personnages Flashcards

1
Q

Jean de Lamarck

A
  • un des premiers à formuler une théorie évolutionniste
  • les espèces changent avec le temps
  • théorie de l’« hérédité des caractères acquis ».
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2
Q

Charles Darwin

A
  • expédition sur le Beagle
  • débute son voyage en croyant au créationnisme
  • théorie de l’évolution = 2e grande vexation
  • explique le mécanisme de sélection naturelle
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3
Q

Alfred Russel Wallace

A
  • théorie semblable à celle de Darwin
  • aurait pu être aussi populaire que Darwin, mais son attitude préconisée n’est pas la même.
  • Darwin : voir l’environnement et comment il sélectionne les individus VS Wallace : on devrait donner une direction à notre évolution, être proactif.
  • Pour lui, pas nuisible d’aider les défavorisés, ça peut nous aider à développer une facette qui nous amène à une plus grande adaptation
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4
Q

Hebert Spencer

A
  • auteur du concept de « survivance du plus apte ».

- élabore la théorie du “darwinisme social”

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5
Q

Francis Galton

A
  • • Habiletés de cartographe, et grand amateur de la mesure (anthropométrie)
  • a pensé au système d’identification des criminels par empreintes digitales
  • Père de l’ « eugénisme »
  • défend le nativisme
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6
Q

Wilhelm Wundt

A
  • volontariste (on a la volonté, mais pas la liberté)
  • parallélisme psychophysique (un individu ne nait donc pas que matière)
  • S’oppose au matérialisme et à l’empirisme anglais.
  • Père de la psychologie expérimentale
  • on peut étudier le social et comprendre les processus supérieurs
  • Fonde le premier laboratoire de psychologie expérimentale en 1879
  • Souhaite étudier l’expérience immédiate, la conscience, mis on ne peut pas observer la conscience directement. en mesurant les temps de réaction, on peut inférer ce qui se passe dans la conscience
  • Il n’étudie pas la conscience globalement. Il la découpe en éléments simples, en partant du plus petit élément (sensations et sentiments)) vers le plus complexe.
  • expérience du pendule de complication
  • introspection expérimentale et mesure des temps de réaction
  • Chaque fois qu’on est exposé à un même stimulus, il y a le même phénomène au niveau de l’esprit. Ce qui se passe dans notre espace mental repose et dépend des stimuli. S’il se passe la même chose, c’est à cause du stimulus
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7
Q

Edward Bradford Titchener

A
  • Étudia les processus élémentaires de la conscience. S’intéresse au fait de partir des éléments simples et voir comment ceux-ci ensemble forment le processus
  • Souhaite décrire la structure de l’esprit. Pour lui, une sensation s’inscrit dans une structure composée de sensations. L’esprit humain est donc un ensemble de sensations en relation les unes avec les autres
  • S’intéressait à la manière par laquelle les éléments se combinent pour former des processus complexes
  • Les éléments se mesurent à partir de leurs attributs : Attributs –> Éléments –> Processus
  • introspection expérimentale
  • Ce qui fait qu’on porte attention sur quelque chose plutôt qu’un autre est la clarté. Ce n’est pas le choix de l’individu, ça dépend du stimulus. Bel exemple qu’ils mettent plus de poids sur l’environnement
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8
Q

Oswald Külpe

A
  • développe le fonctionnalisme
  • Précurseur de la Gestalt. S’intéresse à l’ensemble plutôt qu’aux détails
  • pensées sans images et attitude
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9
Q

William James

A
  • fonctionnaliste
  • un des précurseurs de la Gestalt
  • développe une conception qui donne place au libre-arbitre
  • Étudie la conscience (les processus que représente la conscience, pas le contenu
  • théorie des émotions James-Lange
  • élabore le pragmatisme (si une idée fonctionne, cela confirme sa validité)
  • Selon lui, la conscience est individuelle, continue, changeante, sélective et fonctionnelle
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10
Q

