez les trois théories de l’évolution.

A

Darwin : Adaptabilité / Mutations
Lamarck : Transformisme
Spencer : Plus fort survivre

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6
Q

Expliquez le lien entre la dissonance cognitive et les théories de l’évolution.

A

La théorie de l’évolution a été apprise comme étant toute provenant de Darwin, alors qu’en fait il n’a qu’une seule partie de la réponse sur l’évolution. Cette connaissance de 3 théories est dissonante avec l’apprentissage qui disait que nous avions seulement la théorie de Darwin.

MODIFICATION DE CROYANCE = +/- DISSONANCE

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7
Q

Que stipule Schacter sur la fiabilité des témoins oculaires?

A

Que le cerveau est très peu fiable, puisqu’il cherche à remplir les trous dans la mémoire à l’aide de ce qu’il connait.

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8
Q

Comment l’identité est-elle définit dans le cours?

A

C’est un ensemble de croyances sur soi construites et partagées socialement qui rendent l’individu à la fois semblables et différents des autres et qui sert de cadre de référence pour soi et pour le monde qui nous entoure.

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9
Q

Quelle est la principale mission de la mémoire humaine selon Schacter?

A

Fonction de cohérence cognitive en complétant des trous dans la trame narrative.

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10
Q

Comment est définie l’estime de soi dans la théorie de Tajfel?

A

Elle est vu comme le résultat d’un processus de comparaison intercatégoriel (Endogroupes vs exogroupes).

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11
Q

Comment construit-on notre identité selon Tajfel? (Dimensions)

A

Les dimensions sociales sont plus en cause dans la construction de l’identité que les dimensions personnelles, en particulier les groupes d’appartenance.

DIMENSIONS SOCIALES > DIMENSIONS PERSONNELLES

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12
Q

Comment les frontières entre les deux groupes sont-elles créés?

A

Biais perceptuels et comportements discriminatoires.

BP-CD

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13
Q

Pourquoi maintient-on les frontières entre les groupes?

A

Dans le but de maintenir une image positive de son endogroupe, pour maintenir une estime de soi positive.

Image positive du groupe = Estime de soi positive

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14
Q

Qu’est ce qui permet une forte identité groupale?

A

Une dynamique de discrimination envers l’exogroupe. Réduction de la perméabilité.

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15
Q

Quel est le défi d’un individu selon la théorie de Tajfel?

A

Il s’agit de continuellement gérer les frontières pour éviter de devenir figés (Isolement) ou perméables (Perte d’identité collective)

Figement ou perméabilité

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16
Q

Que conclu Tajfel sur la théorie de la catégorisation sociale?

A

De manière inconsciente, et dans le but de maintenir une estime de soi positive, l’individu cherche à discriminer l’autre pour se percevoir meilleur que les autres groupes. Élargissement des frontières identitaires, en plus d’établir des mécanismes qui maintiennent ces écarts.

Discriminer pour régner et garder les écarts

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17
Q

Quelle est le rôle de la catégorisation?

A

Répond au besoin fondamental de tout être humain de comprendre en simplifiant la complexité du monde.

SIMPLIFICATION DU MONDE

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18
Q

Comment fonctionne la catégorisation?

A

D’abord, il s’agit de prendre la première information significative afin de l’utiliser pour classer les suivantes. La saillance et l’importance relative de l’information peuvent influencer le classement.

1e info -> Saillance et importance

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19
Q

Définir la théorie de la catégorisation sociale.

A

Par un processus de comparaison sociale, l’individu va adapter son soi de manière à tendre vers le prototype du groupe auquel il s’identifie et réduire son incertitude envers son environnement social.

Comparaison sociale, adaptation du soi, réduction de l’incertitude

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20
Q

Quelles sont les objectifs des mécanismes de catégorisation?

A

Afin de se définir et de définir les autres pour maintenir l’estime de soi et réduire l’incertitude (Lien avec la fonction d’évaluation et fonction de connaissance).

DÉFINITION DE SOI ET DES AUTRES (ES / RI)

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21
Q

Qu’est ce qu’un stéréotype?

A

Association de manière plus ou moins consciente d’attributs que nous croyons être des caractéristiques des membres de la catégorie.

Attributs d’un communauté

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22
Q

Qu’est ce que la stéréotypisation?