John Dewey

A
  • fondateur du fonctionnalisme
  • C’est le processus qui prédomine, c’est l’ensemble plutôt que le détail/élément simple
  • Quand on étudie l’arc réflexe, on pourrait le segmenter en étapes, mais on doit les laisser reliées les unes aux autres, garder les relations entre ces étapes.
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11
Q

Carl Stumpf

A
  • Principal mentor des fondateurs de la Gestalt
  • Étudie plusieurs phénomènes, dont la fusion tonique : on ne perçoit pas les notes distinctes, mais bien son ensemble, qu’on peut ensuite séparer
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12
Q

Max Wertheimer

A
  • Un des 3 fondateurs de la Gestalt
  • décrit le “phi-phénomène” (impression de mouvement alors qu’il n’y en a pas réellement)
  • il veut étudier ce temps limite pour percevoir un mouvement
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13
Q

Kurt Koffka

A
  • Un des 3 fondateurs de la Gestalt
  • S’intéressa au problème figure-fond (voir ce qui fait qu’un élément est plus en figure ou en fond (ex : vase de Rubin – voir la coupe parce ou voir les 2 visages))
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14
Q

Wolfgang Köhler

A
  • Un des 3 fondateurs de la Gestalt

- Élabora la notion d’insight en situation d’apprentissage

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15
Q

Kurt Lewin

A
  • Souhaite que la psychologie passe d’une perspective aristotélicienne à une perspective galiléenne/newtonienne
  • Ne pas s’intéresser aux cachés, on doit étudier les différentes forces qui agissent les unes sur le autres pour former les phénomènes. ex : la motivation
  • Motivation = tension issue des besoins et quasi-besoins
  • Un groupe n’est pas la somme de l’ensemble des individus. Le nombre d’individus, la configuration, le but du groupe, etc. va déterminer une part importante du comportement des membres du groupe
  • théorie des champs
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16
Q

Fritz Perls

A
  • père de la Gestalt-thérapie
  • Façon non-conventionnelle de faire la thérapie et très confrontante
  • la “frontière-contact” au coeur de son approche
  • “l’ajustement-créateur” est au centre de la psychologie et la psychologie liée à la pathologie serait l’étude des blocages dans l’ajustement-créateur, ce qui fait qu’il y a rejet de la nouveauté
  • vision holistique : non seulement l’être humain et l’environnement interagissent, mais ils sont également interdépendants. Ainsi, plutôt que de parler de structures isolées, les deux forment le champ organisme-environnement
  • technique de la chaise vide
  • s’intéresse aux contradictions entre le discours/verbal et le corps/non-verbal et confronte ses patients par rapport à celles-ci.
  • la thérapie se déroule dans l’ici et le maintenant, et l’idée est de favoriser le contact le plus vrai (pas de contradiction).
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17
Q

Setchenov

A
  • Stimuli environnementaux en tant que causes initiales du comportement. Pas de volonté, pas de conscience. Tout ce qu’on fait, c’est réagir à notre environnement extérieur.
  • Développement progressif de la capacité d’inhibition des réflexes
  • quand on se développe, qu’on apprend, ce n’est pas par ajout d’éléments, mais plutôt par inhibition des réflexes. Se développer veut dire inhiber graduellement ces réactions pour mener à des comportements plus fins et précis
  • croit en un système inhibitoire qui ferait en sorte que les réflexes seraient sculptés
18
Q

Pavlov

A
  • Découvre la « sécrétion psychique » et formule la « théorie des réflexes conditionnels » (conditionnement classique ou répondant)
19
Q

Bechterev

A
  • Décrit les mêmes mécanismes d’apprentissage que Pavlov (conditionnement classique, mais il appelle ça le réflexe d’association)
  • apprentissage passif
  • 3 critiques de Pavlov
  • Préconise d’étudier les comportements de retrait des chiens face à un stimulus aversif (ex : retrait de la patte face à un stimulus désagréable)
20
Q

Thorndike

A
  • Ses travaux sont souvent considérés comme le point de jonction entre le fonctionnalisme et le béhaviorisme
  • Fonctionnaliste, mais grand-père du béhaviorisme
  • la “boîte à problème”
  • loi de l’exercice (loi de l’utilisation et loi de la désuétude) et loi de l’effet, mais abandonne loi de l’exercice et révision loi de l’effet
  • Pour qu’il y ait transfert dans l’insight, il faut que les 2 contextes soient semblables
21
Q

Watson

A
  • Fondateur du béhaviorisme, car il a appliqué le béhaviorisme (conditionnement classique) aux humains
  • moniste matérialiste
  • Pensait pouvoir modeler les enfants, peu importe leur talent et leur hérédité. Pensait pouvoir leur apprendre n’importe quoi s’il maîtrisait l’environnement.
  • Recommande de ne pas donner d’affection et d’attention aux jeunes. Mieux vaut être froid et objectif
  • Objectif de la psychologie : contrôler et prédire le comportement.
  • Met complètement de côté la conscience, de même que les instincts.
  • D’abord épiphénoméniste (corps, et esprit n’a pas d’impact sur le corps), puis moniste matérialiste.
  • le petit Albert et Peter et le lapin
22
Q

Skinner

A
  • béhaviorisme radical
  • Figure la plus importante en psycho au 20e siècle
  • Manipuler l’environnement pour améliorer le bien-être
  • Défend l’idéal technologique (propre à la science baconienne) : le but de la science est de contrôler la nature. Notre connaissance doit faire en sorte qu’on soit moins à la merci de notre environnement, pour être moins contrôlé par ce qui nous entoure
  • Skinner étudie l’individu actif, c’est-à-dire qui agit de manière à obtenir des renforcements (conditionnement opérant)
  • conception anti-mentaliste (il n’y a pas de variable intermédiaire, comme les processus mentaux, entre le stimulus et la réponse, et entre la réponse et la conséquence)
  • utilise l’observation plutôt que l’introspection, car inutile d’étudier ce qui n’est pas directement observable.
  • rasoir d’Occam pour ses hypothèses et observations
  • tableau de contingence (effets renforcement/punition +/- sur le comportement)
23
Q

Alfred Binet

A
  • Père de la psychologie expérimentale en France
  • tests pour étudier les opérations mentales de ses enfants, ressemblent aux futurs tests de Piajet
  • S’intéresse à ce qui distingue les gens les uns des autres. Énumère entre autres l’intelligence, la mémoire, l’attention et la compréhension
  • Élabore des tests permettant de distinguer les enfants ayant une intelligence normale des autres enfants. Propose l’échelle métrique des Binet et Simon
  • Âge intellectuel = l’âge associé aux tests les plus difficiles que l’enfant réussit. Résultats médiocres aux tests ne signifient pas nécessairement une déficience intellectuelle, dépend de plusieurs variables
  • Contre l’emploi du QI de Stern, car l’intelligence est trop complexe pour la réduire à un chiffre
  • Convaincu que ça peut être bénéfique pour les enfants avec des résultats médiocres aux tests de recevoir une attention particulière
  • Même s’il pensait que l’hérédité détermine le potentiel intellectuel, il soutenait aussi que chacun peut développer son intelligence s’il est stimulé adéquatement. Rejette la conception purement nativiste de l’intelligence
  • Pense que l’orthopédie mentale pourrait améliorer la volonté, l’attention et la discipline de l’enfant, permet à l’enfant d’apprendre à apprendre
24
Q

Stern

A
  • Propose le QI comme mesure de l’intelligence. QI = âge mental/âge chronologique x100
  • utilise l’âge mental de l’échelle Binet et Simon
25
Q