A

Processus d’attribution de caractéristiques à des personnes sur la base d’appartenance à un groupe et rend les individus plus ou moins interchangeables avec les membres de leur catégorie. (Simplification)

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23
Q

Que ce passe-t-il lorsqu’on rencontre quelqu’un qui ne cadre pas dans les stéréotypes?

A

Un cas exceptionnel amène la construction d’un sous-groupe exceptionnel et non la modification des stéréotypes.

24
Q

Quels liens peut-on observer entre la TIS et la TCS (2)?

A

Emphase sur l’influence des catégories sociales d’appartenance dans le développement identitaire.
Manque d’attention aux contextes relationnels à travers lesquels ces influences identitaires se négocient.

+ Catégories sociales d’appartenance
- Manque d’attention aux contextes relationnels

25
Q

Quel est la proposition de Deaux et Martin?

A

Intégration de deux niveaux d’analyse : Catégories et interactions pour mieux comprendre comment les individus adoptent et maintiennent leur identité, décide de changer et d’en adopter une autre.

2 niveaux d’analyse ->
CATÉGORIES ET INTERACTIONS

26
Q

Résumez la perspective intégratrice.

A

Vision intégratrice des processus de construction identitaire des individus qui font interagir les deux niveaux de la réalité sociale.

Construction identitaire par deux niveaux de la réalité

27
Q

Quels sont les deux niveaux de la réalité sociale?

A

Catégories sociales d’appartenance

Réseaux interpersonnels.

28
Q

Quel élément rend les théories difficiles à vérifier?

A

Il s’agit de l’observation de processus non conscients.

29
Q

Que définit le temps 1 du modèle de Deaux et Martin?

A

Les catégories sociales d’appartenance initiales vont orienter les premiers réseaux interpersonnels.
Réseaux plutôt homogènes qui amène un peu de support social.
Développement d’un sentiment d’identification à ces catégories.

1er réseau - Homogénéité - Sentiment d’identification

30
Q

Que peut-on dire sur l’environnement au temps 1?

A

Il est plutôt déterminé et permet peu de mobilité pour le moment.

31
Q

Que définit le temps 2 du modèle de Deaux et Martin?

A

Comparaisons sociales et les possibilités de mobilité sociale vont déclencher des processus de négociation de l’identité.
Les individus vont rechercher à intégrer des réseaux sociaux dont ils ne font pas partie mais qui pourraient leur permettre de modifier leur identité et fournir le soutien social nécessaire.

32
Q

Quel est le risque encouru au temps 2?

A

Une tentative de mobilisation qui échoue peut amener un rejet du groupe d’appartenance initial ce qui aura un gros impact sur l’identité.

33
Q

Que définit le temps 3 du modèle de Deaux et Martin?

A

Une personne qui se déplace vers un autre réseau social sera motivé par le degré de support du nouveau réseau.
Plus le support est important, plus l’identification se renforcera.

34
Q

Comment est définit la perspective de Deaux et Martin?

A

Il s’agit de la perspective anthropologique de l’identité.

35
Q

Définir la théorie de la privation relative.

A

Intérêt pour les réactions psychologiques induites par la privation de quelque chose auquel on estime avoir droit.
Réactions psychologiques sont le résultat d’un mécanisme de comparaison entre la position qu’occupe un individu et celles des individus qui l’entourent (Surtout un écart négatif entre sa position et celles des autres)

Réactions psychologiques résultante d’une comparaison de l’écart entre notre position et celle des autres

36
Q

Que stipule le professeur sur la théorie ?

A

Conséquence psychologique qui est associé à la perception (vs réalité) et à la relativité donc l’écart subjectif (vs objectif) de la situation.

Perception et subjectivité sont en cause

37
Q

Quels sont les deux types de privation relative?

A

Privation relative individuelle.

Privation relative collective.

38
Q

Définir la privation relative collective.

A

Individu a le sentiment d’être traité injustement à cause de sa catégorie d’appartenance.

39
Q

Quel sont les deux composantes de la privation relative?

A

Dimension cognitive.

Dimension affective.

40
Q

Quelle composante de la privation relative est la plus importante?

A

Composante affective qui est déclencheur de réactions de privation relative qui diminue l’estime de soi.

41
Q

Qu’est ce qui est nécessaire pour qu’il y ait une privation relative?

A

Doit y avoir une perception d’iniquité et une identité négative.