McDougall

A
  • Efforts pour promouvoir une psychologie davantage axée sur l’instinct, mais à contre-courant de la tendance grandissante opposée à celui-ci
  • défense du vitalisme
  • Un des premiers à redéfinir la psychologie comme la science du comportement longtemps avant Watson. Préconisait une étude objective du comportement à la fois des humains et des animaux
  • différence avec Watson ; McDougall ne niait pas l’importance des phénomènes mentaux. Il croyait possible d’analyser objectivement de tels phénomènes en observant leur influence sur le comportement.
  • Adhère au béhaviorisme méthodologique plutôt que le béhaviorisme radical
  • Le comportement intentionnel devient plus efficace avec la répétition. Les aspects inutiles du comportement sont graduellement éliminés. Le comportement d’essais et d’erreurs est intentionnel et non réflexe
  • le comportement est davantage conditionné et stimulé par un motif instinctif que par des phénomènes environnementaux (psychologie hormique)
  • tous les organismes, y compris les humains, naissent avec des instincts offrant la motivation nécessaire pour agir de diverses manières. chaque instinct comporte 3 éléments L la perception, le comportement et l’émotion
  • Lorsque 2 instincts ou plus s’associent avec un objet ou une pensée, on parle de sentiment. L’ensemble du comportement humain serait gouverné par les sentiments
26
Q

Alfred Adler

A
  • les facteurs sexuels, particulièrement les facteurs sexuels infantiles, sont réduits au minimum
  • Matérialiste positiviste, tout trouble mental est d’origine physiologique
  • certains organes sont inférieurs aux autres, et sont plus vulnérables aux maladies. Comme l’environnement impose une pression à ces parties du corps, l’individu développe une faiblesse qui inhibe le fonctionnement social
  • compensation, surcompensation, sentiment d’infériorité et complexe d’infériorité
  • croyait que le rang de naissance avait un effet sur les aspects psychologiques de l’enfant.
  • Pense que la vie est dénuée de sens par nature, donc que c’est à l’individu de lui en donner un. La 1re invention de sens est la création d’une vision du monde. Ensuite, l’enfant réfléchit à la façon de vivre dans le monde tel qu’il le perçoit
  • Planifie son avenir en créant la fiction directive (objectifs raisonnables étant donné la vision du monde de l’enfant
  • S’oppose à Freud en disant que les humains ne sont pas victimes de leur environnement ni de leur hérédité. Souvent vu comme un premier pas vers la psychologie humaniste
27
Q

Ludwig Wittgenstein

A
  • Crée les concepts de “jeux de langue” et “air de famille”
  • Il est faux de croire que le langage est une réalité indépendante de l’esprit
  • Ne nie pas l’existence d’un monde physique ni le fait que nos sens nous permettent d’être en contact avec ce monde. Au contraire, il affirme que les gens peuvent prêter à leurs expériences une large gamme de significations
28
Q

André Lussier

A

un des pionniers de la psychanalyse au Québec

29
Q

Franz Brentano

A
  • figure importante de la psychologie existentielle
  • Processus de l’esprit plus important que le contenu.
  • Intentionnalité
30
Q

Edmund Husserl

A
  • figure importante de la psychologie existentielle
  • Deux types d’introspection : une centrée sur l’intentionnalité (comme Brentano, mais il s’intéresse aussi à l’expérience du sujet par rapport aux processus à l’œuvre (ex : le doute)), l’autre centrée sur tout processus dont la personne fait l’expérience subjectivement (phénoménologie pure)
  • But : identifier les essences mentales (les processus les plus fondamentaux de l’esprit. On ne parle pas de contenu
31
Q

Martin Heidegger

A
  • figure importante de la psychologie existentielle
  • Dasein (être-là). L’individu et le monde sont à la fois distincts et interdépendants. Le monde existe parce que l’individu est là, et vice versa. Exister n’est pas un état stable, c’est un processus constant de distinction et de mise en relation
  • Être-jeté (contingences qui ne peuvent pas être surmontées. Ce sont des limites qui encadrent le processus de dasein. Ex : limites physiques, intellectuelles, l’époque dans laquelle nous sommes, etc.). C’est à partir de là qu’on peut faire le travail d’être-là.
32
Q

Irvin Yalom

A
  • figure importante de la psychologie existentielle
  • Accorde une place primordiale à la relation thérapeutique et à l’alliance
  • Vulgarisateur, notamment à travers l’écriture de romans
33
Q

Ludwig Binswanger

A
  • figure importante de la psychologie existentielle
  • Insiste sur l’importance de l’ici et du maintenant.
  • Chaque personne habite son monde privé, subjectif et non généralisable. Il est question de la solitude insurmontable
  • Quand il est question d’analyser le patient, on s’intéresse à toutes les dimensions de son être. Trois modes d’existence:
    1. Umwelt (« monde autour »). Monde physique
    2. Mitwelt (« monde avec ») monde des relations interpersonnelles
    3. Eigenwelt (« monde propre ») monde privé/interne
  • Weltanschauung (« représentation du monde »). On veut analyser sa représentation du monde (comment une personne figure son expérience, le monde dans lequel elle vit, est-elle liée à la souffrance ou non, est-elle simple/complexe, rigide/ouverte, etc. ?)
34
Q

Carl Rogers

A
  • figure importante de la psychologie humaniste
  • a remis en question l’importance de l’insight. Dans certains cas, la prise de conscience/l’insight nuit à la personne, ça peut être déstabilisant
  • Approche fondée sur la connaissance qu’a le client de sa propre condition (« thérapie centrée sur la personne »).
  • L’individu aurait une tendance innée à l’actualisation et grâce à « l’évaluation organismique », chacun peut évaluer si une expérience est actualisante ou non
  • travaille à partir du « champ phénoménologique » du client ou, soit de ses expériences (pensées, perceptions, etc.) qui peuvent occuper la conscience
  • concept de soi et soi idéal (congruence et incongruence)
  • Tous les êtres humains ont fondamentalement besoin de considération positive
35
Q

Abraham Maslow

A
  • Figure importante de la psychologie humaniste
  • Pour lui, il y a autre chose que le comportement manifeste, il faut aller voir ailleurs
  • N’étudie donc pas la pathologie. Qu’est-ce qui caractérise les gens qui vont bien?
    Pyramide de Maslow
36
Q

Jean Piajet

A
  • chercheur important en cognitivisme
  • Épistémologie génétique
  • constructiviste (S’intéresse à la construction de la connaissance. Ce qu’on a en nous, c’est une reconstruction de la réalité. Pour lui, le développement de la connaissance passe par une séquence activée par une exploration de l’environnement)
  • individu s’adapte à son environnement
  • l’individu est actif, il n’est pas façonné par son environnement (s’il n’est pas actif, il ne se développera pas
  • Le développement cognitif se fait par étapes qui découlent les unes des autres
  • Le développement tend vers un but (une plus grand intelligence, donc une plus grande capacité d’adaptation)
  • Schème = unité de base de l’intelligence
37
Q

Lev Vygotsky

A
  • influencé par le communisme
  • Développement cognitif compris comme le produit de l’interaction maturation-culture (comme Piajet)
  • Tient compte des processus historiques, sociaux et culturels dans lesquels l’enfant se développe. L’enfant intériorise la pensée de son environnement, et ça devient sa propre pensée
  • L’enfant participe activement à son développement cognitif, mais l’environnement doit échafauder les apprentissages (un enfant en développement doit être encadré par le langage, notamment les consignes. Il entend et exécute les consignes, puis les répète jusqu’à ce qu’il soit autonome).
  • Zone proximale de développement
38
Q

Noam Chomsky

A
  • Linguiste d’approche cognitiviste et nativiste (innéiste)
  • Opposant de la théorie d’acquisition du langage de Skinner
  • Il existerait un « dispositif d’acquisition du langage » inné, soit la capacité à détecter la présence du langage humain. Les règles de bases seraient déjà présentes, mais doivent être stimulées par l’environnement
39
Q

Albert Ellis

A
  • figure dominante des TCC
  • la théorie rationnelle-émotive
  • But de la thérapie : changer les croyances qui génèrent de la souffrance (Si on modifie le processus de raisonnement et les croyances, on change le vécu subjectif de la personne (ses émotions, la souffrance, etc.))
  • S’intéresse à comment la personne raisonne
40
Q

Aaron Beck

A
  • figure dominante des TCC
  • Auteur d’échelles d’évaluation diverses (mais échelles valides tant que la personne comprend les énoncés et y répond sans être sur la défensive)
  • Élabora la « triade de Beck », trois facteurs qui alimentent la dépression majeure : idées négatives sur soi-même, le monde et le futur