42
Q

Nommez les 7 étapes qui précèdent le sentiment de privation relative

A

Se définir comme un individu ou membre d’un groupe. DÉFINITION
Percevoir une iniquité qui influence négativement le soi. INIQUITÉ
Percevoir la légitimité ou non de l’iniquité. LÉGITIMITÉ
Définir le foyer de l’iniquité (intra / inter groupe) FOYER
Avoir la volonté/capacité de concevoir la situation autrement (Dissonance possible) VOLONTÉ
Analyser, évaluer les interventions possibles (Ind./Coll.) INTERVENTIONS
Choisir le type d’intervention (Normative/non-normative) TYPES

43
Q

Quand fait-on une intervention normative?

A

Lorsque le cadre d’action est plutôt lié à la privation relative individuelle. Donc, plutôt lorsque nous-mêmes et nous seul on se sent traité injustement.

44
Q

Quelle privation relative est-elle à l’oeuvre dans l’étude de Tougas?

A

Privation relative collective surtout relié au genre.

45
Q

Que stipule l’étude sur l’impact de la privation relative sur les femmes?

A

Femmes sont plus affectées que les hommes en raison d’un effet cumulatif et leur bien-être psychologique est plus affecté par la reconnaissance d’un traitement différentiel en fonction du sexe dans un contexte donné.

46
Q

Définir l’effet cumulatif.

A

Les femmes sont susceptibles de vivre le sentiment d’injustice dans plusieurs sphères de leur vie, où il y a beaucoup d’occasion de traitement injuste par rapport aux hommes parce qu’elles sont des femmes.

47
Q

Définir le lien entre la privation relative et la protection de l’estime de soi.

A

La privation relative pousse les individus à se protéger par des stratégies psychologiques pour protéger l’estime de soi et peut-être améliorer son sort.

48
Q

Que définit la phrase suivante :
Stratégie de retrait mental temporaire en situations dévalorisantes pour permettre aux individus de se soustraire virtuellement de circonstances où les agissements apparaissent injustifiés ou dégradants.

A

Désengagement psychologique.

49
Q

Nommez et expliquez les deux mécanismes de désengagement.

A

Discrédit : Remettre en cause le feedback reçu dans un domaine spécifique en lui conférant peu de valeur (Aspect relationnel de la situation)
Dévaluation : Mécanisme qui amène les gens à se soustraire de domaines d’intégration sociale où ils se sentent confrontés à des situations dévalorisantes (Voie royale du désengagement, ensemble de la situation en désengagement)

50
Q

Donnez un exemple de discrédit et de dévaluation

A

Discrédit : Femme discrédite le feedback de son patron masculin parce qu’il s’appuie sur une vision erronée de ses compétences féminines.
Dévaluation : Homme dévalue son travail, car son milieu privilégie injustement les femmes.

51
Q

Quel est le risque de la dévaluation au travail?

A

Fort impact sur l’estime de soi si on dévalue à long terme, car le travail est une dimension importante de la vie. Doit trouver une dimension pour la remplacer.

52
Q

Que montre les comparaisons intergroupes de l’étude de Tougas?

A

Hommes se défendent plus que les femmes
Femmes vivent plus d’amplitude de fluctuations importantes avec une estime de soi moins stable.
Hommes sont plus enclins à l’action s’ils ressentent de la privation relative.

53
Q

Que montre les comparaisons intragroupes?

A

Femmes avec plus de privation relative : Baisse de l’estime de soi et utilise plus le discrédit (Pas vraiment la dévaluation)
Hommes avec plus de privation relative : Mécanismes de protections sont davantage utilisés, mais leur estime de soi ne diminuent pas autant ou à peine.

54
Q

Qu’est ce qui est perdu par le discrédit?

A

Relations interpersonnelles.

55
Q

Que doit-on faire pour ne pas être trop affecté par une dévaluation?

A

Trouver d’autres dimensions qui peuvent leur permettre de se réaliser et s’actualiser.

56
Q

Quelle est la conclusion du cours et de l’impact de la privation relative?

A

On peut penser que les femmes sont déjà plus victimes de privation relative dans plusieurs dimensions de leur vie par rapport aux hommes et ce qui diminue les possibilités de protection psychologique, car les mécanismes sont déjà trop utilisés.

SURVICTIMISATION = SURUTILISATION = - Protection